Bougival

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Bougival : descriptif

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Bougival

Bougival est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France

Ses habitants sont appelés les Bougivalais. Cette commune est située à l'est de Saint-Germain-en-Laye et au nord de Versailles, sur la rive gauche de la Seine, à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Paris

D'à peine plus de 20 m d'altitude au niveau des écluses, cette rive s'élève jusqu'à plus de 110 m vers la gare de Bougival et comporte une partie de la forêt domaniale de Louveciennes. La commune était autrefois divisée en deux parties distinctes et indépendantes, Bougival et La Chaussée-Charlevanne

Si l'histoire de Bougival remonte au XIIIe siècle, Charlevanne était un hameau connu dès le IXe siècle et le territoire paraît avoir été habité depuis l'époque préhistorique

La population de la commune a connu une forte augmentation dans les années 1960-1970 et elle est relativement jeune au début du XXIe siècle, comparée au taux national. Bougival présente de nombreux lieux et monuments qui montrent en particulier l'intérêt porté à ses cours d'eau ponctués d'îles, d'abord comme point de captage pour la machine de Marly, puis au XIXe siècle comme lieu de villégiature et de promenade, notamment pour les impressionnistes qui ont peint les bords du fleuve

En témoignent encore la « Datcha » construite dans les années 1870 par l'écrivain Ivan Tourgueniev, des tableaux comme La Seine à Bougival peint en 1876 par Alfred Sisley ou encore l'œuvre de Berthe Morisot qui passe là l'été en famille, dans sa maison de campagne, à partir de 1880

Au XXIe siècle, Bougival est restée une commune attrayante pour des célébrités comme Neymar Jr qui s'y installe en 2017.

Géographie

Situation de Bougival dans les Yvelines.

La commune de Bougival se trouve à environ sept kilomètres à l'est de Saint-Germain-en-Laye, sur la rive gauche de la Seine dans la concavité d'un méandre au débouché d'un vallon encaissé où coulait autrefois un ruisseau, - la Drionne - qui est désormais enfoui sous l'avenue de la Drionne. Le territoire communal englobe une grande partie de l'île de la Chaussée ainsi que la pointe amont de l'île de la Loge. Entre les deux se trouvent les écluses de Bougival.

L'altitude de Bougival est extrêmement variable. La hauteur est de 23,73 m aux Écluses, l'église est à 29,50 m et le point culminant se trouve aux environs de la gare.

Les communes limitrophes sont Rueil-Malmaison à l'est, La Celle-Saint-Cloud au sud, Louveciennes à l'ouest et Croissy-sur-Seine au nord sur la rive droite de la Seine.

Le sol est généralement calcaire.

Elle est desservie par la D 113 anciennement Route nationale 13 qui longe le fleuve et par la route départementale D 321 d'orientation nord-sud. Cette dernière croise la précédente au droit du pont de Bougival qui assure la liaison avec Croissy-sur Seine.

Sur le plan ferroviaire, la commune dispose d'une gare sur la ligne qui relie Paris-Saint-Lazare à Saint-Nom-la-Bretèche ; elle est située sur la commune de La Celle-Saint-Cloud.

Le territoire est très fortement urbanisé mais compte encore des espaces naturels boisés notamment dans sa pointe sud-ouest, une partie de la forêt domaniale de Louveciennes et, à l'est, le domaine de la Jonchère (ou colline de la Jonchère) sur les pentes tournées vers la Seine et jouxtant La Celle-Saint-Cloud, situé au sud de la Malmaison, ayant appartenu au général Bertrand, qui suivit à Sainte-Hélène.


Transports et voies de communications

Réseau routier

Bougival est accessible par :

  • La A 86 (sortie Rueil Malmaison) puis la D 113 (ancienne N 13) qui longe la Seine en direction de Saint-Germain-en-Laye.
  • La A 13 (sortie Saint-Germain-en-Laye), puis la N 186 jusqu’à Port-Marly et la D 113 (ancienne N 13) jusqu’à Bougival.
  • La D 321, de Versailles à Croissy.
Desserte ferroviaire

La desserte ferroviaire est assurée par la gare de Bougival, située sur le territoire communal de la Celle Saint-Cloud, sur la ligne L qui relie les gares de Paris-Saint-Lazare - Saint-Nom-la-Bretèche [1], via notamment La Défense.

Bus

La commune est desservie par la ligne 259 du réseau de bus RATP, par les lignes 27, 6280 (ancien 38), 54 et 55 du réseau de bus Grand Versailles et par la ligne D du réseau de bus Argenteuil - Boucles de Seine.

Transport actif

Bougival est traversé par le GR 2, au fil de Seine, dont le tracé est alors désagréable puisqu'il suit la très passante D113, quittant ainsi les berges de Seine qui ne sont pas aménagées par la commune de Bougival pour la circulation douce. Le GR2 se poursuit heureusement rapidement sur l'autre rive par la traversée de la Seine au niveau du pont de Bougival.

Bougival a aménagé son centre-ville pour le transport actif, avec de larges trottoirs et des voies partagées entre automobiles et cyclistes.

En revanche, le chemin de halage en bord de Seine a pratiquement disparu et la piste cyclable qui suivent la Seine de Colombes à Rueil s'arrêtent brutalement à l'arrivée sur le territoire de Bougival, pour ne reprendre que plusieurs kilomètres en amont sur la commune de Port-Marly. La D 113 est de plus démunie de tout aménagement cyclable, rendant ainsi très dangereuse la circulation à bicyclette, Bougival constituant ainsi une sorte de cul-de-sac cycliste pour l'ensemble de la région. Il est possible de rejoindre la Paris-Londres sur l'autre versant de la Seine, mais la montée sur le pont de Bougival est très périlleuse pour les cyclistes.

La D 321 qui traverse l'ensemble de la commune est également démunie du moindre aménagement cyclable.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 amplitude thermique annuelle de 14,8 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Toussus-le-Noble à 13 vol d'oiseau, est de 11,5 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. Devenu Pont Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny
  2. Stéphane Bessac, Petit Futé Yvelines
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le )

Toponymie

Bougival

La forme la plus ancienne de Bougival est Baudechisilovallis en 697, Beudechisilovalle, ou Beudechisilo valle, Bogival vers 1205 et 1223, Bachivallis vers 1208, Bogevaux, Bogivaut, Bogeval en 1223, Buchivallis en 1240, Burgivallis, Burgi Vallis, Bougivallis au XIVe siècle, Bachivalle en 1458.

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale basée sur l'anthroponyme francique Baudegisil suivi de l'ancien français val « val, vallée », d'où le sens global de « val de Baudegisil ou Bodegiselus », ce qui revient au même.

Remarque : L'évolution phonétique Baudegisil- > Bougi- est régulière : amuïssement du [d] intervocalique, palatalisation de [g] et effacement de la syllabe -sil par haplologie. Les formes tardives Bachivallis ou Bacchivallis correspondent à des latinisations médiévales fantaisistes.

Micro-toponymie

Charlevanne

Charlevanne est un hameau connu dès le  siècle.

La première fois qu'il est fait état d'un lieu habité sur la commune, entre 811 et 829, c'est par un diplôme de Louis le Débonnaire qui déclare que Charles Martel, son bisaïeul, ayant fait construire une pêcherie dans la Seine sur le territoire de Ruel, dans le pays du Pincerais, il donne cette pêcherie à l'Abbaye de Saint-Germain-des-Prés et à son abbé Irminon. La charte indique les noms de Piscatoria et Venna. Ce même lieu est cité par le moine Aimoin, dans ses écrits sur les ravages des Vikings autour de Paris et qui cite le Karoli-Venna ou Karoli-Piscatoria.

Charlevanne est le même lieu que celui appelé La Chaussée, sur une île, protégée naturellement et alors sur le territoire de Rueil-Malmaison, Bougival n'étant pas, à cette époque, encore érigée en paroisse.

  1. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, page 920
  2. (Tardif, pièce 39)
  3. Revue de l'histoire de Versailles et de Seine-et-Oise, Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Académie de Versailles, des Yvelines et de l'Ile-de-France, L. Bernard (Versailles), H. Champion (Paris), 1899-1976.
  4. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN ), p. 102a.
  5. ibidem
  6. Monographie communale de Bougival aux archives départementales des Yvelines
  7. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  8. Stéphane Gendron, L’origine des noms de lieux en France. Essai de Toponymie. Éditions Errance, 2003, [réf. incomplète].
  9. a b et c Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris volume 3.

Histoire

L'église Notre-Dame.

La commune de Bougival parait avoir été habitée depuis l'époque préhistorique car on y a retrouvé quelques haches et couteaux en silex taillés, en particulier sur les hauteurs.

De l'époque celtique, il ne reste que le souvenir du nom de Bog ou Boges. Il est possible de reconstituer l'histoire de Bougival à partir du  siècle. Elle se nomme alors Beudechisilovalle, le nom Bougival apparaissant seulement au  siècle.

Le territoire actuel de la commune était autrefois divisé en deux parties distinctes et indépendantes : Bougival et La Chaussée-Charlevanne. Cette dernière était appelée plus simplement soit La Chaussée, soit Charlevanne.

La Chaussée, Charlevanne

Si le territoire de Bougival est habité depuis fort longtemps, le lieu le plus ancien est sans nul doute le hameau de Charlevanne, habité bien avant Bougival. On y a trouvé des monuments et des documents qui font mention de Charlevanne avant le  siècle alors que Bougival apparait, seulement, à partir du  siècle.

Sur le bord de la Seine, le maire du palais, Charles Martel, fait construire un barrage et une vanne pour établir une pêcherie, dans un lieu nommé La Chaussée (un des premiers sens du mot est une « levée de terre pour retenir l'eau d'une rivière, ou d'un étang, pouvant servir de chemin de passage », en langue d’oïl, désigne un barrage sur un cours d'eau). Cette construction prit alors le nom de son fondateur, Caroli Venna, et le hameau où vivaient les pêcheurs s'appela Chaussée-Charlevanne ou plus simplement Charlevanne.
Ce hameau grandit et un port s'y établit où débarquèrent en mars 845 une centaine de bateaux vikings conduits par Ragnar Lodbrok remontant la Seine pour piller Paris. Selon le récit du moine Aimoin, à l'arrivée de l'armée de Charles le Chauve, ils contournèrent l'île de la Loge et débarquèrent rive droite à la pêcherie de Croissy-sur-Seine où ils massacrèrent la population. Le lieu de débarquement fut par la suite nommé Malport ou Mauport en souvenir de ce débarquement.

Charles Martel construisit également à Charlevanne, au-dessus de l'endroit où se trouvera la machine de Marly, un grand château que les Normands prirent. Ils s'y fortifièrent et s'en servirent de point de ralliement afin de piller et ravager la région. Ce château fut ensuite habité par Rollon et l'on pense que ce pourrait être en cet endroit que le chef des Normands aurait établi un traité définitif avec Charles le Simple dont il obtint Gisèle en mariage avec la totalité de la Neustrie en dot.

Au  siècle, Robert le Pieux donna la dîme des vignes de Charlevanne à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés et fit don de la pêcherie à l'abbaye de Saint-Denis.

Au  siècle, alors en guerre contre le roi d'Angleterre, Louis VI le Gros décide de construire, à Charlevanne, une forteresse afin de bloquer les incursions ennemies sur ce territoire. Sur l'insistance du prieuré de Saint-Germain-en-Laye, Louis VI abandonna ce projet et fit don aux moines des églises et de toutes les dîmes qu'il y avait dans la région.

En 1273, Philippe le Hardi abandonne ses droits de justice et accorde à l'abbaye de Saint-Denis la haute et basse justice sur l'ensemble des voiries et des maisons de Charlevanne.

Léproserie Sainte-Madeleine

Au début du léproserie Sainte-Madeleine est fondée, à cheval, sur les territoires de Bougival et de Charlevanne. On suppose qu'elle était très riche, car elle est destinée non seulement aux pauvres lépreux de Bougival et de Charlevanne mais aussi à ceux de 15 communes voisines. Lors du pillage de Charlevanne par les Anglais en 1346, la léproserie est épargnée. Elle existait encore en 1778 et dépendait du duc d'Orléans.

Le 25 frimaire an II (15 décembre 1793), la maison dite La Maladrerie de La Chaussée est vendue avec 2 jardins et 2 arpents de pré à Michel Gilles, portier à Paris pour la somme de 11 550 francs.

 siècle

Il éclata des différends entre les deux abbayes de Saint-Germain des Prés et de Saint-Denis qui possédaient presque l'ensemble des fiefs de Charlevanne, de Rueil, de La Celle et de Croissy. Ces difficultés furent réglées par une sentence arbitrale en 1336.

En 1346, les Anglais s'avancèrent jusque sous les murs de Paris, pillèrent et brûlèrent Charlevanne et la région. Ce hameau réduit en cendres fut longtemps ruiné et désert et ne fut reconstruit que plusieurs siècles après.

Au  siècle, Geoffroy Cœur échanson de Louis XI, est seigneur de La Chaussée. Après avoir appartenu à la famille Cœur, la seigneurie de La Chaussée, passe à la famille Briçonnet qui la possède jusqu'en 1719.

Au  siècle, Gabrielle d'Estrée habita un pavillon à La Chaussée.

Aux et  siècles, le château servit souvent aux tabellions des environs pour leurs adjudications et ventes. Au milieu du .

C'est à La Chaussée que vécut mademoiselle de Blois de 1711 à 1716, fille légitimée de Louis XIV et de Louise de La Vallière. Elle fit construire dans sa propriété le pavillon de Blois classé au titre des Monuments historiques en 1980 (aujourd'hui dans propriété privée).

En 1716-1719, la seigneurie de La Chaussée, alors possédée par la famille Briçonnet, est réunie à celle de Bougival par le seigneur de cette dernière Joseph de Mesmes, maréchal de camp des armées du roi, son histoire est désormais celle de Bougival.

Bougival

Au début du règne de Childebert, roi de Neustrie, le , Adalrie, un grand personnage de l'époque, échange avec Valdromer ou Vualdromar  abbé de Saint-Germain-des-Prés, une terre de 9 bonniers à Marly contre un domaine situé dans le même lieu. Cet acte est daté de Bougival, alors appelé Beudechisilovalle et revêtu de nombreuses signatures dont celle de Childebert, Bougival faisant alors partie du domaine royal.

Le territoire de Bougival est érigé en plusieurs fiefs qui sont donnés par les rois à des officiers ou des familiers ainsi qu'a diverses abbayes. Les seigneurs de Marly, de la famille Montmorency et l'abbaye de Saint-Denis y possédaient plusieurs fiefs. Le premier seigneur de Bougival semble être Jean de Bougival qui aurait reçu en fief, vers 1240, de Bouchard II de Marly le moulin de Malport.

À la fin du Poissy, avant de passer, au Sèvres, Bescherel.... Au cours du Gilles Bourdin procureur général au Parlement de Paris. En 1683, Louis XIV achète la terre de Bougival à la famille du comte d'Assy. La famille de Mesmes, qui possédait déjà une partie de la seigneurie de Bougival reçoit, du roi, au début du XVIIIe siècle la totalité de cette seigneurie ainsi que celle de La Chaussée et une grande partie de celles des environs. La famille de Mesmes possède alors presque la totalité de la commune actuelle de Bougival.

Le château de la famille de Mesmes était situé à La Chaussée, à l'emplacement de la maison qu'habita Odilon Barrot.

En 1636 et 1637, la peste ravage la région.

En 1709, on recense 139 feux à Bougival, le Dictionnaire universel de 1726 indique qu'il y avait 563 habitants et le seigneur de Doisy en 1745 dénombre 125 feux. Le 22 floréal an IX, Albert-Paul de Mesmes est reconnu seul héritier des biens de sa famille.

La machine de Marly qui acheminait l'eau de la Seine vers le parc du château de Versailles fut construite à Bougival. Elle a été inventé par Rennequin Sualem dont la sépulture se trouve dans l'église qui paraît dater du XIIe siècle.

Aqueduc de la Machine de Marly à Bougival
Camille Pissarro, 1871
Musée d'art Nelson-Atkins, Kansas City.

En 1870, lors du siège de Paris par les Prussiens, de nombreux bombardements et violents combats se sont déroulés entre Buzenval et Bougival. Le pont de Bougival fut détruit par le génie militaire. La participation de plusieurs Bougivalais aux engagements a entraîné alors des représailles de la part des Prussiens, qui ont exécuté plusieurs civils.

Alphonse Daudet a immortalisé Bougival dans une nouvelle satirique, La Pendule de Bougival, d'abord publiée dans le journal Le Soir du 5 septembre 1871, reprise ensuite dans les Contes du lundi (1873). Elle évoque une pendule dérobée par des soldats bavarois à Bougival, emportée ensuite à Munich, d'où elle ensorcelle toute la Bavière.

Le Quai de Bougival, 1883,
Berthe Morisot
Nasjonalgalleriet, Oslo.
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  3. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur archives.croissy.com (consulté le ).
  4. Malport ou Mauport signifiant Mauvais Port
  5. Registre terrier de la seigneurie de La Celle, Archives nationales, S 3176.
  6. «  », notice no PA00087383.
  7. Famille de Mesmes
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  9. Voir éléments sur le site de la mairie.
  10. Morisot, Galerie Nationale, Oslo

Héraldique

Les armes de Bougival se blasonnent ainsi :

de gueules à un prunier terrassé d'argent fruité d'or, au chef du même chargé d'un croissant de sable.

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 12/12/2024
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