Montferrand-du-Périgord est une commune française située dans le département de la Dordogne en région Nouvelle-Aquitaine
Limitrophe du site préhistorique de Combe-Capelle, elle bénéficie d'un riche patrimoine, en particulier son église Saint-Christophe.
Géographie
Localisation
Montferrand-du-Périgord se trouve en bordure sud de la route départementale 26, entre Beaumont-du-Périgord et Belvès, à égale distance de Bergerac, Sarlat-la-Canéda et Villefranche-du-Périgord.
Le village est sur le trajet du sentier de grande randonnée GR 36, entre Belvès et Monpazier.
Communes limitrophes
Montferrand-du-Périgord est limitrophe de six autres communes.
Les limites communales de Montferrand-du-Périgord et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes de Montferrand-du-Périgord
Saint-Avit-Sénieur
Le Buisson-de-Cadouin
Bouillac
Sainte-Croix
Saint-Romain-de-Monpazier
Saint-Avit-Rivière
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Montferrand-du-Périgord est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5a(2), date du Campanien 1, des calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « , et sa notice associée.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CFvs :
Formations superficielles : colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris
Formations superficielles : colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses de pentes et de vallons indifférenciés des terrains tertiaires et quaternaires, des terrains mésozoiques et de socle
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées : argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
non présent
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
Oligocène
g2-A :
Molasse de l'Agenais sup. à faciès argileux dominant : argiles silteuses carbonatées vertes, noires à blanches à niveaux de sables ou grès micacés à rares graviers, quelques bancs de calcaires lacustres localement meuliérisés (Chattien continental)
g1-Cmo :
Calcaire de Monbazillac : calcaire lacustre et marno-calcaire localement meuliérisé et argiles carbonatées à nodules calcaires (niveau intercalé séparant les molasses de l'Agenais sup. et inf.) (Rupélien continental)
g1-Cc :
Formation du Calcaire de Castillon s.s. : calcaire lacustre micritique dur azoïque à nodules d'argiles vertes (plusieurs mètres d'épaisseur), faciès de meuliérisation localement (Rupélien basal continental)
g1-Ac :
Formation de Castillon - Argiles vertes de Castillon (et formation de la Bessède) : argiles carbonatées silteuses à sableuses et sables feldspathiques, localement niveaux de grès tendre, calcaires lacustres (Rupélien basal continental)
Éocène
e5-6 :
Formation de Guizengeard sup. : sables feldspathiques micacés, graviers, galets et argiles sableuses, ensemble ferrugineux, versicolore à lentilles argileuses parfois kaoliniques (Lutétien sup. à Bartonien sup. continental)
e4b(1) :
Formation de Guizengeard inf. : sables fins feldspathiques vert pâle à graviers et à matière organique, pyrite et argiles silteuses kaoliniques gris-verdâtres à blanchâtres à marmorisation / rubéfaction au sommet (Yprésien sup. continental)
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
Ac :
Altérites du Crétacé sup. : argiles kaoliniques, silteuses à sableuses, parfois rubéfiées, à gravier, à silex et chailles, avec apport local du Tertiaire (complexe des Doucins)
c5e :
Campanien 5 : calcaires bioclastiques jaunâtres à rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires gréseux jaunes à grands silex versicolores, lumachelles à huîtres (Pycnodonte vesicularis) (formation d'Aubeterre, de Lalinde, de Couze)
c5c :
Campanien 3 : alternance de marnes à glauconie et calcaires crayo-marneux jaunâtres (formations de Biron et de Coursac), présence localement de niveaux de calcaires gréseux fins ocre à Larrazetia et tempestites (formation de Journiac)
c5a(2) :
Campanien 1 : calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs avec localement des niveaux gréseux bioclastiques, marnes à rhynchonelles à la base (formations d'Atur, de Vergt, de Salon et de Trémolat)
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.4)
non présent
(201.4 - 251.902)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 538.8)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 85 mètres et 234 mètres,.
Située sur le plateau aquitain, la commune domine la vallée préhistorique de la Couze, affluent de la Dordogne. Le point le plus haut se situe au nord, dans la forêt de la Bessède. Le point le plus bas se situe à l'ouest, sur la Couze, face au gisement préhistorique de Combe-Capelle.
Selon le relief, il existe différents types de sols :
sur les plateaux, des sols lessivés sur graviers, sables et argiles qui sont pauvres et légèrement acides, avec également la présence de minerai de fer ;
sur les pentes qui bordent les cours d’eau (Couze et affluents), on trouve principalement des causses calcaires durs du Tertiaire, sols perméables sensibles à la pollution ;
dans les vallées, un sol argileux, très humide au printemps puis rapidement desséché.
Les causses calcaires favorisent les orchidées.
Orchidées des coteaux nord.
Ophrys mouche (Ophrys insectifera).
Ophrys petite araignée, ou ophrys litigieux (Ophrys araneola).
Ophrys jaune (Ophrys lutea).
Orchis pourpre (Orchis purpurea).
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 13,10 ,,. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 13,22 .
Voies de communication et transports
La commune est traversée par deux routes départementales : la D 2 (axe nord-sud) et la D 26 (axe est-ouest).
La gare SNCF la plus proche est la gare du Buisson située à 12 km.
L'aéroport le plus proche est celui de Bergerac à 35 km.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne. Elle est drainée par la Couze, la Salvetat, le Ségurel, le ruisseau de Tournier, le Fournier et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 15 ,.
La Couze, d'une longueur totale de 30,09 Pays de Belvès (territoire de l'ancienne commune de Fongalop) et se jette dans la Dordogne en rive gauche à Couze-et-Saint-Front, face à Lalinde,. . Elle traverse la commune d'est en ouest sur quatre kilomètres et demi, servant de limite naturelle sur trois kilomètres, en plusieurs tronçons, face à Saint-Avit-Rivière et Saint-Avit-Sénieur.
Trois de ses affluents de rive droite arrosent la commune :
le ruisseau de Tournier sur deux kilomètres dans le nord-ouest dont près d'un kilomètre et demi face à Saint-Avit-Sénieur ;
le Fournier sur plus d'un kilomètre et demi ;
le Ségurel qui borde le territoire communal sur un kilomètre et demi au nord-est face à Bouillac.
Affluent de rive droite du Ségurel, la Salvetat marque également la limite territoriale au nord-est sur 1,3 kilomètre, face au Buisson-de-Cadouin et à Bouillac.
La vallée de la Couze vue depuis la RD 2.
La Couze en contrebas du village de Montferrand-du-Périgord.
Réseaux hydrographique et routier de Montferrand-du-Périgord.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR). Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le 10 mars 2022.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité.
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat de la Nouvelle-Aquitaine et Climat de la Dordogne.
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain.
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 amplitude thermique annuelle de 15,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 11 vol d'oiseau, est de 13,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
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Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Mont Ferrand de Perigòrd.
Ce nom peut avoir différentes origines. On peut penser à la présence de minerai de fer sur les coteaux nord de la commune, mais c'est une particularité qu'on retrouve dans toute la vallée de la Couze. Une autre origine, plus vraisemblable est celtique : le mot ferh (fort, fortifié), selon les Mémoires sur la langue celtique de Jean Baptiste Bullet, qui correspondrait à une place forte antérieure au château médiéval. C'est également l'origine de nombreux noms de famille qualifiant des hommes puissants et solides.
↑ Le nom occitan des communes du Périgord - Mont Ferrand de Perigòrd sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 4 novembre 2021.
Histoire
Préhistoire
Le territoire de la commune a été habité depuis la préhistoire. En témoignent plusieurs gisements de silex taillés sur les coteaux au nord et au sud de la Couze, ainsi que la présence, à quelques mètres de la commune, mais sur le territoire de Saint-Avit-Sénieur, du gisement néandertalien de Combe-Capelle.
C'est sur ce site qu'on a trouvé l'un des plus anciens outils fabriqués par l'homme : un lissoir.
Moyen Âge
Trois sarcophages de l’époque mérovingienne ont été également découverts à Piquepoul et dans une carrière de Bellevue,.
D'après une tradition orale non vérifiée, le village médiéval primitif se situait sur le plateau dominant le bourg actuel. Il aurait été incendié à la suite d'une épidémie de peste et rebâti sous la protection du château fort médiéval. Celui-ci était une place forte avancée de la baronnie de Biron. La chapelle romane Saint-Christophe (XIIe siècle), décorée de fresques romanes et gothiques, est le témoin du village primitif.
Sur le territoire de la commune deux autres monuments sont associés à la famille de Biron : le château de Regagnac et une métairie. Le premier était initialement un repaire noble construit au XIIIe siècle par la famille de Regagnac.
Le castrum de Monte Ferrando est mentionné dans la charte des coutumes accordé par le roi d'Angleterre , duc de Guyenne, à la bastide de Beaumont, en novembre 1286, le mettant dans le ressort de la bastide de Beaumont, sauf le château de Montferrand.
Renaissance
Le siècle est marqué par la construction de la halle et de plusieurs maisons du bourg, ainsi que par la reconstruction du château de Régagnac par la famille de Biron.
Époque contemporaine
En 1790, Montferrand devient le chef-lieu du canton de Montferrand, comprenant sept communes. Ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX (28 janvier 1801)
On construit une nouvelle église vers 1850 dans le bourg, auprès de la halle du XVIe siècle.
En 1894, la commune de Montferrand prend le nom de Montferrand-du-Périgord.
Au XIXe siècle, quatre foires annuelles reflétaient l'ampleur de l'activité commerciale du village dans son environnement.
↑ sur le site Gentside découverte, consulté le 21 avril 2014.
↑ http://visites.aquitaine.fr/montferrand-du-perigord, sur le site visite en Aquitaine du Conseil régional d'Aquitaine, consulté le 21 avril 2014.
↑ Société historique et archéologique du Périgord, 1953, tome 80, )
↑ « », 7 août 1999 (consulté le 20 août 2014).
↑ a et bErreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini
Héraldique
Blason
Parti : au premier d’argent à la bande ondée d’azur chargée de trois anilles du champ posées à plomb, au deuxième de gueules à la tour d’argent ouverte, ajourée et maçonnée de sable, posée sur un mont du même mouvant de la pointe.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sable sur gueules). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 21/01/2025 Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-naq/284198.html
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