Bray-sur-Seine

Localisation

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Bray-sur-Seine : descriptif

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Bray-sur-Seine

Bray-sur-Seine est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Géographie

Localisation

La commune de Bray-sur-Seine est située au sud-est du département de Seine-et-Marne sur les bords de Seine, à égale distance (≈ 20 kilomètres) entre Provins au nord, Montereau-Fault-Yonne à l'ouest et Sens (Yonne) au sud. Elle était chef-lieu de canton de vingt-trois communes jusqu'en mars 2015.

Elle fait partie de la plaine de la Bassée.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Bray-sur-Seine
Mouy-sur-Seine
Bray-sur-Seine Jaulnes
Mousseaux-lès-Bray

Géologie et relief

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible. L'altitude varie de 54 mètres à 82 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 59 mètres d'altitude (mairie).

Hydrographie

Réseau hydrographique
Carte des réseaux hydrographique et routier de Bray-sur-Seine.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

  • la Seine, fleuve long de 774,76  ;
    • la Grande Noue, 8,79 , affluent de la Seine.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 2,81 .

Gestion des cours d'eau

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie.

La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 ,. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse ». Cet organisme intervient sur deux compétences gérées aux niveaux des bassins hydrographiques et global : la Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations (GeMAPI) et la démoustication.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 amplitude thermique annuelle de 15,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Brosse-Montceaux à 18 vol d'oiseau, est de 12,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles.

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux » :

  • la « Bassée et plaines adjacentes », d'une superficie de 27 643 ,,.


Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Bray-sur-Seine comprend une ZNIEFF de type 1,, la « Grande noue de Neuvry, prairies et boisements du Grand Peugny » (196,27  , et un ZNIEFF de type 2,, la « vallée de la Seine entre Montereau et Melz-sur-Seine (Bassee) » (14 216,75 .

  1. Natura 2000
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  3. « Bray-sur-Seine » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  4. Sandre, «  » (consulté le ).
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Toponymie

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villa que dicitur Brayacus en 958, « In pago Senonico super Sequanam fluvium in loco qui vulgo dicitur Braiacus » en 958 (Clarius), Braiacense castrum vers 1130, Castellum quod dicitur Braium en 1145, G. de Braico vers 1150, Braium en 1157, Braiacum vers 1175, Brayum en 1250, Brei vers 1275, Bray sus Sene en 1285, Brayum supra Seccanam en 1319, Bray sur Soigne en 1344, Brey en 1674,.

Toponyme peut-être issu du latin braium, de l'oïl brai « boue, fange, marais », du Gaulois *bracu ( plus exactement *brakus, brakōs) qui a d’abord désigné un « fond de vallée humide » puis un « marais ».

  1. Halphen-Lot, Lothaire, p. 136.
  2. a et b Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 62.
  3. Quantin, I, 281.
  4. Cartulaire Saint-Loup de Troyes.
  5. Chartes Preuilly, p. 28.
  6. Quantin, II, 87.
  7. Quantin, II, 211.
  8. Quantin, II, 344.
  9. Longnon, I, p. 328.
  10. Cartulaire Renier Accorre, fol. 55.
  11. Archives nationales, JJ 58, no 138.
  12. Archives de la Côte-d'Or, B 316.
  13. Archives nationales, S 4897.
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 251.
  15. Olivier Piqueron, Précis de gaulois classique, Mons, l’auteur, .

Histoire

Antiquité

Avant les Romains, les habitants étaient les Sénons (Gaulois). Les Romains occupèrent Bray-sur-Seine jusqu'à la fin du IVe siècle.

Bas Empire

Puis ce furent les invasions : les Visigoths, les Burgondes, les Francs, les Huns… En 595, Bray-sur-Seine fit partie de la Burgondie qui avait pour roi Théodoric, petit-fils de la reine Brunehaut. En 880, les longships des Vikings remontent la Seine jusqu'à Troyes. Vers l'an 915, Bray-sur-Seine était bien fortifiée, défendue par un château féodal. Au archevêque de Sens.

Moyen Âge

De 957 à 966, la fortification appartenait à ancêtre de la maison de Montmorency. Il paraît être le fondateur de la seigneurie et il fit construire, à l'emplacement de la Maison des Associations actuelle, ancien hospice, la tour maîtresse du premier château, témoignage de puissance et d'autonomie, de laquelle relevaient les seigneuries de la Bassée et celles du Montois et du Sénonais. De là, vient le blason de la ville : la grosse tour et les deux rameaux d'olivier (devenus palmiers on ne sais pas pourquoi), marquant dès l'origine, un désir pacifique.

Bray passe à la famille de Montlhéry, qu'on dit être une branche cadette des Montmorency : Thibault surnommé Fil-Etoupe vers 978 ; de Montlhéry qui mourut vers 1080 ; , qui fit vers 1096 la première croisade, celle de Pierre l'Ermite, et qui retourna en Terre Sainte en 1101 pour ne plus en revenir ; de Montlhéry, son fils, vicomte de Troyes, lui succéda ; à sa mort brutale, Bray se trouva réunie en 1118 à la Champagne dont le comte était .

Les seigneurs de Bray étaient traditionnellement les maîtres du Montois, donc les seigneurs de Donnemarie.

, fils de Thibaut  qui devint alors le siège des barons de Bray. de Champagne, son fils, également baron de Bray, devait devenir roi de Jérusalem.

Reconnaissance d’abandon d’hypothèque signée par Matathyas et Elia, juifs de Bray-sur-Seine, 20 mai 1206. Archives nationales de France.

En 1180 Philippe Auguste avait expulsé les juifs après avoir confisqué tous leurs biens. En 1191 un Juif avait été tué par un habitant qui, selon le chroniqueur Guillaume Le Breton dans sa Vie poétique de Philippe-Auguste, se trouvait incapable de rendre l'argent qu'il avait emprunté. Agnès de Baudement, connue sous le nom de comtesse de Braine, mère de de Dreux faisait sa résidence à Bray au mois de mars 1191. Selon un récit bien plus tardif, les juifs le conduisirent par tout le bourg en l'accablant de coups de fouet, afin d’impressionner les autres habitants, puis ils le pendirent. « À son retour de croisade, le roi était venu se reposer à Saint-Germain-en-Laye de ses fatigues ; le 18 mars 1192, il en partit précipitamment, à l'insu de ses courtisans, pour aller à Bray pour faire bonne justice de quelques juif qui avaient mis à mort un chrétien. » Arrivé à Bray, il fit placer des gardes aux portes, se saisit de tous les Juifs, et en retint quatre-vingt qu'il condamna à être brûlés sur la même place. Selon une chronique juive, quatre-vingts juifs furent tués, seuls les enfants de moins de treize ans sont épargnés. La communauté juive de Bray continue d'exister jusqu'à l'expulsion définitive en 1306 de tous les Juifs de France par Philippe le Bel.

En 1235, prend possession de la baronnie sur , comte de Champagne et futur roi de Navarre, et les rois de France seront seigneurs de Bray durant environ 150 ans. Il est à noter que cette seigneurie dépendait de l'archevêque de Sens, et que les rois durent leur rendre hommage (même allégeance pour Montereau). La cérémonie avait lieu à la frontière de la Bassée et du Sénonais, à l'abbaye de La Pommeraie qui avait été fondée par Héloïse, près de la Chapelle-sur-Oreuse.

À partir de 1285, la seigneurie était indivise entre les rois de France et les rois de Navarre, à cause du mariage du roi Philippe le Bel avec , reine de Navarre et comtesse de Champagne. Pour mettre fin à cette situation, le roi de France céda sa part au roi de Navarre , le 5 juin 1404.

Pendant la guerre de Cent Ans (1337-1453), Bray appartint un temps à d'Angleterre, qui traita avec l'épouse de Charles Isabeau dont le frère de Bavière-Ingolstadt, comte de Mortain, mari d'Anne de Bourbon-la Marche puis de Catherine d'Alençon, prêta hommage pour Bray à l'archevêque de Sens en 1418.

Jeanne d'Arc passa à Bray avec le dauphin le 14 septembre 1429.

En 1463, faute de paiement d'une dette du roi de Navarre, la ville et seigneurie de Bray revint, après vente, au comte Jean de Dunois, bâtard d'Orléans et neveu de Charles maison d'Orléans-Longueville, puis, par le mariage en 1528 de Charlotte d'Orléans avec Philippe de Savoie-Nemours, duc de Nemours, à la maison de Savoie-Nemours, qui régnera sur Bray jusqu'en 1647, date à laquelle le fief de Bray est acheté par le président au Parlement Henri de Mesmes.

Époque Moderne

Pendant les guerres de Religion (1562-1598), Bray fut administrée par les ducs de Nemours - dont , mort en 1585 - jusqu'en 1645. séjourna à Bray du 18 au 29 avril 1590 avant de se rendre à Paris.

Au fief de Bray-sur-Seine était la possession de Charles de Richebourg, frère cadet de Louis de Richebourg.

Le président Henri de Mesmes, qui acheta la baronnie de Bray le 10 juillet 1647, commence une dynastie continuée par les Mortemart, qui se terminera à la Révolution. Henri de Mesmes était un descendant d'une famille béarnaise. Il était également seigneur de Roissy et marquis d'Everly par son mariage le 30 décembre 1639 avec Marie de la Vallée-Fossés, marquise d'Everly. Il était le père d'Antoinette-Louise de Mesmes, épouse de Louis-Victor de Rochechouart, duc de Mortemart et de Vivonne. Un cénotaphe dans l'église de Bray, perpétue le souvenir de cette noble Dame. Henri de Mesmes décéda le 29 décembre 1650. Il semble toutefois que les Mortemart aient continué à habiter le château d'Everly jusqu'à la Révolution.

Louis-Victor de Rochechouart de Mortemart, duc de Mortemart et de Vivonne, en épousant Antoinette-Louise de Mesmes, fille d'Henri de Mesmes, en septembre 1655, ajoutait à ses prestigieux titres ceux de marquis d'Everly et de baron de Bray. Louis-Victor était le frère de la célèbre marquise de Montespan, favorite du roi Louis Marie-Anne Colbert, fille du grand ministre de . Il mourut, comme son père, en 1688. Deux de ses enfants lui succédèrent dans la baronnie de Bray et le marquisat d'Everly : Louis II de Rochechouart, décédé le 31 juillet 1746, et Jean-Baptiste de Rochechouart, décédé le 16 janvier 1757.

La ville fut le terminus d'une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique qui la reliait, de 1904 à 1950, à Jouy-le-Châtel et Sablonnières, dont on voit un des trains franchir la Seine.
Cette ligne des Chemins de fer départementaux de Seine-et-Marne était exploitée par la Société générale des chemins de fer économiques.

Révolution

Le dernier baron de Bray fut Victurnien Jean-Baptiste Marie de Rochechouart, duc de Mortemart, pair de France, prince de Tonnay-Charente, capitaine au régiment de Navarre-Infanterie, marquis d'Everly, baron de Bray, seigneur de l'Isle-Dieu, des Ormes, Couture, Moulin d'Ocle, Neuvry, Peugny, Mouy-sur-Seine, Mousseaux-les-Bray, Avigny, Moléon, Montigny-le-Guesdier, Courlon et autres lieux. Il fut député de la noblesse aux États Généraux réunis le 5 mai 1789, toutefois, il faut souligner qu'il ne siégeait pas comme baron de Bray, mais en raison des fiefs qu'il possédait en France. Pour cette même raison, il fut membre de l'Assemblée Nationale Constituante à partir du 17 juin 1789, par ses déclarations, il eut une action décisive qui amena l'abolition des privilèges et droits seigneuriaux dans la célèbre nuit du 4 août 1789.

Cette décision forçait Victurnien Jean-Baptiste Marie de Rochechouard à abandonner ses droits sur la baronnie de Bray, qui, brusquement privée de chef et de gouvernement, s'en trouva quelque peu désemparée. Lui-même abandonna ses fonctions de député et émigra en 1791.

Il semble bien que par la suite de son désir de demeurer dans l'indépendance, le bailliage de Bray ne fut pas représentée à l'Assemblée constituée le 4 octobre 1791. Pourtant, lorsque la Convention se réunit du 21 septembre 1792 au 26 octobre 1795, la commune de Bray y envoya son maire, Nicolas Viquy, originaire de Commercy, qui se comporta en élément modérateur.

Empire et Restauration

En 1812, Victurnien Jean-Baptiste Marie de Rochechouard se réconcilia avec l'Empire, et Napoléon le nomma conseiller de Paris ; il mourut la même année. Il a eu un fils, Casimir Louis Victurnien de Rochechouart de Mortemart qui fut nommé président du Conseil des ministres par en 1830. Voyez l'histoire (incomplète) encore actuelle de la famille de Rochechouart de Mortemart.

Époque contemporaine

Le 4 septembre 1914, le général Franchet d'Espèrey et le général Wilson ont conçu le plan de bataille de la Marne en mairie de Bray-sur-Seine, qui était alors à l'emplacement actuel du PMU. Une plaque commémorative y avait été apposée et inaugurée.

Le 11 novembre 1948 est remise à la ville de Bray-sur-Seine la Croix de guerre avec Étoile de bronze, pour sa résistance certaine pendant toute l'occupation aussi bien par les FFI que par sa population.

  1. Pourquoi ce nom des ducs de Bourgogne ? Sans doute cet hôtel seigneurial fut-il le lieu de séjour des ducs Philippe le Hardi en 1371, puis de son fils Jean sans Peur, ce dernier en vue de négocier avec le dauphin Charles mais en fait recevant la mort par assassinat à Montereau le 10 septembre 1419...
  2. Juliette Sibon, Chasser les juifs pour régner : les expulsions par les rois de France au Moyen Age, Perrin, p. 49.
  3. a et b Jean Leboeuf, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, t. XIV, Paris, Prault, , p.41.
  4. Charles Odiot, Abel Goujon, Histoire de la ville et du château de Saint-Germain-en-Laye, page 21.
  5. Joseph ha-Cohen (trad. Julien Sée), La vallée des Pleurs [« Emeq ha-bakha »], p. 54.
  6. «  », sur Inventaire-Sommaire des archives départementales de l'Yonne antérieures à 1790, Archives ecclésiastiques, t. II, par Maximilien Quantin, Auxerre, 1873.
  7. Xavier Pagazani (Claude Mignot), La demeure noble en Haute-Normandie, 1450-1600, Tours, Presses universitaires François-Rabelais, ISBN ), p. 75 et 104.

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 12/12/2024
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