Bliesbruck
Localisation
Bliesbruck : descriptif
- Bliesbruck
Bliesbruck (prononcé /blizbʁyk/ ; en allemand : Bliesbrücken ; en francique lorrain : Brigge) est une commune française située dans le département de la Moselle et le bassin de vie de la Moselle-est, en région Grand Est.
Géographie
Topographie
Le village, bâti autour de la vallée de la Blies, est marqué par une basse altitude. La commune possède plusieurs collines notables :
- – la colline d’Hermeskappel, ou Kappel, assez excentrée du centre du village, contient le hameau bliesbruckois éponyme ;
- – la colline de la Hard, également Hardt, est connue pour avoir abrité l'ancien château fort de la vallée de la Blies, il fut dénommé la maison-forte des Chevaliers de Brücken, en référence à la famille gouvernant autrefois la région, ou das Alte Schloss (en allemand : « Le Vieux Château »), il fut détruit au XIVe siècle, par ailleurs une des rues contournant la Hard est nommée rue du Château, en référence à cet ancien édifice ;
- – la colline dite die Roteberg (ou Rotenberg), longée en partie par la rue des Vergers ;
- – le Kloberg, colline située sur la rive droite de la rivière et surplombant le Petit-Côté.
Forêts
Deux forêts sont situées sur le territoire communal de Bliesbruck.
L'une d'elles, la Haedewald (en francique lorrain : « forêt des Bohémiennes »), est un bois quasi intact et dense, il est situé sur les hauteurs de la colline d'Hermeskappel, c'est dans ces bois que la Schlierbach, traversant Bliesbruck, prend sa source.
L'autre forêt est nommée la Maywald, elle se trouve sur les hauteurs de la vallée de la Blies, au sud-ouest du centre du village, et non loin de la route menant à Blies-Ébersing, elle est plus clairsemée que la Haedewald, à cause des défrichement qu'elle a subi au Moyen Âge.
On peut noter que ces deux bois sont traversés par la ligne de chemin de fer reliant Sarreguemines à Bitche et Haguenau.
Ecarts et lieux-dits
- Bliesbauchen
- Hasensprung
- Steinfelder
- "Bliesbruck Centre" ou Grand Côté
- le Petit-Côté situé après le pont sur la rive droite de la rivière
- le hameau d'Hermeskappel situé en hauteur par rapport au village
Hydrographie
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Bliesbruck est traversée d'est en ouest par la rivière appelée Blies, celle-ci prend sa source en Allemagne, pour se jeter dans la Sarre à Sarreguemines.
Par ailleurs, Bliesbruck est la seule commune française à posséder les deux rives de la Blies, la rive droite correspond au Petit-Côté du village. La Blies, d'une longueur totale de 19,7 Sarre au droit de Sarreguemines.
Au sein du village passe également un ruisseau affluent de la Blies, nommé Schlierbach, il traverse les rues du Château, Principale et de la Blies, avant de confluer avec la rivière.
-
Carte représentant le bassin de la Blies.
Bliesbruck est située dans le bas de la carte, à l'endroit où la rivière rentre sur le territoire français. -
Réseaux hydrographique et routier de Bliesbruck.
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Blies, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 amplitude thermique annuelle de 16,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Volmunster », sur la commune de Volmunster à 13 vol d'oiseau, est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 760,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,6 ,,.
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
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- Sandre, « »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « », sur meteofrance.com, (consulté le ).
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Toponymie
Mentions anciennes
Blysebrücken (1131) ; Blysbrüchen (1180) ; Brügken (1234) ; Brüchen, Brüchem, Briken (1544) ; Brückem (1594) ; Blise-Brüchen (1751) ; Brucken (1779) ; Bliesbrück (1788) ; Blise-Briken (carte de Cassini) ; Bricken (carte d'Augustin Calmet) ; Bliesbringuen (1793) ; Blisbrucken (1801),.
Pendant l'annexion allemande : Bliesbrücken (1871-1918).
Étymologie
Le nom Bliesbruck, est une réduction du nom germanophone du village, qui est Bliesbrücken. Celui-ci signifie « ponts sur la Blies », en effet, Brücke signifie « pont » en allemand et prend -en au pluriel. Il doit faire référence au fait que le pont reliant les deux principales parties du village a souvent été reconstruit, le premier ayant été un simple pont en bois, remplacé ensuite par un pont à voûtes, détruit à la Seconde Guerre mondiale, remplacé ensuite par un pont en bois par les Français et les Américains. C'est seulement dans les années 1970 que le pont actuel fut bâti.
La commune a souvent changé de dénomination, si bien que son premier nom connu, de 1131, est Blysebrucken, plus tard rallongé en Bruecken auf der Bliesz, puis raccourci à Bruck, francisé ensuite en Pons, pour revenir sous l'annexion allemande à un nom proche de celui d'origine, Bliesbrücken, qui sera francisé en 1919 au retour de la région à la France, pour donner le toponyme actuel. Toutefois, il conserve le nom primitif de Brigge et Bliisbrigge/Bliisbrikke en francique rhénan lorrain, dialecte très répandu en Moselle-Est.
- Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, rédigé en 1868 sous les auspices de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Paris, Imprimerie nationale.
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- Geoplatt
Étymologie
Le nom Bliesbruck, est une réduction du nom germanophone du village, qui est Bliesbrücken. Celui-ci signifie « ponts sur la Blies », en effet, Brücke signifie « pont » en allemand et prend -en au pluriel. Il doit faire référence au fait que le pont reliant les deux principales parties du village a souvent été reconstruit, le premier ayant été un simple pont en bois, remplacé ensuite par un pont à voûtes, détruit à la Seconde Guerre mondiale, remplacé ensuite par un pont en bois par les Français et les Américains. C'est seulement dans les années 1970 que le pont actuel fut bâti.
La commune a souvent changé de dénomination, si bien que son premier nom connu, de 1131, est Blysebrucken, plus tard rallongé en Bruecken auf der Bliesz, puis raccourci à Bruck, francisé ensuite en Pons, pour revenir sous l'annexion allemande à un nom proche de celui d'origine, Bliesbrücken, qui sera francisé en 1919 au retour de la région à la France, pour donner le toponyme actuel. Toutefois, il conserve le nom primitif de Brigge et Bliisbrigge/Bliisbrikke en francique rhénan lorrain, dialecte très répandu en Moselle-Est.
- Geoplatt
Histoire
Période pré-romaine
D'après des objets en pierre taillée retrouvés dans le secteur du village, on affirme que la vallée de la Blies fut habitée par des hommes depuis avant l'appartenance de la région à la République romaine.
Plus tard, de nouveaux peuples s'installèrent dans la région, tels les Celtes, les Belges ou les Ligures. Grâce à ces rencontres entre ethnies, l'agriculture et l'élevage se développèrent, et les outils ne furent plus fabriqués en pierre mais en métaux, tels le fer et le bronze.
À la veille de la conquête des Gaules en 52 av. J.-C, la région était apparemment peuplée par les Médiomatriques.
Période gallo-romaine
Sous la République romaine et l'Empire romain, la région connu un essor phénoménal au sein de la province de Gaule belgique. La commune des Steinfelder, correspond à l'emplacement actuel des fouilles archéologiques de Bliesbruck-Reinheim.
C'est à cette époque qu'est construite la voie romaine, venant de Brumath et aboutissant à Hermeskappel, elle traversait la Blies par un pont, détruit probablement par les crues de la rivière.
Les thermes de Bliesbruck, étaient un complexe thermal colossal pour sa situation en dehors des grandes agglomérations romaines. Elles furent utilisées jusqu'au siècle apr. J.-C., en tant qu'habitations.
La région était prospère, en effet la Blies étant très poissonneuse les habitants ne manquaient pas de nourriture. Or, la bourgade fit l'objet d'un abandon progressif depuis les invasions barbares. Après le siècle, seules les thermes abritèrent encore de la population.
De la période médiévale à la Révolution française
Au début du Moyen Âge, pour développer l'agriculture, les habitants durent déboiser une grande partie de la Maywald, située sur le territoire de l'actuel ban communal, autour de la route menant à Blies-Ébersing. Le seul témoignage de l'époque mérovingienne, est la découverte de quatre tombes de guerriers de l'époque, accompagnés d'une épée en fer, d'un couteau, et d'une boucle de ceinture constituée d'argent et de laiton.
À l'époque féodale, au sein du Saint-Empire romain germanique, apparaît le premier nom connu du village, Blysebrucken. Il est rédigé sur un acte de donation de 1131, stipulant que le comte de Saarwerden, Frédéric abbaye de Wörschweiler, acte cosigné par Waltherus Brucken et Wecelo, curé de Brucken. En effet, la famille régnant alors sur le secteur est celle des chevaliers de Brucken. L'ancien château des Brucken, détruit au milieu du Trèves et de Cologne qui survécut à tous ses frères et termina la lignée en décédant le 10 avril 1469. Les armoiries actuelles du village sont celles des chevaliers de Brucken.
Plusieurs seigneurs ou coseigneurs tous vassaux du duc de Lorraine, dont le seigneur de Hombourg, sur la Canner et les seigneurs Jean et Jacques de Raville possédaient certains droits sur le village. Un signe patibulaire, est érigé sur le territoire du village, grâce à l'autorisation donnée par Charles III, duc de Lorraine, demandée par Wirig, seigneur de Créhange.
En 1627, Antoinette-Élisabeth, comtesse de Créhange, apporte en dot, au margrave de Bade le territoire communal de Bliesbruck en plus de la seigneurie de Forbach. Les droits du territoire furent cédés en 1632 par ce dernier, à ces fils qui meurent sans descendance. En 1662, ces acquisitions sont offertes à Philippe Christophe Frédéric, comte de Hohen-Zollern, par l’intermédiaire de son épouse Marie-Sidonie, sœur des anciens possesseurs du lieu.
La guerre de Trente Ans 1618-1648 créa un énorme bouleversement social et politique au sein du village : destructions et pillages par le passage de l'armée suédoise de Gustave Adolphe en 1632, population totalement décimée, abandon de l'agriculture, de plus la Lorraine fut occupée par l'armée de Louis XIII. Ce n'est que dans les années 1660 que la maison de la Leyen achète des droits sur la commune et ses environs aux comtes de Varsberg et de Hohenzollern ; le Gaspard de la Leyen, archevêque de Trèves, acquit la seigneurie de Forbach et l’ensemble des communes de la vallée de la Blies.
Ce n'est qu’après le retrait des troupes de Louis XIV en 1667 qu'une politique de repeuplement de nos contrées ravagées par la terrible guerre de Trente Ans fut mise en place sous l'impulsion du duc de Lorraine Léopold. Le premier recensement de 1698 fait état de 39 familles pour un total de 202 habitants, alors qu'avant la guerre de Trente Ans la population du village de Bliesbruck comptait déjà 75 feux ce qui peut être estimé à 400 habitants.
À la suite du traité de Vienne en 1738, François III, empereur romain germanique et époux de l'archiduchesse d'Autriche, perdit son titre de duc de Lorraine, au profit de Stanislas Leszczynski, roi déchu de Pologne, à la mort duquel, en 1766, le duché sera rattaché à la France. Pendant ce temps, la Lorraine n'était pas régie par son duc, mais par M. de la Galaizière, représentant du roi de France. Celui-ci remis au point un grand nombre de lois qui n'étaient plus en vigueur dans la vallée de la Blies.
C'est le traité de Ratisbonne du 18 novembre 1782 entre la couronne de France et le Saint-Empire germanique qui clarifia les possessions françaises du comte de La Leyen. En effet par différentes cessions et échanges que des territoires et villages furent intégrés à l'empire ou au royaume de France. Au traité de Ratisbonne fut décidé, la Blies faisant frontière naturelle entre les deux pays, que dans Bliesbruck la rive droite de la Blies dit « petit côté », berceau du village médiéval, sera malgré cette frontière naturelle également intégrée à la France.
De la Révolution française à la Seconde Guerre mondiale
À la Restauration, la région Lorraine procéda à des projets de réaménagement. À Bliesbruck, la nécessité de construire un pont en pierre s'avéra urgente. En effet l'ancien pont en bois nécessitait trop souvent des réparations. Avec l'appui de Pierre Marte, maire de la commune, le conseil municipal fit construire un pont à arches, visible sur des photographies et dessins d'avant la Seconde Guerre mondiale, sa construction fut achevée en 1822.
Après l'épidémie de choléra de 1814, le cimetière se vit trop étroit pour accueillir les 144 défunts de l'épidémie. On proposa d'en construire un plus grand non loin du presbytère, or il aurait privé le curé d'une partie de son jardin, le projet fut donc remis à 1838 à l'emplacement actuel du cimetière.
Vers 1860, l'agriculture s'est diversifiée. À cette époque on y cultivait le blé, le seigle, l'orge, l'avoine, le colza et les légumes secs. En 1863, la voie ferrée Sarreguemines-Bitche-Haguenau est en construction. Elle passe relativement loin des habitations et ne dessert pas la commune, mais passe tout de même à l'intérieur des limites du village. Elle est toujours en service aujourd'hui. Dès 1871 l'Alsace-Moselle actuelle est incluse à l'Allemagne, et cela jusqu'en 1918.
En 1875, une voie de chemin de fer passant par Bliesbruck est en construction. Celle-ci fait le parcours de Hombourg à Sarreguemines. Le plan cadastral de la commune a été modifié à la suite du passage de deux chemins de fer dans le village. Une gare fut également construite pour la desserte ferroviaire de la commune. Elle est l'une des rares bâtisses du village à avoir été épargnée par les bombardements du printemps 1944.
C'est dès 1906 que le conseil municipal décide de la création du réseau d'eau courante alimenté par les différentes sources du Rotenberg, aménagement considérable pour l'époque, mais très apprécié par l'ensemble de la population.
Dans les années 1920, l'apparition de la lampe à pétrole, de l'éclairage public, et des moteurs électriques, rendirent la vie des villageois beaucoup plus aisée, autant au niveau privé qu'au niveau professionnel. En effet, dans le domaine de l'agriculture, on eut de moins en moins besoin d'une main-d’œuvre traditionnelle.
De la Seconde Guerre mondiale à aujourd'hui
À la veille de la Seconde Guerre mondiale, Bliesbruck est située, comme un autre grand nombre de communes de la Moselle situées entre la ligne Maginot et la frontière allemande. Ce secteur est désigné « zone rouge ». Le gouvernement français avait prévu un projet de déportation provisoire de ces populations mosellanes, considérées comme vulnérables à une probable offensive de l'Axe. C'est alors qu'à partir de septembre 1939 et ce jusqu'au 10 mai 1940, l'ensemble de la population bliesbruckoise, ainsi que celle des autres communes de la « zone rouge » de Moselle, furent contraints de quitter leurs habitations, et furent, pour la plupart, évacués, de façon très désordonnée et précipitée, vers la Charente et la Charente-Inférieure, actuelle Charente-Maritime.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, 90 % du village furent détruits, notamment l'église, par les bombardements américains, et l'ancien pont, par les Allemands. Seuls quelques bâtiments, comme l'ancienne gare, furent épargnés. On dut procéder ensuite à la reconstruction : du pont, rebâti quelques mètres en aval du précédent, et de l'église (voir : Section détaillée).
La reconstruction du village permis la création de nouvelles maison plus spacieuses et plus espacées, ce qui mena à l'agrandissement des limites de la commune. On procéda également au développement du hameau d'Hermeskappel. Celui-ci ne contenait que quatre maisons en 1939 pour plus d'une cinquantaine aujourd'hui.
Il y eut également plusieurs projets d'amélioration des équipements, de forage, d'arrivée d'eau courante, et d'assainissement.
C'est en 1959, que la voie ferrée Hombourg-Sarreguemines, cessa d'accueillir les trains de transport de voyageurs, elle restera en service pour le transport de marchandises jusqu'en 1980, l'automobile ayant pris le dessus sur les transports ferroviaires dans la vie quotidienne des habitants de la région.
C'est en 2006, que cette voie ferrée à l'abandon, connut une renaissance, en effet, la communauté d'agglomération Sarreguemines Confluences aménage sur cette emprise SNCF à partir de Sarreguemines, une piste cyclable rejoignant le réseau cyclable de la Sarre. Une autre piste a été créée rive droite de la Blies, partant de Habkirchen, quartier de Mandelbachtal, pour finir au Petit-Côté de Bliesbruck.
Entre le parc archéologique de Bliesbruck-Reinheim. Le troisième composé de 30 parcelles fut créé à l'annexe Hermeskappel qui aujourd'hui compte 150 habitants.
- « », sur bliesbruck.fr.
Héraldique
Blason | Fuselé de gueules et d'argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Bliesbruck dans la littérature
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