Pierrefitte-sur-Seine
Localisation
Pierrefitte-sur-Seine : descriptif
- Pierrefitte-sur-Seine
Pierrefitte-sur-Seine est une commune de la Seine-Saint-Denis, située entre Saint-Denis et le département du Val-d'Oise en région Île-de-France
Elle fait partie de l'EPT Plaine Commune et de la Métropole du Grand Paris
Sa fusion avec Saint-Denis est prévue le 1er janvier 2025, date à laquelle elle deviendra une commune déléguée de la commune nouvelle de Saint-Denis. Ses habitants sont appelés les Pierrefittoises et les Pierrefittois.
Géographie
Le territoire de Pierrefitte-sur-Seine se situe au nord de Saint-Denis, à une dizaine de kilomètres de Paris, sur la RN1. Il s'étend principalement sur la Plaine de France, mais ses limites nord-ouest sont constituées par les contreforts de la Butte-Pinson.
Communes limitrophes
Hydrographie
Un ensemble de petits ruisseaux est discernable sur les anciennes cartes, mais il a été enterré au fil de l'histoire afin de lutter contre les risques d'inondation tout en permettant le drainage des terrains.
Transports
Pierrefitte est située près des autoroutes A 1 et A 86. Elle est traversée par l'ex-RN 1 (plus de 50 000 véhicules par jour recensés avant 2013, c'est-à-dire avant la mise en service du T5) et la RN 301 (désormais numérotée D 901), et est le point de départ de l'ancienne RN 16 (désormais numérotée D 316 dans le Val-d'Oise) qui mène à Clermont (Oise). Autrefois, elle aboutissait à Dunkerque.
Longtemps mal desservie par les transports en commun, la ville a bénéficié progressivement de l'arrivée du RER (1987), du métro (1998), des tramways T5 (2013) et T11 (2017) ainsi que d'une amélioration progressive du réseau de bus.
Un désenclavement réussi
Jusqu'en avril 1991, seul un bus sur trois de la ligne de bus 150 venant de porte de la Villette allait au-delà de Mairie de Stains pour rejoindre Villetaneuse via Pierrefitte. Cette proportion est passée à un sur deux en 1991. À cette même époque, le sud de la ville attend le prolongement de la ligne 13 du métro à Saint-Denis université, en limite de Pierrefitte. Ce projet se concrétise en 1998 à la faveur des chantiers obtenus dans la foulée de la création du Stade de France.
La Gare de Pierrefitte - Stains est une des stations du depuis le . En juillet 2017, la gare, qui a reçu un nouveau quai quelques semaines plus tôt, est mise en correspondance avec la ligne de tramway T11. La nouveauté la plus structurante pour Pierrefitte est cependant l'arrivée en 2013 du qui traverse la ville du nord au sud sur l'ancienne RN1. Son succès immédiat conduit à plusieurs renforts successifs de sa fréquence.
Sur le plan routier, la RD 28 reliant Saint-Denis université à Villetaneuse a vu son tronçon Est inauguré en 2014, et son tronçon central ouvrir en 2020.
Aujourd'hui
La commune est desservie par :
- La ligne de tramway sur pneu T5.
Depuis le , le tramway relie la station Marché de Saint-Denis (tramway d'Île-de-France) à la gare de Garges-Sarcelles, et dessert du nord au sud la ville, et notamment son centre, ainsi que le quartier des Poètes, le Petit Pierrefitte, et le cimetière des Joncherolles. - La ligne de tramway T11.
Le T11 est mis en service le - Le et T11 desservent la gare de Pierrefitte - Stains, située en limite Est de la commune.
- La station de métro Saint-Denis - Université, sur la ligne 13 du métro de Paris, en limite sud de la commune.
La desserte en bus est assurée par les lignes du réseau de bus RATP en journée et Noctilien la nuit.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 amplitude thermique annuelle de 15,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bonneuil-en-France à 5 vol d'oiseau, est de 12,1 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2,3 | 2,1 | 4,2 | 6,3 | 9,8 | 13 | 14,9 | 14,6 | 11,5 | 8,8 | 5,2 | 2,8 | 8 |
Température moyenne (°C) | 4,9 | 5,4 | 8,4 | 11,2 | 14,7 | 18 | 20,2 | 20 | 16,5 | 12,7 | 8,1 | 5,4 | 12,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,5 | 8,7 | 12,6 | 16,1 | 19,6 | 23 | 25,5 | 25,4 | 21,5 | 16,5 | 11,1 | 7,9 | 16,3 |
Record de froid (°C) date du record |
−18,2 17.01.1985 |
−16,8 14.02.1956 |
−9,6 07.03.1971 |
−3,7 01.04.1931 |
−1,6 06.05.1957 |
0,9 13.06.1935 |
3,5 09.07.1929 |
1,9 01.08.1923 |
0,1 24.09.1931 |
−5,6 30.10.1985 |
−9,5 28.11.1921 |
−15,1 16.12.1925 |
−18,2 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,1 27.01.03 |
20,8 28.02.1960 |
25,5 31.03.21 |
31,9 18.04.1949 |
35 24.05.1922 |
36,9 27.06.11 |
42,1 25.07.19 |
40,2 12.08.03 |
35,3 09.09.23 |
29,4 04.10.1921 |
21,3 08.11.15 |
17,2 16.12.1989 |
42,1 2019 |
Ensoleillement (h) | 574 | 737 | 1 293 | 171 | 1 894 | 203 | 2 132 | 2 064 | 1 616 | 1 113 | 637 | 543 | 16 342 |
Précipitations (mm) | 46,8 | 41,1 | 43,9 | 43,1 | 60,5 | 53,8 | 56,3 | 52,5 | 44,6 | 56,7 | 53,6 | 63,4 | 616,3 |
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Toponymie
Le nom de la localité est attesté, dès le siècle, (l'abbé de Saint-Denis faisant mention des vignobles de petra ficta dans ses écrits en 862).
Pierrefitte (mentionné anciennement petra ficta en 862) est une formation toponymique romane qui signifierait « pierre fichée » (en latin Petraficta), c'est-à-dire « pierre dressée et plantée ». Il se réfère soit à une borne, soit à un mégalithe. Il équivaut aux types Pierrefitte.
Le nom de Pierrefitte se voit officiellement complété de la mention « sur-Seine » par l'administration en 1920 afin de faciliter le travail de la poste et de spécifier le rattachement de la commune au département de la Seine, alors que la ville n'est pas baignée par le fleuve éponyme.
- « », sur le site de la mairie (consulté le ).
Histoire
Du Moyen Âge à la Révolution française
Propriété de l’abbaye de Saint-Denis au siècle, elle fut en partie détruite au guerre de Cent Ans.
Au Butte-Pinson le gypse — de la pierre à plâtre — formé à la période du Ludien, il y a 35 millions d'années. Les risques d'affaissement des zones anciennes carrière ont conduit à la définition d'un périmètre de risques.
De 1790 à 1795 Pierrefitte-sur-Seine était un canton du district de Franciade.
-
Extrait de la carte de Cassini. Pierrefitte est au nord de Saint-Denis.
-
Les terroirs de Stains-Pierrefitte-Villetaneuse-Epinay en 1707
-
Sceau de Pierrefitte, 1791. Archives nationales, cote SC/S/381
Le | ]
La commune est ainsi décrite en 1841 dans la Nouvelle histoire de Paris de Julien de Gaulle : « Pierretitte, à 5 lieues nord de Paris, n'est remarquable par aucun monument. C'est un village dont l'histoire n'a rien de particulier.
Il renferme de jolies maisons. Sa seigneurie relevait, au abbaye de Saint-Denis. Elle en fut détachée plus tard, et donnée pendant l'invasion anglaise à un nommé Fréron qui avait favorisé l'entrée des Bourguignons dans Paris ».
En 1856, Pierrefitte est desservie par le chemin de fer avec la mise en service de la ligne de Paris-Nord à Lille, ce qui permet à la ville de devenir un lieu de petite villégiature pour des Parisiens aisés.
La ville est ravagée par les bombardements de la guerre franco-allemande de 1870. Le sommet de la butte Pinson est utilisé lors du siège de Paris de 1870, par les troupes prussiennes qui y installent dès le 21 septembre plusieurs batteries d'artillerie, dont les positions seront bombardées par l'artillerie des forts de la Briche et de la Double-Couronne et qui seront eux-mêmes bombardés.
L'armée française, dans le cadre du renforcement de la protection de la place fortifiée de Paris, aménage au sommet de la butte Pinson une fortification du système Séré de Rivières : la Redoute de la Butte-Pinson,..
En 1896, Pierrefitte est un bourg de 2 468 habitants dont l’activité économique dépend principalement de deux entreprises, l’une de tentures murales, dite Lincrusta Walton avec 40 ouvriers, et l’autre de matériel de chemin de fer avec 30 ouvriers, auxquelles s’ajoute une maison d’épicerie en gros. L'agriculture est consacrée à la culture maraîchère et à l’horticulture, qui ont remplacé la fabrication du vin, les plants de vigne ayant peu à peu disparu.
Le bourg compte alors 383 maisons (dont 51 de deux étages et cinq de trois étages et plus) constituant 717 logements, ainsi que 32 ateliers et 47 commerces.
L'urbanisation de Pierrefitte a été fortement développée avec un accroissement de l'offre de trains de banlieue par la Compagnie des chemins de fer du Nord et le développement des quartiers de lotissement ouvriers, la Butte Pinson étant devenue un lieu où plusieurs guinguettes étaient aménagées pour le plaisir des habitants ainsi que des parisiens.
Le | ]
De plus, la ville a été desservie par trois lignes de tramways au début du XXe siècle :
- la ligne Pont de Saint-Cloud des TMEP par le Barrage (place du Général-Leclerc) et la gare de Saint-Denis et les quais rive droite, le pont de Saint-Ouen et les quais de la rive gauche.
Cette ligne a fonctionné du au - la ligne PC de Mairie de Pierrefitte à porte de Clignancourt, créée par la TPDS, qui a circulé du
- la ligne 11b de la STCRP Gare de l'Est - Barrage de Pierrefitte, créée le
Les deux lignes de tramway ont été supprimées par la Société des transports en commun de la région parisienne le 18 mai 1936 : l'ensemble du secteur était désormais desservi par des autobus, alors considérés comme plus modernes.
-
Tramway de la ligne PC (Pierrefitte - Porte de Clignancourt) des TPDS sur l'actuelle avenue Lénine, vers 1910. -
Tenture murale produite par Lincrusta vers 1901. -
Une boucherie en 1909. -
L'activité agricole n'a cessé à Pierrefitte qu'après la Seconde Guerre mondiale. -
Le Petit Pierrefitte est un quartier situé en limite de Saint-Denis, toujours marqué par ses ruelles perpendiculaires à la RN 1.
Avant la Seconde Guerre mondiale, Albert Richard (1894-1944) dirige la ville pour le PCF. toutefois, influencé par l'ancien maire de Saint-Denis Jacques Doriot, il rejoint le parti Parti populaire français, de tendance fasciste.
Dans les années 1930, il est envisagé de faire passer par la Butte Pinson le projet d'autoroute B16 (de Moisselles à Villeneuve-la-Garenne) et par l'actuelle RD28 le projet d'autoroute F2, projets qui seront abandonnés dans les années 1970,,.
- Seconde Guerre mondiale
En janvier 1940, pendant la Drôle de guerre, six trains sanitaires sont stationnés au dépôt des Joncherolles. Des officiers, soldats et infirmiers sont logés chez les habitants.
Lors de la Bataille de France, le , les Allemands entrent dans la ville. Certains noms de rue changent, comme le boulevard Chamberlain qui devient le boulevard Maréchal-Pétain (Aujourd'hui, boulevard Charles-de-Gaulle).
Le , les Forces françaises de l'intérieur (FFI) s'affrontent aux occupants. Deux blindés allemands sont jetés dans un fossé de la ligne de chemin de fer, un soldat allemand est tué avenue de la République. Neuf otages sont fusillés en représailles.
Pierrefitte est libérée d'abord par les FFI le , puis par la division blindée entrée à Pierrefitte le . Ce même jour, le commandant Massu aborde la redoute de la Butte-Pinson vers 14 .
363 Pierrefittois auraient été appréhendés pour le Service du travail obligatoire (STO).
À la Libération, le 27 août 1944 par la division Leclerc, Raymond Picard prend la succession des maires nommés par le régime de Vichy.
En mai 1968, plusieurs usines sont occupées. Après la dissolution de 1968, le communiste Étienne Fajon est néanmoins réélu.
Le | ]
Dans le cadre de son développement et des besoins de logements des années 1970, la ville avait confié aux architectes Yves et Luc Euvremer (1978–1983 en collaboration avec Jean Renaudie) et Mila et Geronimo Padron-Lopez la réalisation d'un ensemble d’habitat social d'environ 900 logements réalisés entre 1973 et 1994 dans le cadre de la ZAC du Barrage dont les premières études remontent à 1963.
Compte tenu des grandes difficultés sociales et des nombreux dysfonctionnements de cet ensemble, la municipalité, Plaine Commune et l'ANRU ont décidé en 2007 sa démolition dans le cadre de la réalisation d'une nouvelle ZAC, ce qui a amené une importante mobilisation d'architectes, émus par le sort promis à cet habitat social des années 1980 qu’ils considèrent comme une œuvre architecturale et urbaine majeure.
Le tribunal administratif de Montreuil a rejeté leur recours, estimant « que la réalisation de la cité Desnos, si ce n’est sa conception même, n’a pas atteint les objectifs poursuivis par son concepteur en matière d’écologie et de qualité de vie de ses habitants ». Après avoir relevé les spécificités formelles de ces logements, « le tribunal en déduit naturellement que la cité Desnos ne peut être regardée comme un symbole d’une période de l’histoire de l’architecture, qui ferait partie d’un patrimoine à protéger ou à mettre en valeur. »,,. Les bâtiments sont démolis en 2010-2011 après le relogement de l'ensemble des habitants, et l'aménagement de la ZAC des Poètes, se poursuit depuis.
En avril 2023, les maires de Pierrefitte-sur-Seine et Saint-Denis décident d'entamer la procédure de création pour janvier 2025 d'une commune nouvelle dont Pierrefitte-sur-Seine sera une commune déléguée,. La fusion est votée par les majorités socialistes et écologistes des deux villes le , le conseil municipal de Pierrefitte-sur-Seine s'exprimant en faveur par 26 voix sur 36 et celui de Saint-Denis, en faveur par 45 voix sur 55. Le préfet de la Seine-Saint-Denis a prononcé la fusion par un arrêté du qui prend effet le
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- Pierrefitte-sur-Seine : Notice historique et renseignements administratifs, monographie de 1896 mentionnée en bibliographie
- La Tramways mécaniques des environs de Paris (TMEP), de manière générale en très grande difficulté financière, et qui venait de subir les désastreuses inondations de la Seine de janvier 1910, fut absorbée par la compagnie des tramways de Paris et du département de la Seine (TPDS) le 1er juin 1910. La TDPS coupa dès cette date la ligne en trois, avec :
- la ligne BA (Saint-Cloud - Asnières-sur-Seine)
- la ligne AsD (Asnières-sur-Seine - Saint-Denis (Seine-Saint-Denis))
- la ligne PC (Pierrefitte - Porte de Clignancourt)
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Culture
Sport
La course cycliste Paris-Roubaix a débuté pendant longtemps devant un café de la RN 1, à l'entrée de Pierrefitte. Le départ de la course cycliste Paris-Lillers y est également attesté de 1937 à 1939.
Depuis 1975, le jeudi de l'ascension est l'occasion d'une grande course à pied populaire nommée les Foulées pierrefittoises.
Art
La commune organise pour la première fois en 2021 un festival intitulé Festiv’art en collaboration avec le conservatoire de musique et de danse de Pierrefitte.
La maison du peuple, aussi intitulée maison commune, accueille diverses activités culturelles : des concerts, des événements organisés par des associations, des pièces de théâtre, mais aussi la saison culturelle.
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Héraldique
Blason | De gueules à trois rochers d'argent mouvant de la pointe, celui du centre plus élevé, surmonté d'un pinson d'or, au chef cousu d'azur d'un clou d'argent, accosté de deux fleurs de lis d'or |
|
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Détails | Par ses fleurs de lys d’or et le clou au centre, le blason rappelle la suzeraineté de l’abbaye royale de Saint-Denis sur la commune. Le bleu et le rouge sont les couleurs de Paris et du département de la Seine, duquel dépendait alors Pierrefitte. Les pierres blanches et l'oiseau au sommet de la plus haute d'entre elles évoquent la Butte-Pinson et les carrières de gypse Dessiné par M. Louis et attribué à la Ville par arrêté préfectoral du |
- « », mairie-pierrefitte93.fr (consulté le ).
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