Navarrenx
Localisation
Navarrenx : descriptif
- Navarrenx
Navarrenx (prononcer [navaʁɛ̃ks] ; en béarnais Navarrencs ou Nabarréncs) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques (Béarn), en région Nouvelle-Aquitaine. Le gentilé est Navarrais. En 2014, la commune a été admise à rejoindre l’association Les Plus Beaux Villages de France.
Géographie
Localisation
La commune de Navarrenx se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.
Elle se situe à 41 de Pau, préfecture du département, à 22 , sous-préfecture, et à 15 Mourenx, bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Navarrenx.
Les communes les plus proches sont : Susmiou (1,5 Jasses (1,6 Méritein (1,6 Sus (1,8 Castetnau-Camblong (1,9 Bastanès (3,0 Dognen (3,6 Gurs (3,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Navarrenx fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Castetnau-Camblong, Jasses, Méritein, Ogenne-Camptort, Sus, Susmiou et Vielleségure.
Hydrographie
La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Saleys, le Laüs, l'Arroder, le Geronis, le Lucq, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10 ,.
Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes.
Le Saleys, d'une longueur totale de 48,7 Ogenne-Camptort et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Carresse-Cassaber, après avoir traversé 13 communes.
Le Laüs, d'une longueur totale de 10,6 Lucq-de-Béarn et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron sur le territoire communal, après avoir traversé 6 communes.
Navarrenx est un centre de pêche au saumon avec le pool Masseys et sa passe à poisson. La fête du saumon est organisée chaque année[réf. nécessaire].
Climat
Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 amplitude thermique annuelle de 13,8 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Monein à 15 vol d'oiseau, est de 14,2 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche », d'une superficie de 2 547 saumon et écrevisse à pattes blanches,.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2 sont recensées sur la commune, :
- le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » (3 000,84 Landes, 59 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées ;
- le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques.
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Toponymie
Attestations anciennes
Navarrenx, /nabarēŋs/. Le suffixe -enx provient d'une confusion entre le suffixe -enc et le latin -ens lequel évolue normalement en -és /-ais,. Le toponyme est documenté sous les formes Navarrensis ( (Pierre de Marca), Navarrencxs (1235, réformation de Béarn), Navarencae (1286, Pierre de Marca), Navarrencs (1290, titres de Béarn), lo molii de Navarrencx, Sent-Germer de Navarrencx et l'espitau de Sent-Antoni de Navarrencx (respectivement 1385, 1387 et 1391, notaires de Navarrenx), Nabarrencxs (1477, contrats d'Ohix) et Navarrenx-Bérérenx à la suite de la réunion des deux communes en 1828.
Étymologie
Il y a évidemment parenté entre le radical basque de la Navarre et de Navarrenx (idem pour le village voisin de Nabas : Navars), mais les philologues basques hésitent entre plusieurs étymologies.
Par contre, le seul lien historique entre les deux, contrairement aux dizaines de villages d'Espagne qui sont des peuplements de Navarrais hors du territoire de la Navarre (Navarrete, Navarretes, Navarro, Naharros, Narros, Narillos, Navarres…) vient du fait que c'est le roi de Navarre Henri d'Albret (né à Sangüesa) qui fit édifier les fortifications.
Autres toponymes
Le toponyme Bérérenx est mentionné au (Pierre de Marca) et apparaît sous les formes Berarensis (vers 1100, cartulaire de Lucq), Berarengn (, cartulaire de Lucq), Bererencx (1385, notaires de Navarrenx), Bererenxs et Berrerenxs (respectivement 1538 et 1546, réformation de Béarn), Sent Joan de Bererens (1612, insinuations du diocèse d'Oloron), Bererenz (1793 ou an II) et Berereux (1801, Bulletin des Lois).
Bererenx vient de l'anthroponyme gascon Berard avec le suffixe -enh, modifié ultérieurement.
Graphie béarnaise
Son nom béarnais est Navarrencs ou Nabarréncs. À comparer avec le nom donné, de temps immémoriaux, par les basques Souletins voisins Nabarrenkoxe, mais aujourd'hui, sur les panneaux routiers bilingues il est inscrit en basque unifié Nabarrengose.
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie gasconne, Sud-Ouest Université, 1992.
- Jacques Allières, La Formation de la langue française, coll. Que sais-je ?, 1982.
- , Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 BNF 31182570, lire en ligne)..
- D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
- Extrait des registres de Bordeaux, publiés dans l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
- Titres de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Cartulaire de Lucq-de-Béarn
- Insinuations du diocèse d'Oloron. Manuscrits du XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
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- (Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 ISBN , BNF 35515059), p. 237..
- Ostau Bearnes, « »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF] (consulté le ).
- Institut béarnais et gascon, « » [PDF] (consulté le ).
Étymologie
Il y a évidemment parenté entre le radical basque de la Navarre et de Navarrenx (idem pour le village voisin de Nabas : Navars), mais les philologues basques hésitent entre plusieurs étymologies.
Par contre, le seul lien historique entre les deux, contrairement aux dizaines de villages d'Espagne qui sont des peuplements de Navarrais hors du territoire de la Navarre (Navarrete, Navarretes, Navarro, Naharros, Narros, Narillos, Navarres…) vient du fait que c'est le roi de Navarre Henri d'Albret (né à Sangüesa) qui fit édifier les fortifications.
Histoire
Vers 1078 une charte fait pour la première fois mention écrite du nom de la commune. Navarrenx (Navarrensis et non sponda Navarrensis) y est citée cinq fois. Il s'agit d'un accord perpétuel entre Centulle V de Béarn dit le jeune, vicomte de Béarn et d'Oloron, comte de Bigorre et son vassal Raimond-Guillaume Ier dit Salamace vicomte de Soule. Celui-ci se présentera à Navarrenx pour réparer les torts faits aux Béarnais par les Souletins. Il pourra en faire raison et justice soit par serment, soit en payant une amende, soit par ordalie. Dans ce cas le texte dit que le duel se fera, non pas sur la rive du gave du côté de la Soule, mais en la rive du côté de Navarrenx (Quod bellun fiet non in ripa Soulensi, sed in sponda Navarrensi). L'endroit est encore connu de nos jours sous le nom de camp batalhè.
Ce fut, dès l'origine, une ville frontière. En 1188 un pont en pierre est construit et un marché instauré. Soit notoire à tous que Gave et le ruisseau qui passe au château et terminé d'un côté par le village et de l'autre par le chemin de Navarre qui passe par Meritein où la croix sert de borne.
La grande arche du pont sur le gave d'Oloron remonte au Orthez ou à celui de Sauveterre-de-Béarn, un octroi y était perçu.
Sur la hauteur à l'ouest, au confluent du gave et du Larroder, se trouvait le château vicomtal «la Casterasse » (forteresse). En 1286, dans son testament, Gaston VII Moncade vicomte de béarn stipule, en accord avec les vieux fors, que ce château ne peut être ni aliéné ni hypothéqué.
En 1316, ayant obtenu le for de Morlaàs, elle dotée par la vicomtesse Marguerite Mathilde, d'une charte de Bastide, dont la place centrale et les rues à angle droit de Navarrenx gardent le souvenir.
Le bailliage de Navarrenx englobait en 1343 les communes d'Araujuzon, Audaux, Dognen, Gurs, Méritein, Sus, Laàs, Ossenx et le hameau de Geup (Castetbon).
En 1385, Navarrenx comptait 85 feux et Bérérenx 10. Il y avait à Bérérenx une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
En 1388, Gaston Fébus, comte de Foix, vicomte de Béarn fait emprisonner les jurats de Navarrenx jusqu'à ce que les habitants acceptent de contribuer aux réparations de son moulin sur le gave.
Entre 1412 et 1415, de nouvelles réparations furent effectuées par les cagots de l'arribère, sous la direction de Berduquet de Caresuran, architecte de valeur..
Le 24 juillet 1507, la ville prête foi et hommage à Catherine de Navarre pour le moulin fondat en lo fluby deu gabe.
Par privilège ce fort beau moulin appartiendra plus tard à la communauté de Navarrenx, dont les archives mettent en évidence le grand nombre de réparations effectuées. Lors de la suppression des droits féodaux l'État le séquestra pour le revendre en 1813 par adjudication publique.
En 1523, les Castillans conduits par Philibert de Chalon, Prince d'Orange, s'emparent de la ville et détruisent ses défenses.
Elles furent dotées d'un nouveau système de fortifications bastionnées dès 1538 à 1549 : Henri d'Albret et Marguerite d'Angoulême, rois de Navarre, par l'architecte italien Fabricio Siciliano, avec 1,66 km de remparts hauts de 10 mètres, aux murs calfeutrés de terre et percés de portes fortifiées, quatre bastions sur le modèle de la citadelle de Lucques, en Toscane, redans, demi-lune, échauguettes, galeries souterraines de contre-mines,. Un magasin à poudre et une fontaine militaire (1700 l/h en été) complètent ce système défensif ainsi qu'un arsenal construit ultérieurement (1680).
En 1569, elle devait prouver son efficacité en permettant aux huguenots béarnais de résister aux troupes françaises de Terride (Antoine de Lomagne), de mars à juillet, jusqu'à l'arrivée des secours de Gabriel de Montgommery. Les églises béarnaises et bigourdanes qui se trouvèrent sur le passage du régicide involontaire du roi Henri II subirent un vandalisme irréparable.
L'année 1620 voit la visite de Louis XIII venu imposer l'union du Béarn et de la Navarre à la France. La ville n'offre pas de résistance aux troupes royales, Il n'en coûta pas au roi la mèche d'un canon. Le souverain rétablit le culte catholique à Navarrenx en assistant à une messe chantée par l'évêque Arnaud IV de Maytie dans l'église même où sa grand-mère Jeanne d'Albret, reine de Navarre et souveraine de Béarn, avait publiquement fait profession d'attachement au calvinisme le jour de Pâques 1563. Pour conserver la mémoire de cet événement, il fit placer au-dessus du portail de l'église une couronne de lauriers avec l'écusson de France. Le jeune roi profita de son passage dans la cité pour récupérer ce qui restait du trésor des rois de Navarre. À cette date, la ville cesse d'être "place de sûreté" pour les Huguenots.
À la Révolution française, Navarrenx fut choisie comme premier chef-lieu du département des Basses-Pyrénées (4 mars 1790), avant que la ville de Pau ne lui succède, le 14 octobre 1790.
Le 23 juillet 1791, se crée à la hâte la « Société des Amis de la Constitution » dont les délibérations ne manquent pas de piquant comme en témoigne le cahier encore consultable à ce jour. Si à Paris la guillotine faisait son œuvre, à Navarrenx on faisait des palabres et les bonnes intentions ne manquaient pas : « ceux de Navarrenx, aux Pyrénées, perdus dans les montagnes, avec si peu de ressources, n'ayant pas la communauté du langage, bégayant le français du Nord, offrent à la patrie leur cœur, leur impuissance même » (Jules Michelet). A la lecture du cahier on ne peut manquer de remarquer que lors de la Terreur dans les premiers mois de 1794 les absences se multiplient aux réunions de la Société, malgré les menaces de sanctions.
En 1814, sous le commandement du colonel Joseph-Hypolite Regnault (futur maire de la ville de 1860 à 1866), la garnison (460 hommes et 54 bouches à feu) résista au blocus de la division du général Pablo Morillo, malgré ses appels à la reddition : « Ouvrez les yeux, soldats de la garnison de Navarrenx. Laissez cette malheureuse place à ceux qui repoussent le bonheur. Venez à nous nous vous recevrons ». La division de Pablo Morillo faisait partie des troupes hispano-anglaises de Wellington auxquelles le maréchal Soult donnait du fil à retordre dans une retraite remarquable de Bayonne à Toulouse en passant par Orthez.
En 1828, la commune de Bérérenx est unie à Navarrenx.
Sous la porte fortifiée, une plaque rappelle le passage, en 1828, d'amoureux illustres : le pianiste Franz Liszt et son élève paloise, Caroline de Saint-Cricq, qu'il dut quitter car le comte de Saint-Cricq, financier du royaume, avait pour sa fille d'autres ambitions. Il est cependant beaucoup plus probable que ce passage ait eu lieu en 1844. En effet, l'emploi du temps de Franz Liszt est connu de janvier à juillet 1828, date de la rupture avec Caroline de Saint-Criq. Cet emploi du temps ne mentionne aucun voyage. La manière pour un jeune homme de 16 ans, sans moyen, et pour une jeune fille de 17 ans sévèrement surveillée de quitter Paris pour venir se promener à Navarrenx est douteuse. À cette époque, un tel périple durait 15 à 20 jours minimum aller-retour. En revanche, Liszt a séjourné du 7 au 21 octobre 1844 à Pau, où il a rencontré à cette occasion Caroline de Saint-Criq, épouse de Bertrand Dartigaux depuis 1831. C'est donc très certainement dans ces jours-là que se situe la fameuse visite aux remparts de Navarrenx.
À la demande unanime des habitants, la place est déclassée définitivement en 1871 et perd sa garnison. Navarrenx est restée place de guerre de 1546 jusqu'à la fin du XIXe siècle.
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- Dr H.-M. Fay, Dr H.-Marcel, Histoire de la lèpre en France. I. Lépreux et cagots du Sud-Ouest, notes historiques, médicales, philologiques, suivies de documents, Paris, H. Champion, (ark:/12148/bpt6k57243705), sur Gallica.
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- Gérard Folio, « La citadelle et la place de Saint-Jean-Pied-de-Port, de la Renaissance à l’époque contemporaine », Cahier du Centre d’études d’histoire de la défense, ISBN ), En ligne [1], consulté le 3 mars 2007
- A Navarrenx les Pierres ont une histoire - Edition: Cercle Historique de l'Arribère - Navarrenx, en ligne: www.bearndesgaves.fr/char
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Héraldique
Blasonnement :
D’azur à la fleur de lis d’or surmonté d’un lambel à trois pendant de gueules.
Commentaires : il existe un blason plus ancien (armorial du Père Pierre de la Planche de 1669) : D'argent à la vache de gueules acornée, accolée et clarinée d'azur allaitant un veau de même, bordure engrêlée de sinople. Les couleurs de la ville et des clubs sportifs vert (sinople) et blanc (argent) viennent de ce premier blason.
La ville fortifiée de Navarrenx n'est pas blasonnée dans l'Armorial Général de France de Charles d'Hozier (1696). La devise est : « Si you ti bau » (Si moi j'y vais). C'était le nom du plus gros canon de la cité fortifiée. « Si moi j'y vais » est un défi lancé par ce canon envers les ennemis. |
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Navarrenx dans la littérature
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