Givet

Localisation

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Givet : descriptif

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Givet

Givet (en wallon Djivet) est une commune française située dans le département des Ardennes en région Grand Est. Ses habitants sont appelés les Givetois. Givet est la dernière ville fluviale située sur la Meuse avant la Belgique

Au cœur de l'Ardenne et historiquement située dans la région de langue wallonne, la ville frontalière occupe, compte tenu de sa position stratégique, un site géographique remarquable qui lui a laissé un patrimoine urbain et historique important.

Géographie

Les communes limitrophes sont Chooz, Foisches, Fromelennes, Rancennes, Beauraing, Doische, Hastière et Houyet.

Localisation

Givet est située à 55 Charleville-Mézières.

Communes limitrophes de Givet
Agimont (be) Hastière (be) Houyet (be)
Doische (be) Givet Beauraing (be)
Foisches Chooz, Rancennes Fromelennes

Situation géographique

Givet constitue le point septentrional ultime de la vallée de la Meuse française, c'est-à-dire le site géographique où le fleuve quitte le territoire français, passe la frontière et entre en Belgique. À vol d'oiseau, Givet est à 100 Pays-Bas.

Vue de la vallée de la Meuse et du fort de Charlemont.
Vue de Givet et depuis la Porte de Rancennes.

La vallée de la Meuse française se remarque, en effet, sur la carte, par une pointe qui s'avance profondément dans l'Ardenne belge, formant ce qui est appelé communément la « Pointe de Givet » en France et la « Botte de Givet » en Belgique. Une réserve naturelle de 354 hectares y a été aménagée, la réserve naturelle nationale de la pointe de Givet, qui est la deuxième plus vaste de la région Champagne-Ardenne.

Cette situation particulière résulte des faits de l'Histoire, issus des conquêtes et des traités de Louis XIV dont l'ambition était de conserver à tout prix la vallée de la Meuse dans le royaume de France aux dépens des Pays-Bas espagnols et de la principauté de Liège. Givet se retrouve ainsi en plein milieu de la Calestienne belge.

Par ailleurs, c'est à Givet que la rivière Houille conflue avec la Meuse, petit affluent de rive droite de 25 Gedinne (province de Namur).

En géologie, elle constitue le stratotype d'un étage du dévonien moyen, le givétien. Ce niveau fournit un calcaire bleu typique dans l'architecture des maisons de l'Avesnois, de la Thiérache belge et de la Fagne.

Une position de carrefour géographique

Située dans la large vallée de la Meuse qui est une des artères fluviales maîtresses en Europe du Nord-Ouest, Givet tire un grand avantage de sa position de carrefour géographique, aussi bien par voie terrestre que par la voie d'eau.

Dans la partie française, Givet est située au nord de Revin et de Fumay, villes situées en amont sur le cours de la Meuse et appartenant au département des Ardennes. La RD 988 qui relie ces différentes villes le long de la Meuse est l'axe routier principal du département jusqu'à la frontière avec la Belgique.

La porte de France et le fort de Charlemont, à Givet, vus depuis la voie verte.
La Meuse, le pont Américain et le quartier Saint-Hilaire vus depuis le quai de Meuse.
La rivière Houille et le quai de la Houille.

De plus, la ville est traversée par la voie verte Trans-Ardennes qui, en longeant la vallée de la Meuse, la relie jusqu'à Montcy-Notre-Dame, aux portes de Charleville-Mézières. À Givet, la voie verte commence à côté du square , sur la rive droite de la Meuse. Il existe une jonction au nord de Givet avec le réseau RAVeL belge.

Du point de vue de la Belgique où Givet est ville-frontalière, celle-ci est située à 16 Dinant, cité également arrosée par la Meuse et célèbre pour ses dinanderies ; et de part et d'autre de la large vallée de la Meuse, Givet est située à 10 Beauraing et à 23 Philippeville, toutes ces villes belges relèvant de la province de Namur.

Un site urbain escarpé dans la large vallée de la Meuse

Givet est située sur les deux rives de la Meuse dont la large vallée est dominée, sur la rive gauche en amont de la ville, par un promontoire escarpé qui porte l'imposant fort de Charlemont. En face, sur la rive droite, le Mont d'Haurs est couronné par une vieille tour, la tour Grégoire, et des restes de fortifications. Le quartier principal, appelé le Grand-Givet ou Givet Saint-Hilaire est la vieille ville qui s'étend sur la rive gauche de la Meuse, entre le fleuve et le chemin de fer. Sur la rive droite, au confluent d'une petite rivière ardennaise, la Houille, se trouve le Petit-Givet ou Givet Notre-Dame.

Transports

Ville frontière à l’extrémité du couloir de la botte de Givet, la ville est reliée au reste de la France par la D 8051 vers le sud. Par le nord, la route traverse la frontière et se poursuit jusqu'à Namur. La D 949 traverse la ville d'est en ouest, joignant les deux bouts de la RN 40 belge.

La gare de Givet est le terminus d'une ligne TER Grand Est reliant la ville à Charleville-Mézières. Des études sont en cours pour rétablir des liaisons ferroviaires transfrontalières via la ligne 154 actuellement limitée à Dinant. En attendant, seuls des autobus du réseau TEC permettent de faire la jonction.

Hydrographie

La commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Meuse, le canal de l'Est Branche-Nord, la Houille, le ruisseau de Rancennes, le ruisseau de Scheloupe, le ruisseau de Rompeine, le ruisseau de Massombre, le ruisseau de Fienne et le ruisseau de Mon Idee,.

La Meuse, d'une longueur de 486 fleuve européen qui prend sa source en France, dans la commune du Châtelet-sur-Meuse, à 409 mètres d'altitude, et se jette dans la mer du Nord après un cours long d'approximativement 950 kilomètres traversant la France, la Belgique et les Pays-Bas. Elle s'écoule du sud vers le nord en longeant la commune sur son flanc sud-ouest puis la traversant, sur une longueur d'environ 5,7 km.

Le canal de l'Est Branche-Nord, d'une longueur de 141 Troussey, où il rejoint le canal de la Marne au Rhin. Il se superpose par endroits, dans la commune, à la Meusesur une longueur d'environ 2,9 km.

L'Houille, d'une longueur de 16 Hargnies et se jette dans la Meuse sur la commune, après avoir traversé six communes.

Réseau hydrographique de Givet.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 amplitude thermique annuelle de 15,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rocroi », sur la commune de Rocroi à 32 vol d'oiseau, est de 9,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 210,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,6 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. «  », sur lardennais.fr, (consulté le ).
  2. «  », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  3. Sandre, «  »
  4. Sandre, «  »
  5. Sandre, «  »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes in vico Gabelio vers 743-50, in fisco Givelio en 930-931, Gabeliensis comes en 841, Gevelio en 882.

Givet proviendrait du nom d'un établissement mérovingien installé sur une rive de la Meuse et servant de péage lors des « trains de bois », principale richesse du pays. À l'époque l'impôt prélevé était appelé Gablum, il devint gabelium, givelium, givetium, et enfin, au givet. En patois local les convois de bois flottants qui descendaient la Meuse étaient appelé « Les Givées ».

  1. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 729.
  2. Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, Charleville, E. Jolly, , p. 171.

Histoire

La légende veut que saint Hubert ait vécu à Givet en 720 et qu'il y ait réalisé un miracle. Dès le  siècle, la Meuse permet d'écouler vers l'Angleterre et la Russie les produits en fer, en cuivre,en étain ou en céramique. Comme les autres villes wallonnes, Givet est incorporée en 855 à la Lotharingie, puis au Saint-Empire. Givet appartenait à la fin du Moyen Âge aux princes-évêques de Liège et abritait une résidence épiscopale secondaire. Au  siècle, elle est intégrée à la seigneurie d'Agimont-Givet.

Le 6 avril 1555, la seigneurie d'Agimont est vendue par Louis de Stolberg, comte de Stolberg Königstein, à l'empereur Charles Quint, pour la somme de 145 000 florins de 40 gros. Marie de Hongrie, gouvernante des Pays-Bas espagnols, se charge de la vente, en tant que représentante de l'empereur. Aucun représentant du prince-évêque de Liège, suzerain de la terre agimontoise, n'est présent lors de la vente. A partir de juin 1555, les travaux, pour la construction d'une place forte, débutent sur les hauteurs de Givet Saint-Hilaire, sur la rive gauche de la Meuse. Selon les sources à notre disposition, des ruines venant d'un ancien édifice fortifié, antérieur à 1555, étaient encore visibles. A partir du 22 juillet 1555, Guillaume, prince d'Orange, est nommé chef et capitaine général de l'armée en charge de défendre la place en construction. Il remplace Charles de Berlaymont qui avait repoussé, quelques jours auparavant, l'attaque des troupes françaises venant de Mariembourg, les 15 et 16 juillet 1555 (bataille de Gimnée).

Entre 1620 et 1640, des artisans sont recrutés à Givet par le Liégeois Louis de Geer pour travailler en Suède et y développer la sidérurgie. En 1680, la place de Charlemont fut remise à Louis XIV en exécution de la paix de Nimègue ; en 1699, le traité de Lille complétant la paix de Ryswick, confirma à la France la possession des deux Givet. Le roi de France fit alors compléter les fortifications de Charlemont et celles de Givet Saint-Hilaire (Grand Givet) sous la direction de Vauban.

En 1815, les Prussiens, commandés par le lieutenant von Prittwitz, mettent le siège devant la ville.

La fortification de la ville avant la Grande guerre.

En 1829, deux associés, Piret et Lefebvre, ouvrent une fabrique de crayons de plombagine. Ils revendent l'affaire en 1836 à l'industriel liégeois Léonard Gilbert. Pendant la Première Guerre mondiale l'activité cesse car le stock de bois est pillé.

Première Guerre mondiale

Le bombardement de la ville commence le et dure trois jours. C'est au cours de ces bombardements que fut abimée la caserne Rougé puis pillée pour ses pierres bleues, en son temps connue comme étant la plus longue caserne de France.

Lors de l'occupation allemande, elle fut, ainsi que Fumay, rattachée administrativement à la Belgique à partir de 1915.

Carte de la Belgique occupée.

La ville a reçu la Croix de guerre en 1923.

Entre-deux-guerres

L'usine de crayons ferme ses portes en 1938 et, en , est transférée à Saint-Aubin-lès-Elbeuf. Elle comportait 200 machines-outils et une scierie, un atelier d'usinage pour la fabrication des outils et un laboratoire. L'atelier de vernissage situé le long de la rue Bouzy a été détruit et l'ensemble des bâtiments subsistants est actuellement converti en logements.

Seconde Guerre mondiale

Lors de la bataille de France, les Allemands de la 32. Infanterie-Division (32. ID de Franz Böhme) occupèrent la partie de Givet sur la rive droite à partir du . Les ponts ont sauté et la division allemande qui doit traverser la Meuse, devra le faire à l'aide de canots sous le feu de la  division d'infanterie française (Chooz échoue et le général Adolf Strauß (chef du dont dépend la 32. ID) repousse l'attaque au lendemain pour que la division puisse se préparer à devoir forcer le passage.

Le lendemain matin, la division allemande passe à l'offensive générale sur le fleuve : au nord, l’Infanterie-Regiment 96 (IR 96) au niveau de Bac au Prince face à la liaison du  régiment d'infanterie ( régiment d'infanterie (I/. Par ailleurs, les régiments allemands sont renforcés par d'autres unités et soutenus par plusieurs groupements d'artilleries. Ils réussissent leur traversée au nord à l'aube, la défense du I/. Le feu français, notamment celui provenant du fort de Charlemont, cause de lourdes pertes aux Allemands qui traversent la Meuse, si bien que le front de la . Mais l'action des canons du fort cesse bientôt, touchés par ceux des Allemands ou par la Luftwaffe qui a dû être demandée en renfort par la 32. ID, le reste de l'artillerie se repliant alors, laissant l'infanterie avec ses seules armes, ce qui ne suffit plus. Un nouveau régiment allemand arrive en renfort : l’Infanterie-Regiment 94 qui traverse la Meuse au sud de l’IR 96. Bien que les tirs français continuent à leur infliger des pertes, les Allemands sont de plus en plus nombreux à traverser ; l’IR 4 réussit à passer plus au sud contre le II/ régiment d'infanterie. À la suite de l'attaque allemande, notamment aérienne, des défenseurs français cèdent à la panique et fuient vers l'arrière ; le capitaine Queignec (chef de la 7/ ; il trouvera la mort le soir même. Au milieu de l'après-midi, ainsi menacée au nord et au sud par l'avancée des Allemands, la . Mais certaines de ses unités poursuivent le combat ; la rive gauche de Givet, bien que bombardée, reste ainsi tenue par le III/fort de Charlemont ; le fort de Condé est occupé par le capitaine Cothereau et le château du Tertre par le capitaine Belin.

Givet fut libérée le .

En , Charlemont abrita 11 000 soldats américains. Le 24 décembre, dans un dernier effort, l'offensive allemande à travers les Ardennes, tentant de renouveler la percée de mai 1940, atteint les portes de Givet. Mais l'héroïque défense de Bastogne (Belgique) et les contre-attaques des troupes alliées anéantissent le dernier espoir d'Hitler.

De nos jours

Aujourd'hui, Givet conjugue histoire et modernité. L'importance considérable de son patrimoine architectural, riche en sites et monuments, complété par de nombreuses réalisations récentes, lui permet de développer une activité touristique intéressante.

Église Saint-Hilaire - Nef.
Buste de saint Hilaire, patron de la paroisse à Givet.
Panneau sculpté des stalles de l'église Saint-Hilaire.

Ainsi, son histoire se découvre-t-elle en flânant dans les rues « en demi-cercle » du « Vieux Givet » dont les sites et monuments les plus représentatifs sont les suivants :

  • l'église Saint-Hilaire et ses boiseries Louis XV,
  • l'église Notre-Dame et ses nombreux objets classés,
  • la forge Toussaint,
  • la tour Victoire et ses expositions permanentes,
  • la tour Grégoire et son imprenable point de vue,
  • le Centre européen des métiers d'art, fondé en 1989, où de nombreuses œuvres d'artisans ainsi qu'une cave de produits du terroir sont à découvrir,
  • le couvent des Récollectines, réhabilité en centre culturel « bibliothèque - médiathèque »,
  • l'ancien manège militaire transformé en espace de spectacles et cinéma,
  • le fort de Charlemont et sa pointe est, illuminée en soirée, etc.
    À la suite des inondations de 1995, un important chantier d'édification de nouveaux quais pouvant être rehaussés par des planches mobiles, de rénovation du port et incluant un nouveau barrage à caissons a été lancé.
  1. Source nécessaires
  2. Arch. Dép. des Ardennes, E 8, Seigneurie d'Agimont, 1555 [copie du 21 septembre 1772, 12 f.].
  3. P. Bertrand, "Une construction continue", Ardenne Wallonne, Hors série, octobre 1993, p. 13-27; p. 14.
  4. Nommé le "terne du château", l'édifice est cité par François de Rabutin, témoignage "direct" de la guerre qui sévit à l'été 1554 dans la vallée de la Meuse. L'édifice apparaît dans un compte de domaine de la seigneurie d'Agimont, en 1553. Voir P. Bertrand, "Une construction continue", Ardenne Wallonne, Hors série, octobre 1993, p. 13-27, p. 13.
  5. La lettre de commission a été éditée : L. -P. Gachard, Correspondance de Guillaume le Taciturne, prince d’Orange, Bruxelles, A. Vandale, vol. 1, 1847, p. 483-484.
  6. P. Bertrand, art. cit., p. 13-14. L'article wikipédia sur la bataille de Gimnée est bien réalisé : "Bataille de Gimnée", Wikipédia. En ligne, consulté le 07 oct. 2023.
  7. Source ?
  8. D'après «  », sur Inventaire général du patrimoine culturel (consulté le ).
  9. a et b Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, Heimdal, , p. 260
  10. a b c d e f g h i j et k Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, Heimdal, , p. 335 à 339
  11. Cité par Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, Heimdal, , p. 338

Héraldique

Blasonnement :
Coupé : au 1er de gueules au sautoir d'or, au fusil du même brochant en pal, la gâchette à dextre, au 2e d'azur à trois tours d'or, maçonnées de sable, ajourées du champ, celle du milieu ouverte d'argent, celles des flancs ouvertes du champ, rangées et posées sur une terrasse de sinople.
Commentaires : Le fusil évoque l’histoire militaire de Givet et trois tours sont mises en exergue, la tour Victoire, la tour Grégoire et la tour Maugis. Les armoiries ont été reconnues le 6 juin 1698 et le 24 mars 1709, et confirmées le 16 octobre 1817.

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Givet dans la littérature

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 30/10/2024
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