Les Ulis

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Les Ulis : descriptif

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Les Ulis

Les Ulis (/le.z‿y.lis/ ) sont une commune française située à vingt-quatre kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l’Essonne en région Île-de-France. 196ᵉ et dernière ville a être créée dans le département de l'Essonne le 17 février 1977, la commune des Ulis a célébré le 17 février 2007 son trentième anniversaire : c'est une ville nouvelle, conçue selon les préceptes de Le Corbusier sur les anciens territoires d’Orsay et Bures-sur-Yvette, elle mêle le parc d'activités de Courtabœuf, le centre commercial Ulis 2 et de nombreux grands ensembles modernistes. Bâtie à la fin des Trente Glorieuses pour les cadres et les chercheurs, elle est finalement habitée par les ouvriers et employés, vieillit mal et souffre d’une paupérisation entraînant des difficultés sociales et sécuritaires

Avec une partie de son territoire classée quartier prioritaire, la conclusion d’un contrat de ville puis d’un contrat urbain de cohésion sociale, la commune est aujourd’hui lancée dans un important chantier de renouvellement urbain pour corriger les erreurs du passé et renforcer les atouts principaux, dont la prédominance des parcours piétonniers et l’importance donnée au sport et à la culture. Ses habitants sont appelés les Ulissiens.

Géographie

Situation

Position des Ulis en Essonne.

Les Ulis sont situés dans la région Île-de-France au sud-ouest de l’agglomération parisienne, au nord-ouest du département de l’Essonne, au cœur de la région naturelle du Hurepoix, sur le plateau de Courtabœuf qui domine la vallée de l’Yvette, aussi appelée la vallée de Chevreuse.

La commune occupe un territoire en forme de « U » d’approximativement trois kilomètres de long et deux kilomètres de large, totalisant cinq cent dix huit hectares.

Cette ville nouvelle a été implantée à vingt-quatre kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame, point zéro des routes de France, excentrée dans le département puisqu’à vingt et un kilomètres au nord-ouest d’Évry, six kilomètres au sud-ouest de Palaiseau, vingt-quatre kilomètres au nord-ouest de Corbeil-Essonnes, vingt-huit kilomètres au nord d’Étampes, neuf kilomètres au nord-ouest de Montlhéry, vingt et un kilomètres au nord-est de Dourdan, trente-huit kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt et seulement quatorze kilomètres au sud-est de Versailles.

Communes limitrophes

La commune est bien sûr limitrophe des deux communes dont elle a hérité des terrains pour sa création. Orsay au nord, presque au centre puisqu’elle entre profondément dans le territoire ulissien avec son quartier de Mondétour, bordant la route nationale 118 jusqu’à la limite de la route départementale 35. Au nord-ouest et à l’ouest se trouve l’autre commune d’origine, Bures-sur-Yvette, en partie séparée par la route départementale 988 au nord. Au sud-ouest et au sud est implanté le village de Saint-Jean-de-Beauregard, au sud-est, la commune dispose d’une petite frontière avec Marcoussis puis est séparée par l’autoroute A10 de Villejust à l’est, le ruisseau du Rouillon matérialisant aussi une petite partie de cette frontière, avant que les deux communes ne se partagent le territoire du parc d'activités de Courtabœuf avec Villebon-sur-Yvette au nord-est.

Rose des vents Bures-sur-Yvette Orsay Villebon-sur-Yvette Rose des vents
Bures-sur-Yvette N Villejust
O    Les Ulis    E
S
Saint-Jean-de-Beauregard Saint-Jean-de-Beauregard Marcoussis

Hydrographie

Le ruisseau Le Rouillon prend sa source dans la commune voisine de Villejust et marque au début de son cours la frontière avec la commune, à l’est. À l’ouest, à quelques centaines de mètres de la frontière communale, le ruisseau d’Angoulême marque la frontière entre les communes voisines de Bures-sur-Yvette et Gometz-le-Châtel, sans passer sur le territoire des Ulis.

L’unique point d’eau « naturel » présent est un vaste étang au centre du parc nord, en lisière de la forêt séparant Les Ulis et Bures-sur-Yvette. L’association « Ulis Pêche Passion » y organise des concours de pêche sportive. Trois petites mares ont été creusées pour marquer l’entrée du quartier résidentiel de l’Ermitage, en bordure de la route nationale 118.

L’un des lacs du Parc Nord.

Voies de communication et transports

La gare routière.

Cette ville nouvelle a paradoxalement été bâtie à l’écart des lignes ferroviaires de transport en commun, la ligne B du RER passe cependant dans la vallée, des services intercommunaux et départementaux d’autobus permettent l’accès aux gares d’Orsay-Ville ou de Bures-sur-Yvette.

Cependant, un maillage important de liaisons routières parcourt la commune. La plus importante, la route nationale 118, coupe le territoire du nord au sud et s’achève à la frontière avec Marcoussis par un échangeur autoroutier avec la route nationale 104 (la Francilienne) et l’autoroute A10. Elle est doublée sur sa rive droite par la route départementale 446 et reliée au sud à la route départementale 35 qui fait office de rocade sud et qui est prolongée à l’ouest par les RD 988 puis 188 et 446.

De larges avenues complètent l’offre routière et découpent la commune en plusieurs quartiers, correspondant à la grande zone industrielle à l’est, le parc d'activités de Courtabœuf en grande partie sur la commune et les résidences à l’ouest, dont une large part constituent des HLM.

De cette bonne desserte routière découle la présence de diverses lignes de bus. Une gare routière a été aménagée à proximité du centre commercial. Le principal fournisseur de transports de la commune est le réseau de bus Paris-Saclay qui dispose de quatre lignes parcourant la commune au départ ou à l’arrivée de la gare routière. Les lignes 2, 22 et 23 circulent en ville et dans le parc d'activités de Courtabœuf avant d’emprunter l’autoroute pour mener à la gare de Massy - Palaiseau. La ligne 3 au départ de la gare d'Orsay - Ville dessert tout le centre-ville jusqu’au centre commercial. La ligne 4 au départ de la gare de Bures-sur-Yvette irrigue à la fois les centres-villes de Bures-sur-Yvette et Les Ulis. La ligne 5 au départ de la gare d’Orsay-Ville mène directement au parc industriel. La ligne DM10S mène à Montlhéry via la gare d’Orsay-Ville depuis le lycée de l’Essouriau et la ligne DM10A passe par le parc d’activités dans son trajet entre Orsay et Marcoussis. Le réseau de bus Centre et Sud Yvelines propose les lignes 39-08 depuis la gare de Gif-sur-Yvette, 39-014 depuis la gare d’Orsay-Ville et 39-019 depuis la gare de Courcelle-sur-Yvette. Enfin le réseau de bus Essonne Sud Ouest dessert la commune, et plus spécifiquement le parc d’activités, avec ses lignes 91.02 entre Dourdan et Orsay, 91.03 entre Dourdan et Massy, 91.05 entre Évry et Massy et 91.08 entre la mairie des Ulis et le centre commercial Vélizy 2 via la gare du Guichet.

En outre, la commune est implantée sous le couloir aérien des pistes 3 et 4 de l’aéroport Paris-Orly situé à seulement quinze kilomètres au nord-est. L’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle est lui à quarante-six kilomètres au nord-est. L’aviation d'affaires est accessible depuis l’aéroport de Toussus-le-Noble sur le plateau de Saclay à neuf kilomètres au nord-ouest.

Relief et géologie

Les Ulis sont une ville implantée sur le vaste plateau de Courtabœuf qui domine la vallée de l’Yvette au nord, aussi appelée vallée de Chevreuse.

Le territoire s’étage entre quatre-vingt-sept mètres à la frontière avec Bures-sur-Yvette à l’extrême nord-ouest et cent soixante dix mètres au sud, à proximité du village de Saint-Jean-de-Beauregard au sud. Il s’élève rapidement depuis le point bas situé au niveau de la route départementale 988 pour atteindre cent cinquante-sept mètres dans le Parc Nord à seulement soixante-dix mètres de distance.

Comme tout le Bassin parisien, le sous-sol est constitué de couches successives de sable, meulière et calcaire, déposés sur des argiles et de la marne d’origines marine. Aucun cours d’eau ne traversant le territoire, l’érosion est peu marquée et ne laisse ainsi apparaître que les couches supérieures.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 amplitude thermique annuelle de 15,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gometz-le-Châtel à 2 vol d'oiseau, est de 11,3 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Statistiques 1991-2020 et records GOMETZ-LE-CHAT. (91) - alt : 159m, lat : 48°40'36"N, lon : 2°08'08"E
Records établis sur la période du 01-01-1964 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,5 1,3 3,4 5,3 8,6 11,6 13,4 13,2 10,4 7,9 4,4 2 6,9
Température moyenne (°C) 4,1 4,6 7,7 10,5 13,9 17,1 19,3 19,2 15,8 11,9 7,4 4,5 11,3
Température maximale moyenne (°C) 6,7 7,9 11,9 15,6 19,2 22,6 25,2 25,2 21,1 15,9 10,3 7,1 15,7
Record de froid (°C)
date du record
−19,2
17.01.1985
−12,8
07.02.1991
−9,9
07.03.1971
−4,5
12.04.1986
−1
03.05.1967
0,8
05.06.1991
4,2
04.07.1984
4,1
31.08.1986
0,7
17.09.1971
−4,9
30.10.1985
−9
24.11.1998
−13,5
29.12.1964
−19,2
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,3
27.01.03
21,1
27.02.19
25,8
31.03.21
28,1
25.04.07
31,2
27.05.05
37,8
18.06.22
42,8
25.07.19
40
12.08.03
36,4
09.09.23
29,3
02.10.23
21
07.11.15
16,8
07.12.00
42,8
2019
Précipitations (mm) 59,9 53,7 53,5 51,9 73,1 60,7 60,8 59,9 52,6 64,9 67,1 76,6 734,7
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base
  1. Orthodromie entre Les Ulis et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 13/08/2012.
  2. Orthodromie entre Les Ulis et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 13/08/2012.
  3. pêche passion aux ulis
  4. Plan des lignes de bus aux Ulis sur le site de la mairie.
  5. %2FLM0057 Fiche géologique des Ulis sur le site du Brgm. Consulté le 13/08/2012.
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le )

Toponymie

Attesté As Usleiz en 1231, c'est un terme issu du latin ustulare (brûler), Ullys au écobuage. Le plateau, autrefois boisé, fut en effet dégagé au Moyen Âge pour être cultivé.

Le nom de la commune est celui d’un ancien fief du XIVe siècle.

Trois anciennes fermes ont donné leurs noms aux quartiers emblématiques de la commune, Courtabœuf à l’est, une « cour à bœuf » et le dernier point de repos avant les Halles de Paris, Mondetour au centre et Montjay à l’ouest.

  1. a b et c Marianne Mulon, Noms de lieux d’Île-de-France, Paris, Bonneton, , 231 ISBN ).

Histoire

Avant Les Ulis

Carte de Cassini de la région des Ulis au XVIIe siècle.

L’occupation humaine de la région remonte très certainement à l’âge du bronze comme en témoignent les découvertes d’outils en 1977 dans la commune voisine de Villejust. À l’époque gallo-romaine, des villa rustica sont implantées sur le vaste plateau de Courtabœuf, dont une, la Villa Bona a donné son nom à Villebon-sur-Yvette. Certains prêtent la même origine au nom Ulis, un propriétaire foncier nommé Uslo.

Au Moyen Âge, les différentes abbayes possédant les lieux ordonnèrent le défrichement par écobuage du plateau pour l’installation de grandes cultures. Une seigneurie aux lieux-dits Courtabœuf et Grand Vivier apparaît d’abord au cartulaire de l’abbaye de Longpont. Le fief des Ullys apparaît pour la première fois dans un inventaire dressé en 1382.

En 1712, le domaine appartient à Charles Boucher d'Orsay, prévôt des marchands de Paris. En 1767, il revient à Pierre Gaspard Marie Grimod d'Orsay, comte d’Orsay. Le plateau de Courtabœuf était alors la dernière halte des bestiaux avant leur arrivée aux Halles de Paris.

En 1867 est achevée la ligne de Sceaux jusque Limours, traversant l’ouest de la commune actuelle, puis en 1927 la ligne Paris - Chartres par Gallardon qui passait au nord. La ferme du Grand Vivier est alors la plus importante avec ses cent soixante hectares et est consacrée à l’élevage de bovins et ovins ainsi qu'à la culture du blé, de la pomme de terre, de la fraise et de la betterave. Sa distillerie produisait de l’alcool.

Construction d’une ville nouvelle

En 1952 s’implanta à Saclay le Commissariat à l'énergie atomique (CEA), et, en 1955, sur proposition de Frédéric Joliot-Curie est créé le campus d'Orsay. En 1960 est décidé le développement du parc d'activités de Courtabœuf.

Pour accompagner cette urbanisation de la grande vallée de Chevreuse, est créée par arrêté ministériel du une zone à urbaniser en priorité (ZUP) de dix mille logements sur deux cent soixante-cinq hectares répartis sur les communes de Bures-sur-Yvette et Orsay, sur les terraions dépendant des fermes de Montjay, Mondétour, Courtabœuf et Grand Vivier.

Les Ulis en chantier.

Le est créé le district urbain de Bures-Orsay (DUBO), administré par huit membres de chaque conseil municipal des communes membres, la Société d’économie mixte d’Aménagement de Bures, Orsay et Étampes (Samboe) étant chargée de l’édification de la ville nouvelle selon les plans des urbanistes Robert Camelot et François Prieur puis Georges-Henri Pingusson.

En juillet 1966, l’ensemble des infrastructures sont achevées, conduites d’eau, d’électricité, de téléphone, d’égouts, de chauffage urbain alimenté par l’incinérateur de déchets Thermulis et les routes. La première entreprise, AtoChem s’installe sur le parc d’activités en 1967, suivie en 1968 par Hewlett-Packard. En mai 1968 s’installlent aussi les premiers résidents sans que l’eau courante ne fût disponible dans tous les logements.

En 1971 sont élus les premiers conseillers municipaux du « quartier » des Ulis, pour les communes de Bures et Orsay. En 1972 est achevé le doublement de la route départementale 35 et la jonction entre la route nationale 118 et l’autoroute française A10, prolongée en 1973 jusqu’Orléans.

En 1973 ouvre le centre commercial Ulis 2 avec l’enseigne Carrefour.

Un recensement distinct en 1975 attribuait à la ZUP des Ulis 20 283 habitants. Bures-sur-Yvette seule n’en comptait que 6 889 et Orsay 13 544. La question d’une scission est alors évoquée. Le , les habitants des deux communes sont appelés à se prononcer sur trois propositions : « le maintien de la situation administrative telle quelle », « la fusion de Bures-sur-Yvette et d’Orsay en englobant Les Ulis » ou « la création d’une troisième commune appelée Les Ulis ». Les Buressois et les Orcéens votent respectivement à 52,88 % et 50,28 % pour la création d’une nouvelle commune, tandis que les Ulissiens votent majoritairement pour la fusion. Les deux conseils municipaux choisirent également de leur côté la création d’une nouvelle commune (22 élus sur 33).

Actant ce fait, le préfet de l’Essonne, Paul Cousserand, signa le l’arrêté préfectoral de création de la 196e commune du département, Les Ulis.

En mars 1977, Paul Loridant est alors élu maire de cette nouvelle ville encore en travaux, qui poursuit son équipement avec l’hôtel de ville, la médiathèque, le centre culturel Boris-Vian, le marché, la poste, les commerces de proximité. En 1982, la commune comptait 28 223 habitants et en 1985 fut créé le canton des Ulis.

Décadence et renouveau

Dès 1990, outre les problèmes de délinquance et d’insécurité, un premier signe montrait le relatif échec du projet.

La commune perd en huit ans plus de mille résidents et la chute se poursuivit. En 1996, la moitié du territoire est classée en zone urbaine sensible (ZUS). En 1997, la ville reçoit les universités d’été du Mouvement des citoyens (MDC) présidées par Jean-Pierre Chevènement alors ministre de l’Intérieur.

En 2000, un rapport analysait[Lequel ?] la situation ainsi : « Un tissu urbain postérieur à 1968 qui constitue une poche de pauvreté relative dans un environnement à forte potentialité. » et conduit à la signature d’un contrat de ville pour renforcer la cohésion sociale, suivit en 2002 du lancement d’une importante opération de renouvellement urbain pour stopper « une paupérisation et une baisse sensible de sa population » et remédier à « un vieillissement de son urbanisme ».

En 2007, le contrat de ville est remplacé par un contrat urbain de cohésion sociale alors que la commune « fêtait » ses trente ans par un spectacle son et lumière par le Kolektif Alambik.

D’importants travaux sont alors entrepris, démolition de barres d’immeubles et de tours, remplacées par de petits immeubles, équipements nouveaux avec un centre aquatique et un réaménagement du centre-ville, création d’une zone d'aménagement concerté (ZAC), aménagement de nouveaux espaces de vie, implantation de maisons de villes et pavillons, création d’un nouveau pôle de santé pour un coût global estimé à 87 000 000 euros.

  1. Reportage sur les universités d’été du MDC aux Ulis au 20h d’Antenne 2 du 7 septembre 1997 sur le site de l’Ina. Consulté le 19/04/2009.
  2. Reportage photographique du spectacle « Tours en lumière » sur le site de la mairie. Consulté le 18/04/2009.
  3. Présentation du projet de renouvellement urbain aux Ulis sur le site de la Mairie. Consulté le 18/04/2009.

Culture

La commune des Ulis dispose de divers lieux de culture. Le plus important est le centre culturel Boris-Vian, théâtre, salle de concert et de danse dirigé par la compagnie 3.5.81, il dispose de huit cents places assises et d’une salle d’exposition de cent quatre-vingts mètres carrés. Deux salles de cinéma sont installées dans la commune, le complexe UGC avec quatre salles dans le centre commercial et la salle Jacques-Prévert de deux cent dix places classée Art et Essai. S’ajoutent la médiathèque François-Mitterrand, le théâtre de verdure et le café musical Radazik. Un espace appelé le « Donjon » regroupe les associations culturelles de la commune.

  1. Liste des salles Art et Essai sur le site de l’association française du cinéma art et essai. Consulté le 16/04/2009.

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