Galapian

Localisation

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Galapian : descriptif

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Galapian

Galapian est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de Lot-et-Garonne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Localisation

La commune est située dans le pays de Serres à 8 Aiguillon en Agenais.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Bourran, Aiguillon, Bazens, Lagarrigue, Port-Sainte-Marie et Saint-Salvy.

Communes limitrophes de Galapian
Aiguillon Bourran
Lagarrigue Galapian Saint-Salvy
Port-Sainte-Marie Bazens

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 925 hectares ; son altitude varie de 44 à 180 mètres. Le bourg de Galapian est situé à une altitude d'environ 125 mètres, sur un long éperon qui descend en pente douce vers le nord, depuis le plateau jusqu'à la vallée du Lot ; la couche de calcaire de l’Agenais (Miocène) affleure dans le haut du bourg ; en contrebas de celui-ci, s’étendent les terreforts argilo-calcaires.

Météorites

Galapian a été, à deux reprises, le point de chute de météorites :

  • une première fois, le , date à laquelle Agen et ses environs furent atteints par une pluie de météorites. La seule victime à Galapian fut un bœuf attendant d’être ferré à la forge du village ;
  • une seconde météorite, officiellement enregistrée sous le nom de Galapian, est tombée le . Il s’agit d’une chondrite de type H6,.

Hydrographie

Le territoire de la commune est traversé, à l'est du bourg, par le ruisseau de Labernède, alimenté par le lac de Ganet, ainsi que par le ruisseau de Lagravette, dont la source est proche de l'ancien lavoir, en contrebas et à l'ouest du bourg. Tous deux sont affluents du Tort, sous-affluent du Lot par le Chautard. Le ruisseau de Malagagne, affluent du Lot, marque à l'ouest la limite de la commune de Galapian avec la commune limitrophe de Lagarrigue.

Climat

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 amplitude thermique annuelle de 15,1 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Prayssas à 8 vol d'oiseau, est de 13,9 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  3. Article dans La Dépêche du 7 février 1999.
  4. Bulletin du Muséum national d'histoire naturelle, no 5, Paris, 1927.
  5. Meteoritical Bulletin Database, voir en ligne sur le site de The Meteoritical Society.
  6. «  », sur le site du comité régional de tourisme d'Aquitaine (consulté le ).
  7. Sandre, «  ».
  8. Sandre, «  ».
  9. «  » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  10. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).

Toponymie

Le toponyme Galapian plaide pour une origine antique : « Le nom demeure obscur : on a suggéré un domaine gallo-romain appartenant à un certain Galapius (d'où Galapianum) mais ce nom n'est pas attesté ». « Dans le domaine gascon, on observe que "les noms de lieux suffixés en –anu(m) > an sont caractéristiques de la colonisation romaine. Ils ont été utilisés de la période «classique" jusqu’au temps des grandes invasions ».

Sans doute faut-il rapprocher la racine du toponyme Galapian de Galaup, toponyme de plusieurs lieux-dits ou cours d'eau du Lot-et-Garonne et du sud-ouest.

Malgré l'antiquité de son toponyme, il ne subsiste cependant aujourd'hui à Galapian aucun vestige antérieur au  souhaitée].

  1. J.-M.Cassagne et M.Korsak, Lot-et-Garonne : Origine des noms de lieux, villages, villes, Villeneuve-Sur-Lot, 2013.
  2. B. et J.-J. Fénié, Toponymie gasconne, éditions du Sud-Ouest, 2006.


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Histoire

Moyen Âge

Castrum et paroisses

Le castrum de Galapian, est cité en 1259 parmi les possessions du seigneur Bernard de Rovignan, lors d’acte d’allégeance des seigneurs de l’Agenais au comte de Toulouse, Alphonse de Poitiers. Galapian est encore cité en 1271, dans le saisimentum, acte d’intégration de l’Agenais dans le domaine royal de France.

Le degré de destruction du castrum de Galapian durant la Fronde, en 1650, fait l'objet de débats.

La paroisse de Galapian est dédiée à saint Christophe. Elle possédait deux annexes : Notre-Dame de Quintran, à la limite Nord-Est de la paroisse, et Saint-Pierre de Pompejac, à la limite sud. Seule la paroisse Saint-Christophe subsiste de nos jours, ses deux annexes n’ayant par contre pas laissé de traces.

Il y avait depuis le Moyen Âge une église à Quintran, dédiée à Notre Dame, et citée le dans un acte de donation au roi d'Angleterre d'une pièce de terre sise dans la paroisse de « Sainte-Marie de Giuntra », au diocèse d'Agen. Cette donation, et surtout le début de fondation d'une bastide qu'elle permettait, a donné lieu en 1281 à une procédure judiciaire entamée devant la cour de France par Bernard de Rovignan, seigneur de Galapian, à l’encontre du sénéchal du roi d’Angleterre, bénéficiaire de la donation,. Cette bastide fut donc mort-née.

Dès le début du .

Pompejac occupe le haut d’une combe orientée Ouest-Sud-Ouest. La paroisse Saint-Pierre de Pompejac est citée dans les coutumes de 1268. Le seigneur Bernard de Rovignan, y possédait un bois qu’il réservait à son usage propre. Bien plus tard, au , et « Cette église, est longue de 10 pas, large de 8. Il n'y a ni fonts, ni chrémière, ni registre: tout se fait à Galapian. ll ne se dit point la messe ici que pour le Patron et le mercredi des Rogations ».

Charte des coutumes

Le , les habitants de Galapian se voient accorder par leur seigneur, Bernard de Rovignan (de Rovinha), une charte de « coutumes »,. La charte des coutumes de Galapian est écrite à l’origine en langue vernaculaire occitane, bien qu’elle ne nous en soit parvenue que sous forme d'une copie tardive, écrite en français et datée de 1487, date de la prestation de serment de Jehan de Stuer comme seigneur de Galapian.

Par défaut, le droit écrit y est d’application [§82], et référence est y faite aux coutumes d’Agen, portant sur des points de détail et des domaines divers [§52, 67, 72, 102 et 108].

Dans une certaine mesure, la charte des coutumes laisse entrevoir certaines composantes — « modernes » ou plus archaïques — de la population galapianaise d’alors :

  • on ne compte pas moins de 50 « proux hommes » signataires de la charte, que l'on peut les considérer comme autant d’hommes libres et propriétaires fonciers ;
  • par contre, « Plus que toute autre, la charte de Galapian garde cependant le souvenir de servitudes anciennes ; elle […] connait les fiefs d’hommage [§ 97] qui doivent être fort proches des tenures serviles ».

Du point de vue religieux, il est significatif qu’il n’est fait aucune mention de l’obligation d’être catholique pour être prud’homme et éligible au conseil. On peut donc en déduire que la population de Galapian ne comptait alors pas — ou plus — de juifs ou d’hérétiques. Galapian comptait cependant des exclus : une léproserie (degetaria) était située aux limites du territoire [$64].

Dans son paragraphe 5, la charte dispose que le conseil sera constitué chaque année de quatre prud’hommes, cooptés dans un lieu tenu secret par le conseil précédent. Une fois publiés les résultats de l’élection, ils s’imposent à tous sous peine d’une amende de cinquante sous arnaudins, due pour moitié au Conseil, pour moitié au Seigneur. Dans un délai de huit jours, tous les habitants de Galapian viennent faire serment devant le nouveau conseil des prud’hommes.

Les paragraphes 8 et 9 de la charte disposent que le Bayle est nommé par le seigneur, prête serment devant le conseil mais peut être révoqué à la demande du conseil s’il commet des fautes et ne s’en amende pas.

Temps modernes

Détail de la carte de Cassini réalisée au XVIIIe siècle : paroisse de Galapian et ses annexes.

Galapian « pays de vignes et de blés » procurait depuis le dîme importante et convoitée. Au . Le , une transaction est enregistrée devant notaire entre Messire Antoine Duroux, prêtre, docteur en théologie, curé de Galapian, de Notre-Dame de Quintran et Saint-Pierre de Pompéjac, ses annexes, et les paroissiens de Galapian, sur un procès pendant devant la Cour sénéchale d'Agen relativement à la dîme.

La seigneurie de Galapian est aux mains de deux familles qui ont leur importance au niveau de l’Agenais : la première au .

Entre ces deux épisodes, au Jean Poton de Xaintrailles, est maréchal de France de Charles

Galapian passe ensuite aux mains de Guy de Stuer, ensuite au neveu et filleul de ce dernier, Guy de Brunet.

Le , Gabrielle de Stuer, fille de Guy de Stuer, seigneur de Galapian, épouse, devant Gauteron, notaire royal à Galapian, Michel de Boudon, capitaine, écuyer, sieur de l'Hoste. Elle apporte en dot la terre de Pompejac, détachée de celle de Galapian. Les Boudons resteront seigneurs de Pompejac jusqu'à la fin de l'Ancien Régime.

C'est vers la même époque que Galapian passe aux mains des Lusignan d'Agenais, maison qui sera très impliquée dans les guerres de religion et de la fronde. Successivement :

  • Jean de Lusignan, « lieutenant de robe courte » du sénéchal d'Agenais et de Gascogne, rend hommage le , au roi François Lusignan, de Galapian et de Clermont-Dessous ;
  • Henri de Lusignan, fils du précédent, était l'un des chefs les plus braves et l'un des plus dévoués du parti protestant. Il fut gouverneur de la ville d'Agen, en 1578 pour Henri de Navarre, le futur roi Henri IV, dont il faisait partie du proche entourage ;
  • François , mettant ainsi fin à un procès qui durait depuis 58 ans au Parlement de Bordeaux. Quelques années plus tard, le marquis de Lusignan est condamné à mort par contumace par la chambre de l’Édit de Guyenne ; il est dégradé de noblesse et a pendant quinze jours son portrait pendu à une potence sur la place de la ville d'Agen ; ses maisons sont rasées, ses bois sont coupés au pied ;
  • François II de Lusignan, prince de Condé, et prend le commandement des révoltés d'Agenais. C'est à son époque, en 1650, que furent « renversés » les châteaux de Lusignan et de Galapian par le duc d'Epernon. Le , François  ;
  • Pierre de Lusignan, frère cadet du précédent, baron de Galapian, est colonel au service des princes de Condé et de Conti durant les troubles de la Fronde. Il s'y illustre par une rare férocité,. En Aquitaine, le sens péjoratif attaché au terme galapian a été renforcé par les atrocités commises par le baron de Galapian durant la Fronde : « les cruautés de ce seigneur furent un objet de terreur pour ses contemporains à ce point que son nom est resté légendaire dans la vallée du Lot comme dans le bassin de la Garonne et sur les rives du Gers où, pour désigner un mauvais drôle et un mauvais sujet on dit : c'est un Galapian ou un grand Galapian ». Pierre de Lusignan, après une vie pleine de violences, meurt dans son lit, le , à l’âge de 88 ans.

Parmi les derniers seigneurs de Galapian, il faut citer également les Balguerie, famille de commerçants protestants bordelais, originaire de Clairac. Pierre Balguerie senior épouse Suzanne Desclaux en 1627 au lieu-dit Farly. Le fils aîné de celui-ci, Pierre Balguerie junior, né en 1637, mort en 1717, à l’âge de 80 ans, était bourgeois et marchand de Galapian, et seigneur de Paillières. Pierre de Balguerie de Larmande, baron de Galapian, quitta la carrière des armes vers 1761, se maria et se retira au château de La Mothe-Forest,. Il prit part en 1789 aux assemblées de la noblesse tenues à Agen.

Révolution française et Empire

Époque contemporaine

Après la révolution, Pompejac conserve son statut de commune, jusqu’à sa fusion avec la commune de Galapian, en mars 1839.

« Au commencement du règne de Louis . « Le temple ne remplissant pas les conditions exigées par l’Édit de Nantes, fut démoli en exécution d'un arrêt du Conseil en date du , obtenu à la requête et aux dépens de l'évêque d'Agen, Claude Joli ». La communauté protestante de Galapian se réduisit en effet, au point de ne plus représenter que 26 habitants sur les 639 recensés en 1851.

  1. a et b «  », notice base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. Prise de possession de l’Agenais in Recueil des travaux de la Société d'agriculture, sciences et arts d'Agen, 1897.
  3. «  », notice base Mérimée, ministère français de la Culture.
  4. Documents relatifs au Périgord, à l'Agenais et à la Saintonge, Bibliothèque de l'école des chartes 1890, vol. 51, p. 298-304.
  5. Transcription de Charles-Victor Langlois, Rouleaux d'arrêts de la cour du roi au XIIIe siècle, deuxième article, in Bibliothèque de l'école des chartes, 1887, tome 48, p. 548.
  6. Mélanges Henri Morel, Presses Universitaires d’Aix-Marseille, 1989, p. 149.
  7. Chanoine Durengues, sur base d’une lettre du curé Aché à l’évêque, octobre 1810.
  8. Coutumes de Galapian, §66, archives départementales de Lot-et-Garonne, cote 52 J 43.
  9. Mémoires de Nicolas de Villars, 1604, cité par le chanoine Durengues.
  10. Verbal de Claude Joly, 1668, idem.
  11. La charte des coutumes de Galapian, dans sa version de 1487, se trouve aux archives départementales de Lot-et-Garonne, sous la cote 52 J 43 ; Les coutumes de Galapian, parmi d’autres coutumes de l’Agenais ou du Condomois, sont transcrites et commentées dans l'ouvrage Les Coutumes de l’Agenais tome 2, de P.Ourliac et M.Gilles, Paris, 1981. La structuration de la charte en articles numérotés, ainsi que la transcription du texte, sont de ces auteurs, [présentation en ligne].
  12. P.Dognon, Institutions politiques et administratives du Languedoc, 1895, p. 41.
  13. P.Dognon, Institutions politiques et administratives du Languedoc, 1895, p. 68.
  14. Extrait de l’introduction de «Les Coutumes de l’Agenais», ouvrage cité, tome 2, par P.Ourliac et M.Gilles.
  15. Hippolyte Rebouis, Coutumes de Clermont-Dessus en Agenais, 1262, 1881.
  16. F. Poey d'Avant, Monnaies féodales de France, vol.2, p. 143.
  17. Yves Dossat, Les restitutions des dîmes dans le diocèse d’Agen pendant l’épiscopat de Guillaume II (1247-1263), in Bulletin philologique et historique jusqu'à 1610 du comité des travaux historiques et scientifiques, 1962.
  18. Voir Archives notariales de Lot-et-Garonne, Minutes du notaire D. Carmentran à Port-Ste-Marie, 1772, ref. 3 E 905/5.
  19. Denis Arrat, Les Lusignan d'Agenais, [lire en ligne].
  20. L. Pataux, Généalogie de la maison de Brachet de Floressac, 1885, p. 11.
  21. L. Moreri, Généalogie de la maison de Stuer inLe grand dictionnaire historique, ou Le mélange curieux de l'histoire sacrée et profane, 1759, tome 9, p. 597.
  22. M. O'Gilvy, puis M.J. de Bourrousse de Laffore, Nobiliaire de Guienne et de Gascogne : revue des familles d'ancienne chevalerie ou anoblies de ces provinces, antérieures à 1789, avec leurs généalogies et leurs armes, 1858, p. 277 et suivantes.
  23. a et b J.de Bourousse de Lafore, Les Lusignan du Poitou et de l'Agenais, in Revue de l’Agenais, tome 8, 1881.
  24. François Gattey, Tables des rapports des anciennes mesures agraires avec les nouvelles, 1812
  25. P. Lanéry d'Arc,Du Franc aleu, 1888.
  26. G. Tholin, les Limites de la Juridiction d'Agen au Moyen-Age… in Recueil des travaux de la Société d'agriculture, sciences et arts d'Agen, tome 10, 1887.
  27. M. Dast de Boisville, La fronde en Guyenne in Archives historiques du département de la Gironde, tome 30, 1895.
  28. Archives communales de la ville de Langon (CC. 2), cité dans l’L'église métropolitaine et primatiale Saint André de Bordeaux» T. 2, par J. Lopes, 1882.
  29. G. Tholin, Un soudard agenais au temps de la fronde in revue de l’Agenais, T.26, 1899.
  30. Revue de l’Agenais, T.27, p. 417, 1900.
  31. C. de Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises…, tome 2, 1904.
  32. Voir Revue de l’Agenais, T.32, 1905.
  33. Catalogue des gentilshommes de Guienne, Agénois et Bazadois…, 1864, p. 6.
  34. Mémoire du clergé de France, 1847, cité par le chanoine A.Durengues.
  35. Détail des recensements disponible sur le site des archives départementales de Lot-et-Garonne.


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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 23/12/2024
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