Oisy-le-Verger
Localisation
Oisy-le-Verger : descriptif
- Oisy-le-Verger
Oisy-le-Verger est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France
Ses habitants sont appelés les Ossicatiens
La commune est membre de la communauté de communes Osartis Marquion. Sur le territoire de la commune se trouve un menhir datant du Néolithique appelé le Gros Caillou et qui fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques.
Géographie
Localisation
Localisée dans le sud-est du département du Pas-de-Calais et limitrophe du département du Nord, Oisy-le-Verger est un bourg rural située à 15 Vitry-en-Artois et à à 29 Arras (chef-lieu d'arrondissement).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de dix communes, dont quatre, Arleux, Aubigny-au-Bac, Aubencheul-au-Bac et Brunémont, dans le département du Nord. Les communes limitrophes sont Brunémont, Arleux, Aubencheul-au-Bac, Aubigny-au-Bac, Écourt-Saint-Quentin, Épinoy, Palluel, Rumaucourt, Sauchy-Cauchy et Sauchy-Lestrée.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 11,36 .
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par le canal du Nord, canal ou chenal navigable de 75,56 Rouy-le-Grand et se jette dans la Somme Canalisée au niveau de la commune de Biaches, et par l'Agache, cours d'eau d'une longueur de 11,54 Inchy-en-Artois et finit sa course dans la commune de Palluel.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 amplitude thermique annuelle de 14,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épinoy à 4 vol d'oiseau, est de 10,9 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1,3 | 1,5 | 3,3 | 5,2 | 8,6 | 11,4 | 13,4 | 13,3 | 10,8 | 8 | 4,5 | 2 | 6,9 |
Température moyenne (°C) | 3,8 | 4,4 | 7,2 | 10,1 | 13,5 | 16,4 | 18,6 | 18,6 | 15,5 | 11,6 | 7,2 | 4,4 | 10,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,2 | 7,3 | 11,1 | 15 | 18,4 | 21,4 | 23,8 | 23,8 | 20,3 | 15,3 | 10 | 6,7 | 14,9 |
Record de froid (°C) date du record |
−19,8 05.01.1985 |
−17,2 21.02.1956 |
−11,4 13.03.13 |
−4,5 12.04.1986 |
−1,3 07.05.1997 |
1,2 05.06.1991 |
4,5 01.07.1984 |
5 30.08.1963 |
0,8 17.09.1971 |
−5,4 29.10.1997 |
−9 15.11.1983 |
−12,8 31.12.1978 |
−19,8 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
14,9 09.01.15 |
18,6 26.02.19 |
23,3 31.03.21 |
27,6 20.04.18 |
30,9 27.05.05 |
34,7 27.06.1976 |
41,8 25.07.19 |
38,2 06.08.03 |
34,7 15.09.20 |
28,6 01.10.11 |
19,5 06.11.18 |
16,2 30.12.22 |
41,8 2019 |
Précipitations (mm) | 54,1 | 47,9 | 50 | 42,7 | 56,7 | 63,7 | 67,7 | 67,7 | 56,5 | 63,6 | 62,6 | 69,7 | 702,9 |
Paysages
Entouré au nord, à l'ouest et au sud de zones humides boisées, le village d'Oisy s'étend sur une colline sableuse qui surplombe au nord le val de la Sensée et la rivière l'Agache à l'ouest. Son paysage est en openfield et les cultures céréalières sont majoritaires.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés et gérés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée.
Dans ce cadre, la commune fait partie de deux espaces protégés et gérés (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France :
- le marais de Rumaucourt, d’une superficie de 61,544 ;
- le marais d'Aubigny-au-Bac, d’une superficie de 59,726
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend trois ZNIEFF de type 1 :
- les marais d'Arleux, de Palluel, de Saudemont, d'Écourt-Saint-Quentin, de Rumaucourt et d'Oisy-le-Verger. C'est un vaste complexe marécageux de 791 tourbeux, de peupleraies et de prairies alluviales et qui comporte une grande diversité de végétations aquatiques, amphibies et hygrophiles ;
- le marais d’Aubigny et de Brunemont, d’une superficie de 306 Sensée avec, en bordure des étangs, de belles végétations ;
- le bois du Quesnoy à Oisy-le-Verger, d’une superficie de 186 .
et une ZNIEFF de type 2 : le complexe écologique de la vallée de la Sensée. Cette ZNIEFF s’étend sur plus de 20 Remy et Haucourt jusqu’à la confluence de la rivière canalisée avec l’Escaut. Elle forme une longue dépression à fond tourbeux, creusée entre des plateaux aux larges ondulations ; Ostrevent au Nord, bas-Artois au Sud et Cambrésis à l’Est.
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Espèces faunistiques et floristiques
L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées.
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- « », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « » (consulté le )
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- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Oiseium seu Oziacum, Ausiacum au ; Oisy en 1793 ; Oisy et Oisy-le-Verger depuis 1801.
Selon Maurits Gysseling, le nom proviendrait d'un anthroponyme gallo-romain Aucius suivi du suffixe -acum.
Connu sous le nom d'Oisy depuis le Sensée et aujourd'hui en ruine.
- « », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
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- Maurits Gysseling, Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Nord-Frankrijk en West Duitsland (vòòr 1226), Antwerpen, , 1407 lire en ligne), p. 760.
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Histoire
Si la présence humaine est attestée dans le val de la Sensée dès le néolithique, et plus particulièrement pour Oisy dans le lieu-dit « le Vieux Marais » avec un mégalithe (dit le « Gros Caillou »), les découvertes archéologiques à proximité d'Oisy n'attestent pour l'instant que d'une occupation humaine durant l'Antiquité.
Oisy-le-Verger, petit village du Pas-de-Calais, a une histoire riche et dense qui s'étend de l'Antiquité à nos jours.
D'origine sans doute modeste, il fut un fief puissant dès le Cambrésis jusqu'au . Loin de retomber dans l'oubli, il perdurera jusqu'à la Révolution en tant que châtellenie importante. En 1665, la terre d'Oisy, jusque là baronnie, est érigée en comté. À cette occasion, il est précisé que située en Artois, elle relève du roi du fait du comté d'Artois. Elle possède à cette date toutes le prérogatives de justice (justice seigneuriale), féodalité, patronage de droits honorifiques d'église. Elle est d'une grande étendue et d'un revenu très considérable avec un beau château, un grand parc et plusieurs vassaux.
Le village est le chef-lieu du canton jusqu'à la Première Guerre mondiale.
Témoignages archéologiques
- Le menhir, mégalithe du Néolithique, surnommé « le Gros Caillou », classé au titre des monuments historiques depuis le ,.
- La découverte d'une tombe au Postume (267) lors du creusement du canal de la Sensée fut relatée comme suit : « Le , des ouvriers occupés au curage de la Sensée, trouvent, en élargissant le lit de cette rivière, à l'endroit de la tourbière d’Oisy, le squelette presque complet d’un corps humain. Il était placé dans un long panier en forme de bière, fait de forts osiers et recouvert du côté de la tête de lourdes tuiles rouges, car là existait une assez grande ouverture carrée réservée au-dessus de la face au moment du tressage qui a dû être fait autour du corps. Le cercueil avait été placé à deux mètres environ de profondeur dans un terrain tourbeux favorable à la conservation des osiers et des ossements. À deux mètres de ce squelette était une tête de cheval encore entière mais noircie comme les autres ossements par leur séjour prolongé dans la tourbe. Au-dessus du tombeau avait été déposée une bourse en cuir que l'action de l'air réduisit en poussière aussitôt. Elle contenait 152 monnaies romaines du Bas-Empire. Vingt-quatre de ces pièces avaient été offertes par les ouvriers de monsieur Barberi, employé au canal de la Sensée. Les cent-vingt-huit autres furent représentées, mais elles étaient communes et mal conservées. Aussi ne représentaient-elles aucune valeur ni aucun intérêt. L'âge du tombeau peut être ainsi déterminé facilement et d’une manière précise par les monnaies qui l'accompagnaient. Les pièces de Postume sont celles du dernier règne qu’offre la trouvaille. Elles sont au nombre de 52 et toutes assez usées. On doit assigner à cette sépulture la fin du règne de ce tyran tué par ses soldats en l'an 267 de notre ère. Le dessin joint au rapport donne une idée assez exacte de cette curieuse sépulture : elle était placée au milieu de ces vastes marais de la Sensée qui ont été pendant si longtemps presque inabordables et n’étaient alors que des plages presque partout couvertes d’eau et de marais fangeux. Là n’a pas dû pénétrer le Romain vainqueur, et les Celtes qui boudaient l’envahisseur, avaient là toute latitude pour se cacher et y vivre en paix. »
Les Grands Bronzes | Argents et billons |
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- La découverte de tombes celtes dans le bois du Quesnoy.
- De récentes fouilles sur les hauts du village ont mis au jour tombes, traces d'occupation et empreintes du château primitif.
Les premières conclusions prouveraient une occupation avérée vers 750 de cette partie du village. Un village complet, peuplé d'artisans, a vu le jour sous les truelles et pinceaux des archéologues.
Les seigneurs d'Oisy
La maison d'Oisy
Il est fait mention de la maison d'Oisy pour la première fois au début du Charlemagne crée Eudes d'Oisy, ber (baron) d'Oisy et châtelain de Cambrai.
Devenu à partir de cette époque un puissant fief, il relevait en grande partie du comté de Flandre et de l'évêché de Cambrai. Le tempérament querelleur de cette famille remontant au moins au ; cf. aussi les articles Avesnes et Avesnes) a enclin ses membres à construire de puissants châteaux. Le château d'Oisy était situé sur l'actuelle pâture au pied de l'église. Maintes fois détruit et reconstruit, il avait encore fière allure en 1601, date à laquelle il a été peint sur l'Album de Croÿ par Adrien de Montigny.
Les chroniques de l'évêché de Cambrai relatent de nombreux conflits entre les évêques de Cambrai et leur vassal, le sire d'Oisy. Ce tempérament querelleur a conduit un de ses membres, Hugues II d'Oisy à se racheter à l'instigation de son épouse, Hildiarde et à fonder l'abbaye de Vaucelles en 1131. Cette famille a prospéré jusqu'au Hugues III d'Oisy (fils de Simon, lui-même fils d'Hugues II et petit-fils d', ce dernier étant l'arrière-petit-fils de ; mort aux environs de 1190), connu pour ses qualités de trouvère et familier de Philippe Auguste, mit aussi à profit sa puissance pour soustraire la châtellenie d'Oisy à la suzeraineté de l'évêque de Cambrai et du Saint Empire, au profit du comté d'Artois et du royaume de France.
La maison des Montmirail
Tombée en quenouille à la fin du connétable et bienheureux de Montmirail (1165-1217), fils d'André de Montmirail/Montmirel de La Ferté-Gaucher et d'Hildiarde d'Oisy († 1177 ; la sœur d'Hugues III), châtelaine de Cambrai, dame héritière d'Oisy, de Crèvecœur et de La Ferté-sous-Jouarre, vicomtesse de Meaux, renforçant ainsi la puissance et l'influence de cette famille de Champagne. Sous ces seigneurs, Oisy poursuivit son développement. Les Montmirail, pieux et influents, firent de nombreux dons à Oisy, fondèrent l'abbaye du Verger, une maladrerie et le dotèrent d'une charte communale, la charte communale d'Oisy, qui érigea Oisy en ville et lui permit entre autres d'avoir un prévôt et des échevins.
La maison de Coucy
La Maison de Montmirail tombe à nouveau en quenouille dans la seconde moitié du maison des Coucy, en la personne du Grand Coucy, époux en 1213 de Marie de Montmirail (fille du bienheureux Jean), qui en prend possession. Englobée dans de vastes domaines, la seigneurie est démantelée, elle perdra :
- les fiefs et possessions de la châtellenie de Crèvecœur ;
- les fiefs et possessions de la châtellenie d'Arleux en Paluel et le château du Forestel ;
- le château de Cambrai.
Les aisons de Bar
À la fin du famille de Bar (Marie de Coucy, arrière-arrière-arrière-arrière-petite-fille d'Enguerrand III et Marie de Montmirel, comtesse de Marle et de Soissons, marie en 1384 Henri de Bar) et suit les vicissitudes de son temps. À la mort de son seigneur à la bataille d'Azincourt, elle sera même occupée par des brigands en 1416.
La maison des Luxembourg
Le passage dans la maison de Luxembourg, à partir de 1435 (Jeanne de Bar, fille de Robert et petite-fille d'Henri de Bar et Marie de Coucy, épouse alors le futur connétable Louis de Luxembourg-St-Pol), fut marqué par l'exécution du seigneur Louis en 1475 en place de Grève pour trahison envers Louis XI. Les biens confisqués par le roi ne furent rendus à la famille du connétable Louis qu'en 1487. Oisy servit jusque-là de place forte pour les guerres de Louis XI contre les ducs de Bourgogne.
La Maison de Bourbon-Vendôme
Les Luxembourg s'allièrent avec les Bourbon-Vendôme à la fin du Marie de Luxembourg-St-Pol, petite-fille de Jeanne de Bar et Louis, épouse François de Vendôme en 1487). La maison d'Oisy bascula alors dans les possessions de cette famille. Le plus illustre de cette branche fut Henri IV de Navarre, roi de France, arrière-petit-fils de François et Marie de Luxembourg. La châtellenie fut appréciée par ces puissants comme domaine de chasse et la toponymie d'Oisy en conserve la trace.
Henri entreprit le démantèlement de la châtellenie dès 1594, et le paracheva en 1605 en vendant ce fief dont il fut le dernier sire héréditaire.
La Maison de Tournay
Ce qui restait de la Châtellenie d'Oisy fut acheté en 1605 par Antoine de Tournay, chevalier, membre du Conseil de Guerre de Sa Majesté, seigneur de Noyelles-sous-Bellonne, Bancourt, Faverelles, Méricourt, d’Havrincourt, Sauchy, Rumeaucourt, Saulty. Cette famille militaire fait alors souche à Oisy jusqu'en 1679. Oisy fut érigé en comté sous ces seigneurs.
La Maison de Tournay-d'Assignies
Faute d'héritiers, la châtellenie bascula dans la famille d'Assignies, cousine de la maison de Tournay en 1679. Cette famille, militaire elle aussi, fit à son tour souche à Oisy jusqu'à la Révolution. À la veille de celle-ci, le comte d'Oisy usait d'encore un bon nombre de ses droits féodaux et la justice était rendue à Oisy à cette période. Il logeait et chassait à Oisy dans un château classique de pierre blanche détruit en 1793. Ils sont enterrés dans une chapelle de l'église d'Oisy.
Les biens sont confisqués vendus et démantelés. Faute d'héritiers, le titre de comte d'Oisy passe dans la famille belge de Plotho d'Ingelmunster et de nos jours dans celle des comtes de Montblanc.
- Les Seigneurs d'Oisy
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p.43, lire en ligne.
- « », notice base Mérimée, ministère français de la Culture
- Christophe Le Couteux (La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Dancoisne : Bulletin de la Commission des Antiquités départementales, 1859
- L'abbaye de Vaucelles, d’après le Camerus Christus, p. 297.
- Enguerrand de Monstrelet, Louis Douët-d'Arcq, III, p150, 1859
- Dictionnaire historique de la ville de Cambrai et du Cambrésis par Bouly, 1854
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Héraldique
Blason | D'or à trois lionceaux naissants de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
- Armorial de France, p. 15787
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