Saint-Junien
Localisation
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Saint-Junien : descriptif
- Saint-Junien
Saint-Junien est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine et l'ancienne province historique du Limousin
Chef-lieu de canton, elle est bordée par la Vienne quand celle-ci, au pied des monts de Blond, sort de son parcours tortueux et du Massif central. Avec 11 382 habitants au dernier recensement de 2022, c'est la deuxième ville du département par la population, après Limoges, alors qu'elle n'est même pas sous-préfecture, ce statut ayant été attribué aux villes voisines de Rochechouart à 9 km au sud, et de Bellac à 30 km au nord-est, pourtant toutes deux peuplées de 4 000 habitants environ. Cité de tradition industrielle, la ville est célèbre pour ses papeteries, son industrie du feutre, ses mégisseries et ses ganteries
La ganterie se développe dès le Moyen Âge et acquiert au XVe siècle une grande renommée
Aujourd'hui, une centaine d'ouvriers et trois fabriques produisent annuellement près de 1 500 000 paires de gants, dont plus du quart est exporté. Saint-Junien est également connue pour ses ostensions, processions cultuelles très populaires. Saint-Junien est en outre l'une des six villes-portes du parc naturel régional Périgord-Limousin. Ses habitants sont appelés les Saint-Juniauds.
Géographie
Localisation
La commune se situe dans l'Ouest du département de la Haute-Vienne, à 30 Limoges, 33 Bellac, 27 Confolens, 72 Angoulême et 10 Rochechouart. Elle est directement limitrophe du département de la Charente.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 5 682 hectares ; l'altitude varie entre 157 et 317 mètres. La commune se trouve dans l'emprise du cratère de la météorite de Rochechouart.
Hydrographie
Elle est bordée au sud par la Vienne, dans laquelle se jette la Glane à l'ouest de la ville. Au nord, la commune est délimitée par le Goire.
Voies de communication et transports
Saint-Junien est située sur la RN 141 (Saintes-Angoulême - Limoges - Aubusson - Clermont-Ferrand). L'accès se fait par l' de Bellac-Saint-Junien.
La ville est également établie sur un axe nord-est/sud-ouest, représenté par la RD 675 (Bellac - Rochechouart - Nontron - Périgueux).
Ligne | Caractéristiques | ||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
L18 | ANGOULÊME ↔ Saint-Junien ↔ LIMOGES-BÉNÉDICTINS | ||||||||
Longueur 118,8 km |
Durée 1 h 50 |
Nb. arrêts 13 |
Soirée / Dimanche - Férié![]() ![]() |
Horaires 4 h 50 - 18 h 40 |
Réseau TER Nouvelle-Aquitaine |
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat complétée par des études régionales prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1996 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1,4 | 1,4 | 3,5 | 5,5 | 9,1 | 12,3 | 13,4 | 13,3 | 10,1 | 8,3 | 3,9 | 1,5 | 7 |
Température moyenne (°C) | 4,7 | 5,6 | 8,3 | 10,6 | 14,3 | 17,9 | 19,2 | 19,3 | 15,9 | 12,8 | 7,4 | 4,8 | 11,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 8 | 9,7 | 13,1 | 15,7 | 19,6 | 23,5 | 24,9 | 25,3 | 21,7 | 17,3 | 11 | 8,2 | 16,5 |
Record de froid (°C) date du record |
−10,5 09.01.09 |
−13,6 06.02.12 |
−11,8 01.03.05 |
−3,9 17.04.12 |
−1,1 08.05.97 |
3,5 07.06.20 |
5,4 10.07.04 |
5,2 21.08.14 |
1,1 28.09.08 |
−4,7 30.10.97 |
−9,4 24.11.98 |
−11,7 24.12.01 |
−13,6 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18,5 01.01.22 |
24,2 27.02.19 |
25,9 19.03.05 |
29,8 30.04.05 |
31,2 27.05.05 |
37,1 27.06.11 |
38,6 23.07.19 |
39,7 05.08.03 |
34,5 14.09.20 |
28,3 02.10.11 |
23,9 01.11.15 |
18,3 31.12.21 |
39,7 2003 |
Précipitations (mm) | 81,8 | 69,8 | 81,5 | 92,4 | 88,2 | 70,1 | 66,2 | 74,5 | 64 | 84,4 | 108,5 | 96,2 | 977,6 |
- ↑ Carte IGN sur Géoportail
- ↑ Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie
Histoire
Origines
Dès l’an 500, un ascète d’origine panonnienne (Hongrie actuelle), saint Amand, choisit un gîte sur la rive droite de la Vienne, non loin de son confluent avec la Glane, dans une région appelée Comodoliacum. L’évêque de Limoges Rorice comte de Cambrai, baptisé par saint Rémi de Reims, quitta sa famille à l’âge de 15 ans et devint un disciple de saint Amand. Il frappa à la porte de l’ermite, mais celui-ci ne lui répondit pas. La nuit, Junien fut épargné par la neige qui tombait. Il vécut en ermite et après la mort de son maître, vécut à l’emplacement de l’actuelle collégiale. Durant sa vie, il est dit qu'il accomplit quatre grands miracles. Il débarrassa la région d’un dragon qui dévorait bêtes et humains, en le chassant à l’aide d’une croix. Il délivra les Poitevins du feu intérieur qui les brûlait grâce à de l’eau d’une source. Il jeta le démon dans un gouffre, en faisant le signe de croix. Et Junien chassa le démon du neveu de l’évêque de Limoges, Rorice, qui en 540 devenu lui-même évêque (Rorice II) présida ses obsèques. L’évêque fit élever un oratoire à sa mémoire, puis une église desservie par des chanoines réguliers de Saint-Augustin. Saint Junien est invoqué pour la guérison des aveugles et des paralytiques.
Moyen Âge
En 593, Grégoire de Tours est frappé par l’importance du pèlerinage sur le tombeau du saint. Une telle affluence provoque rapidement la naissance d’une agglomération autour de l’abbaye construite en l’honneur du saint. Mais le monastère est détruit par les Normands en 866. Après une tentative de restauration autour de l'an 900, l’abbaye vivote jusqu’à sa sécularisation par Sylvestre II en l’an 1000. Les chanoines ne résidant plus dans l’abbaye, ils contribuent à la renaissance de la ville par la construction de leurs habitations. Un prévôt, saint Israël, entreprend de rebâtir l’église, et ses successeurs poursuivent son œuvre jusqu’à sa consécration en 1100. À la fin du XIIIe siècle, à la suite de troubles et d’incursions armées, la cité est entourée de hautes murailles percées de quatre portes principales.
Au Étienne Maleu rédige une chronique latine qui retrace l'histoire de Saint-Junien depuis la fondations de l'abbaye,,,.
Au prison, salle de justice) et le cimetière. En 1577, pendant les guerres de religion, Léonard de Mascureau, un huguenot, est gouverneur de la ville.
Les Hospitaliers
Les Hospitaliers de la commanderie de Limoges (Le Palais-sur-Vienne) et du grand prieuré d'Auvergne étaient implantés à Saint-Junien. En 1602, on mentionne un commandeur de Limoges et de Saint-Junien et les archives départementales conservent plusieurs terriers établis au cours du . Ce membre était appelé « Le Temple de Saint-Junien », ce qui laisse supposer une origine templière.
Révolution française
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795, sous le nom de Junien-la-Montagne.
Seconde Guerre mondiale
Par décret du , les municipalités communistes sont suspendues, après la signature du pacte de non agression Pacte germano-soviétique signé par Viatcheslav Molotov pour Staline et Joachim von Ribbentrop pour Adolf Hitler. Joseph Lasvergnas, maire communiste depuis 1919, doit quitter son poste le . Le préfet nomme alors une délégation spéciale habilitée à prendre les mêmes décisions qu'un conseil municipal. Son directeur est Emile Gibouin (1871-1952), chevalier de la légion d'honneur, de droite, directeur des papeteries du Limousin et ancien maire de Saint-Martin-de-Jussac. Joseph Lasvergnas l'avait proposé au préfet, car le moins marqué politiquement et le plus compétent.
Le , la délégation spéciale qui administre la ville décide de changer le nom des rues et places à connotation marxiste. Ainsi, la place Lénine devient la place Sergent Maginot, l'avenue Rosa-Luxembourg devient l'avenue Foch, la rue Karl Marx devient la rue Clemenceau. Deux autres rues subissent le même sort en : l'avenue Henri Barbusse (écrivain communiste) devient avenue Edouard Branly et l'avenue Vaillant-Couturier (un des fondateurs du parti communiste français) reprend le nom de avenue Thiers.
voit l'arrivée en Haute-Vienne de réfugiés de Schiltigheim (Bas Rhin) évacuée car trop proche d'un éventuel front de combat. À Saint Junien, les Alsaciens sont logés soit dans des cantonnements dans le quartier du Châtelard, soit dans des logements de particuliers. Une mairie provisoire de Schiltigheim ouvre au 8-10 place de la République.
Après leur retour en Alsace (annexée au Troisième Reich) pendant l'été 1940, ils seront remplacés par des réfugiés lorrains de Fonteny (Moselle),.
Le , la ville subit un raid aérien (12 bombes larguées faisant 2 blessés). À la signature de l'armistice du , Saint-Junien se retrouve en zone libre. La campagne de 1940 a tué 17 Saint-Juniauds. 477 sont prisonniers de guerre. En , Martial Pascaud forme un des premiers réseaux de résistance.
Le , l'avenue Jean Jaurès est rebaptisée avenue Pétain, par arrêté préfectoral. Vichy nomme Emile Gibouin maire le . Puis un arrêté préfectoral nomme les membres du nouveau conseil municipal, qui se réunira pour la première fois le .
Le Maréchal Pétain se voit remettre, par une délégation d'industriels gantiers, 240 paires de gants de peau pour lui-même et sa garde personnelle (). Puis, accompagné de l'Amiral Darlan, il visite la cité gantière le , à l'occasion de son voyage en Limousin. Martial Pascaud, communiste, est alors emprisonné par la gendarmerie de St Junien pendant trois jours.
En , les habitants juifs de Saint-Junien doivent se faire recenser auprès de la Mairie.
Après le débarquement allié en Afrique du Nord (Opération Torch), les Allemands occupent la zone libre (). La résistance s'intensifie. Par des plaques commémoratives sur les maisons, le village de Glane (surnommé le « petit Moscou » en raison de sa forte population ouvrière marxisée) honore les résistants qu'il a abrités et qui sont morts pour la France. Pendant l'été 1943, des botteleuses des campagnes de St Junien, Rochechouart, Saulgond, Etagnac et Blond sont mises hors d'usage, pour éviter l'envoi du fourrage en Allemagne. Le , les résistants fleurissent le monument aux morts.
En 1944, les actions de la résistance se multiplient. Des accrochages ont lieu entre des SS et les résistants le . Dans la nuit du 7 au , les résistants tentent de faire sauter le viaduc ferroviaire sur la Vienne. Devant leur échec, ils déboulonnent les rails, et y font dérailler une locomotive et quelques wagons et la ligne Angoulême-Limoges est interrompue. Dans la matinée du , des maquisards investissent la ville (sans garnison allemande), la mairie de Saint-Junien et le siège de la Légion des Combattants. Le soir à 19 h, le train en provenance d'Angoulême s'arrête avant le viaduc encombré et les passagers en descendent pour cheminer à pied sur l'ouvrage d'art et prendre un autre train de l'autre côté, pour poursuivre le voyage jusqu'à Limoges. Parmi eux, dix soldats allemands en armes. L'un d'eux est abattu par les maquisards. Informée de l'incident, la Kommandantur de Limoges dépêche un train chargé de soldats de la Wehrmacht et d'agents de la Gestapo de Limoges qui était commander par August Meier (avec l’Obersturmführer de la Gestapo, Wickers). Ce train arrive à 23 h 15 et les Allemands exigent du maire les plans de la ville. Le lendemain matin, la Gestapo interroge le maire pour obtenir des noms de résistants et de communistes, en vain. Ce même , des ouvriers sont réquisitionnés pour ériger des barricades et tranchées sur la place de la gare. À 14 h, la ville passe sous le contrôle direct de la Wehrmacht. Un couvre feu est instauré, les cinémas sont fermés et il est interdit de quitter la ville sans autorisation. Au cours de l'après-midi, des éléments de la division SS Das Reich (premier bataillon du régiment Der Führer, sous le commandement du major Adolf Diekmann) qui a pour chef Heinz Lammerding, remplacent la Gestapo. Dieckmann établit son QG à l'hôtel de la gare cest la que fut décidé et régler la destruction d'Oradour-sur-Glane dans la salle du rez-de-chaussée au cours d'une conversation avec des hommes de la Gestapo de la Milice française de Limoges dirigé par Jean de Vaugelas et Jean Filiol apprenant la disparition de l'officier Helmut Kämpfe. Quelques escarmouches avec les maquisards ont lieu pendant la nuit. Le samedi , à 13 h, une partie de la troupe SS quitte Saint-Junien pour rejoindre Nieul, en passant par Oradour-sur-Glane, où elle massacre les 643 habitants dans l'après-midi. La sinistre troupe poursuit sur Nieul, lieu de rassemblement de la division, pour faire route ensuite vers le front de Normandie le 12 juin pour le Débarquement de Normandie ou les Alliés de la Seconde Guerre mondiale on débarquer.
L'arrière garde SS quitte Saint-Junien le dimanche après-midi. La Wehrmacht se maintient dans la ville.
Le , les résistants du maquis de Pressac, commandés par le colonel Bernard (Bernard Le Lay, typographe au journal L'Humanité), entrent dans la ville. Bernard proclame la libération de St junien par un discours devant la Mairie. L'Abeille de St Junien, journal hebdomadaire, est réquisitionné par les forces françaises de l'intérieur, puis devient l'organe du Comité local de Libération. Il prend le nom de Délivrance le . Le , après les combats de Blond, les Allemands avancent en direction de Saint-Junien. Les résistants Francs tireurs partisans du colonel Bernard, alertés par les habitants, contre-attaquent et les Allemands se replient. Le conseil municipal d'Émile Gibouin est remplacé par le comité de Libération de Saint-Junien le , ce dernier faisant office de délégation municipale. Le commissaire de la République, le préfet de la Haute-Vienne et le sous-préfet de Rochechouart, lors d'une grande cérémonie le , installent le nouveau conseil municipal provisoire, dirigé par le Maire Martial Pascaud, résistant. À partir de , une centaine de prisonniers russes, libérés des camps de concentration, sont abrités au Chatelard. Mi voit le début du retour des prisonniers de guerre, déportés politiques (dont l'abbé Jean Varnoux) et déportés du travail. Aux élections municipales d', la liste d'union patriotique républicaine antifasciste, menée par Martial Pascaud, obtient tous les sièges face à la liste du parti socialiste SFIO. Martial Pascaud est élu Maire le .
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- ↑ Jean-Loup Lemaitre, « Note sur le texte de la chronique d'Etienne Maleu chanoine de Saint-Junien », Revue Mabillon, lire en ligne).
- ↑ Amélie Erbault, « Le chanoine Étienne Maleu, historien de Saint-Junien (1282–1322) », Le Moyen Âge, ISSN 0027-2841, DOI 10.3917/rma.202.0419, lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Pauline Bouchaud, Le chanoine limousin Étienne Maleu († 1322), historien de son église (thèse de doctorat préparée à l'Ecole pratique des hautes études sous la direction de Dominique Barthélemy), , 893 lire en ligne).
- ↑ Marie-Claire Pontier, Archives départementales de la Haute-Vienne : Fonds des commanderies de l'ordre de Malte (1195-1791) - Inventaire analytique, Limoges, (lire en ligne), p. 27-28Le commandeur de Limoges en 1602 était frère Pierre Louys Chantelot de La Chèze que l'on retrouve plus tard comme commandeur de Laumusse (1626), cf. Giacomo Bosio, Histoire des chevaliers de l'ordre de S. Jean de Hierusalem, 1659, p. 130 et Samuel Guichenon, Histoire de Bresse et de Bugey, 1650, p. 85..
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Héraldique
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Les armoiries de Saint-Junien se blasonnent ainsi : |
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