Espelette

Localisation

Carte du monde

Espelette : descriptif

Informations de Wikipedia
Espelette

Espelette (prononcer [ɛspəlɛt] ; Ezpeleta en langue basque) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine. Le gentilé est Ezpeletar.

Géographie

Localisation

Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Espelette se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine et est frontalière avec l'Espagne (Communauté forale de Navarre).

Sur le plan historique et culturel, Espelette fait partie de la province du Labourd, un des sept territoires composant le Pays basque,. Le Labourd est traversé par la vallée alluviale de la Nive et rassemble les plus beaux villages du Pays basque. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones,. La commune est dans la zone Lapurdi Garaia (Haut-Labourd), au sud de ce territoire.

Elle se situe à 122,4  de Pau, préfecture du département, à 22,0 , sous-préfecture, et à 6,2 Cambo-les-Bains, bureau centralisateur du canton de Baïgura et Mondarrain dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Cambo-les-Bains.

Les communes les plus proches sont : Souraïde (2,2 Larressore (3,4 Itxassou (3,6 Cambo-les-Bains (4,2 Halsou (4,3 Jatxou (5,5 Ainhoa (5,6 Ustaritz (6,6 km).

Communes limitrophes

La commune est frontalière avec l'Espagne (Navarre) au sud par un quadripoint. Les communes limitrophes sont Ainhoa, Itxassou, Larressore, Souraïde, Ustaritz et Baztan.

Communes limitrophes d’Espelette,
Ustaritz Larressore
Souraïde Espelette Itxassou
Ainhoa Baztan (Espagne)
(par un quadripoint)

Géologie et relief

Hydrographie

Réseaux hydrographique et routier d'Espelette.

Située dans le bassin versant de l'Adour, la commune est traversée par le ruisseau Latsa (ainsi que son affluent, le ruisseau de Zubizabaleta et le tributaire de ce dernier, le ruisseau de Mandopixa) et le ruisseau d' Urotxe (affluents de la Nive).

Un affluent du ruisseau d' Antzara, l'Urloko erreka, traverse également la commune.

Le ruisseau de Larre, tributaire de la Nivelle est également présent sur les terres de la commune, ainsi que ses affluents, les ruisseaux de Farrendegi et d' Erdi.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 13,9 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
  • Amplitude thermique annuelle : 12,3 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 627 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat complétée par des études régionales prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1974 à 2020 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records ESPELETTE (64) - 43° 20′ 42″ N, 1° 26′ 00″ O
Records établis sur la période du 01-01-1974 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 4,5 4,6 6,3 7,8 11 14,1 16,1 16,3 13,8 11,4 7,3 5,2 9,9
Température moyenne (°C) 8,3 8,9 11,1 12,6 15,9 18,7 20,7 21 18,9 15,9 11,2 8,9 14,4
Température maximale moyenne (°C) 12,2 13,2 15,9 17,3 20,8 23,4 25,3 25,7 23,9 20,3 15,2 12,7 18,9
Record de froid (°C)
date du record
−13,7
09.01.1985
−9
12.02.12
−8,5
01.03.05
−1,4
04.04.1996
1
05.05.19
5,5
01.06.06
8,5
04.07.1980
7,2
30.08.1986
3,2
21.09.1977
−1,3
16.10.09
−7,7
23.11.1988
−8
25.12.01
−13,7
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
23,5
24.01.16
28
27.02.19
31
21.03.1990
32,5
30.04.05
36,5
30.05.1996
40
30.06.15
41
30.07.20
41,5
04.08.03
39
07.09.16
33
04.10.04
28,5
08.11.15
26
03.12.1985
41,5
2003
Précipitations (mm) 155,5 135,1 134,2 160,5 135,8 103,3 85,1 111,7 131,9 155,7 194,8 168,7 1 672,3
Source : «  » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats », :

  • le « massif du Mondarrain et de l'Artzamendi », d'une superficie de 5 792  ;
  • « la Nive », d'une superficie de 9 473 poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen ;
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1 est recensée sur la commune, : le « massif du Mondarrain et vallon du Laxia » (1 481,03  et deux ZNIEFF de type 2,, :

  • les « montagnes et vallées des Aldudes, massifs du Mondarrain et de l'Artzamendi » (23 074,84  ;
  • le « réseau hydrographique et basse vallée de la Nivelle » (763,72 .
Autres milieux naturels
Plaque du WWF inaugurée par le cardinal Roger Etchegaray.

Les tourbières du Mondarrain sont un site naturel remarquable géré par le conservatoire d'espaces naturels d'Aquitaine depuis 1996, en partenariat avec les communes d'Itxassou et d'Espelette. Ces milieux humides sont d'une grande richesse écologique. Le massif du Mondarrain et de l'Artzamendi est inscrit au réseau Natura 2000. Il a fait l'objet d'un document d'objectifs rédigé par le CEN Aquitaine en partenariat avec l'EHLG (Euskal Herriko Laborantza Ganbara) et validé en avril 2013.

  1. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées meta-insee
  2. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN ), p. 22.
  3. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN ), p. 25.
  4. «  », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  5. Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  6. Lapurdi Garaia (-a) (Lapurdi) : toponymes sur le site de l'Académie de la langue basque.
  7. Stephan Georg, «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. Stephan Georg, «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. Stephan Georg, «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. «  », sur villorama.com (consulté le ).
  11. Carte IGN sous Géoportail
  12.  », sur sig.mapama.es (consulté le ).
  13. Notice du Sandre sur Espelette
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  15. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  17. «  », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  18.  », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  19. «  » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  21. «  », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. a et b «  », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  27. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  28. Site du CEN d'Aquitaine


Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « Note », mais aucune balise <references group="Note"/> correspondante n’a été trouvée
Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « Carte », mais aucune balise <references group="Carte"/> correspondante n’a été trouvée

Toponymie

Attestations anciennes

Le toponyme Espelette apparaît sous les formes Spelette et Espelete (respectivement 1233 et 1256, cartulaire de Bayonne), Ezpeleta (1384, collection Duchesne volume CX), Ispelette (1465, chapitre de Bayonne), Espelette (1650, carte du Gouvernement Général de Guienne et Guascogne et Pays circonvoisins), Sanctus Stephanus d'Espelette (1764, collations du diocèse de Bayonne) et Ezpeleta au XIXe siècle.

Le nom même de la feuille d'Espelette vient du basque ezpel, « buis », plus le suffixe collectif d'origine latine -eta : il s'agit donc d'un « endroit planté de buis », autrement dit une buxaie, ou buissaie.

Graphie basque

Son nom basque actuel est Ezpeleta.

  1. , Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 BNF 31182570, lire en ligne)..
  2. Cartulaire de Bayonne ou Livre d'Or - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  3. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
  4. Chapitre de Bayonne - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  5. Manuscrits du XVIIe et du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  6. Pierre Lhande, Dictionnaire basque-français, 1926
  7. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées euskaltzaindia.net

Histoire

Paul Raymond note que la baronnie d'Espelette dépendait du royaume de Navarre.

En 1059, Aznar, seigneur de Ezpeleta, était l'un des douze ricombres de Navarre. Plus tard les seigneurs suivants balancent entre le roi de Navarre et le roi d'Angleterre, seigneur de Labourd depuis 1193. En 1408, Bertrand de Ezpeleta reçoit du roi de Navarre Charles III la vicomté d'Erro. Une fois les Anglais chassés du Labourd, le roi de France Louis XI érige la seigneurie d'Espelette en baronnie (1462). La dernière baronne, Juliana, lègue tous ses biens à la paroisse en mourant (1694).

En 1790, le canton d'Espelette comprenait les communes d'Espelette, Larressore et Souraïde et dépendait du district d'Ustaritz.

En 1794, au plus fort de la Terreur, et à la suite de la désertion de quarante sept jeunes gens d'Itxassou, le Comité de salut public (arrêté du 13 ventôse an II - 3 mars 1794) fit arrêter et déporter une partie des habitants, plus de 4 000 hommes, femmes et enfants d'Ainhoa, Ascain, Espelette, Itxassou, Sare et Souraïde, décrétées, comme les autres communes proches de la frontière avec la Navarre (Espagne), « communes infâmes ». Cette mesure fut étendue à Biriatou, Cambo, Larressore, Louhossoa, Mendionde et Macaye.

Les habitants furent « réunis dans diverses maisons nationales, soit dans le district d'Ustaritz, soit dans celles de la Grande Redoute, comme de Jean-Jacques Rousseau ». En réalité, ils furent regroupés dans les églises, puis déportés dans des conditions très précaires à Bayonne, Capbreton, Saint-Vincent-de-Tyrosse et à Ondres. Les départements où furent internés les habitants des communes citées furent le Lot, le Lot-et-Garonne, le Gers, les Landes, les Basses-Pyrénées (partie béarnaise) et les Hautes-Pyrénées.

1600 au moins seront morts des suites de mauvais traitements. Le retour des survivants et le recouvrement de leurs biens furent décidés par une série d'arrêtés pris le 29 septembre et le . La récupération des biens ne se fit pas sans difficulté, ceux-ci avaient été mis sous séquestre mais n'avaient pas été enregistrés et avaient été livrés au pillage : « Les biens, meubles et immeubles des habitants de Sare, n'ont été ni constatés ni légalement décrits ; tous nos meubles et effets mobiliers ont été enlevés et portés confusément dans les communes voisines. Au lieu de les déposer dans des lieux sûrs, on en a vendu une partie aux enchères, et une autre partie sans enchères. »

Liste des Ezpeletars déportés dans le camp de la commune de Capbreton
Martin Subiburu

Sabin Benac

Pierre Harguin

Raymond Behola

Jean Segura, père

Jean Segura, fils

Saubat Halty

Jean Halty, frère

Martin Halty

Jean Dione

Salvat Dione

Martin Dibarbehere

Jean Gorritz, chirurgien

Pierre Segure

Jean Gorostarsou

Jean Salabery

Raymond Hiriart

Jean Berindoague

Martin Gastambielle

Jean d'Amstoy, père

Dominique d'Amestoy, fils

Pierre Bergara, père

Jean Bergara, fils

Jean Bidart, père

Dominique Bidart, fils

Jean Haran

32

37

53

56

54

16

30

17

27

60

66

48

74

60

40

41

32

30

58

55

15

67

43

66

38

60

  1. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Raymond
  2. Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1975, , 366 ISBN ), page 187.
  3. Archives nationales, AF II 133/1014, citées par , Histoire générale du Pays basque IV : Révolution de 1789, Elkarlanean, , 432 ISBN  et , OCLC 492295167), p. 300.
  4. Le maire et l'officier municipal de Capbreton demandèrent des consignes aux Représentants du peuple par un courrier (texte transcrit par P. Haristoy, Les Paroisses du Pays basque pendant la période révolutionnaire, Pau, Vignancour, 1895-1901, pages 256-257) du 24 ventôse an II (14 mars 1794) pour les 229 détenus sous leur responsabilité :

    « 1°) Combien de pain à donner à chaque homme (nous n'avons pas de pain, si ce n'est de la méture) ?
    2°) Pouvons-nous consentir à ce qu'ils s'achètent du vin ou autres provisions ?
    3°) Nous t'observons que nous n'avons point de viande ;
    4°) Pouvons-nous leur permettre d'avoir de la lumière, la nuit, dans un fanal ?
    5°) Pouvons-nous permettre qu'ils aient leurs matelas ou paillasses ? Nous leur avons fait porter de la paille pour coucher ;
    6°) Pouvons-nous permettre qu'ils sortent deux à deux pour laver leur linge ?
    7°) S'il y a des malades, sommes-nous autorisés à les faire sortir de la maison de réclusion pour les traduire dans d'autres pour les faire traiter ? »

  5. Archives nationales, F11/394, 18 vendémiaire an III (9 octobre 1794), citées par , Histoire générale du Pays basque IV : Révolution de 1789, Elkarlanean, , 432 ISBN  et , OCLC 492295167), p. 309.
  6. Bulletin de la Société des sciences, lettres et arts de Bayonne, année 1935, pages 67 à 70, et Les paroisses du Pays basque, page 263, Gure Herria, années 1930-1932 - Sources citées par , Histoire générale du Pays basque IV : Révolution de 1789, Elkarlanean, , 432 ISBN  et , OCLC 492295167), p. 310

Héraldique

Blasonnement :
D’argent au lion de gueules.

Ces informations proviennent du site Wikipedia. Elles sont affichées à titre indicatif en attendant un contenu plus approprié.

Espelette dans la littérature

Découvrez les informations sur Espelette dans la bande dessinée ou les livres, ou encore dans la ligne du temps.

4394 autres localités pour la Nouvelle-Aquitaine

Vous pouvez consulter la liste des 4394 autres localités pour la Nouvelle-Aquitaine sur cette page : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-naq/villes.html.

Version en cache

03/01/2025 04:08:23 Cette version de la page est en cache (à la date du 03/01/2025 04:08:23) afin d'accélérer le traitement. Vous pouvez activer le mode utilisateur dans le menu en haut pour afficher la dernère version de la page.

Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 23/12/2024
Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-naq/38314.html

L'infobrol est un site personnel dont le contenu n'engage que moi. Le texte est mis à disposition sous licence CreativeCommons(BY-NC-SA). Plus d'info sur les conditions d'utilisation et sur l'auteur.