Rombas

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Rombas : descriptif

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Rombas

Rombas (prononcé [ʀɔ̃bɑ]) est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est. Ses habitants s’appellent les Rombasiens.

Géographie

Localisation

La ville est située dans la basse vallée de l'Orne, sur sa rive droite, sur deux régions naturelles : le Plateau lorrain et les plateaux calcaires de Lorraine ou côtes de Moselle.

Carte de la commune.

Géologie

Les étages de l’échelle stratigraphique apparents à Rombas sont mentionnés selon leur ordre de mise en place, des plus anciens aux plus récents :

  • Ère secondaire : Pliensbachien ; Toarcien ; Aalénien ; Bajocien, d'un âge d'environ −190 à −165 millions d'années (Ma) ;
  • Système quaternaire : limons éoliens ; alluvions anciennes et alluvions modernes.

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. À Rombas, la rivière de l’Orne recueille l’eau de Rapt canalisé en aval du fond Saint-Martin. Ce ruisseau arrose le lieu-dit Chantereine qui doit son nom à l’affection que portent les batraciens pour cette zone humide. Les eaux d’exhaure sont présentes sur les flancs de coteaux.

Réservoir, stations de pompage.

L'Orne, d'une longueur totale de 85,7 Ornes et se jette dans la Moselle à Richemont, après avoir traversé 37 communes.

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification, dont le territoire correspond aux anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants associés, d'une superficie de 2 418 région Grand Est. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le SDAGE du Bassin Rhin-Meuse.

La qualité de l'Orne peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 amplitude thermique annuelle de 16,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 4 vol d'oiseau, est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 ,,.

Statistiques 1991-2020 et records MALANCOURT (57) - alt : 346m, lat : 49°13'07"N, lon : 6°03'25"E
Records établis sur la période du 01-01-1973 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,4 −0,3 2,2 4,9 8,5 11,5 13,6 13,4 10,2 7,1 3,2 0,6 6,2
Température moyenne (°C) 1,8 2,7 6,3 10 13,7 16,9 18,9 18,7 14,8 10,4 5,7 2,6 10,2
Température maximale moyenne (°C) 4,1 5,8 10,4 15 18,8 22,2 24,3 24 19,4 13,8 8,1 4,6 14,2
Record de froid (°C)
date du record
−17,9
05.01.1985
−15,6
07.02.1991
−14,6
01.03.05
−6,1
12.04.1986
−1,4
06.05.1979
−0,1
05.06.1991
2,9
22.07.1980
2,9
24.08.1980
1,3
07.09.1985
−3,4
24.10.03
−10,8
23.11.1998
−15,5
03.12.1973
−17,9
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,2
05.01.1999
20,9
27.02.19
25,6
31.03.21
27,9
21.04.18
32,4
28.05.17
35,4
26.06.19
39,3
25.07.19
38,2
08.08.03
33,1
15.09.20
26,2
10.10.1979
21,1
02.11.20
15,6
17.12.15
39,3
2019
Précipitations (mm) 85,9 70,2 67,5 52,6 67,9 68,4 70,7 69,5 69,6 79,7 81,7 100,4 884,1
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
4,1
−0,4
85,9
 
 
 
5,8
−0,3
70,2
 
 
 
10,4
2,2
67,5
 
 
 
15
4,9
52,6
 
 
 
18,8
8,5
67,9
 
 
 
22,2
11,5
68,4
 
 
 
24,3
13,6
70,7
 
 
 
24
13,4
69,5
 
 
 
19,4
10,2
69,6
 
 
 
13,8
7,1
79,7
 
 
 
8,1
3,2
81,7
 
 
 
4,6
0,6
100,4
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Rombas
Rosselange Clouange
Moyeuvre-Grande Rombas Amnéville
Amnéville Pierrevillers Marange-Silvange
  1. Cartes géologiques de la France au 1/50000, Briey ; BRGM ; 1983.
  2. Sandre, «  »
  3. «  », sur gesteau.fr (consulté le ).
  4. «  », sur eau-rhin-meuse.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. «  », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. «  », sur meteofrance.com, (consulté le )


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Toponymie

Attestations anciennes

La première mention connue de la localité apparaît dans une nomenclature des propriétés du couvent bénédictin de Prüm en Eifel, au .

Anciennes mentions, :

  • Romesbach, 972–973 ;
  • Romebach, 978 ;
  • Ramesbach et Romabach, 984 ;
  • Rumebaz, Rumebaiz, Romesbach au XIIe siècle ;
  • Rumesbach, 1128 ;
  • Romeba, 1157 ;
  • Ramisbach, 1160–1162 et 1179 ;
  • Romesbas, 1185 ;
  • Romebair, 1242, 1247 ;
  • Romebac, 1245 ;
  • Romebar, 1264 ;
  • Roumebac, 1285 ;
  • Rombar, 1298 ;
  • Rombart, 1327 ;
  • Rombair, Rombairt, Rombar, 1335–1338 ;
  • Rombairt, 1339 ;
  • Romber et Rombas au XVe siècle ;
  • Rombay, 1427 ;
  • Rombaix, 1472 ;
  • Rombay, 1529–1598 ;
  • Rombart, 1581 ;
  • Romba ou Redingen, 1572 ;
  • Rombas, 1613 ;
  • Rombach, XVIIIe siècle (pouillé de Metz) ;
  • Rombac sur la carte de Cassini (levée entre 1756 et 1789) ;
  • Rombach, 1871-1918 et 1940-1944 (annexion allemande) ;
  • Rombas, depuis 1945.

Étymologie

On attribue au nom de la ville une étymologie germanique. Le premier élément Rumo, est un nom de personne (sans doute un Franc, propriétaire de la terre au ou  siècle), associé à l'appellatif *bakiz qui désigne le cours d’eau (cf. l’allemand Bach, ruisseau) et qui a généralement donné la finale -bais ou -baix dans les régions de langue d’oïl.

Le nom de la commune est Rombéch en francique lorrain.

Rombas est l'homonyme étymologique de Rombach-le-Franc (Haut-Rhin, Rumbach 854).

  1. a et b Rombas, ses origines sur le site web de la ville
  2. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868
  3. Rombas sur le Géoportail de l’IGN.
  4. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris 1978. p. 574.
  5. Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, ISSN 0762-7440).

Étymologie

On attribue au nom de la ville une étymologie germanique. Le premier élément Rumo, est un nom de personne (sans doute un Franc, propriétaire de la terre au ou  siècle), associé à l'appellatif *bakiz qui désigne le cours d’eau (cf. l’allemand Bach, ruisseau) et qui a généralement donné la finale -bais ou -baix dans les régions de langue d’oïl.

Le nom de la commune est Rombéch en francique lorrain.

Rombas est l'homonyme étymologique de Rombach-le-Franc (Haut-Rhin, Rumbach 854).

  1. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris 1978. p. 574.
  2. Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, ISSN 0762-7440).

Histoire

Préhistoire et Antiquité

Les premières installations humaines dateraient du Néolithique (5 000 néolithiques (vers −4 000) sont découvertes au lieu-dit la Tuilerie proche du hameau de Ramonville.

Les vestiges d’un oppidum remarquable sur la côte de Drince, à Pierrevillers, demeurent parfaitement visibles et attestent la présence dans la région du peuple celte, les Médiomatriques (env.  siècle).

Achèvement de la conquête romaine de la Gaule (en 52), présence romaine très probable à Rombas.

Moyen Âge

C’est le Franc germanique Rumo qui, recevant cette terre en partage, aurait fondé Rombas au province du Barrois, prévôté de Briey. Elle est citée en 753 comme possession de Saint-Vannes de Verdun.

Au abbaye de Gorze, la viticulture devint la principale activité économique.

La ville de tradition francophone se situe sur l'ancienne frontière linguistique (soit jusqu'au XVIIe siècle) entre les parlers roman et germanophone.

Durant la guerre que René II, duc de Lorraine et de Bar, fait aux Messins, Rombas est assiégée et anéantie en 1490.

De la Renaissance au | ]

Fief lorrain sous la prévôté de Briey en 1572.
Sa population dépasse largement 750 habitants en 1581. Plus de 1 000 au début du guerre de Trente Ans).

La Révolution française et l’Empire

Ancien château de Rombas.

À la Révolution, Rombas, siège d’un archiprêtré, est la deuxième localité du bailliage de Briey avec près de 1 250 âmes (le territoire de Sylvange aujourd’hui Silvange est encore sous sa dépendance).

Le noyau historique du bourg vigneron donne la toponymie côte de Choque désignant le pressoir. Les maisons de vignerons dans leur aspect actuel (deuxième moitié du village-rue lorrain.

En 1793, Rombas dépend du département de la Moselle et du canton de Briey et du district devenu arrondissement (en 1801) de Briey.

Après la Révolution française, la famille de Wendel déploie les forges et son influence dans la vallée. En 1817, Rombas avait pour annexes les hameaux de Villers-lès-Rombas et Ramonville ce qui représente 1 160 habitants répartis dans 248 maisons.

À partir de 1860, l’industrie supplante mille ans de culture de la vigne, une culture qui disparaîtra définitivement en 1916, anéantie par le phylloxéra.

L’annexion allemande : 1871–1918

Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, Rombas est intégrée à l’Empire allemand après 1871, en application du traité de Francfort. Administrativement, la commune de Rombas, rebaptisée Rombach, est intégrée à l'arrondissement de Metz-Campagne, arrondissement du district de Lorraine, le district allemand de Lorraine. Durant cette période, Rombas devient un haut lieu de la sidérurgie. Une aciérie est implantée au centre d’un complexe industriel de grande ampleur, un complexe qui relie l'usine aux mines de fer et à d’autres sites, comme celui de Maizières-lès-Metz. L’Annexion se traduit par un afflux d’immigrés allemands, des ouvriers, mais aussi des cadres de l’industrie et des enseignants. La « ville basse » se développe à partir de l’usine et de la gare, selon les principes d’un art urbain inédit. Des écoles et une nouvelle mairie sont édifiées. La jonction avec le « village français » est amorcée au niveau de l'actuelle rue de Versailles et de la Grand’rue. L’usine favorise la construction d’un collège d’enseignement dans la rue de l’Usine en 1898. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Mosellans doivent se battre pour l’Empire allemand. Beaucoup de jeunes gens tombent sous l’uniforme allemand, sur le Front de l’Est, mais aussi à l’Ouest.

Le retour à la France

Rombas redevient française en novembre 1918 et réintègre l'arrondissement de Metz-Campagne, retrouvant ainsi sa place au sein de la République française. Comme conséquence juridique de l’annexion de 1871, le département de la Moselle est encore aujourd’hui sous régime concordataire, comme les départements du Bas-Rhin et le Haut-Rhin. En 1936, la construction de l’actuel collège, dans un cadre encore champêtre, est conçue pour pouvoir également servir d’hôpital.

Seconde Guerre mondiale

La Seconde Guerre mondiale et le drame de la deuxième Annexion marqueront durablement les esprits. L’armistice du 22 juin 1940 est en effet suivi d’une annexion de fait de la Moselle, par le Troisième Reich, qui entend germaniser totalement le pays. Le collège fait office d'hôpital militaire pour les Allemands entre juillet 1940 et août 1944. La Résistance s'organise pour faciliter l'évasion des réfractaires et des persécutés. Dès le 30 juillet 1942, la police allemande arrête les membres d'un réseau d'évasion à Rombas. Le mois suivant, les premiers Malgré-nous mosellans sont incorporés de force dans l'armée allemande. La commune sera libérée le 4 septembre 1944 au début de la bataille de Metz, échappant ainsi aux bombardements pratiquée par l'aviation militaire américaine en septembre et octobre 1944.

L’après-guerre

La sidérurgie met plusieurs années à retrouver son dynamisme au lendemain de la guerre. Elle reste structurée par métiers et se mécanise peu. Mais en 1950, on parle du « Texas-Français », la main-d’œuvre afflue de tous les départements français et une part importante des ouvriers est étrangère : fils d’Italiens piémontais et lombards venus au début du siècle, ouvriers allemands sociaux-démocrates arrivés pendant l’annexion de 1918, soldats russes prisonniers de guerre allemands de 1914–1918, Polonais, Russes de l’armée blanche ukrainienne, Italiens antifascistes de l’entre-deux-guerres, Hongrois communistes de 1920 et du parti national des Croix fléchées de 1946, et Hongrois réfugiés de 1956, Algériens, Italiens du Sud, Yougoslaves, etc. À partir de 1961 la croissance est rompue. Orientée sur la fabrication des produits longs destinés à l’exportation, l’industrie subit de plein fouet la concurrence internationale. 1963–1967 : la première crise industrielle et sociale régionale longue éclate. Elle se traduit par des licenciements massifs et la fermeture des mines de fer. Après 1968, l’amélioration des conditions de travail (hausse des salaires et diminution horaire du travail) coïncide avec la hausse des débouchés qui donnent à la sidérurgie lorraine de nouveaux espoirs. Elle doit alors embaucher.

Déclin sidérurgique et mutations

Ancien hôpital de Rombas.

La légère récession de 1971 puis la crise généralisée de la métallurgie mosellane (1975–1983) provoquent la fermeture annoncée de nombreux sites dans la région. L’usine de Rombas fait partie des trois dernières aciéries demeurées en activité. Ses deux derniers hauts-fourneaux s’arrêtent en 1998.

Au cours de cette période, se développent et de nouveaux équipements publics communaux.

Nouveaux enjeux

À partir des années 1980, les municipalités s’emploient à transformer l’image de la ville et se préoccupent du cadre de vie. Le service des Espaces verts se déploie considérablement et rapporte à la commune des distinctions pour son fleurissement, alors que la zone de loisirs du fond Saint-Martin est aménagée. La médiathèque est inaugurée en 1989 ainsi qu’une télévision locale (RTV) qui est diffusée via le réseau câblé. Dans l’idée d’enrayer la perte des commerces en ville par leur regroupement, et afin de lui donner une identité de centre-ville qui semble lui faire défaut, l’ancienne place du Docteur-Job est restructurée à travers une opération immobilière voulue ambitieuse (« Nous construisons l’avenir » est le slogan de la campagne de communication municipale). Les immeubles créent un pourtour à cette place, et une double galerie desservant des commerces (projet de Jean-Denis Sagan architecte). Les campagnes de ravalement des façades se succèdent tandis que les carrefours et les jardins se parent de fontaines ou de sculptures.

Dans les années 1990, deux barres d’habitation de l’ensemble Bourgasser très dégradées (le Berlioz et une partie du Massenet) sont démolies pour faire place à des immeubles collectifs de taille plus modeste : les immeubles Manon et Ariane nommés d’après les œuvres musicales de Jules Massenet. En 2000, le Massenet est détruit entièrement. Le Verdi, dernier vestige de l’ancien quartier Bourgasser, disparaît du paysage rombasien au début de l’année 2011.

La ville est précurseur du développement d’Internet à ses débuts en développant son site internet dès mars 1998 et en ouvrant peu après un Espace public numérique dans une salle de la médiathèque La Pléiade. La salle des fêtes, réhabilitée et promue « Espace culturel », développe une vaste programmation de concerts et de spectacles culturels.

  1. « Un peu d’histoire » sur le site web de Marange-Silvange.
  2. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées fcass
  3. 1944-1945, Les années Liberté, Le Républicain Lorrain, Metz, 1994 (p. 15).
  4. , Michel Freyssenet, Archivio di studi urbani e regionali, Milan, Franco Angeli Editore, no 16, 1983, p. 67–81.
  5. Revue municipale Le Petit Rombasien
  6. Article paru dans Le Républicain lorrain le 29 novembre 2008.
  7. www.rombas.com
  8. www.espace-culturel-rombas.com

Héraldique

Blason
D’azur à l’épée d’argent, garnie d’or, la pointe en bas, accostée de deux barbeaux d’or, flanqués de deux croisettes, recroisetées au pied fiché du même.
Détails
Les barbeaux, les croisettes et le champ d’azur font référence à l’ancien duché de Bar. L’épée est le symbole de saint Paul, protecteur de l’abbaye Saint-Paul de Verdun.
Approuvées par la Commission départementale d’héraldique le 28 février 1957, les armoiries communales ont été délivrées par le préfet le 25 avril de cette même année,.
  1. Armoiries sur le site web de la ville de Rombas
  2. Site de l’Union des cercles généalogistes lorrains

Culture

Médiathèque

La médiathèque La Pléiade a été inaugurée en 1989 par Pierre Mauroy, ancien Premier ministre. Elle est composée de :

  • une section jeunesse disposant d’albums illustrés, de romans, de documentaires, de bandes dessinées et d’une salle de travail pour les jeunes lecteurs ;
  • une section adultes dotée de plus de 40 000 ouvrages et d’une centaine de périodiques disponibles :
    • un fonds lorrain important comportant notamment des documents relatifs à la vallée de l’Orne et à la sidérurgie,
    • une salle de lecture et de travail mettant à disposition dictionnaires et encyclopédies ;
  • une section audiovisuelle avec plus de 6 000 CD et 4 000 vidéogrammes dont 1 500 DVD ; ce fonds audiovisuel est complété par des périodiques sur la musique, le cinéma et la photographie.

La médiathèque permet d’accéder à Internet grâce à un réseau Wi-Fi.

Elle abrite un Espace public numérique.

L’Espace culturel

L’Espace Culturel www.espace-culturel-rombas.com, issu de la réhabilitation complète de l’ancienne salle des fêtes, est une salle de spectacle créée en 2000 appartenant à la ville et gérée par l'Office municipal de la culture. Disposant de 500 places assises, elle permet une configuration modulable selon le type d’événement, et peut accueillir jusqu’à 700 spectateurs. L’Espace comprend un hall d’exposition. Il est équipé de cuisines. L’Espace Danse est attenant au complexe.

Musique et danse

Le Pôle musical et espace Danse regroupe deux structures :

  • l’Atelier musique et danse ;
  • l’harmonie municipale La Concordia fondée en 1899, composée d’environ 50 instrumentistes à vent.

Théâtre jeune public

La maison de l’Enfance propose une programmation Môm’Théâtre à destination des enfants.

Vie associative

  • équipements
  • associations
  1. Site Internet de la médiathèque municipale de Rombas
  2. Ville de Rombas, «  ».
  3. Ville de Rombas, «  ».
  4. Ville de Rombas, «  ».

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Rombas dans la littérature

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5164 autres localités pour la Grand-Est

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