Catenoy

Localisation

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Catenoy : descriptif

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Catenoy

Catenoy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Catenoysiens et les Catenoysiennes.

Géographie

Localisation

Ambiance de la commune : la place de la Mairie.

Catenoy est un bourg périurbain du Plateau picard situé à 61 kilomètres au sud d'Amiens, à 32 kilomètres à l'est de Beauvais, à 23 kilomètres à l'ouest de Compiègne et à 58 kilomètres au nord de Paris. Il est traversé par la route nationale 31.

Au début du  ».

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Catenoy
Maimbeville Épineuse
Nointel Catenoy
Bailleval Labruyère Sacy-le-Grand

Topographie et géologie

Le territoire se constitue en une vaste plaine dépourvue d'eau, bornée au sud par des coteaux boisés. Celui-ci comprend une colline, une vallée large et une pente allongée où commence le plateau picard, et présente des différences d'altitude assez considérables. La commune s'étend entre 53 mètres et 163 mètres d'altitude. La mairie du village se situe à 61 mètres d'altitude. Le point le plus bas se situe sur la route départementale 10, au sud-est, près de la limite communale et le point le plus élevé du territoire se trouve au sommet du bois des Côtes, au sud. Ce dernier forme un plateau dominant le centre et le nord de la commune, au sud, dont les pentes s'inclinent de 163 à 75 mètres d'altitude vers le chef-lieu. L'extrémité est de ce plateau, culmine à 157 mètres au Camp de César. Le reste de la commune est situé sur une plaine inclinée vers le sud (fond de la mare), où se trouve à son point culminant le hameau de Luchy à 113 mètres d'altitude. À l'extrême nord du territoire, la ferme du bois de Luchy se localise à 106 mètres. Le hameau de Saint-Antoine, dans le prolongement nord du village, se trouve à 66 mètres, Visigneux (au nord-est du chef-lieu) à 64 mètres, Villers (à l'est du village) à 62 mètres et Courcelles (au sud-ouest), à 62 mètres d'altitude. Au sud-est, la vallée Beudron forme une partie de la limite communale avec Sacy-le-Grand. Près de la ferme du bois de Luchy se trouve l'ancienne fosse dite du Saint-Suaire, qui témoigne de la géologie du territoire.

Le grand plateau crayeux de Picardie a sa limite sur le territoire. La craie blanche paraît au nord du village, et elle arrive même très près des coteaux du Bois des Côtes, puisqu'on la voit dans la Grande rue. Elle se montre aussi dans un affleurement entre le tertre et le hameau de Villers. Il y a près de Luchy quelques dépôts de sable peu épais. L'escarpement au-dessus du chef-lieu laisse voir dans le bas, du sable quartzeux rubané, à gros grains verts. La même disposition de sable contenant des concrétions calcaires tuberculeuses règne autour du cap qui porte le camp de César. Le plateau du camp montre des lits de sable roux et blanc. Les rognons calcaires blanc paraissent à la surface.

Le talus des coteaux est couvert d'un dépôt sablonneux formant terrasse, qui paraît avoir été transporté ou remanié par les eaux. On y trouve beaucoup de petits galets, et en plusieurs lieux des lits ou amas de coquilles fossiles brisées pareilles à celles qui accompagnaient les lignites du Soissonnais. On en voit en quantité au-dessus de Villers où les champs sont remplis de cyrènes brisées[C'est-à-dire ?].

La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre.

Hydrographie

La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau,.

La commune a toutefois des sources à flanc de coteau, dont les excédents éventuels, ainsi que les eaux de pluie, s'écoulent vers Nointel. Il s'agit notamment de la source du Marais, la fontaine Trinquette (la plus profonde de la commune), la fontaine Aimable (découverte au , qui alimentaient les besoins des habitants de la commune jusqu'à l'installation de l'eau courante au .

Dans la partie nord du territoire communal les puits avaient une profondeur atteignant 80 mètres. Il existait autrefois une mare et un puits sur la place du village, une autre, appelée la mare à Baccat vers l'emplacement actuel du monument aux morts, qui collectait les eaux de pluie et limitait les risques d'inondations, tout en permettant aux animaux de s'abreuver, l'ancienne mare de Villers. Elles ont été supprimées progressivement à partir des années 1960.

Celles qui subsistent sont sèches au cours des étés. On les trouve au nord et à l'ouest du village, au hameau de Saint-Antoine, ainsi qu'à la ferme de Luchy. Un réservoir se trouve également le long de la route départementale 137 dans le bois des Côtes, au sud. Les zones les plus basses du territoire, entre la D 931 et le bois des Côtes, sont situées au-dessus de plusieurs nappes phréatiques sous-affleurantes.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 amplitude thermique annuelle de 13,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Creil à 12 vol d'oiseau, est de 11,2 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Milieux naturels

Hormis le tissu urbain, qui, en 2014, compose à 5,7 % la commune sur 71 hectares, la commune est constitué à 75,6 % de cultures sur 948 hectares.

L'ensemble des espaces boisés que comprend le bois des Côtes au sud, le bois de Courcelles au sud-ouest, le bois de Catenoy au sud-est, le bois de Luchy au nord et une partie du bois de Favières à l'est rassemble 215 hectares pour 17,2 % de la superficie. On compte 13 hectares de terrains nus et 4 hectares de vergers et prairies,. Le bois des Côtes est constitue une Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1 et se trouve sur le passage d'un corridor écologique potentiel.

  1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Liancourt, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 154 lire en ligne), Google Books.
  2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Liancourt, arrondissement de Clermont (Oise), 1837, 145 pages, page 48
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  7. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées 3Richesses
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Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes « Castenetum » vers 1010, « Castiniacum », « Castenoix », « Casthenoy » et « Catte Noix » en 1726. En picard, il se prononce « Catnoé ». Ce fut tout d'abord un fundus gallo-romain. Son nom indique un lieu planté de châtaigniers. Le suffixe latin -etum a laissé le y final.

L'ancien hameau du Fayel a un nom signifiant lieu où poussent les hêtres : « Fagetum ». Le hameau de Courcelles, petite cour, petit domaine, se nommait « Castenatum » vers 1169, « Corceles » en 1246. Visigneux s'appelait « Visignolium » vers 1250, « Visigneul » en 1517. Luchy fut un fundus gallo-romain, domaine de Luciacum. Villers fut ainsi nommé car c'était une possession de la maison de Villers-Saint-Paul. La ferme du bois de Luchy prit ce nom à la suite du défrichement d'une grande étendue boisée voisine de Maimbeville.
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Histoire

Préhistoire

En 1845 est découvert à Catenoy un tumulus qui protégeant une sépulture renfermant entre 22 et 26 squelettes humains de l'époque préhistorique, confondu avec le rempart daté des Gaulois. Il s'agit d'une grande cavité, dallée de pierres brutes, ayant 3 à 4 mètres de côté, avec des squelettes superposés. On y a découvert aussi de petits objets. Certains ossements portent des traces de feu. Les silex proviennent très certainement des carrières qui sont plus tard reconnues au nord de Catenoy et Nointel, à Fitz-James, Saint-Aubin-sous-Erquery. Il n'a pas été trouvé là des objets en bronze. Mais des découvertes indiquent que ce promontoire est occupé par des peuples possédant l'art de polir le silex et l'art de la poterie. Un examen approfondi des lieux fait apparaître que les Gaulois (les Bellovaques) y ont installé une fortification, ainsi qu'un habitat. Le camp est défendu vers l'ouest, côté où il est relié au plateau, par une voie de 7 à 8 mètres d'élévation et environ 12 mètres d'épaisseur. La superficie totale occupée par l'ouvrage et ses défenses est approximativement de 4,5 hectares.

Antiquité

Plan de l'ancien camp de César et ses environs, dans le bois des Côtes.

Lorsqu'en 51 avant Jésus-Christ, les légions romaines installent, plus à l'ouest sur le plateau, ce qui devient le Grand camp, elles occupent aussi cet emplacement parfaitement situé pour la surveillance des plaines nord et est et adaptent les fortifications gauloises à leur propre technique, leurs ouvrages étant de dimensions moins considérables que ceux des Bellovaques.

Moyen Âge

Haut Moyen Âge

En 1839 des sarcophages furent trouvés au camp. Plus récemment, l'exploitation de la carrière du Fayel, près de la RD 137, en met d'autres au jour. Ils sont mérovingiens, comme en témoigne une francisque. D'autres se trouvent à Saint-Vaast, le hameau disparu. Cette pointe avancée, dite camp César, ne semble pas avoir plus tard joué un rôle militaire important. Une des anciennes chaussées Brunehaut, qui venait de Saint-Martin-Longueau, se sépare, sur le territoire de Sacy-le-Grand, en deux voies qui passent : l'une (La haute-Chaussée) aux bois de Favières et de Luchy, l'autre (la Basse-Chaussée) en direction du bois de Nointel. Ce sont maintenant des chemins secondaires. À l'emplacement du hameau de Courcelles fut un castellum de la défense du Grand camp. Luchy fut un fundus gallo-romain, domaine de Luciacum.

Moyen Âge central

Au Moyen Âge Catenoy est le siège d'une châtellenie qui dépendt du comté de Beauvais. Il en est fait mention, en particulier, dans une charte du roi le Pieux, de l'année 1015, sous le nom de Villa Castiniaco. Le château fort, dont il reste des vestiges dans le vieux mur (de 3 mètres d'épaisseur par endroits) qui entoure une partie de la mairie, est la résidence d'été des évêques-comtes de Beauvais avant la construction du château de Bresles. Cette seigneurie dispose d'une mesure particulière pour les grains. Elle a, sous le nom de prévôté, une justice seigneuriale dont le ressort est longtemps contesté par le bailliage de Senlis et de celui de Beauvais, auquel un arrêté du Parlement de Paris du , le maintient définitivement. Les rois de France ont droit de gîte à Catenoy.

Le bourg est dévasté en 1358, lors de la Jacquerie. Le château, détruit, n'est pas reconstruit. Cette révolte des paysans et d'une partie du clergé se termine dans la plaine entre Catenoy et Nointel, au lieu-dit le Champ de Bataille, par une lutte sanglante dans laquelle les troupes de Charles le Mauvais massacrent ou pendent plusieurs centaines de révoltés. Leur chef, Guillaume Carle, est, par ruse, attiré à Clermont et y est exécuté. Sa mort amène la dispersion de ce qui restait de ses partisans.

Bas Moyen Âge

Un marché est institué à Catenoy, afin de permettre de relever les ruines que des tragiques événements avaient détruites. En avril 1361, le roi Jean le Bon confirme cette institution, qui est à l'origine de la foire de la Saint-Michel. Elle se tenait le 29 septembre et a lieu maintenant le premier dimanche d'octobre[réf. nécessaire].

Pendant très longtemps la seigneurie de Villers-lès-Catenoy appartient à la famille de Villers-Saint-Paul, comme Labruyère et divers autres lieux. En 1352, le principal[C'est-à-dire ?] de la seigneurie consiste en un manoir, cens, champarts, vignes et comprenant aussi les voiries. Le Fayel possède encore des traces de son ancien manoir dans une construction massive en bordure de route. La paroisse a eu le titre de ville.

L'ancien hameau de Saint-Vaast avait une église et un cimetière. Saint-Antoine est le siège d'une commanderie dépendant de l'abbaye Saint-Antoine-des-Champs de Paris. Il en demeure la chapelle du hôpital[réf. nécessaire].

Les habitants du hameau de Villers relevaient de la paroisse de Choisy-la-Victoire, comme ceux de Ladrancourt (Sacy-le-Grand). Visigneux est une agglomération médiévale. La ferme d'Orcamp est jadis construite par les moines défricheurs de l'abbaye d'Ourscamp, d'où son nom.

Époque moderne

Catenoy, sur la carte de Cassini (XVIIIe siècle).

On trouve mention de l'acte par lequel, le les héritiers de Nicolas Thibault vendent à Louis Béchameil de Nointel, marquis de Nointel, les fiefs de Courcelles, Fayel et Luchy. Jadis, cette population s'occupait à la terre et aux bois, les artisans, comme il était alors l'usage dans les campagnes, cultivant quelques parcelles. La route de Liancourt venait autrefois tourner là, à angle droit, pour gagner la route royale, à 600 mètres du carrefour Saint-Antoine. Près du grand chemin de Sacy-le-Grand, au pied de la colline et de la cavée du Camp de César, était la ferme d'Orcamp. Elle avait été attribuée en 1645 à l'hospice de Liancourt par Roger du Plessis-Liancourt. Un hameau l'entourait, cité en 1608. La carte du diocèse de Beauvais de 1710 y indique un monastère au nord du chemin de Courcelles.

En 1777, la commanderie de Saint-Antoine de Catenoy est rattachée à l'ordre de Malte En 1789 la paroisse comptait 196 feux. Dans leurs cahiers de doléances, les habitants demandèrent en particulier : la suppression des aides, la réduction des impôts sur le sel et sur le tabac, que tous les impôts soient réduits à un seul, pour en faciliter la perception, qu'il soit mis fin à l'invasion du gros gibier (cerfs, biches, sangliers) qui causaient un tort considérable aux productions de l'agriculture et qui provenaient de la capitainerie d'Halatte, bien qu'elle soit éloignée de 3 lieues. La ferme d'Orcamp a été détruite en 1820.

Époque contemporaine

De l'histoire des temps récents, les mémoires ont retenu qu'une grave épidémie de variole ayant éclaté en 1801 à Catenoy, qui décimait la population, mais qui fut rapidement arrêtée grâce à la vaccination, qui venait d'être diffusée dans le secteur par La Rochefoucauld-Liancourt, et dont le maire, Louis Prévost, s'était fait l'ardent propagandiste.

La viniculture disparait après la Révolution.

L'ancienne gare de Catenoy.

La commune est en partie traversée par l'ancienne ligne de Rochy-Condé à Soissons, reliant en partie Beauvais à Compiègne. En même temps que l'ouverture de la ligne entre Clermont et le Bois-de-Lihus, la halte ferroviaire de Catenoy est inaugurée le , entrainant la création d'un quartier nouveau. Le trafic voyageur cesse le . La voie est déclassée entre le hameau de Froyères (Choisy-la-Victoire) et Estrées-Saint-Denis en 1964, condamnant ainsi la halte de Catenoy. Le trafic marchandises ayant perduré jusqu'en 1968 et la gare a été démolie partiellement en 2010, mais certains bâtiments liés à l'activité ferroviaire subsistent

En 1834, Louis Graves indique que la commune est propriétaire d'un presbytère, de la mairie et d'une école. La population vivait essentiellement des travaux agricoles et l'on comptait sur le territoire trois moulins à vent et une tuilerie. Une foire se tenait à la Saint-Michel.

Au début du ,.

Lors de la Première Guerre mondiale, Catenoy ne s'est pas trouvé sur la ligne de front, mais a accueilli l'hôpital d'évacuation Nécropole nationale de Catenoy, un important cimetière militaire, a été établi, en bordure de l'ancienne route nationale. Il a reçu encore, en , 105 corps de victimes des derniers conflits. Y sont également inhumés un pilote australien, un britannique, un soldat russe et quatre Français tués lors de la Seconde Guerre mondiale,

La Nécropole nationale de Catenoy.

La déviation de Catenoy par la route nationale 31 a été inaugurée en 2012. Sa mise à 2x2 voies entre Catenoy et le Bois-de-Lihus est envisagée à la fin des années 2020.


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  1. Marjorie Michaud D, Association « Catenoy, la vie comme avant », « Une ferme pas comme les autres », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3508,‎ , p. 21.
  2. a et b Marjorie Michaud D, Association « Catenoy, la vie comme avant », « L'histoire de la commune », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3508,‎ , p. 20.
  3. José Banaudo, Trains oubliés : 4. l'État, le Nord, les Ceintures, Menton, Éditions du Cabri, 1982, 223 ISBN ), p. 152-153.
  4. Marc Gayda, André Jacquot, Patricia Laederich et Pierre Laederich, Histoire du réseau ferroviaire français, op. cit., p. 154-156 et 188.
  5. Journal Officiel de la République Française du , page 1828.
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  7. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Graves
  8. CSD Ingénieurs+, «  » [PDF], ADDIVANT FRANCE SAS (ex-CHEMTURA) à Catenoy, Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 8.
  9. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Nécropole
  10. « Des fouilles préventives à Catenoy dans la perspective du prolongement de la déviation de la RN31 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Héraldique

Blason
Taillé au 1) de gueules à la faucille, au fléau et à la faux, le tout d'argent, posé en barre et rangé en bande, au 2) d'azur au moulin à vent et à l'usine du même rangés en barre; à la cotice en barre d'argent brochant sur la partition; le tout enfermé dans une filière du même.
Détails
Ce blason est entouré d'une branche de châtaignier, Catenoy signifiant « Lieu aux châtaigniers » , et d'un épi de blé, rappelant le caractère agricole de la commune. Sa partie supérieure comprend des outils d'agriculteur : la faux, la faucille et le fléau, sur un fond rouge pour rappeler que le sang a coulé lors de la Jacquerie, avec ses mêmes instruments, et, en partie basse, l'usine matérialise l'industrialisation qui a transformé Catenoy au
Le blason est une création de Monsieur Robert Vénache, habitant de Catenoy, qui a répondu avec succès à un concours organisé par la mairie. Il est utilisé depuis 2009
  1. «  », sur armorialdefrance.fr.
  2. Marjorie Michaud D, Association « Catenoy, la vie comme avant », « Catenoy Au cœur de la Grande Guerre », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3508,‎ , p. 19.
  3. «  », Historique, sur catenoy.fr (consulté le ).

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Catenoy dans la littérature

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