Salignac-Eyvigues est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
De 1790 à 2015, la commune a été le chef-lieu d'un canton.
Géographie
Généralités
Dans le quart sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune de Salignac-Eyvigues est limitrophe du département du Lot. Bordée par la Borrèze, c'est une commune rurale qui fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda.
À l'intersection des routes départementales (RD) 60, 61 et 62b, le bourg de Salignac où se trouve la mairie se situe, en distances orthodromiques, treize kilomètres au nord-est du centre-ville de Sarlat-la-Canéda et seize kilomètres au sud-est de celui de Montignac-Lascaux. Au sud-est, Eyvigues est un village distant de cinq kilomètres et demi.
Le territoire communal est également desservi par les RD 47 et 62.
Communes limitrophes
Salignac-Eyvigues est limitrophe de huit autres communes dont une dans le département du Lot. Au sud-ouest, son territoire est distant d'environ 110 mètres de celui de Prats-de-Carlux.
Les limites communales de Salignac-Eyvigues et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes de Salignac-Eyvigues
Saint-Geniès
Paulin
Borrèze
Saint-Crépin-et-Carlucet
Sainte-Nathalène
Simeyrols
Souillac (Lot), Pechs-de-l'Espérance
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Salignac-Eyvigues est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j3-4, date du Bathonien supérieur au Callovien, composée de calcaire cryptocristallin, localement crayeux. La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « , et leurs notices associées,.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées : argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
non présent
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
AF :
Altérites de type Rouffignac : argile sableuse ferrugineuse jaune-brunâtre à rougeâtre, à graviers et silex piégés dans les paléokarsts, dolines ou épandage résiduel, cuirasse ferrallitique plus ou moins pisolithique associée
Ac :
Altérites du Crétacé sup. : argiles kaoliniques, silteuses à sableuses, parfois rubéfiées, à gravier, à silex et chailles, avec apport local du Tertiaire (complexe des Doucins)
c3b-c :
Coniacien moy. à sup. : calcaires bioclastiques grossiers et quartzeux jaunes à bryozoaires et gastéropodes, à niveaux gréseux (formation des Eyzies)
c3a :
Coniacien inf. : marnes et calcaires argileux grisâtres, calcaires marneux et glauconieux à rhynchonelles, calcaires fins à silex noirs (formation de la Rouquette)
c2c :
Turonien moyen à supérieur : calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à huîtres et à rhynchonelles, localement grès et sables jaunes (feuille de Terrasson)
c2b :
Turonien inf. à moy. : calcaire graveleux, puis calcaires crayeux bioclastiques à rudistes passant latéralement à des calcarénites
c2a :
Turonien inf. : Calcaire crayeux blanchâtre en plaquettes ou noduleux
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.4)
Supérieur
j6-7 :
Kimméridgien terminal à Tithonien : calcaires micritiques en petits bancs alternant avec des bancs marneux à lumachelles (Exogyra virgula)
Moyen
j4-5(Lz) :
Callovien à Oxfordien : calcaires oolithiques roux (formation de Leyze), à crème parfois blanc graveleux en plaquettes, à oncolithes, spongiaires, polypiers, trocholines et grands foraminifères (Chablaisia) et hydrozoaires (Cladocoropsis)
j4 :
Callovien : alternance de calcaires plus ou moins crayeux à pelletoïdes, oncolithes et trocholines et de calcaires oolithiques, bioclastiques et granulaires. Vers le sud, les bancs oolithiques sont plus massifs (formations de Rocamadour-Cabrerets et Saint-Géry)
j3-4 :
Bathonien sup. à Callovien : calcaire cryptocristallin, localement crayeux, plus rarement oolithique et algaire, parfois en alternance avec des calcaires graveleux et bioclastiques, évoluant vers des faciès calcaires à polypiers et trocholines (nord)
Jurassique inférieur
non présent
(201.4 - 251.902)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 538.8)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 120 mètres et 314 mètres,.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 43,48 ,,. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 44,44 .
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne. Elle est drainée par la Borrèze, le ruisseau de Sireyjol, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 13 ,.
La Borrèze, d'une longueur totale de 22,13 Paulin et se jette en rive droite de la Dordogne dans le département du Lot, en limite de Lanzac et de Souillac, au lieu-dit les Cuisines,. Elle arrose la commune au nord sur près de six kilomètres et demi, dont cinq et demi servent de limite naturelle en plusieurs tronçons, face à Paulin, Borrèze et Souillac.
Affluent de la Chironde, le ruisseau de Sireyjol prend sa source dans le nord-ouest du territoire communal qu'il baigne sur environ 700 mètres dont la moitié en limite de Saint-Geniès.
La RD 62 à Borrèze, en vallée de la Borrèze, à l'ouest du lieu-dit la Pouyade. Les coteaux sur la droite font partie du territoire de Salignac-Eyvigues.
Réseaux hydrographique et routier de Salignac-Eyvigues.
Carte des schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) couvrant le territoire communal de Salignac-Eyvigues.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont » et « Vézère-Corrèze ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR). Le SAGE « Vézère-Corrèze », dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 conseil départemental de la Corrèze. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le 10 mars 2022.
La majeure partie du territoire communal dépend du SAGE Dordogne amont. Au nord-ouest, seule une petite zone — environ 3 % du territoire — concernant le bassin versant du ruisseau de Sireyjol est rattaché au SAGE Vézère-Corrèze.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité.
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat de la Nouvelle-Aquitaine et Climat de la Dordogne.
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain.
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 amplitude thermique annuelle de 15,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Statistiques 1991-2020 et records SALIGNAC-EYVIGUES (24) - alt : 276m, lat : 44°56'12"N, lon : 1°21'52"E Records établis sur la période du 01-09-2004 au 02-11-2023
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
2,1
1,8
4,5
7,4
10,1
13,4
15,1
14,5
12
9,6
5,5
2,5
8,2
Température moyenne (°C)
5,2
5,9
9,2
12,7
15,4
19
21,1
20,6
17,8
14,2
9
5,8
13
Température maximale moyenne (°C)
8,3
10
13,9
17,9
20,7
24,6
27
26,6
23,5
18,8
12,6
9,2
17,8
Record de froid (°C) date du record
−10,3 11.01.10
−14,4 09.02.12
−11,1 01.03.05
−2,8 07.04.08
0,6 05.05.19
4,8 05.06.14
7,8 14.07.08
8 22.08.14
2,6 27.09.10
−3,2 29.10.12
−7,2 28.11.08
−9,2 19.12.09
−14,4 2012
Record de chaleur (°C) date du record
18,2 01.01.22
23,6 27.02.19
25,8 30.03.21
30,1 30.04.05
32,2 25.05.17
38,5 27.06.19
40,5 23.07.19
39,6 07.08.20
35,7 04.09.23
32,1 01.10.23
23,9 08.11.15
18,2 25.12.22
40,5 2019
Précipitations (mm)
87,3
68,1
82
87,9
80,5
79,5
53,7
51,7
66,3
72,8
86,9
90,4
907,1
Source : « », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base
Milieux naturels et biodiversité
Natura 2000
Le site « Coteaux calcaires de Borrèze » qui fait partie du réseau Natura 2000, s'étend sur 416 hectares sur le territoire de trois communes : Borrèze, Salignac-Eyvigues et Simeyrols,. Douze espèces animales y ont été recensées dont le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), papillon inscrit à de la directive habitats de l'Union européenne. Vingt espèces végétales y ont aussi été répertoriées. Salignac-Eyvigues est concernée par cette zone sur près de deux kilomètres carrés, morcelée en cinq sites, autour d'Eyvigues et au nord d'Eybènes.
ZNIEFF
Environ 60 % du territoire communal — toute une partie orientale de la commune comprenant notamment les villages d'Eyvigues et d'Eynènes — fait partie de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II Secteur forestier de Borrèze qui s'étend sur treize communes (dix en Dordogne et trois dans le Lot),. Deux espèces déterminantes de plantes ont été recensées sur cette ZNIEFF : l'Euphorbe de Séguier (Euphorbia seguieriana) et la Leuzée conifère (Rhaponticum coniferum), ainsi que 87 autres espèces végétales.
Trois ZNIEFF de type I sont incluses — entièrement pour la première et partiellement pour les deux autres — dans la précédente :
le site « Coteaux calcaires du secteur de Borrèze » s'étend sur 535,72 hectares, sur les territoires de Borrèze, Salignac-Eyvigues et Simeyrols ; 44 espèces déterminantes de plantes phanérogames, et une de reptiles y ont été répertoriées. Environ la moitié de cette zone se trouve sur Salignac-Eyvigues, notamment autour du bourg d'Eyvigues, ainsi qu'au nord et à l'est de celui d'Eybènes.
le site Grottes de la Forge et environs s'étend sur 169,95 hectares, sur le territoire de trois communes : Salignac-Eyvigues en Dordogne ainsi que Lachapelle-Auzac et Souillac dans le Lot ; trois espèces déterminantes de chauves-souris et quatre de plantes phanérogames y ont été répertoriées ; environ la moitié ouest de ce site se situe sur Salignac-Eyvigues ;
le site Hêtraie du Claud est divisé en deux zones de la commune de Salignac-Eyvigues, la plus importante (90 %) se situant en bordure sud de la route qui passe au sud des lieux-dits Line et la Genibre et qui relie les routes départementales 61 et 62. Trente-quatre espèces végétales de phanérogames ont été recensées sur la ZNIEFF en 2015, dont deux espèces déterminantes : la Gesse noire (Lathyrus niger) et la Mélitte à feuilles de mélisse (Melittis melissophyllum), ainsi que vingt-cinq espèces d'oiseaux en 2002.
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↑ a et bCarte du site FR7200676, INPN, consulté le 16 septembre 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
↑ a et b, Comité des inventaires Aquitaine, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le 1er août 2021.
↑ Carte de la ZNIEFF 720008196, INPN, consulté le 1er août 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
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Abadie et S. Bonifait), OAFS, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le 13 septembre 2021.
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↑ Carte de la ZNIEFF 720008197, INPN, consulté le 3 octobre 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
↑ , GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le 3 octobre 2021.
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Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Salanhac e Aivigas.
↑ Le nom occitan des communes du Périgord - Salanhac e Aivigas sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 10 octobre 2021.
Histoire
Salignac-Eyvigues est issue de la fusion de trois communes : Eybènes a fusionné avec Eyvigues en 1827 sous le nom d'Eyvignes-et-Eybènes, puis cette commune a fusionné avec Salignac en 1965 pour former Salignac-Eyvignes. Eyvignes étant souvent notée Eyvigues sur de vieux actes, en 2001, le débat est tranché et la commune change officiellement de nom de pour devenir Salignac-Eyvigues.
Situé aux confins du causse de Martel et des coteaux boisés du Périgord, le village de Salignac s'affirme au cours des siècles comme un lieu de passage entre Quercy, Limousin et Périgord noir.
En l'absence de traces d'occupation antique, il faut remonter vers l'an 980 pour voir la naissance du village de Salignac au pied d'un donjon de bois établi par Geoffroi de Salignac, premier du nom, sur une éminence rocheuse aménagée en motte féodale, légèrement à l'écart du plateau. Au siècle, deux donjons en pierre lui succèdent sur la motte et l'église Saint-Julien est construite au sud-ouest du village, participant à l'extension de celui-ci.
Après la réunion du Périgord à la couronne de France en 1393, les seigneurs de Salignac sont successivement appelés aux charges les plus éminentes. Parmi eux, le précepteur du petit-fils de Louis XIV, François de Salignac de la Mothe-Fénelon, archevêque de Cambrai.
En 1545, en épousant Armand de Gontaut-Biron, Jeanne de Salignac lui apporte en dot la baronnie de Salignac. Avec elle s'arrête la lignée directe des Salignac. La famille se continue cependant par la branche des Salignac-Fénelon.
En 1631, la peste frappe le village de Salignac. Elle y fait près de 500 victimes dont Marguerite Hurault de l'Hôpital, petite-fille du célèbre chancelier Michel de L'Hospital, veuve de Jean de Gontaut-Biron, baron de Salignac, ambassadeur de France à Constantinople. L'un des rescapés est Gautier de Costes de La Calprenède, l'un des romanciers et auteurs dramatiques les plus prisés de ses contemporains du siècle de Louis XIV.
La Révolution entraîne, à la fin du siècle, d'importantes transformations du bourg dont la création de nouvelles places. C'est alors, en 1791, que bon nombre des documents qui auraient permis de connaître en détail l'histoire médiévale du village sont brûlés par la population en liesse : titres féodaux, archives notariales et de la cure, etc.
En septembre 1939, après la décclaration de guerre avec l'Allemagne, les habitants de Saasenheim (commune du Bas-Rhin) sont évacués dans le département de la Dordogne, dans les communes de Cazoulès et Salignac-Eyvigues.
↑ Salignac-Eyvigues sur le site de l'insee
↑ Jumelage, site de la commune de Saasenheim, consulté le 24 juin 2024.
Héraldique
Les armes de Salignac-Eyvigues se blasonnent ainsi : « D'or à cinq cotices partitionnées de sinople et de gueules selon le parti de l'écu. »
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