Étaimpuis
Localisation
Étaimpuis : descriptif
- Étaimpuis
Étaimpuis est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Géographie
Localisation
Hameaux et écarts
- Étaimpuis (2016 : 64 habitations)
- rue du Chasse-Fêtu (19 habitations)
- rue des Primevères (13 habitations)
- impasse des Violettes (5 habitations)
- chemin de Clères (13 habitations)
- rampe Saint-Martin (2 habitations)
- impasse des Jonquilles (2 habitations)
- chemin du Chasse-Marée (5 habitations)
- chemin de la Chapelle (3 habitations)
- impasse des Pâquerettes (3 habitations)
- Biennais (2016 : 98 habitations)
- rue de l'Église (6 habitations)
- rue des Mésanges (7 habitations)
- rue des Fauvettes (15 habitations)
- rue des Bergeronnettes (22 habitations)
- chemin des Colombes (2 habitations)
- rue des Rossignols (19 habitations)
- rue des Tourterelles (4 habitations)
- impasse des Sarcelles (2 habitations)
- résidence du Clos Normand (10 maisons)
- résidence des Alouettes (11 habitations)
- Lœuilly (2016 : 61 habitations)
- rue des Pommiers (24 habitations)
- rue des Charmilles (18 habitations)
- rue des Hêtres (4 habitations)
- impasse des Meurisiers (2 habitations)
- impasse des Frênes (4 habitations)
- rue des Acacias (6 habitations)
- impasse des Pins (3 maisons)
- le Pière (2016 : 35 habitations)
- chemin des Fées (15 habitations)
- rue des Charmes (20 habitations)
- le Coudray (2016 : 18 habitations)
- rue du Parc-Floral (9 habitations)
- impasse des Coudriers (5 habitations)
- rue André-et-Berthe-Noufflard (4 habitations)
- le Réel (2016 : 6 habitations)
- rue du Réel (5 habitations)
- rue de la Ferme (1 habitation)
- la Gobe (2016 : 3 habitations)
- rue des Fourches (2 habitations)
- rue de la Folie (1 habitation)
- le Menu Bosc (2016 : 2 habitations)
- la Briqueterie (2016 : 2 habitations)
Au total, l'estimation du nombre de logements en 2016 est de 289 habitations.
Commune du pays de Caux, Étaimpuis est entourée de parcelles cultivées (céréales, colza, etc.).
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 . Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 amplitude thermique annuelle de 14 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouen à 23 vol d'oiseau, est de 12,6 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 lire en ligne), p. 2
- « », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
Toponymie
Généralité
La commune s'est formée par la fusion en 1824 des trois anciennes communes de Biennais, d’Étaimpuis et de Lœuilly (ou Leuilly).
Étymologie
- Biennais est attesté sous la forme Bienais en 1084. Sa signification est obscure.
- Étaimpuis est mentionné sous la forme Estanpuiz en 1137. Selon François de Beaurepaire, il s'agit d'un composé germano-roman signifiant « le puits en pierre », le premier élément Étaim- étant issu du germanique stein « pierre » Estaimpuis en Belgique, Steenput en flamand. En réalité, c'est plus précisément une combinaison d'éléments vieux bas franciques, le second d'entre eux -puis procédant directement du vieux bas francique *putti « puits » (vieux saxon putti, moyen néerlandais putte > néerlandais put, vieux haut allemand p(f)uzza, même sens> allemand Pfütze, anglais pit), avec une désinence -s romane. Le germanique commun *putti, *puttja passe pour un emprunt au latin puteus « puits. »
- Leuilly est attesté sous la forme Lulleium en 1137 et Lulliacum au siècle. Il s'agit manifestement d'un toponyme gallo-roman suffixé en -acum « lieu de, propriété de ». Il doit remonter exactement à un *LULLIACU, formation basée sur l'anthroponyme Lullius.
- François de Beaurepaire (Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 ISBN , OCLC 6403150).
- Site du cnrtl : étymologie de "puits"
Étymologie
- Biennais est attesté sous la forme Bienais en 1084. Sa signification est obscure.
- Étaimpuis est mentionné sous la forme Estanpuiz en 1137. Selon François de Beaurepaire, il s'agit d'un composé germano-roman signifiant « le puits en pierre », le premier élément Étaim- étant issu du germanique stein « pierre » Estaimpuis en Belgique, Steenput en flamand. En réalité, c'est plus précisément une combinaison d'éléments vieux bas franciques, le second d'entre eux -puis procédant directement du vieux bas francique *putti « puits » (vieux saxon putti, moyen néerlandais putte > néerlandais put, vieux haut allemand p(f)uzza, même sens> allemand Pfütze, anglais pit), avec une désinence -s romane. Le germanique commun *putti, *puttja passe pour un emprunt au latin puteus « puits. »
- Leuilly est attesté sous la forme Lulleium en 1137 et Lulliacum au siècle. Il s'agit manifestement d'un toponyme gallo-roman suffixé en -acum « lieu de, propriété de ». Il doit remonter exactement à un *LULLIACU, formation basée sur l'anthroponyme Lullius.
- François de Beaurepaire (Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 ISBN , OCLC 6403150).
- Site du cnrtl : étymologie de "puits"
Histoire
L'église d'Étaimpuis fut donnée en 1055 par Hugues de Mortemer, ancêtre de la famille Mortimer à l'abbaye de Saint-Victor ; celle de Biennais à l'abbaye Saint-Ouen de Rouen en 1084.
Durant la Seconde Guerre mondiale, le village a subi des bombardements en juillet 1944.
- Norbert Dufour et Christian Doré (ISBN ), p. 204-205.
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Étaimpuis dans la littérature
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