Palaiseau
Localisation
Palaiseau : descriptif
- Palaiseau
Palaiseau (prononcé [palɛzo] ) est une commune française située à dix-huit kilomètres au sud-ouest de Paris, sous-préfecture du département de l’Essonne, dans la région Île-de-France. Domaine royal au VIe siècle puis à nouveau au XVIIIe siècle sur la route importante de Chartres à Paris, la commune se développa fortement dès le XIXe siècle avec l’arrivée du chemin de fer
Palaiseau devint alors un lieu de villégiature, des écrivains tels que George Sand, Alexandre Dumas, Charles Péguy bâtirent leurs villas et petits castels près des gares
Un palmarès du journal Le Parisien en 2018, classe Palaiseau troisième ville d'Essonne où il fait bon être parent. Elle accueille sur son territoire plusieurs grandes écoles françaises : l’École polytechnique, l'Institut d'optique, l’ENSTA ParisTech, l'ENSAE ParisTech, l'Institut Mines-Télécom, AgroParisTech ainsi que des centres de recherche de l’Onera, Danone, Thales et EDF. Ses habitants sont appelés les Palaisiens.
Géographie
Situation
Palaiseau est située dans la grande banlieue parisienne, dans la région naturelle du Hurepoix, au bord de la rivière l'Yvette, au débouché de la basse Vallée de Chevreuse. Elle occupe 1 151 hectares dans un rectangle d’approximativement 5,6 kilomètres de long et 3,1 kilomètres de large, sur lequel subsistent en 2003 cent cinquante-neuf hectares d’espaces verts, quatre cent onze hectares d’espaces ruraux, principalement sur le plateau.
Huit ponts et huit passerelles permettent de franchir l'Yvette, dont un pour accéder au stade, un pour l'autoroute A10, un pour la LGV Atlantique.
Palaiseau est située à dix-huit kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame, point zéro des routes de France, dix-sept kilomètres au nord-ouest d’Évry, neuf kilomètres au nord-ouest de Montlhéry, treize kilomètres au sud-est de Versailles, quatorze kilomètres au nord-ouest d’Arpajon, vingt-et-un kilomètres au nord-ouest de Corbeil-Essonnes, vingt-six kilomètres au nord-est de Dourdan, vingt-six kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais, trente-deux kilomètres au nord d’Étampes et trente-huit kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt.
Communes limitrophes
Au nord, la commune est limitrophe d’Igny, au nord-est, de Massy dont elle partage la gare principale, à l’est, la petite commune de Champlan, au sud-est et sud, l’Yvette sépare la commune de Villebon-sur-Yvette. Au sud-ouest, Palaiseau partage des quartiers avec Orsay (La Troche, Lozère), sur le plateau de Saclay, la commune est liée à Saclay à l’ouest et Vauhallan au nord-ouest.
Vauhallan | Igny | Massy | ||
Saclay | N | Champlan | ||
O Palaiseau E | ||||
S | ||||
Orsay | Villebon-sur-Yvette | Villebon-sur-Yvette |
Relief et géologie
Le relief de Palaiseau se développe entre quarante-sept mètres sur la rive de l’Yvette et cent cinquante-neuf mètres sur le plateau de Saclay. Sur le versant sud, sept cents mètres linéaires séparent le lit de la rivière et le plateau, le dénivelé est donc relativement important.
Sur le versant est, la pente est plus douce vers le lit de la Bièvre à Igny. À proximité de la gare de Lozère, un escalier, appelé « Sentier de la Gloire » par les étudiants, mène au plateau et à l’École polytechnique par la Troche sur un dénivelé de cinquante mètres. La commune est située sur un terrain mêlant argile dans le fond de la vallée, sable et meulière sur les hauteurs.
Hydrographie
Le territoire de la commune est séparé d’Orsay et Villebon-sur-Yvette par la rivière l’Yvette qui marque ainsi toute la frontière est et sud de la commune. Un lac naturel fait office de bassin de retenue dans le quartier de Lozère, à proximité d’Orsay. Un ruisseau souterrain suit le trajet de l’autoroute A 10 pour se jeter dans la rivière. Un grand lac artificiel a été aménagé dans le parc de l’École polytechnique. Sur le plateau, des rigoles canalisent le ruisseau de Corbeville depuis Orsay jusqu’à l’étang de Saclay en passant par la forêt domaniale : rigole de l’État, rigole des Granges et rigole Domaniale.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 amplitude thermique annuelle de 15,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épinay-sur-Orge à 7 vol d'oiseau, est de 11,5 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par divers grands axes qui la rendent accessible en voiture depuis Paris de la Porte de Saint-Cloud par l’ex-route nationale 10 puis par la route nationale 118, direction Orléans/Chartres, sortie « Palaiseau, Igny, gare de Massy-TGV » puis par la route départementale 444 ; de la Porte d'Orléans par l’ex-route nationale 20 puis la RN 188, sortie « Palaiseau » et de la Porte d'Orléans par l’autoroute A6a, ou de la Porte d'Italie par l’A6b, bifurcation A10 en direction de Bordeaux/Nantes, sortie « Massy, Palaiseau, Villebon-sur-Yvette ».
Elle dispose aussi de connexions ferroviaires par le RER B : direction Saint-Rémy-lès-Chevreuse, stations « Massy-Palaiseau », « Palaiseau », « Palaiseau-Villebon » et « Lozère » ; le RER C : correspondance à Massy-Palaiseau avec le RER B direction Saint-Rémy-lès-Chevreuse ; la gare de Massy TGV : correspondance à Massy-Palaiseau avec le RER B direction Saint-Rémy-lès-Chevreuse. D'autre part, un arrêt de la ligne 18 du Grand Paris Express, actuellement en attente de la Société du Grand-Paris, devrait être créé sur la commune au plus tard en 2027, la reliant au CEA de Saclay à l'ouest et à l'aéroport d'Orly à l'est, puis à Versailles en 2030.
L'aéroport Paris-Orly est accessible par l'Orlyval, et une correspondance à la gare d'Antony avec le RER B en direction de Paris. L'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle est accessible lui directement par le RER B direction Paris, en environ quatre-vingt-dix minutes.
La ligne de bus RATP 199 (stations « Barbusse-Baudot », « Cosmonautes-Flaubert », « Cosmonautes-Stalingrad », « Pierre Curie »), la ligne de bus RATP 119 dessert le Pileu à partir de la gare de Massy-Palaiseau, la Noctilien N122 (stations « Massy-Palaiseau », « Édouard Branly », « Palaiseau-Villebon ») et Noctilien N63 (station « Massy-Palaiseau ») entre 0 h 30 et 5 h 30, les autobus Cœur d'Essonne (M153) : station « Massy-Palaiseau RER » ou stations « Flaubert », « Stalingrad », « Ambroise Croizat », « Léon Blum » et « Gutenberg », le réseau de bus Paris-Saclay (1, 8, 14, 15, 18, 19, DM12, 91-06 et 91-08) et enfin le réseau de bus Île-de-France Ouest (91-10) desservent la commune.
- Occupation des sols de Palaiseau
- Orthodromie entre Palaiseau et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
- Orthodromie entre Palaiseau et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
- Orthodromie entre Palaiseau et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
- Orthodromie entre Palaiseau et Versailles sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
- Orthodromie entre Palaiseau et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
- Orthodromie entre Palaiseau et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
- Orthodromie entre Palaiseau et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
- Orthodromie entre Palaiseau et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
- Orthodromie entre Palaiseau et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
- Orthodromie entre Palaiseau et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
- %2FC11 Fiche géologique de Palaiseau sur le site du BRGM. Consulté le 12/08/2012.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Palaciola, Palaceolo sur une pièce de monnaie mérovingienne, Palatiolum au .
Le nom de la commune serait issu du mot latin Palatiolum, au , en référence au petit château royal que possédait .
Le nom de Palaiseul (Haute-Marne) a la même origine.
Le nom de la commune était parfois orthographié Palaizeau.
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Paris guide: par les principaux écrivains et artistes de la France, Volume 2, page 1515, (d'après l'abbé Lebeuf)
Histoire
Les origines
L’histoire de Palaiseau débute avec la construction pour d’un petit château, dénommé palatiolum en latin, qui donna son nom au lieu. Plus tard, la reine Bathilde, épouse du roi Clovis II s’y installa avec son fils, Clotaire. Elle fut à l’origine d’une abbaye à proximité du château, avec le moine saint Wandrille venu de Rouen pour une affaire concernant l’abbaye des Fontanelles.
L’existence du site est attestée à partir du , date à laquelle Pépin le Bref fit don du domaine de Palaiseau et de ses dépendances à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés lors, dit-on, de l’exhumation des restes de saint Germain en présence du pape. Le cercueil semblait trop lourd pour être transféré lorsqu’un spectateur aurait prétendu que c’était à cause du conflit entre le domaine royal et l’abbaye au sujet de Palaiseau que le corps du saint était bloqué. Pépin ayant effectué la donation, le corps de saint Germain aurait immédiatement pu être déplacé. Cette terre s’étendait alors sur les communes actuelles de Palaiseau, Orsay, Bures-sur-Yvette, Gif-sur-Yvette, Saint-Rémy-lès-Chevreuse, Saclay, Vauhallan et Villebon-sur-Yvette. Des impôts importants devaient alors être versés à l’abbaye.
Palaiseau, domaine partagé
En 950, le domaine fut cédé à Guérin dit « le Vieux », premier seigneur laïc, vassal du roi de France. Mais vers l’An mille, et jusqu’au règne de Philippe-Auguste, le domaine était éclaté entre près de dix seigneurs. Hugues le Grand, abbé de Saint Germain des Prés vendit Palaiseau. En 1099, l’un d’eux, le chevalier Gontran de L'Ozerre (déformé plus tard en Lozère) se signala lors de la prise de Jérusalem en égorgeant plus de cent musulmans. De retour, il céda son fief du lieu-dit Fourcherolle à l’abbé Bertrand.
En 1262, le seigneur de Palaiseau décéda, saint Louis donna sa fille Jeanne en mariage à un Le Brun, qui devint seigneur de Palaiseau. Cette famille resta sur le domaine jusqu’au chevalier Guillaume II de Harville. Ce dernier fut tué en 1415 à la bataille d'Azincourt. Son fils étant trop jeune, le domaine sans chef tomba en 1417 devant les assauts de Jean sans Peur, comme les châteaux de Montlhéry, Marcoussis et Dourdan. La cité fut alors confiée par Henri V d'Angleterre à la garnison de Montlhéry. En 1430, Thomas Burcho, écuyer anglais, fut fait seigneur de Palaiseau. En 1436, Guillaume III de Harville récupéra le fief de Palaiseau. La famille resta implantée jusqu’au XVIIIe siècle.
Au Louis XIII érigea le domaine en marquisat pour récompenser Anne-Antoine de Harville, qui fut gouverneur de Calais de 1622 à 1627. En 1652, la ville fut frappée par la peste.
En 1701, François de Harville décéda et le domaine revint à son gendre, Nicolas-Simon Arnauld de Pomponne, fils du diplomate et ministre Simon Arnauld de Pomponne.
En 1714, le prêtre Joseph Lambert ouvrit la première institution d’instruction gratuite pour garçons à Palaiseau.
Le
Révolution française
La Révolution française fit son office, le : l’assemblée locale fut élue, le prince Louis-Joseph de Condé fut le dernier seigneur de Palaiseau.
Le a lieu la deuxième élection de l’assemblée locale. Première grande décision de cette assemblée, en 1805, la constitution d’un corps de Pompiers.
Le | ]
En 1833, la ville fit l’acquisition d’une pompe à bras.
En 1848, l'État décide l’implantation à Palaiseau d’une brigade de gendarmes à pied.
En 1856, la tour de l’église Saint-Martin fut dotée d’une flèche de vingt-six mètres et d’un paratonnerre.
En 1845 débuta la construction de la ligne de Sceaux, inaugurée le . Le , la ligne est prolongée à Orsay, et son exploitant fusionne avec la compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans. Palaiseau qui était depuis longtemps un relais de poste sur la route de Chartres à Paris devint accessible rapidement par les Parisiens grâce à ses trois gares : Palaiseau, Palaiseau-Villebon et Lozère. D’abord des écrivains (George Sand, Alexandre Dumas Fils, Charles Péguy, et autres) puis des anonymes construisirent de riches demeures sur les coteaux ou dans la vallée. Une de ces demeures est le château de la Saussaye en face de la gare de Palaiseau. Le Château d'Ardenay est une autre de ces demeures.
En 1864, Palaiseau est dotée d'un bureau de Postes et télégraphes.
En 1870, Palaiseau accueillit une usine à gaz d’éclairage qui remplaçait l’éclairage public à huile installé en 1843. Mais le , lors de la guerre franco-allemande de 1870, Palaiseau fut occupée par 35 000 Prussiens, ils ne quittèrent la commune que le . Cet épisode décida l’État-major à protéger la capitale par des places fortes. Palaiseau, par sa situation dominante sur la vallée de l’Yvette, fut choisie. Le fort de Palaiseau et deux batteries furent construits sur les hauteurs en 1879.
En 1880, la ville devint carrefour de communication. À la ligne de Sceaux s’ajouta la ligne de Grande Ceinture dont la gare de Massy - Palaiseau fut inaugurée le .
Le , le sculpteur Louis Albert-Lefeuvre offrit à la commune une sculpture représentant le héros « adoptif » de la commune, Joseph Bara. Néanmoins, il participe à la légende en le représentant un sabre à la main, alors que le jeune homme n’était que tambour dans le régiment de hussards.
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En 1913, la commune passa à l’éclairage électrique avec une concession accordée à l'entreprise Sud-Lumière.
- Première Guerre mondiale
Mais à nouveau la Grande Guerre meurtrit la ville. Pendant la Première Guerre mondiale, le château de Villebon devint un Hôpital auxiliaire pour convalescents militaires (HACM). En février 1917, l’explosion de l’usine de munition Loyer située près de la gare de Massy - Palaiseau déclencha un petit cataclysme dans toute la vallée.
- L'Entre-deux-guerres
En 1922, la ville poursuivit son essor avec l’ouverture des établissements Despreux Frères, qui devinrent plus tard la Société de fabrication d’instruments de mesures (SFIM).
En 1932 ouvrit un hôpital-hospice. En 1937, à la gendarmerie s’ajouta un commissariat de police.
- La Seconde Guerre mondiale
La guerre toucha une nouvelle fois Palaiseau, occupée par les Allemands qui établirent une Kommandantur et stationnèrent deux bataillons de la Wehrmacht et la SS au château de Villebon-sur-Yvette.
Elle ne fut libérée que le par la Division Leclerc. En parallèle se tenaient à Palaiseau les réunions du Comité militaire national (CMN) du mouvement de résistance des Francs-tireurs et partisans.
- Après-guerre, Trente glorieuses et XXIe siècle
Depuis, Palaiseau qui a longtemps fait partie de la « banlieue rouge » de Paris a poursuivi son essor pour devenir le pôle principal du Nord-Ouest essonnien.
En 1948, sa caserne de pompiers est classée Centre principal de secours contre l’incendie
La ville est promue en 1962 sous-préfecture du département de Seine-et-Oise, puis en 1968 du département de l'Essonne.
En 1976, l’École polytechnique s’installa sur le territoire de la commune. Les quartiers du Pileu, des Garennes furent lotis, des grands ensembles furent construits et des équipements collectifs ajoutés pour répondre aux nouveaux besoins des Palaisiens.
- Lorànt Deutsch, Métronome : L'histoire de France au rythme du métro parisien, Michel Lafon, septembre 2009, 380p (ISBN ).
- Marie-Claire Roux, En arrière toutes ! Des villes de banlieue dans la Grande Guerre, Athis-Mons, Maison de Banlieue et de l’Architecture, , 96 ISBN ), p. 35.
Culture
La commune est dotée d’un service de développement culturel chargé de la programmation des manifestations et de la sensibilisation des plus jeunes à la culture.
Le Ferry est un lieu de vie culturel situé sur l’avenue Stalingrad à Palaiseau. Destiné entre autres à la création et à la diffusion de projets culturels, il propose à différents publics de Palaiseau et alentour un espace de création et de rencontre.
On peut également admirer les collections du musée du Hurepoix ouvert en 1991.
En matière d’infrastructure, la ville dispose de : la médiathèque George-Sand et trois bibliothèques à Lozère, le Pileu et les Hautes Garennes, une École de musique et de danse, une MJC rénovée fin 2016, de trois théâtres, les Trois Vallées, la Mare au Diable et le théâtre de la Passerelle terminé fin 2016, un cinéma, anciennement, les Quatre Champs, rénové à partir 2003 et rouvert le 10 décembre 2009 sous le nom Cinépal, accessible aux personnes handicapées et malentendantes ; neuf salles municipales, la principale, l'espace Salvador-Allende (comportant notamment la salle Guy-Vinet), pouvant contenir jusqu'à 600 personnes, le foyer Drouillette (200 personnes), le centre social Les Hautes Garennes (115 personnes), la maison du quartier Gérard-Philipe (100 personnes), la salle des Champs-Frétauts (60 personnes), la maison du quartier Audiberti (50 personnes), la salle Marceau (50 personnes), la salle Voltaire (50 personnes) et la salle de la rue Louise (40 personnes) ainsi qu'une autre maison du quartier : Jacques-Brel ; trois espaces publics numériques.
La commune accueille en sus cinquante et une[Quand ?] associations à but culturel.
- Site officiel de la médiathèque de Palaiseau.
- Site officiel de la MJC de Palaiseau.
- Site officiel du théâtre de la Mare au Diable.
- Mairie de Palaiseau, « » [], sur ville-palaiseau.fr (consulté le ).
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