Eaux-Bonnes
Localisation
Eaux-Bonnes : descriptif
- Eaux-Bonnes
Eaux-Bonnes (en béarnais Aigas-Bonas ou Aygue-Boune) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine. Le gentilé est Eaux-Bonnais.
Géographie
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Carte OpenStreetMap.
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Carte topographique.
Localisation
Située en vallée d'Ossau, la commune est limitrophe du département des Hautes-Pyrénées.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Béost, Laruns et Arrens-Marsous.
Hydrographie
La commune est drainée par le Valentin, la Sourde, le Cély, le ruisseau de Louesque, le ruisseau de Portaig, le ruisseau des Blanques, le ruisseau d'Esquerra, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 46 ,.
Le Valentin, d'une longueur totale de 14,2 gave d'Oloron à Laruns.
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La cascade du Valentin en 1910 avant son exploitation hydro-électrique.
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Réseaux hydrographique et routier d'Eaux-Bonnes
Climat
Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 amplitude thermique annuelle de 13,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Arbéost à 8,99 vol d'oiseau, est de 10,2 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
- ↑ Carte IGN sous Géoportail
- ↑ « », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- ↑ « Carte hydrographique d'Eaux-Bonnes » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- ↑ Sandre, « ».
- ↑ « » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- ↑ « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- ↑ Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « », sur fr.distance.to (consulté le ).
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Toponymie
Le toponyme Eaux-Bonnes provient du nom de sources minérales appelées Eaux d'Arquebusades au Laruns.
Son nom béarnais est Aigas-Bonas ou Aygue-Boune.
Le toponyme Aas apparaît sous les formes Haas (1343, hommages de Béarn), Ahas-en-Ossau (1384, notaires de Navarrenx), Saint-Laurent-d'Aas (1654, insinuations du diocèse d'Oloron).
Il a une racine basco-aquitaine aitz, pointe rocheuse.
Le toponyme Assouste apparaît sous les formes Soste (1270, chapitre d'Ossau), Assoste et Asoste (1440, cartulaire d'Ossau ou Livre rouge), Notre-Dame d'Assouste (1655, insinuations du diocèse d'Oloron).
Il vient du gascon assosta, lieu abrité.
Le toponyme Gourzy apparaît sous les formes Gorsii (1439, notaires d'Oloron), Gorzii (1538, réformation de Béarn), Goursin (1648, règlement de Laruns).
Le toponyme Ley est mentionné en 1675 (réformation de Béarn).
- , Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 BNF 31182570, lire en ligne)..
- Titres de la commune de Laruns - Archives de Laruns
- ↑ Ostau Bearnes, « »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF] (consulté le ).
- ↑ Institut béarnais et gascon, « » [PDF] (consulté le ).
- ↑ Manuscrit de 1343 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Manuscrits du XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Michel Grosclaude, Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, edicions reclams Escola Gaston Febus, 2006 p.137
- ↑ titres de la vallée d'Ossau - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Manuscrits du XVIIe siècle - Archives des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Notaires d'Oloron - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Collection manuscrite du XVIe au XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Histoire
Les origines de la cité
Les premières traces d'occupation remontent au néolithique et à l'âge de bronze : on a en effet trouvé sept squelettes humains et trois vases au lieu-dit la Carnala.
Avant le siècle, il n'existe aucune preuve d'une quelconque habitation. Les Romains, grands amateurs de bains et qui occupèrent la région jusqu'au siècle, ne semblent pas avoir utilisé de manière significative les eaux thermales, aucun vestige antique n'ayant été découvert à ce jour. Il est vraisemblable que des constructions existaient pour accueillir les gens du pays ou les rares visiteurs mais on ne dispose à ce jour d'aucune source le confirmant.
C'est au cours du siècle qu'est citée, pour la première fois dans la bibliographie, l'édification d'un bâtiment. C'est un hôpital militaire, construit par et destiné aux Béarnais blessés à la bataille de Pavie (1525) par de nouvelles armes : les arquebuses.
Un siècle plus tard, en 1648, la comtesse d'Ancenis prenait l'eau aux Eaux-Bonnes mais logeait prudemment au château de Béost.
En 1771, le comte Antoine-Marie de Cluzel, officier de l'armée de Condé, écrit y avoir fait construire la « première maison honnête, avec vitres ». Un an plus tard, en 1772, le duc de Biron fait un séjour aux Eaux-Bonnes. Il qualifie l'état de l'établissement thermal de « désastreux » et ajoute que « trois mille malades s'y disputent les six baignoires ».
La fin du siècle et le siècle voient un accroissement considérable de la fréquentation. Le rythme des travaux de construction s'accélère. Les bâtiments du début de cette période présentent une architecture régionale. Dans un premier temps, on fait en effet appel aux entrepreneurs locaux. Comme dans d'autres villages de la vallée d'Ossau, les immeubles construits à cette époque ont trois ou quatre étages et les toits en ardoise sont pourvus de lucarnes. De nos jours, ils sont aisément reconnaissables autour et en face de l'établissement thermal et le long de la rue Louis-Barthou.
Naissance d'une ville
Lorsqu'en 1887 Guy de Maupassant publie Mont-Oriol, l'histoire du développement d'une petite ville thermale du Massif central, Eaux-Bonnes comporte déjà tous les ingrédients du modèle urbain idéal de la ville d'eaux. Les « Thermes du Mont-Oriol » comportent un hôtel, des villas et un casino de style mauresque. Le jardin public et les promenades pittoresques sont également présentes, entourant l'établissement thermal.
Ce modèle importé de la capitale prend le pas sur le style régional, créant un environnement urbain qui fait dire à Hippolyte Taine : « Je comptais trouver ici la campagne : un village comme il y en a tant, de longs toits, de chaume ou de tuile; des murs fendillés, des portes bancales, et dans les cours un pêle-mêle de charrettes, de fagots, d'outils, d'animaux domestiques, bref tout le laisser-aller pittoresque et charmant de la vie rustique. Je rencontre une rue de Paris, et les promenades du bois de Boulogne... ».
Dans les années 1830, l'ancien établissement thermal est reconstruit, ainsi qu'une nouvelle église et la maison des communes (appelée maison du Gouvernement, c'est l'actuelle mairie). En avançant dans le siècle, le style Second Empire apparaît: le nombre d'étages augmente significativement, les ouvertures sont plein cintre, la brique rouge est utilisée pour les façades, les balcons avec encorbellements apparaissent. En 1861, la première pierre de l'hôpital militaire est posée par l'impératrice Eugénie. Dès cette époque, l'ensemble des bâtiments de la cité est alimenté en eau par un aqueduc de 1400 m qui capte la fontaine d'Iscoo.
C'est à cette deuxième moitié du siècle, qui connut une véritable « fièvre thermale », que l'on doit les grands hôtels de la rue Castellane (rue qui jusque-là servait de parc à charrettes). En 1868, plus d'une centaine de maisons sont recensées pour une population de 750 habitants. Les travaux de construction des bâtiments de la rue d'Aas (qui deviendra plus tard rue de la Cascade) débutent vers 1856, pour le compte d'habitants d'Aas. Ce sont d'abord des baraques en bois et des échoppes provisoires où dorment les artisans et guides de la station. Elles sont peu à peu remplacées par des immeubles. Le manque de place et le prix élevé des terrains expliquent la nécessité de construire des maisons de plusieurs étages.
La cure et le thermalisme
Les sources thermales jaillissent depuis des millions d'années dans le creux de ce vallon du Haut-Béarn. Leurs propriétés curatives sont sans doute connues depuis des temps immémoriaux. Du temps où seuls les médicaments offerts par la nature existaient, elles représentaient vraisemblablement une grande valeur. Avant le siècle, la relation de l'homme à l'eau est quasiment divine. L'héritage gallo-romain est encore dominant : les Romains occupèrent la région jusqu'au siècle et leurs apports culturels et techniques furent importants. Si l'on se rend bien compte des effets bienfaisants des eaux minérales sur la santé, ils sont attribués à d'obscures forces souterraines. Les rémissions sont considérées comme providentielles, voire miraculeuses. Aucun vestige antique n'a été découvert à ce jour aux Eaux-Bonnes qui prouverait une utilisation romaine des eaux, (comme à Lurbe-Saint-Christau par exemple). Il semble d'ailleurs que cela soit le cas pour toutes les stations pyrénéennes situées trop à l'intérieur des montagnes et éloignées des principaux axes de communication.
Les sources des Eaux-Bonnes sont citées pour la première fois en 1462. Leur appartenance, longtemps disputée entre Aas et Assouste, est enfin concédée au premier des deux villages.
Le peintre Eugène Delacroix accompagne aux thermes d'Eaux-Bonnes en 1845 son ami peintre de paysage Paul Huet qui vient y soigner « un engorgement du poumon »
Dans son Voyage aux Pyrénées paru en 1860, Taine décrit ce que peut être la journée d'un curiste. Il est recommandé de boire de l'eau trois fois par jour. « Chacun va prendre son flacon de sirop, à l'endroit numéroté, sur une sorte d'étagère, et la masse compacte des buveurs fait la queue autour du robinet (…). Le premier verre bu, on attend une heure avant d'en prendre un autre ; cependant on marche en long et en large, coudoyé par les groupes pressés qui se traînent péniblement entre les colonnes (…). On allonge le cou à la porte pour voir un couloir sombre où les malades trempent leurs pieds dans un baquet d'eau chaude, rangés en file comme des écoliers le jour de propreté et de sortie. »
Deux sources sont exploitées (encore de nos jours) sur les neuf existantes. L'une, nommée Source vieille, jaillit à une température de 44 Mutuelle Générale des PTT à une température de 13 °C. Leurs propriétés permettent de soigner l'ensemble des voies respiratoires, les rhumatismes et séquelles de traumatismes ostéo-articulaires.
La découverte du pyrénéisme
Avec le thermalisme, le pyrénéisme est le second motif de l'engouement exceptionnel que connaît la station au Henri Beraldi lance ce mot « pyrénéisme » en 1898 dans les premières pages de Cent ans aux Pyrénées. Il recouvre une triple dynamique : ascensionner - ressentir - écrire. Il affirme ainsi que l'expérience physique de la montagne est inséparable de l'élaboration culturelle. Le pyrénéisme répond rapidement aux attentes de tous ceux qui ne se reconnaissaient pas dans l'alpinisme, essentiellement sportif et tourné vers la performance.
Une société d'érudits, naturalistes, botanistes, géologues découvre la diversité du patrimoine naturel pyrénéen. On leur doit une importante collection ornithologique riche de très nombreuses espèces d'oiseaux naturalisés. Une collection de minéraux des Pyrénées ainsi qu'un monumental herbier des Pyrénées sont réunis par le berger-botaniste Pierrine Gaston-Sacaze. Ses collections sont acquises en 1878 par la mairie. Les guides touristiques de 1930 mentionnent le musée Gaston-Sacaze, situé dans le promenoir de l'établissement thermal. Seule la collection ornithologique, que nous devons en grande partie à Henry Miégémarque (dit Henry de l'Arcizette) nommé conservateur en 1893, y est encore conservée.
L’apparition des sports d’hiver
Au tournant du siècle, l’engouement pour les jeux de neige prend de court les pionniers eux-mêmes. Rapidement, la mode des sports d’hiver attire chaque fin de semaine une clientèle de plus en plus nombreuse sur les pentes du Gourzy ou du Benou. Les amateurs viennent de Pau, de Bordeaux et même de Paris.
Le ski, moyen de déplacement facile dans les vallées enneigées, importé des pays nordiques, se transforme en une activité de loisir et un sport d’hiver.
La commune d'Eaux-Bonnes voit immédiatement le parti qu’elle peut tirer de cet engouement. Disposant d’une capacité d’hébergement luxueuse et abondante, reliée à Pau par le chemin de fer et la gare de Laruns - Eaux-Bonnes, elle organise le premier concours international de ski des Pyrénées les 15 et 16 février 1908 et le deuxième, en présence d'Alphonse XIII, le roi d'Espagne, les 20 et 21 février 1909. Les courageux participants se disputent les quelques chambres avec cheminée, ou à défaut avec un simple conduit. En 1910, le championnat de France de ski est organisé aux Eaux-Bonnes et à Cauterets.
Le succès de la manifestation dépasse les prévisions. Cinquante traineaux sont construits pour acheminer les 4 000 visiteurs du concours depuis la gare de Laruns. L'enneigement exceptionnel permet de concentrer toutes les épreuves sur la prairie Alphonse XIII.
Les hôteliers d'Eaux-Bonnes aménagent une piste de ski le long du jardin Darralde et une patinoire de 700 m2 avec vestiaires devant les Thermes d'Orteig au bas de la rue de la Cascade.
Le plateau de Gourette est également mis à contribution pour le concours de saut. Son enneigement abondant et sa conformation attirent les sportifs mais il faudra attendre 1930 pour qu'un hébergement y soit construit.
Les années de guerre
La Seconde Guerre mondiale entraîne la quasi fermeture de la station. Les congés payés, nouvellement acquis, les sports d'hiver et le thermalisme ne sont plus d’actualité dans la France occupée.
La station désertée va cependant attirer l’attention des autorités allemandes qui réquisitionnent plusieurs hôtels pour y assigner à résidence les républicains espagnols, les Juifs et divers prisonniers en provenance du camp de Gurs.
Le 18 janvier 1943, 400 prisonniers sont conduits en car jusqu’à la gare de Laruns. Le convoi, à destination de Drancy puis d’Auschwitz fait un arrêt dans la Creuse, à Guéret. Les prisonniers sont libérés et disséminés dans le département.
La responsabilité exacte de cette libération reste imprécise, mais le préfet de Pau, et son sous-préfet semblent y avoir pris une part active.
Le maquis Bir-Hakeim s'y cacha, sur le plateau du Bénou, en pleine zone interdite, entre les mois de septembre et de décembre 1943.
La mutation du thermalisme
La station ne retrouvera pas après la guerre la notoriété et la fréquentation atteintes au début du XXe siècle. La clientèle mondaine de riches oisifs qui animait son casino et ses hôtels a disparu.
À partir des années 1950, la défiance du corps médical à l’encontre des bienfaits du thermalisme va entraîner son déclin progressif. Après l’avoir paré au siècle précédent de toutes les vertus thérapeutiques, les médecins découvrent les techniques scientifiques et substituent les antibiotiques aux cures thermales.
La Sécurité sociale, qui prenait en charge ces cures, supprime ses remboursements et la clientèle traditionnelle réduit ses séjours, entraînant la fermeture de nombreux hôtels et maisons de rapport.
Avec les années 1990 apparaît une nouvelle demande. Le thermalisme thérapeutique et son image de patients maladifs déprimant devant un verre d’eau laisse la place à la remise en forme et à l’hydrothérapie.
Cette tendance se conjugue avec l’apparition du « tourisme vert », qui valorise la montagne d’été.
Dans ce contexte, Eaux-Bonnes découvre le vaste potentiel que lui procure la présence au sein d’une même commune :
- d’un habitat traditionnel (Aas et Assouste) ;
- d'une cité-jardin du XIXe siècle conservée sans altérations avec ses constructions et appartements de grande qualité architecturale ;
- d’une station d’altitude avec un vaste domaine skiable et des constructions récentes ;
- d'un important réseau de randonnées et de promenades déjà aménagé.
Le village d'Aas profite de cette évolution pour se rénover et compléter son urbanisation. Cette urbanisation s'accompagne cependant d'un mitage préoccupant de la Montagne Verte qui altère définitivement son caractère pastoral.
- ↑ D'où le nom d'Eaux d'Arquebusades adopté pour les sources.
- ↑ cité par Pierre de Gorsse
- ↑ Pierre et Rolande Miquel avec la collaboration du professeur Gérard Bonin et de Michael Tazi Klaa, De l'aube romantique à l'aube impressionniste, éditions Somogy, 2011, p. 100-101.
- ↑ source: site pyrenees-team - Les figures pyrénéennes
- ↑ Le minéralogiste Des Cloizeaux dans son manuel de minéralogie de 1874 décrit pour la première fois, dans la galerie des Eaux-Bonnes, des combinaisons cristallines de calcite de forme triangulaire. [1]
- ↑ Stéphane Duchateau, Thierry Danneels et Antonin Nicol, « Henry Miégémarque un instituteur naturaliste ossalois atypique », dans Pyrénées, no 233, janvier 2008
- ↑ http://vppyr.free.fr/pages_transversales/voies_lavedan/lavedan_pat03_cauterets.php
- ↑
- ↑ René Maruéjol et Aimé Vielzeuf, Le maquis "Bir Hakeim, Ed. Lacour Nimes
- ↑ Le guide Joanne de 1894, édité par Hachette, contient une notice médicale et climatologique, par le Docteur Cazaux qui développe, sur 8 pages très denses, tous les avantages des eaux des Eaux-Bonnes.
Héraldique
Blason | D'azur à l'arbre terrassé de sinople, adextré d'un ours assis contourné de sable, senestré d'un taureau furieux de gueules, l'arbre accosté en chef de deux fleurs de lys d'argent |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Eaux-Bonnes dans la littérature
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