Sémeries

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Sémeries : descriptif

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Sémeries

Sémeries est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie

Sémeries se situe dans le sud-est du département du Nord (Hainaut) en plein cœur du parc naturel régional de l'Avesnois. L'Avesnois est connu pour ses prairies, son bocage et son relief un peu vallonné dans sa partie sud-est (début des contreforts des Ardennes), dite « petite Suisse du Nord ».

En fait, Sémeries fait partie administrativement de l'Avesnois, géologiquement des Ardennes, historiquement du Hainaut et ses paysages rappellent la Thiérache.

La commune se trouve à 100 Lille (préfecture du Nord), Bruxelles (Belgique) ou Reims (Marne), à 45 Valenciennes, Mons (B) ou Charleroi (B) et à 7 Avesnes-sur-Helpe (sous-préfecture).

Elle comporte un important hameau « Zorées » situé à quatre kilomètres et demi du centre village, sans oublier un ancien hameau « Brode » devenu un quartier du village avec l'avancée de l'urbanisation.

Le village est traversé par une rivière, l'Helpe Majeure. Cette dernière se jette dans la Sambre. Malgré la construction en amont du barrage du Val Joly par EDF en 1967, il arrive encore de voir l'Helpe Majeure sortir temporairement de son lit, même si les inondations par rapport au passé sont devenues beaucoup plus rares et moins importantes. Dernières inondations importantes : et .

Le village est bordé par les communes d'Avesnelles, Étrœungt, Felleries, Flaumont-Waudrechies, Rainsars, Ramousies et Sains-du-Nord.

La Belgique (Touvent) se trouve à 15 département de l'Aisne (Rocquigny) à 11 km.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Sémeries
Flaumont-Waudrechies Felleries Ramousies
Avesnelles Sémeries Sains-du-Nord
Étrœungt Rainsars

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Helpe Majeure, le ruisseau de la Belleuse, la Cantraine, le ruisseau de Baquy, le ruisseau de Bouvret, le ruisseau de la Planquette, le ruisseau de Merlinry, le ruisseau des Prés hauts et le ruisseau Rieu d'orsy,,.

L'Helpe Majeure, d'une longueur de 69 Ohain et se jette dans la Sambre canalisée à Noyelles-sur-Sambre, après avoir traversé 18 communes. Les caractéristiques hydrologiques de l'Helpe Majeure sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 3 . Le débit moyen journalier maximum est de 49,9 débit instantané maximal est quant à lui de 62,6 .

Réseau hydrographique de Sémeries.
Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sambre ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 253 bassin versant de la Sambre. Le périmètre a été arrêté le

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 amplitude thermique annuelle de 14,8 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 7 vol d'oiseau, est de 10,5 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. Sandre, «  »
  2. Sandre, «  »
  3. Sandre, «  »
  4. Sandre, «  »
  5. Sandre, «  »
  6. Sandre, «  »
  7. Sandre, «  »
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  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie

  • Noms anciens : Semeries, 1095, acte de l'évèque de Cambrai, Gaucher, Semeriis, 1151, cartulaire de l'abbaye de Liessies, Emmeries, 1186, J. de Guise, XII, 339, Semeries, 1203, cart. de l'abbaye d'Alne, Semeries, 1349, Pouillé de Cambrai, Sepmrie, 1609, pierre dans le cœur de l'église.
  • Il s'agit d'un des nombreux toponymes en -ies du nord de la France dont la finale est issue du suffixe -i -acum à l'accusatif pluriel -iacas, marqueur de la propriété, et qui est précédé du nom de personne de type germanique Sigismarus.
  1. [1]

Héraldique

Les armes de Sémeries se blasonnent ainsi : D'argent à une hure de sanglier défendue du champ et lampassée de gueules.

Histoire

Avant 1000 :

Le territoire de Sémeries faisait partie de la région occupée par les Nerviens, une tribu celte belge, avant la domination romaine. En 57 av. J.-C., César a vaincu les Nerviens, permettant à la civilisation gallo-romaine de s'établir durablement dans la région. Ainsi, Sémeries a été intégrée dans la Gaule Belgique, un vaste ensemble régional divisé en cités, et faisait partie de la Cité des Nerviens, dont la capitale était Bagacum, aujourd'hui Bavay. Cependant, au début du Ve siècle, une série d'invasions a mis fin à la romanité dans la région. Les Francs, sous la conduite de Clovis, ont lancé une conquête presque totale de la Gaule depuis Tournai, contribuant à l'effondrement de l'Empire romain d'Occident. Par la suite, les dynasties franques, d'abord mérovingienne puis carolingienne, se sont succédé sur ce territoire.

Après 1000 :

  • L'histoire de Sémeries est très ancienne. Ce nom est cité en 1095 dans la charte de fondation de l'abbaye de Liessies.
  • Noms Anciens : Semeries, 1095, acte de l'évêque de Cambrai, Gaucher. Semeries, 1107. — Semeriis, 1151, cart. de l'abbaye de Liessies. Emmeries, 1186, J. de Guise, XII, 339. — Semeries, 1203, cart. de l'abb. d'Alne. — Semeries, 1349, Fouillé de Cambrai. — Semery — Simry. — Semeries, documents divers (cf "Bulletin de la commission historique du département du Nord" - tome IX - 1866), Simeri, 1112, charte de l'évêque Odon ; Sermios, 1180, bulle du Pape Alexandre III ; Simereioe,
  • L'alleu (terre libre ne relevant d'aucun seigneur) fut donné en 1095 par Thierry d'Avesnes à l'abbaye de Liessies qui le conserva jusqu'à la Révolution.
  • Autour de l'an 1200, aurait eu lieu un défrichement de la forêt qui couvrait les hauteurs dominant le village ce qui a permis l'installation du hameau de Zorées, le nom provenant donc des orées (du bois).
Vu de Sémeries vers 1600
  • Un château fort était présent à Sémeries. Visible sur la vue aquarellée des Albums de Croÿ à la fin du XVIe siècle, il comprenait un bâtiment principal à trois niveaux couvert d'une toiture en pavillon, accosté sur sa face nord d'une tourelle et à l'ouest d'un corps de logis. Une grosse tour plus basse ainsi qu'un portail marquaient l'accès à la cour. Le château a été totalement détruit en 1757. Le livre Statistique archéologique du département du Nord - 1867 apporte la précision suivante : « Le fort que les habitants avaient fait construire pour la défense du village, pendant les guerres du XVIe siècle, fut entièrement démoli en 1757 ».
  • L'église Saint-Rémy est également visible face au fort sur la vue dessinée par Adrien de Montigny. Elle a été reconstruite en 1617 et un clocher ajouté au XIXe siècle. Cependant a été conservé l'ancien portail en style gothique flamboyant des années 1550. Un édicule construit à proximité en 1543 renferme un Christ de Pitié.
  • 1659 : Sémeries est rattaché au royaume de France. Après avoir appartenu aux Pays-Bas espagnol, sous le règle de Louis XIV, par le traité des Pyrénées signé le , Sémeries est rattaché au royaume de France (en même temps que la ville d'Avesnes-sur-Helpe et les communes environnantes).
  • À quoi ressemblait Sémeries au lien internet et de Zorées que l'on retrouve sous l'appellation Zourées (Encore appelé ainsi par les anciens dans les années 1980...("t"es d'Zourées?...)lien internet.
  • 1790 : à la suite de la subdivision des départements français en districts, à compter de 1790, Sémeries se trouve dans le canton d'Avesnes, lui-même appartenant au district d'Avesnes jusqu'en 1795, date à laquelle les districts sont supprimés par la constitution du 5 fructidor An III (22 août 1795).
  • 1800 : à la suite de la loi du 28 pluviôse an VIII (17 février 1800) qui crée les arrondissements pour remplacer les districts, Sémeries fait partie de l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe créé au regard de l'arrêté en date du 17 ventôse an VIII.
  • À la fin du .
  • Les moulins à eau : deux moulins à eau ont fonctionné à Sémeries. Le premier, situé sur l'Helpe majeure (centre village), appartenait à l'abbaye de Liessies depuis que l'alleu lui fut offert en 1095. À partir de 1880, le grain n'y aurait plus été transformé. La bâtisse actuelle date, quant à elle, du .
  • Sémeries au site internet des Archives départementales du Nord.
  • 1838 : annuaire statistique du département du Nord : extrait : "La population de Sémeries est de 711 habitants, dont 80 indigents et 6 mendiants. Son territoire comprend 1344 hectares, savoir : 746 en terres à labour, 484 en prés, 7 en vergers, 8 en bois, 27 en terrains incultes, 4 en fonds d'habitations, 56 en routes et chemins, et 12 en rivières. On y cultive le blé, l'épeautre, le seigle, le méteil, l'orge d'hiver, l'avoine et les pommes de terre. Ses produits principaux sont le blé, l'épeautre et l'avoine. L'industrie des habitants consiste dans la fabrication et la vente du beurre et des fromages. Il existe à Sémeries une brasserie et deux moulins à farine, situés sur l'Helpe Majeure."
  • 1842 : construction du bâtiment qui abritera dans ses ailes l'École (Publique) et en son milieu l'actuelle Mairie. Auparavant la Mairie se trouvait dans un bâtiment situé dans l'actuelle Rue de la Forge.
  • 1848 : construction d'une École (Publique) dans le hameau de Zorées. L'École a fermé dans les années 1970.
  • 1881 : dictionnaire topographique de l'arrondissement d'Avesnes par M.P. Chevalier - 1881 - les Éditions du Bastion : extrait : "La culture est la même que dans les autres communes du canton, c'est-à-dire celle des céréales, de la pomme de terre et des plantes fourragères. Son industrie est représentée par 2 filatures de laine, la première construite en 1846 et la seconde en 1871. On y compte 2 carrières de pierres, 3 fours à chaux, une brasserie, un moulin à eau, 2 forges de maréchal, une fabrique de poteries, tuiles et drains. Territoire 1345 ha dont 786 de terres labourables, 503 ha de pâtures et prés, 8 ha de bois, 2 ha de landes et 46 ha en divers (jardins, maisons,...). Nombre d'habitants : 850.

Depuis 1900 :

L'ancienne gare
  •  : inauguration et mise en service de la ligne de chemin de fer Avesnes-sur-Helpe - Sars-Poteries. La ligne est ouverte au public le . Elle relie Avesnes sur Helpe à Solre-le-Château, via le Flaumont-Waudrechies, Sémeries, Felleries, Beugnies et Sars-Poteries. Une gare "voyageurs" et une halle "marchandises" sont présentes à Sémeries. Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale (), le transport des voyageurs est assuré. Ensuite, seul le transport de marchandises composé essentiellement par la livraison de fournitures agricoles (paille, engrais, etc.) subsiste jusqu'en 1953. Les bâtiments existent encore aujourd'hui.
  • En 1906, Sémeries compte 190 maisons, 200 foyers et 642 habitants.
Monument aux morts à Sémeries, par Émile Pouillon
Monument aux morts, plaque à Zorée
  • 1914-1918 (Première Guerre mondiale) : après avoir envahi la Belgique, les Allemands entrent en France. Les Français cèdent devant leur poussée. Le , des soldats Français, battant en retraite, arrivent en provenance de Felleries passent par le lieu-dit "la Ronflette", se dirige vers Le Flaumont puis Avesnes Sur Helpe. Les Allemands suivent. Ils arrivent à Sémeries le  (11 heures du soir). Entre Zorées et Cantraine, un accrochage a lieu le même jour entre un escadron d'avant garde appartenant à un régiment de Cuirassiers allemand (5e division de cavalerie allemande - IIe armée) provenant de Sains du Nord et un escadron d'arrière garde du 10e régiment de Hussards chargé de couvrir la retraite des 35e et 36e division d'infanterie composant la Ve armée française qui se replient d'Avesnes à Le Nouvion. Après l'accrochage, on dénombre 45 morts chez les Français et 16 parmi les Allemands. Les hussards français se retirent à Etrœungt puis quittent la région en direction de l'Aisne. Sémeries se trouvera ensuite en zone occupée. Le village sera libéré quelques jours seulement avant l'armistice ().
  • 1922 : un monument aux morts érigé après la Première Guerre mondiale en mémoire des victimes de la guerre se trouve dans le centre du village. Inauguré le , taillé dans de la pierre bleue de Soignies, il est l'œuvre d'Émile Pouillon sculpteur de Cousolre. Un deuxième monument, simple plaque, se trouve à Zorées sur la façade de l'ancienne école.
  • 1940-1945 (Seconde Guerre mondiale) : venue de Belgique, la 7e Panzer (Division blindée), commandée par le Général Erwin Rommel, arrive dans l'Avesnois le en passant par Clairfayt. Elle continue sa progression très rapidement en empruntant la route qui mène de Solre Le Château au « Les 3 pavés », puis poursuit en passant à Avesnes-sur-Helpe (en empruntant l'avenue du Pont Rouge) et continue vers Landrecies. Sémeries, comme beaucoup de communes des alentours, sera ensuite occupée par les Allemands et libérée le  (comme Avesnes-sur-Helpe et Fourmies) par des troupes américaines.
  • Vers 1948-1950, à Sémeries, l'école publique primaire devient mixte ; finie l'école des filles d'un côté et l'école des garçons de l'autre.
  • 1957 : à partir de cette date les travaux de raccordement des habitations au réseau d'eau potable ont commencé à Sémeries. À l'époque, les travaux s'effectuaient à la pelle, à la pioche et au marteau piqueur. Les écarts ont dû attendre encore quelques années pour être raccordés (ex. Le Lucq en 1975 - dernières maisons de la rue de la Palette).
  • 1958-1959 : construction d'une nouvelle école primaire contiguë à la gare de voyageurs SNCF désaffectée. Auparavant, l'école primaire se trouvait dans les ailes de la Mairie. Dans l'aile gauche, une classe rassemblait les élèves des premiers niveaux et dans l'aile droite, une classe rassemblait les "grands" (CE2, CM1, CM2). À partir des années 1960, les "petits" se trouvaient dans la nouvelle école. Les "grands" restant dans l'aile droite de la Mairie. Depuis le début des années 1980, il ne reste plus qu'une classe unique qui se trouve dans la "nouvelle" école.
  • 1968 : création du camping "Au bol d'air" - route du Flaumont - par Maurice et Andrée Pecqueriaux.
  • 1973 : création de la discothèque "Le Jodid" par Joël et Didier. Aujourd'hui, la discothèque s'appelle l'Oxxo.
  • Jusque dans les années 1980, un bureau de poste était présent au centre du village (Rue de Ramousies, non loin de l'église). À l'époque le code postal de la Commune était 59291. Aujourd'hui, l'ancien bureau est un logement et Sémeries dépend du bureau de poste d'Avesnes-sur-Helpe (code postal : 59440).
  • Jusque l'année scolaire 1992/1993, une école primaire publique était présente dans le hameau de Zorées (Rue des Grandes Zorées).
  • En , la boulangerie présente dans le centre du village (à côté du café - impasse de la Forge) ferme ses portes.
  • En 2003, une troisième cloche, appelée Marie II, est installée dans le clocher de l'église. Elle remplace la cloche dérobée par l'occupant allemand lors de la Seconde Guerre mondiale.
  •  : vers 2h00 du matin, de très violents vents ont causé d'importants dégâts sur l'ensemble du territoire de la commune. De nombreux arbres ont été déracinés dont certains ont causé des dégâts sur des bâtiments : arbre tombé sur le toit de la discothèque, arbres tombés sur 3 toitures d'habitations (Rue Nationale - Zorées), sapins tombés dans le terrain de camping, sapins tombés sur le toit d'une chapelle Rue de Sains, toitures de bâtiments (maisons, bâtiments agricoles) emportées ou très endommagées (Brode - Route du Flaumont - Zorées). Des habitants ont été coupés d'électricité pendant 3 jours au vu de l'endommagement du réseau EDF. Inscrits dans une zone d'orages et de tempête qui a concerné principalement l'est de la Picardie, du Nord-Pas-de-Calais mais aussi le Hainaut Belge, à Sémeries, les violents coups de vent, comme une tornade, se sont déplacés sur un axe (sud vers nord), et ont causé des dégâts significatifs sur une largeur moyenne de 4 Avesnelles, Étrœungt, La Capelle, Sains-du-Nord, Semousies.Une tornade avait déjà occasionné des dégâts importants sur le hameau de Zorées le et avait ensuite dévasté quasi totalement la commune du Pommereuil.
  1. "Statistique archéologique du département du Nord" - seconde partie - 1867
  2. Rédaction partiellement tirée d'un article lié à l'inventaire général du patrimoine culturel intitulé « Présentation de la Commune de Sémeries » figurant sur le site du ministère de la Culture - Base Mérimée (www.culture.gouv.fr :  IA62001211.
  3. Moulin en Avesnois de Claude Lompret et Jérôme chrétien - Édition Makit
  4. Cf informations fournies par M. Jacques Guillot, membre de l'association ferroviaire Sambre-Avesnois (Maubeuge)
  5. Consultez le recensement exhaustif de la population (adresse, nom, prénom, année de naissance, profession) réalisé en mars 1906 sur le site internet des Archives Départementales du Nord : lien internet.

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 30/10/2024
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