Rambervillers
Localisation
Rambervillers : descriptif
- Rambervillers
Rambervillers (prononcé [ʁɑ̃bɛʁvile]), est une commune du département des Vosges, en région Grand Est. Ses habitants sont appelés les Rambuvetais.
Géographie
Localisation
Rambervillers est située au nord-est du département des Vosges ; à 320,2 Paris-Notre-Dame, point zéro des routes de France, à 22,9 Épinal, à 51,3 Nancy et à 87 Strasbourg.
Relief et géologie
Le territoire de la commune de Rambervillers se situe au nord-est de la plaine sous-vosgienne, un pays du département des Vosges, qui constitue la partie méridionale du Plateau lorrain.
Son centre est occupé par la plaine de la rivière la Mortagne, qui traverse le territoire communal selon une orientation sud-est - nord-ouest.
Des collines boisées bordent la plaine au nord-est et aux sud-ouest où se situe la forêt de Rambervillers. Le territoire s'étend sur 20,64 km2, de manière égale de part et d'autre de la rivière.
L'altitude moyenne est de 287 m et elle varie entre 272 et 348 mètres. Le point culminant se situe au nord-est, au lieu-dit Bois Béni, et l'altitude minimale est au niveau de la Mortagne lorsqu'elle quitte le territoire de la commune au nord-ouest.
Sismicité
Le territoire de la commune de Rambervillers se situe en zone sismique 3 de sismicité modérée.
Le , un tremblement de terre dit séisme de Rambervillers atteint la magnitude 5,4,.
Hydrographie et les eaux souterraines
Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
-
Les rives de la Mortagne.
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Mortagne, le ruisseau de la Colline des Eaux, le ruisseau le Padozel, le ruisseau Monseigneur, le ruisseau des Montaux, le ruisseau des Roses et le ruisseau le Ponsrupt,.
La Mortagne, d'une longueur totale de 74,6 Saint-Léonard et se jette en rive gauche dans la Meurthe à Mont-sur-Meurthe, après avoir traversé 26 communes.
Lors des périodes de fortes pluies, ce cours d'eau issu des massifs forestiers de Mortagne et du Haut Jacques est à l'origine d'inondations du fait de la canalisation beaucoup trop étroite de la rivière. Deux mètres d'eau ont ainsi envahi le centre-ville en 2006, à la suite de pluies importantes.
Le ruisseau de la Colline des Eaux, d'une longueur totale de 10,8 Jeanménil et se jette dans la Mortagne sur la commune, après avoir traversé quatre communes.
Le Padozel, d'une longueur totale de 12,6 Padoux et se jette dans la Mortagne sur la commune, après avoir traversé quatre communes.
Le ruisseau Monseigneur, d'une longueur totale de 13,4 Saint-Benoît-la-Chipotte et se jette dans la Mortagne sur la commune, après avoir traversé trois communes.
La commune dispose d'une station d'épuration des eaux usées d'une capacité de 14 000 équivalent-habitants.
-
Réseaux hydrographique et routier de Rambervillers.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 amplitude thermique annuelle de 16,9 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes à 5 vol d'oiseau, est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40 ,,.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −0,9 | −0,8 | 1,3 | 3,4 | 7,6 | 11 | 12,7 | 12,5 | 9,1 | 6,3 | 2,6 | 0,3 | 5,4 |
Température moyenne (°C) | 2,1 | 3 | 6,3 | 9,5 | 13,5 | 17 | 19,1 | 18,8 | 14,8 | 10,8 | 5,9 | 3 | 10,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 5 | 6,7 | 11,2 | 15,5 | 19,4 | 23,1 | 25,4 | 25,1 | 20,5 | 15,4 | 9,3 | 5,8 | 15,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−24,5 02.01.1971 |
−23,8 25.02.1986 |
−20,3 01.03.05 |
−7,7 13.04.1986 |
−3,8 01.05.1976 |
0,6 05.06.1991 |
3,4 31.07.15 |
2 28.08.1974 |
−3 17.09.1971 |
−8,5 20.10.1972 |
−14,4 23.11.1998 |
−23 03.12.1973 |
−24,5 1971 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18 05.01.1999 |
20,9 27.02.19 |
25 30.03.1989 |
28 28.04.12 |
31,7 27.05.05 |
36,3 18.06.22 |
40 25.07.19 |
38,3 07.08.15 |
33,5 15.09.20 |
28,3 02.10.23 |
23,6 08.11.15 |
19 16.12.1989 |
40 2019 |
Ensoleillement (h) | 876 | 1 607 | 2 017 | 2 145 | 2 386 | 2 518 | 2 254 | 191 | 1 152 | 64 | 541 | ||
Précipitations (mm) | 65,9 | 59,3 | 58,8 | 55,9 | 75,5 | 73,6 | 74,1 | 68,1 | 72 | 77,4 | 74,1 | 78,6 | 833,3 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
5 −0,9 65,9 | 6,7 −0,8 59,3 | 11,2 1,3 58,8 | 15,5 3,4 55,9 | 19,4 7,6 75,5 | 23,1 11 73,6 | 25,4 12,7 74,1 | 25,1 12,5 68,1 | 20,5 9,1 72 | 15,4 6,3 77,4 | 9,3 2,6 74,1 | 5,8 0,3 78,6 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
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- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- « », sur meteofrance.com, (consulté le )
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Toponymie
Anciennes mentions : Ramberti villa (1139) ; Rambertivillaris (1152) ; Remberviller (1187) ; Ramberviller (1192) ; Rambeviller (1291) ; Rambervillers (1377) ; Ramprehtwilre (1396) ; Ranpoltzwilre (1396) ; Raibaviller (1412) ; Rampprechtzwiler (1416) ; Raimbeviller (1455) ; Rembervillers (1790) ; Ramberviller (). En lorrain Rambièlè.
- Paul Marichal, Dictionnaire topographique de la France, lire en ligne), p. 351.
Histoire
Antiquité
Rambervillers tirerait son nom d'un ancien domaine gallo-romain (une villae) fondé par un nommé Ramberti, ce qui en latin se disait Ramberti villae, c'est-à-dire « le domaine de Ramberti ». C'est tout du moins l'étymologie communément admise. On ignore si ce centre d'exploitation agricole antique se trouvait à l'exact emplacement de la ville actuelle ou un peu plus à l'écart de celle-ci. Il ne subsiste aucune trace archéologique de la villa de Ramberti. Il faut supposer que les bâtiments de ce domaine étaient, comme la plupart des villas gallo-romaines qui ont donné leur étymologie à toutes les villes et villages français dont le nom actuel se termine en « -ville » ou « -villers », ceints de modestes remparts de terre, de pierre et de bois censés repousser les raids des barbares venus de l'Est.
Aux temps du second Empire romain puis du regnum francorum mérovingien, Rambervillers fait partie du diocèse de Toul.
Moyen Âge
Haut Moyen Âge
Au [évasif] déjà d'un gros bourg paysan du vaste ban de Nossoncourt, détaché sans doute à la fin du Leudin Bodon voulait fonder à Étival. Sa situation idéale en bas du piémont vosgien lui confère depuis tout temps une rente de situation exceptionnelle entre la plaine des cultivateurs céréaliers et la montagne des éleveurs.
La création de la ville aurait été décidée au ,, soit un puissant seigneur régissant les abords des forêts de Mortagne ou un moine-abbé qui fut contraint de quitter l'Abbaye Saint-Pierre de Senones ravagée.
Moyen Âge classique
Selon quelques rares archives, une longue guerre d'escarmouches fut initiée à la fin du siècle et au début du siècle entre une petite enclave[Laquelle ?] seigneuriale avancée tenue par une petite famille noble du parti Souabe soutenant l'ancien comte de Metz, dont les intérêts sont repris plus tard par la maison d'Alsace, et la puissante maison d'Ardenne installée à Épinal. La férocité entre les partis engagés est telle que les petits protecteurs du secteur de Rambervillers, incluant Fraispertuis et Jeanménil, Bru et Housseras sont occis avec leurs partisans par la grande armée combattante au service de la maison d'Ardenne, irritée par la résistance montagnarde et forestière. Un compromis diplomatique purge en partie la dérive violente en attribuant à l'évêque de Metz , appartenant également à la famille des vainqueurs mais sacralisé par son statut religieux. Désormais, le ban de Rambervillers dépend de l'évêché de Metz et obtient de l'évêque messin différents droits et privilèges, à l'instar de celui de Senones.
Au Étienne de Bar, évêque de Metz, entoure le bourg largement agrandi par la croissance démographique de palissades et de fossés, puis au Jacques de Lorraine, également évêque de Metz, remplace les palissades de bois par une muraille flanquée de vingt-quatre grosses tours,.
Rambervillers est une ville méridionale de Lorraine, appartenant au temporel des évêques de Metz. Ses fortifications et sa taille en font un centre important dès le XIIe siècle. Elle gère le commerce de grains et viandes (nourritures) pour la montagne vosgienne qui s'étale à l'est, et qui constitue pour ces marchands un véritable hinterland.
Époque moderne
Dépendante de la principauté épiscopale de Metz, elle passe à la France avec les Trois-Évêchés selon les termes du traité de Chambord de 1552. Peu de temps après, la ville est incendiée par l'armée huguenote sous les ordres du baron de Bollweiler mais se relève rapidement. C'est en 1581 que les bourgeois décident la construction de l'Hôtel de ville.
Après le traité de Ryswick (1697) et au bout de vingt ans de négociations, le duc de Lorraine Léopold se voit attribuer la châtellenie de Rambervillers en 1718. La ville et sa seigneurie redeviennent dès lors françaises en 1766, en même temps que le duché de Lorraine.
En 1771, des émeutes urbaines éclatent à Rambervillers qui font suite à celles de Nancy.
Avant la Révolution française, la paroisse de Rambervillers est nommée Remberviller sur la Carte de Cassini.
Le , durant la campagne de France (1814), des combats eurent lieu entre les troupes du général Bernon de Montélégier et les troupes autrichiennes du général De Wrede. Les troupes françaises du général Briche repoussèrent les Autrichiens vers Saint-Dié.
Époque contemporaine
Rambervillers fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Guerre de 1870
Lors de la guerre franco-allemande de 1870, le village est l'enjeu d'un combat le 9 octobre 1870. En dressant des barricades contre l'envahisseur prussien, 200 gardes nationaux résistent contre 550 à 600 soldats allemands. Pour cet acte de bravoure, la ville est décorée de la Légion d'honneur tandis que son nom est donné à la rue de Rambervillers, dans le arrondissement de Paris,.
Guerres mondiales
La commune est décorée de la Croix de Guerre 1914-1918. La Croix de guerre 1939-1945 avec étoile d'argent lui est attribuée le et remise le .
Une ville de garnison
La commune a accueilli les garnisons de différentes unités militaires de l'armée française : le bataillon de chasseurs à pied (1870-1914), le régiment d'artillerie (1914-1920), un bataillon du régiment d'infanterie (1914-?), et le bataillon de transmissions (1966-1977).
- « » (consulté le ).
- « Le ban de Nossoncourt » (version du sur Internet Archive).
- « » [PDF], archives départementales des Vosges (consulté le ).
- L’histoire de Rambervillers. Notice historique, par Alban Fournier.
- Les châteaux de Rambervillers (88) : Deux châteaux épiscopaux.
- Histoire de l'abbaye de Senones (Reprod.) / manuscrit inédit de Dom Calmet ; publ. dans le "Bulletin de la Société philomatique vosgienne et par tirage à part, avec une préf., des notes et quelques détails sur la réunion de la principauté de Salm à la France, par F. Dinago, etc..
- Mme Élisabeth Taburet-Delahaye, « Un manuscrit provenant de l'abbaye Saint-Pierre de Senones (Vosges) et sa reliure, au musée de Cluny », Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France 1989, , DOI 10.3406/bsnaf.1991.9494).
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 ISBN et ).Rambervillers, p. 957..
- Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, Début du Ve siècle à la fin du XVe siècle, Strasbourg, Editions Publitotal, , 495 p.Rambervillers p. 456 et Carte no 5 des Vosges..
- Les armoiries de Rambervillers et leurs positions dans son histoire.
- F. Vuillemin, « », sur Gallica, (consulté le ).
- Rambervillers, première ville lorraine décorée de la Légion d’Honneur.
- Le monument du 9 octobre 1870.
- Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945.
- régiment de transmissions, créé le
Héraldique
Blasonnement :
D'argent à la croix de Lorraine de gueules cotoyée des lettres I R et de deux croissants d'azur et, en abîme, la croix de la Légion d'honneur,.
Commentaires : Le blason a été composé en 1718 par le duc Léopold de Lorraine à l'occasion du rattachement de Rambervillers à la Lorraine, avec d'autres territoires de l'évêché de Metz, dont la ville dépendait auparavant. La croix de Lorraine symbolise cet événement : les initiales I et R des mots latins (Imperator Rex) signifient que le duc Léopold appartenait à la famille impériale d'Autriche et qu'il avait le titre d'Altesse Royale. Les croissants glorifient les victoires remportées par son père, le duc Charles V, sur les Turcs, notamment devant Vienne en 1683.
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La Légion d'honneur a été ajoutée au cœur du blason, en application du décret du pour la défense de Rambervillers par ses Gardes Nationaux le . Rambervillers fut alors la deuxième ville décorée par la République et la sixième depuis la création de l'Ordre par Napoléon Ier.
Les Croix de guerre 1914-1918 et 1939-1945, décernées dans la suite à la ville, sont supportées, au-dessus du blason, par deux crosses. Elle rappellent que Rambervillers appartenait, avant 1718, aux évêques de Metz, alors que ceux de Toul l'administraient au spirituel.
Sur les flancs de l'écu figurent des motifs du marteau de la porte de l'Hôtel de Ville, œuvre d'un artisan ferronnier rambuvetais du XVe siècle, qui évoque également les deux évêques.
- « » (consulté le ).
- Généalogie-bisval, sur genealogie-bisval.net.
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Rambervillers dans la littérature
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