Le Buisson-de-Cadouin est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine
De 1960 à 2015, la commune a été le chef-lieu d'un canton.
Géographie
Généralités
La commune du Buisson-de-Cadouin est implantée dans le quart sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir. Elle est arrosée par la Dordogne.
À l'intersection des routes départementales (RD) 25, 29 et 51E2, la ville du Buisson-de-Cadouin est située, en distances orthodromiques, huit kilomètres au sud du Bugue et treize kilomètres à l'est de Lalinde.
Le territoire communal est également desservi par les RD 28 et 54, ainsi qu'en gare du Buisson, nœud ferroviaire, au croisement entre la ligne de Niversac à Agen et la ligne de Libourne au Buisson.
Communes limitrophes
Le Buisson-de-Cadouin est limitrophe de onze autres communes.
Les limites communales de Le Buisson-de-Cadouin et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes du Buisson-de-Cadouin
Trémolat, Calès
Alles-sur-Dordogne
Saint-Chamassy, Coux et Bigaroque-Mouzens
Molières
Siorac-en-Périgord, Urval
Saint-Avit-Sénieur
Montferrand-du-Périgord
Bouillac
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Le Buisson-de-Cadouin est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5a(2), date du Campanien 1, des calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « , et leurs notices associées,.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CFp :
Formations superficielles : colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites indifférenciées
CFvs :
Formations superficielles : colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris
Formations superficielles : colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses de pentes et de vallons indifférenciés des terrains tertiaires et quaternaires, des terrains mésozoiques et de socle
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées : argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
Fy :
terrasses sous-flandriennes indifférenciées : sables, graviers et galets localement de grande taille (Weichsélien - '-Wurm'-)
Fxb(b) :
Basses terrasses (RD Garonne) - Terrasse d'Izon (type 6) indifférenciée : limons et sables jaunes à graviers et galets siliceux et petits galets calcaires (Saalien - Riss)
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
Oligocène
g2-A :
Molasse de l'Agenais sup. à faciès argileux dominant : argiles silteuses carbonatées vertes, noires à blanches à niveaux de sables ou grès micacés à rares graviers, quelques bancs de calcaires lacustres localement meuliérisés (Chattien continental)
g1-Cmo :
Calcaire de Monbazillac : calcaire lacustre et marno-calcaire localement meuliérisé et argiles carbonatées à nodules calcaires (niveau intercalé séparant les molasses de l'Agenais sup. et inf.) (Rupélien continental)
g1-Cc :
Formation du Calcaire de Castillon s.s. : calcaire lacustre micritique dur azoïque à nodules d'argiles vertes (plusieurs mètres d'épaisseur), faciès de meuliérisation localement (Rupélien basal continental)
g1-Ac :
Formation de Castillon - Argiles vertes de Castillon (et formation de la Bessède) : argiles carbonatées silteuses à sableuses et sables feldspathiques, localement niveaux de grès tendre, calcaires lacustres (Rupélien basal continental)
Éocène
e5-6 :
Formation de Guizengeard sup. : sables feldspathiques micacés, graviers, galets et argiles sableuses, ensemble ferrugineux, versicolore à lentilles argileuses parfois kaoliniques (Lutétien sup. à Bartonien sup. continental)
e4b(1) :
Formation de Guizengeard inf. : sables fins feldspathiques vert pâle à graviers et à matière organique, pyrite et argiles silteuses kaoliniques gris-verdâtres à blanchâtres à marmorisation / rubéfaction au sommet (Yprésien sup. continental)
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
Ac :
Altérites du Crétacé sup. : argiles kaoliniques, silteuses à sableuses, parfois rubéfiées, à gravier, à silex et chailles, avec apport local du Tertiaire (complexe des Doucins)
c5e :
Campanien 5 : calcaires bioclastiques jaunâtres à rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires gréseux jaunes à grands silex versicolores, lumachelles à huîtres (Pycnodonte vesicularis) (formation d'Aubeterre, de Lalinde, de Couze)
c5d :
Campanien 4 : calcaires crayo-marneux grisâtres et calcaires graveleux bioclastiques à orbitoides media et à lumachelles à huîtres (P. vesicularis) (formations de Barbezieux, de Lamonzie)
c5c :
Campanien 3 : alternance de marnes à glauconie et calcaires crayo-marneux jaunâtres (formations de Biron et de Coursac), présence localement de niveaux de calcaires gréseux fins ocre à Larrazetia et tempestites (formation de Journiac)
c5a(2) :
Campanien 1 : calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs avec localement des niveaux gréseux bioclastiques, marnes à rhynchonelles à la base (formations d'Atur, de Vergt, de Salon et de Trémolat)
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.4)
non présent
(201.4 - 251.902)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 538.8)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 43 ,.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 50,37 ,,. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 50,16 .
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne. Elle est drainée par la Dordogne, le Bélingou, le ruisseau de Brande, le ruisseau de Fonfourcade, le ruisseau de Gastouze, la Salvetat, le ruisseau du But et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 38 ,.
La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 puy de Sancy (1 885 monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde,. Elle arrose le territoire communal au nord sur cinq kilomètres, en deux endroits séparés par la commune d'Alles-sur-Dordogne, servant de limite naturelle sur plus de trois kilomètres, en trois tronçons, face à Coux et Bigaroque-Mouzens, Saint-Chamassy et Trémolat.
En rive gauche, quatre de ses affluents baignent la commune :
la Gastouze dans l'est sur plus de sept kilomètres ;
le ruisseau du But sur quatre kilomètres, passant par le bourg du Buisson ;
le ruisseau de Brande à l'est sur deux kilomètres dont 800 mètres en limite de Siorac-en-Périgord ;
le Bélingou à l'ouest sur près de sept kilomètres dont quatre kilomètres en limite de Molières, passant au bourg de Cadouin.
Le ruisseau de Fonfourcade, affluent de rive droite de la Couze, prend sa source dans le sud-ouest et marque sur près de 800 mètres la limite territoriale avec Saint-Avit-Sénieur.
La Salvetat, affluent de rive droite du Ségurel et sous-affluent de la Couze, prend sa source dans le sud-est qu'il baigne sur deux kilomètres dont 500 mètres face à Montferrand-du-Périgord.
La Dordogne au pont de Vic, entre Le Buisson-de-Cadouin (à gauche) et Saint-Chamassy.
Réseaux hydrographique et routier du Buisson-de-Cadouin.
Carte des schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) couvrant le territoire communal du Buisson-de-Cadouin.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont » et « Dordogne Atlantique ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR). Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 . Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le 10 mars 2022.
Le SAGE Dordogne amont concerne une grande partie nord-est du territoire communal, la zone restante, au sud et au nord-ouest, étant rattachée au SAGE Dordogne Atlantique.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité.
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat de la Nouvelle-Aquitaine et Climat de la Dordogne.
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain.
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 amplitude thermique annuelle de 15,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 11 vol d'oiseau, est de 13,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Milieux naturels et biodiversité
Natura 2000
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Le Buisson-de-Cadouin,. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées.
ZNIEFF
Partagée avec les communes de Bouillac et Saint-Avit-Rivière, la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II de la « forêt de la Bessède » s'étend sur plus de 7 500 hectares,, dont une partie importante concerne le territoire du Buisson-de-Cadouin.
Cette ZNIEFF héberge onze espèces d'oiseaux protégées sur le territoire national, : le Busard cendré (Circus pygargus), le Busard Saint-Martin (Circus cyaneus), la Bondrée apivore (Pernis apivorus), la Buse variable (Buteo buteo), la Chouette effraie (Tyto alba), la Chouette hulotte (Strix aluco), l'Engoulevent d'Europe (Caprimulgus europaeus), le Faucon hobereau (Falco subbuteo), la Fauvette pitchou (Sylvia undata), la Linotte mélodieuse (Carduelis cannabina) et la Locustelle tachetée (Locustella naevia).
Au niveau de sa flore, deux espèces de plantes sont également protégées au niveau national : la Droséra à feuilles rondes (Drosera rotundifolia) et la Laîche fausse (Carex pseudobrizoides), cette dernière étant considérée comme espèce déterminante.
Le Buisson-de-Cadouin fait partie des 102 communes concernées par une autre ZNIEFF de type II: « La Dordogne »,, dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales.
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↑ Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le 25 novembre 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
↑ Espèces, INPN, consulté le 25 novembre 2021.
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↑ Carte de localisation de la ZNIEFF 720000930, INPN, consulté le 16 septembre 2020. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
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Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Lo Boisson de Cadonh.
↑ Le nom occitan des communes du Périgord - Lo Boisson de Cadonh sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 4 novembre 2021.
Histoire
En 1893, la commune de Cabans prend le nom de Le Buisson.
En 1960, les communes de Cussac et Le Buisson fusionnent sous le nom de Le Buisson-Cussac.
En 1974, les quatre communes de Cadouin, Le Buisson-Cussac, Paleyrac et Urval s'associent sous le nouveau nom de Le Buisson-de-Cadouin.
Urval est rétablie en 1989.
Cadouin et Paleyrac conservent le statut de communes associées et, à ce titre, élisent chacune un maire délégué qui siège obligatoirement au conseil municipal du Buisson-de-Cadouin.
Héraldique
Depuis 1989
Blason
Écartelé :
aux 1 et 4, d'azur à une roue d'or accompagnée en pointe d'une rivière d'argent, qui est de Le Buisson-Cussac ;
au 2, d'argent au cognassier arraché de sinople, qui est de Cadouin ;
au 3, d'azur à la croix d'argent cantonnée de quatre pals d'or, à la bordure de gueules chargée de dix besants d'or, qui est de Paleyrac.
Détails
Les armoiries ont été actualisées à la suite du départ de la commune d'Urval en 1989 Armoiries réalisées pour la mairie par J.R. Bousquet (cf. courrier)
De 1974 à 1989
Blason
Écartelé :
au 1, d'azur à un aviron d'or posé en barre la pelle vers la pointe, soutenu par une rivière d'argent, qui est de Le Buisson-Cussac ;
au 2, d'argent au cognassier terrassé de sinople fruité d'or, accosté de deux fleurs de lis de même, qui est de Cadouin ;
au 3, d'azur à la croix d'argent cantonnée de quatre pals d'or, à la bordure cousue de gueules chargée de dix besants d'or, qui est de Paleyrac ;
au 4, d'azur à un ours passant d'or sur une terrasse de gueules surmonté d'un croissant d'argent, qui est d'Urval.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
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