Thiant
Localisation
Thiant : descriptif
- Thiant
Thiant est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Géographie
Description
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Prouvy, Douchy-les-Mines, Haspres, Haulchin, Maing et Monchaux-sur-Écaillon.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Écaillon, l'Escaut canalisée et le Riot Monneral,,.
L'Écaillon, d'une longueur de 33 Locquignol et se jette dans l'Escaut canalisée à Prouvy, après avoir traversé 13 communes. Les caractéristiques hydrologiques de l'Ecaillon sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 1,2 . Le débit moyen journalier maximum est de 15,5 débit instantané maximal est quant à lui de 20,9 .
L'Escaut est un fleuve européen de 355 France, Belgique et Pays-Bas), avant de se jeter en mer du Nord. La partie canalisée en France relie Cambrai à , après avoir traversé 34 communes.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Escaut ». Ce document de planification concerne un territoire de 2 005 bassin versant de l'Escaut. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Escaut et Affluents (SyMEA).
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 amplitude thermique annuelle de 15 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valenciennes à 8 vol d'oiseau, est de 11,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
- Sandre, « »
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- « », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
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- « », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie
L'histoire de Thiant commence en 877 apr. J.-C., quand le roi Charles le Chauve cède le village à l'abbaye des Dames de Denain. Il s'appelait alors Teonis villa.
- 1076 : Tiens.
- 1154 et 1174 : Tiens, cartulaire de l'abbaye de Vicoigne.
- 1158 : Tians, cartulaire de l'abbaye de Marchiennes.
- 1173 : Teans, cartulaire de l'abbaye d'Anchin.
- 1176 : Thions, Ier cartulaire du Hainaut.
- 1260 : Thians, Ier cartulaire de Flandre.
- 1349 : Tyans, pouillé du diocèse de Cambrai.
- Thiens, Thens (documents divers).
Sur l'origine du nom Thiant, M. Bullet donne l'étymologie suivante (à considérer avec prudence) : [Ty]= habitation ; [-an]= rivière.
Histoire
Préhistoire
Il y 20 000 ans, le Nord de la France connaissait un climat péri glaciaire semblable à celui de l'actuelle toundra sibérienne. À l'emplacement de Thiant se trouvait une étendue gelée parcourue par les rennes, les mammouths et des tribus de chasseurs nomades aux mœurs très semblables à celles des actuels Inuits. De moins 20 000 ans à moins 8 000 ans environ, la région connait une phase de déglaciation à l'issue de laquelle le climat devient favorable pour que les tribus porteuses de la culture néolithique venant du Proche-Orient colonisent la région et y commencent la grande aventure de l'agriculture. La colonisation agricole du site de Thiant démarre donc vraisemblablement entre moins 8 000 et moins 7 000 ans. Les premières maisons communes au toit de chaume apparaissent, l'élevage des bovins, moutons, chèvres, etc., se développe ainsi que la culture des céréales et la fabrication de céramique. À partir de moins 4 000 ans, l'usage du bronze provoque une phase d'expansion de la communauté agricole vivant à l'emplacement de Thiant, le bronze permettant de fabriquer des outils agricoles bien plus efficaces que les outils de pierre et d'os de la période précédente.
Une épée de bronze fut découverte en 1890 dans l'ancienne usine de Phosphate du Cambrésis, rue Jean-Jaurés. D'autres découvertes dont quatre petits masques en bronze, de la vaisselle de bronze ainsi que des fragments métalliques et de poterie, conservés au Musée des beaux-arts de Valenciennes, permettent de supposer la présence d'une tombe à char au moins.
À partir de moins 2 900 ans, l'usage du fer renforce l'expansion agricole et l'arrivée de peuples celtes venant d'au-delà du Rhin vers moins 2 300 ans contribue en quelques centaines d'années à faire évoluer la structure politique de la région vers celle que trouvera Jules César lors de la conquête romaine du Ier siècle av. J.-C.
À partir de moins 2 200 ans, la tribu établie à l'emplacement du village actuel appartient au peuple nervien. Agriculteurs mais aussi guerriers renommés, les Nerviens étendent leur territoire de la région de Cambrai jusqu'aux Pays-Bas. L'Escaut sert de frontière naturelle avec les voisins Atrébates (territoire de Prouvy).
Antiquité
En moins 57 Famars (le fanum martis) afin d'avoir une vue plongeante sur le territoire des communes longeant l'Escaut dont Thiant.
Cette bataille (environ 36 000 légionnaires contre 85 000 guerriers « gaulois ») marque également l'entrée de la localité dans « l'Histoire » car César a relaté cette bataille dans ses écrits regroupés sous le nom de Guerre des Gaules.
Moyen Âge
En 1080, le premier seigneur connu porte le nom Gérard de Thians.
Il faut ensuite attendre le XIVe siècle pour savoir que le village subit, en 1340 et 1346, divers incendie par les menées guerrières du duc Jean de Normandie.
- 1349, épidémie de choléra.
- 1478, Thiant est pillé par Louis XI.
Époque moderne
- 1554, épidémie de peste.
- 1562, le treizième seigneur, Jean de Thiant, meurt sans enfant le 11 février. Sa pierre tombale et celle de ses deux épouses se trouvent encore de nos jours dans l'église paroissiale.
- 1570-1580, Jeanne, sœur du dernier seigneur, Jean de Thiant (mort en 1562), apporte son héritage en dot à son époux, Guillaume de Merode. Cette deuxième dynastie des seigneurs de Thiant est originaire du Duché de Juliers en Rhénanie.
- 1600, une perspective cavalière du village est réalisée par Adrien de Montigny, qui incorpore son aquarelle au sein des Albums de Croÿ.
- 1628, la terre et seigneurie de Thiant est érigé en comté par le roi d'Espagne, par lettres données à Madrid, pour Ernest de Merode, (maison de Merode), gouverneur et prévôt du comté de Valenciennes, baron de Harchies. Ernest de Merode est le fils du seigneur de Waroux, commune actuelle d'Ans, grand maître d'hôtel du prince- électeur de l'Électorat de Cologne qui récemment a été créé comte du Saint-Empire, et est frère du comte de Merode, qui a obtenu ce titre de comte en retour des signalés services rendus pendant les guerres d'Allemagne où il avait le commandement d'un corps de 8 000 hommes; l'un de ses parents, Albert de Merode s'est illustré en défendant la grande ville hennuyère, au cours du siège de cette cité, en 1656.
- 1678, comme la contrée, Thiant devient française par les traités de Nimègue, suivi du traité d'Utrecht
- 1708-1709, famine causée par la gelée des récoltes.
- 1723, construction supposée de la maison supposée la plus vieille de Thiant (aujourd'hui rue Anatole France).
- 1740, gelée, mort et disette.
- 1752, construction de l'ancienne église, en remplacement de la précédente qui menaçait ruine.
- 1778, le pont de Thiant sur l'Ecaillon, en bois, est remplacé par un pont de pierre.
Révolution française et Empire
- 1793, occupation Autrichienne
- 1808, ouragan épouvantable, destructions.
- 1814-1816, présence de troupes prussiennes, russes et anglaises.
Époque contemporaine
- 1832, épidémie de choléra. 32 victimes.
- 1866, choléra. 23 morts.
Première Guerre mondiale 1914-1918
Dès septembre 1914, l'occupation commence. Jusqu'en 1918, le village sera utilisé comme base arrière de repos et de formation. Les écoles seront aussi régulièrement utilisées comme hôpitaux, le front étant à Cambrai. La population est sous haute surveillance et les jeunes hommes ainsi que les anciens sont régulièrement envoyés à l'arrière du front pour des travaux de terrassement et de manutention diverses. Les femmes sont affectées aux travaux des champs ainsi qu'a diverses corvées notamment à la Kommandantur du village. Le maire de Thiant, Henri Mallez assure la gestion du village dans des conditions difficiles sans cesse en butte aux exigences de la Kommandantur et devant assurer le ravitaillement de la population ; sa femme sera retenue en otage en Allemagne au camp d'Holzminden pendant toute la guerre.
- 1917, les Allemands installent dans la commune une école de formation au maniement des mortiers de gros calibres (minnen werfe schule) qui sera inspectée en 1917 par le Kaiser Guillaume II .
- 1918, la population du village est évacuée durant la dernière semaine d'octobre 1918 avant la bataille de Thiant, le 24 octobre, durant laquelle les Allemands tenteront une de leurs dernières contre-offensives. Le village est passablement détruit et l'église est dynamitée. Elle sera rasée après la guerre et une nouvelle église plus grande sera reconstruite. Plus de huit cents obus seront tirés en une semaine. À l'issue des combats, 72 militaires du Commonwealth, en majorité des écossais, seront enterrés dans le cimetière communal.
Les Allemands ne cessent plus de reculer, bousculés par les soldats du Commonwealth dont l'avance s'arrêtera 15 jours plus tard à Mons en Belgique le 11 novembre 1918. Un correspondant de guerre Américain écrira un article sur la bataille de Thiant qui paraîtra dans le New York Times en novembre 1918.
Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Pendant la « drôle de guerre » en 1939, le village est centre mobilisateur et voit arriver des hommes de toute la France, notamment des Bretons. L'état d'impréparation de l'armée française durant cette période marquera les jeunes hommes du village prêts à en découdre et dont certains s'illustreront dans les FTP quelque temps plus tard. Les anciens sont quant à eux confiants, convaincus que dans le pire des cas « on les arrêtera à Arras » comme en 1914. Les jeunes ont été élevés dans l'amour de la patrie et la haine de l'Allemand par leurs instituteurs tandis que les anciens sont majoritairement contre la guerre, traumatisés par le massacre de 1914-1918 ou tant de jeunes hommes du village ont disparu et par les quatre ans d'occupation qu'ils ont vécu. Le village verra passer les troupes qui montent vers la Belgique pour arrêter les Allemands ; elles sont mal habillées et équipées et utilisent en partie du matériel de transport civil réquisitionné (bus, camion divers) ; les hommes du village en sont étonnés et inquiets. La défaite de la campagne de Belgique marquera le début de l'évacuation pour la population et bien des civils y laisseront la vie, mitraillés le long des routes, bombardés en gare de Douai, etc. L'avance inexorable de l'armée Allemande obligera au retour au village après quelques semaines de terreur. Le 23 mai 1940, alors qu'il revient d'une dernière inspection du village, le capitaine Charles Dupraz du Annemasse en Haute-Savoie après la libération. Ses hommes, durant les combats sur l'Escaut, combattent vaillamment et l'armée allemande subi de lourdes pertes enterrées à Verchain-Maugré près du cimetière anglais de Pluvinage (ces hommes seront déterrés en 1942 pour leur transfert en Allemagne). Durant toute la guerre, des agressions et des sabotages sont perpétrés contre l'occupant par les résistants FTP. Leur chef, Jean Repaire, est arrêté et déporté dans les camps de concentration nazis, il sera libéré en 1945. L'un d'entre eux, Charles Bride, sera poursuivi par la Gestapo et se réfugiera en Belgique où il poursuivra le combat avec la résistance belge, il est également arrêté le 14 juillet 1944 et restera interné au camp de travail de Dresden, à l'est de l'Allemagne jusqu'en avril 1945. Robert Segart, autre résistant FTP, échappera à la capture et s'illustrera lors de la libération du village en capturant seul un groupe de soldats allemands.
Le 2 septembre 1944, jour de la libération du village par les troupes américaines, vers 18h, deux jeeps de l'armée américaine en provenance de Haspres sont interceptées à l'entrée du village par des soldats allemands postés en embuscade dans la rue de Denain (actuellement rue Barbusse) et dans la rue de Moncheaux. À bord de ces jeeps, le capitaine Allan H. Reed, le major Jack C. Heist, le sergent Zan D. Hassin, le soldat John H. Miller. Après une fusillade de plusieurs minutes, le major Heist et le sergent Hassin sont abattus. Le soldat Miller, blessé, est achevé par l'officier allemand au pied du poteau EDF situé derrière le monument. Le capitaine Rééd.blessé de neuf balles aux bras et aux jambes gît sur la route perdant beaucoup de sang. États-Unis et qu'il a deux enfants. Les époux Herlem l'ont embrassé pour sa famille et il a encore eu le temps de boire un verre d'eau après quoi, il est mort.
Ces quatre militaires Américains ont été placés ensuite dans l'école des filles (actuelle salle du temps de vivre) et ils ont été veillés jour et nuit par la population qui s'est relayée pour cela. Le 5 septembre 1944 au matin, après une messe dans l'église de la commune, dite par l'abbé Marcais et une cérémonie militaire sur la place, durant laquelle les résistants de la commune ont présenté les armes, les quatre militaires ont été enterrés provisoirement au cimetière de Sollers près de Melun. Après accord des familles, ils seront, pour trois d'entre eux, rapatriés aux États-Unis.
- Le capitaine Allan H. Rééd.repose depuis novembre 1948 au cimetière de Sunset Hill à Corning en Californie et avait 27 ans.
- Le major Jack C. Heist repose depuis juin 1949 au cimetière militaire Américain d'Épinal en France et avait 25 ans.
- Le sergent Zan D. Hassin repose depuis juin 1949 au cimetière Greenwood de Hot Springs dans l'Arkansas et avait 25 ans.
- Le soldat John H. Miller repose depuis avril 1949 au cimetière d'Arlington Fort Mayer en Virginie et avait 36 ans.
Une dalle rappelant leur sacrifice a été inaugurée en 2000 et est honorée par une cérémonie officielle chaque année depuis lors. La famille du capitaine Allan Rééd.est venue se recueillir à Thiant en septembre 2011.
L'après guerre
La radio libre Radio-Quinquin émet pour la première fois à partir d'un appartement de Thiant le pour communiquer sur la grande manifestation organisée à Paris le 23 mars pour la défense de la sidérurgie,
| ]
Une centrale solaire photovoltaïque est prévue sur un terrain situé sur les finages d'Haulchin, Thiant et Douchy-les-Mines au début des années 2020,.
Eternit
Bien après l'ouverture à Prouvy en septembre 1922 de la première usine française Eternit, c'est à Thiant que le scandale de l'amiante s'est en France concrétisé alors que de sérieux problèmes de santé environnementale et santé au travail se posaient dans l'usine Eternit (de même que dans d'autres usines de ce type en France et dans le monde). Deux ouvriers d'Eternit Thiant victimes d'un mésothéliome mortel ont déposé en 1996 une plainte (la première en France) au tribunal de Valenciennes, contre Eternit, pour n'avoir pas pris les mesures de précaution et de sécurité nécessaires à la protection des salariés contre l'exposition aux fibres d'amiante.
Cette plainte a conduit Joseph Cuvelier, patron d'Eternit à Thiant (et PDG du groupe français Eternit de 1971 à 1994) à être mis en examen (en 2009, à Paris) pour « homicides et blessures involontaires ». Un monument aux victimes de l'amiante de Thiant (et d'autres usines) a été inauguré en 2003, Caronte-Martigues (Bouches-du-Rhône), Albi (Tarn) et Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine),.
Les sites de Thiant et d'Haulchin existent encore (reconvertis au ciment fibré sans amiante), alors que l'usine de Prouvy a été fermée.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 235, lire en ligne.
- Catherine Jakubowski, « », sur Archivespasdecalais.fr (consulté le ).
- « », sur Schoop.fr (consulté le ).
- Jérémy Lemaire, « À Haulchin, du pétrole à l'énergie solaire, histoire d'une friche », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- Jérémy Lemaire, « Le « plus grand » parc solaire de Total sera bien pour Haulchin : travaux en 2021 », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- Hardy-Hémery, O. (2009). Éternit et les dangers de l'amiante-ciment, 1922-2006. Revue d'histoire moderne et contemporaine, 56-1,(1), 197-226. doi:10.3917/rhmc.561.0197, sur cairn.info.
- « Le trop long combat des victimes de l'amiante », La Voix du Nord, 26 novembre 2009.
- « Amiante. Un ancien dirigeant d'Eternit mis en examen pour homicides involontaires », Le Télégramme, 24 novembre 2009.
- Histoire de Thiant - amiante, avec diverses photos sur l'usine Eternit.
- « Double “victoire” pour les victimes de l'amiante », Le Parisien, 24 novembre 2009.
- , article de Pierre Rouanet dans Voix du Nord , publié le .
Héraldique
Blason | De sinople semé de billettes d'argent, au lion du même, armé et lampassé de gueules, brochant sur le tout. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
- « Copie archivée », sur labanquedublason2.com (version du sur Internet Archive).
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