Prats-de-Carlux est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Généralités
Dans le quart sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune de Prats-de-Carlux est entièrement située en rive droite de la Dordogne. C'est une commune rurale qui fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, zonage d’étude défini par l'Insee, qui a remplacé en 2020 l'aire urbaine de Sarlat-la-Canéda dont elle faisait partie. Elle est bordée à l'ouest par l'Énéa.
À 400 mètres au nord de la route départementale (RD) 47b, le petit bourg de Prats-de-Carlux se situe en distances orthodromiques, huit kilomètres à l'est-nord-est du centre-ville de Sarlat-la-Canéda et treize kilomètres à l'ouest de celui de Souillac.
La commune est également desservie par la RD 47.
Entre Saint-Vincent-le-Paluel à l'ouest et Calviac-en-Périgord et Carlux à l'est, le sentier de grande randonnée GR 6 traverse le sud de la commune sur trois kilomètres et demi.
Communes limitrophes
Prats-de-Carlux est limitrophe de cinq autres communes. Son territoire est éloigné au nord d'environ 110 mètres de celui de Salignac-Eyvigues et au sud-ouest d'environ 500 mètres de celui de Carsac-Aillac.
Les limites communales de Prats-de-Carlux et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes de Prats-de-Carlux
Sainte-Nathalène
Simeyrols
Saint-Vincent-le-Paluel
Carlux
Calviac-en-Périgord
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Prats-de-Carlux est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j6-7, date du Kimméridgien terminal au Tithonien, composée de calcaires micritiques en petits bancs alternant avec des bancs marneux à lumachelles. La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « , et sa notice associée.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CF :
Formations superficielles : colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses de pentes et de vallons indifférenciés des terrains tertiaires et quaternaires, des terrains mésozoiques et de socle
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées : argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
non présent
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
Ac :
Altérites du Crétacé sup. : argiles kaoliniques, silteuses à sableuses, parfois rubéfiées, à gravier, à silex et chailles, avec apport local du Tertiaire (complexe des Doucins)
c3b-c :
Coniacien moy. à sup. : calcaires bioclastiques grossiers et quartzeux jaunes à bryozoaires et gastéropodes, à niveaux gréseux (formation des Eyzies)
c3a :
Coniacien inf. : marnes et calcaires argileux grisâtres, calcaires marneux et glauconieux à rhynchonelles, calcaires fins à silex noirs (formation de la Rouquette)
c2c :
Turonien moyen à supérieur : calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à huîtres et à rhynchonelles, localement grès et sables jaunes (feuille de Terrasson)
c2b :
Turonien inf. à moy. : calcaire graveleux, puis calcaires crayeux bioclastiques à rudistes passant latéralement à des calcarénites
c2a :
Turonien inf. : Calcaire crayeux blanchâtre en plaquettes ou noduleux
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.4)
Supérieur
j6-7 :
Kimméridgien terminal à Tithonien : calcaires micritiques en petits bancs alternant avec des bancs marneux à lumachelles (Exogyra virgula)
Moyen
non présent
Jurassique inférieur
non présent
(201.4 - 251.902)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 538.8)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 97 mètres en limite ouest-sud-ouest, au sud-est du lieu-dit la Brame, là où un minuscule cours d'eau quitte la commune et entre sur celle de Saint-Vincent-le-Paluel pour rejoindre l'Énéa tout proche, et 248 ou 261 mètres à l'est, au Pech Clauzel,.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 13,00 ,,. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 12,95 .
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne. Elle est drainée par l'Énéa, le ruisseau de Merdansou et le ruisseau de Vedel, qui constituent un réseau hydrographique de sept kilomètres de longueur totale,.
L'Énéa, d'une longueur totale de 16,01 Proissans et se jette dans la Dordogne en rive droite à Carsac-Aillac, face à la commune de Domme,. Il sert de limite à l'ouest sur deux kilomètres en séparant Prats-de-Carlux de Sainte-Nathalène et Saint-Vincent-le-Paluel.
Son affluent de rive gauche le ruisseau de Merdansou borde le territoire communal au nord-ouest sur deux kilomètres, face à Sainte-Nathalène.
Le ruisseau de Vedel, autre affluent de rive gauche de l'Énéa, prend sa source sur la commune qu'il arrose sur plus d'un kilomètre et demi.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR). Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le 10 mars 2022.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité.
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat de la Nouvelle-Aquitaine et Climat de la Dordogne.
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain.
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 amplitude thermique annuelle de 15,5 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Salignac-Eyvigues à 8 vol d'oiseau, est de 13,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée,.
La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012 et se situe dans sa « zone de transition ».
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS).
Le site Natura 2000 Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne a été défini sur la commune,. Cependant, comme le montre la carte du site, la commune tangente seulement cette zone au sud-est, en limite de Calviac-en-Périgord, au sud du Pech des Genévriers.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
En 2022, une ZNIEFF est recensée sur la commune d’après l'INPN.
Cette ZNIEFF de type 2 intitulée « Coteaux à chênes verts du Sarladais : I-Rive droite de la Dordogne » ; elle correspond aux coteaux boisés en rive droite de la Dordogne et de plusieurs de ses affluents (d'amont vers l'aval, le ruisseau du Ponteil, l'Énéa, la Cuze, le ruisseau de Pontou, le ruisseau du Brudou et le Beringot), sur treize communes, depuis Carlux à l'est jusqu'à Castels et Bézenac à l'ouest, et notamment deux sites séparés représentant plus de 20 % du territoire communal de Prats-de-Carlux, au sud-ouest (vers les Gautheries) et au sud-est (à l'est de l'Homond, les Veyssières et la Plaine). L'intérêt majeur de cette ZNIEFF réside dans la présence de cinq espèces déterminantes d'oiseaux : l'Accenteur alpin (Prunella collaris), le Faucon pèlerin (Falco peregrinus), le Hibou grand-duc (Bubo bubo), le Martinet à ventre blanc (Tachymarptis melba) et le Tichodrome échelette (Tichodroma muraria), auxquelles s’ajoute une sixième, le Milan noir (Milvus migrans), également protégé au titre de la Directive oiseaux et une espèce de plantes, le Fragon petit-houx (Ruscus aculeatus), protégée au titre de la Directive habitats de l'Union européenne.
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Toponymie
Le lieu est relevé sous la forme Prati en 1479 dans les archives de Paluel puis Pratz en 1642 sur la carte du diocèse de Cahors, Pratx en 1651, Prats de Carlus dès 1701 dans l'état des impositions du Sarladais puis sur la carte de Belleyme vers 1780, et enfin sous sa forme actuelle en 1797 dans l'annuaire de l'an VI. Le nom dérive du latin pratum puis de l'occitan prat signifiant « pré », mis au pluriel (Prats). La seconde partie du nom se réfère à la châtellenie de Carlux dont la paroisse dépendait sous l'Ancien Régime,. Le nom signifie donc « les prés de Carlux ».
En occitan, la commune porte le nom de Prats de Carluç.
↑ a et bJean Roux, Dictionnaire toponymique des communes de Dordogne, Périgueux, Novelum IEO, 2020, 735 ISBN ), p. 461-462.
↑ Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Cahors, Éditions Fanlac, 2000, 447 ISBN ), p. 274.
↑ Le nom occitan des communes du Périgord - Prats de Carluç sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 9 novembre 2021.
Histoire
Le territoire communal a fait l'objet d'occupation humaine au Paléolithique, comme le prouve le site archéologique du Pech de Bourre.
Sous l'Ancien Régime, « Prats de Carlus ». était une paroisse de la châtellenie de Carlux, dépendant donc de la sénéchaussée de Sarlat et du diocèse de Cahors ; la commune de Prats-de-Carlux a été créée dans les premières années de la Révolution.
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↑ Vicomte Alexis de Gourgues, (A-K), article « Carlux », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 21 juillet 2022.
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Héraldique
Article connexe : Armorial des communes de la Dordogne.
Blason
Parti de gueules et d'or, à deux lions affrontés de l'un en l'autre, tenant une charte de parchemin au naturel, partie, chargée, à dextre, d'un lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'or et, à senestre, de cinq filets en fasce de sable, soutenus d'une masse d'armes d'or passée en sautoir avec une épée du même, le tout brochant sur le parti.
Détails
Reprend un décor mural présent derrière le retable de l'église. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
↑ « », sur armorialdefrance.fr (consulté le 22 avril 2021).
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