Audun-le-Tiche

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Audun-le-Tiche : descriptif

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Audun-le-Tiche

Audun-le-Tiche (en luxembourgeois : Däitsch-Oth) est une commune française frontalière du Grand-duché de Luxembourg située dans le département de la Moselle, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.

Géographie

Localisation

La commune d'Audun-le-Tiche est située au nord-ouest du département de la Moselle, sur les rives de l'Alzette, aux frontières de la Meurthe-et-Moselle et du Luxembourg, à 1 kilomètre de Villerupt et à 2 kilomètres de la ville luxembourgeoise d'Esch-sur-Alzette.

Communes limitrophes d’Audun-le-Tiche
Russange Esch-sur-Alzette (lu)
Villerupt Audun-le-Tiche Rumelange (lu)
Aumetz, Crusnes Ottange

Géologie et relief

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par l'Alzette et le ruisseau Beler.

Réseaux hydrographique et routier d'Audun-le-Tiche.
Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification, dont le territoire correspond aux anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants associés, d'une superficie de 2 418 région Grand Est. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le SDAGE du Bassin Rhin-Meuse.


Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 amplitude thermique annuelle de 16,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 27 vol d'oiseau, est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.


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  1. «  », sur gesteau.fr (consulté le ).
  2. «  », sur eau-rhin-meuse.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie

Audun-le-Tiche

Le nom de la localité est attesté sous les formes : Aqueductus en 898 ; Audeux le Thieux en 1289 ; Aydoch en 1342 ; Aydoth en 1347 ; Adecht en 1371 ; Awedeux, Audieux, Audeux le Thieux en 1389 ; Adicht en 1404 ; Adud en 1689 ; Audun-la-Tiche en 1756 ; Audun le Tige en 1793 ; Audun-le-Tiche en 1801,,, Deutschoth entre 1871 et 1918.

La forme savante en latin médiéval Aqueductus « aqueduc » attestée au Audun-le-Roman (Awedeux et Awdeux en 1304 ; Audeue-le-Romain en 1776). Il s'agit probablement dans les deux cas d'une évolution du gallo-roman AQUADUCTU, issu du latin aquaeductus « aqueduc »,. La forme régulière Audeu correspond à la prononciation locale en lorrain roman, Audun étant une altération tardive et savante.

Le déterminant complémentaire le Thieux apparu au Audun-le-Roman qui lui doit sans doute l'altération d’Audeux en Audun. Thieux signifie « francique lorrain » en ancien français et se réfère à la langue parlée thioise, c'est-à-dire tudesque (thiois étant l’adjectif masculin et thie(s)che l’ancien adjectif féminin). Audun est en effet situé en Lorraine thioise. Thieux a été altéré en Tiche plus tardivement par influence probable du dialecte germanique.

La commune est appelée en allemand : Teutsch Oth et Teutsch Altheim (1868), Deutsch-Oth et Deutschoth (1871-1918 et 1940-1944). En luxembourgeois standard, en minett-luxembourgeois et en stadt-luxembourgeois : Däitsch-Oth, Deutsch-Oth (prononcé « déïtch otte »). En luxembourgeois dialectal de Lorraine : Ot, Adicht et Edicht.

Remarque : il existe un vieux haut allemand adduch, aeduch, anduch ayant le sens de « conduite d’eau, canalisation, fossé rempli d'eau », lui-même issu du gallo-roman AQUA(E)DUCTU, il s'agit sans doutes de mauvaises graphies pour aducht attesté en moyen haut allemand, ou sous une forme plus conservatrice āduht. Il procède du vieux haut allemand agedoht de même sens et issu ultimement, comme le mot roman, du latin aquaeductus.

Hirps

  • Yerpes (1333), Irpes (1722), Hirpe (1779). Hirpes en luxembourgeois.

Sobriquet

  • Ancien sobriquet des habitants de la commune : les harpouyads d'Audeu (les batailleurs d’Audun).
  1. a b c d et e Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l’ancien département de la Moselle, rédigé en 1868 sous les auspices de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Paris, Imprimerie nationale.
  2. Alain Simmer, « La toponymie du Pays-Haut entre mythes et réalité », Le Pays-Haut (Longwy), no 1,‎
  3. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini
  4. (de) Alphabetisches Gemeindeverzeichnis Deutschland 1900-1910, 1283 p. (file:///C:/Dossiers%20perso/projet%20guerre%20des%20paysans%20en%20lorraine/a%20lepage/Alphabetisches%20Verzeichnis%20der%20Gemeinden%20in%20Deutschland%201900.pdf), p. 186
  5. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN ), p. 36.
  6. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, VOLUME [1]
  7. Léon Zéliqzon, Dictionnaire des patois romans de la Moselle, volume 1, Librairie Istra, 1922
  8. Luxemburger Wörterbuch, Luxemburg, P. Linden, 1950-1977
  9. a et b ISSN 0762-7440), p. 240
  10. Peter Paul Schweitzer, Altdeutscher Wortschatz, Ein sprachgeschichtliches Wörterbuch, 1998 HADAMAR 2002, p. 20 (lire en allemand) [2]
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  12. Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, ISSN 0762-7440).
  13. Passé-Présent : La Moselle dévoilée, No 8, décembre-janvier-février 2013

Histoire

La nécropole mérovingienne.

Préhistoire

Les premières traces d’occupation du territoire d'Audun-le-Tiche remontent au mésolithique (8000

Antiquité

L'aqueduc a été partiellement retrouvé ; vu son gabarit, il ne pouvait qu'alimenter des bâtiments de grande taille. La bourgade était imposante et comportait des thermes, des temples et diverses nécropoles. Des statues (Minerve, Jupiter à l’Anguipède, tête de divinité, Sirona ?, Apollon) y ont été retrouvées : elles ont probablement été élaborées sur place, en pierre d’Audun ; des carrières ont, de tout temps, fourni un calcaire local apprécié dans tous les environs. *Aquaeductus était donc un vicus en pleine expansion aux fer lorrain y était certainement déjà pratiquée.

Moyen Âge

Mais c'est à l’époque mérovingienne qu'Audun doit sa renommée : une grande nécropole franque du . De là provient également une rare croix de pierre, inscrite à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques, datant de la fin du . La nécropole est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du

La langue vieux haut allemand (de 750 Trêves, Echternach, Cologne et Aix-la-Chapelle.

Des fouilles effectuées en 1995 ont permis de mettre au jour les restes d'un moulin hydraulique d'époque carolingienne que l'on a pu dater des années 840 - 850. Sa technologie est basée sur celle de l'Antiquité, telle qu'elle est décrite dans les écrits de Vitruve, architecte romain du aubes (pales monoxyles dont certaines sont datées de 802-803, aubes assemblées du alluchons du rouet, coins, chevilles, etc. et aussi des fragments de meules, les archéologues ayant pu établir avec certitude qu'il s'agissait bien d'un moulin à eau. De plus, on a repéré des traces d'un aménagement destiné à donner de la puissance au flux hydraulique, notamment des poteaux correspondant au bief d'amenée. La roue à aubes ressemble à celle trouvée à Dasing en Souabe. Les bois utilisés étaient du hêtre et du chêne. Plusieurs fragments de meules en basalte de l'Eifel ont été trouvés entre les pieux, mais il est difficile d'établir le nombre exact de ces meules en raison de leur fragmentation extrême. Peut-être n'y en a-t-il que quatre. La dizaine de maillets de bois trouvés sur le site a servi probablement à broyer des fibres, hypothèse renforcée par la présence d'un bassin de forme carrée en amont du bief qui semble avoir servi au rouissage. Enfin, on peut noter qu'il n'a été trouvé aucun clou sur le site. La reconstitution de cette roue en dessous (roue de 150 coursier (rendement de 10 % pour les moulins hydrauliques au fil de l'eau) et à la grande surface utile de ses pales.

Une retranscription du cartuaire de l'abbaye de Villers-Bettnach fait mention d'Audun-le-Tiche en 1289 et 1389 au moyen des formes retranscrites (traduites) Awedeux, Audieux et Audeux le Thieux.

Au Moyen Âge, l'importance du site est confortée par l'érection d’un imposant château féodal, appartenant à la famille de Malberg (originaire de l'Eifel) dont les descendants resteront propriétaires de l’endroit jusqu’à la Révolution française.

L'ancien village ou lieu-dit Heymendorf (Hernedorf en 1220) se situait autrefois sur le ban de la commune.

Epoque moderne

C'est à Audun-le-Tiche qu’est née l’entreprise Villeroy & Boch en 1748.

Epoque contemporaine

En 1817, Audun-le-Tiche, village de l’ancienne province du Barrois, avait pour annexe la ferme de Hirps ; à cette époque il y avait 561 habitants répartis dans 100 maisons. Au début du Villerupt, Hussigny-Godbrange, un important centre de l’immigration italienne qui était venue pour approvisionner le bassin minier de la minette en bras d’œuvre. Une grande partie de cette immigration italienne provenait de Gualdo Tadino (en Ombrie), qui est aujourd’hui jumelé avec Audun–le-Tiche.

Guerre de 1870

Une escarmouche eut lieu, le 30 août 1870, dans laquelle s'illustrèrent les douaniers affectés à la défense de la ville de Longwy. Le 29 août, à 23 heures,. 110 douaniers, 20 gardes forestiers et 20 gendarmes sortirent de Longwy, commandés par le capitaine des Douanes Lostie de Kerhor partir de Longwy en reconnaissance vers Audun-le-Tiche. Le 30 août vers 4 heures, la colonne entra dans Audun-le-Tiche à la surprise des Prussiens qui occupaient le bourg. Après une fusillade, les Français faisaient retour vers Longwy, à 6 heures.

L’escarmouche d’Audun-le-Tiche avait fait huit morts, cinq blessés, quatre disparus et quatorze prisonniers dans les rangs allemands, deux tués et dix-sept blessés dans les rangs français.

Naissance et essor de l'industrie sidérurgique

Au milieu du haut fourneau au bois appartenant à la famille Bauret-Laval (Lavalle) est en activité à Audun-le-Tiche, sur un emplacement différent de la ligne des hauts-fourneaux à venir (information tirée des archives du peintre Ponsin). Puis, entre 1872 et 1899, quatre hauts-fourneaux sont mis à feu. En 1899, la société prend le nom de Société des Hauts-Fourneaux et Mines d’Audun-le-Tiche, laquelle devient en 1919 la Société Minière des Terres-Rouges (créée lors de la vente, en 1919, de l'usine confisquée à la Société de Gelsenhirchen, au Syndicat de l’Alzette, avec 55 % de capitaux français, 25 % luxembourgeois et 20 % belges), pour passer en 1964 sous le contrôle de l’Arbed. En 1950, sur les quatre hauts-fourneaux existants, deux sont en service (les 2 et 3 qui produisent des fontes de moulage), le haut-fourneau 4 est en construction et le haut-fourneau 1 est prêt à être démoli. La mine de fer des Terres Rouges est la dernière mine de fer de Lorraine à avoir fermé, en 1997.

Langues parlées, nom de la localité et administrations successives,,,,
Période Langues parlées Nom de la localité Administrations
Avant l'époque romaine langue indéterminée, proto-celte, celte, proto-germanique ou celto-germanique selon les historiens indéterminé Tribu des Trévires
Époque romaine latin vulgaire principalement et comme précédemment indéterminé Empire romain (capitale Trêves)
Antiquité tardive et haut Moyen Âge comme précédemment mais avec un effacement progressif du latin vulgaire indéterminé Tribu ou fédération de tribus franques, selon les historiens
Du VIIe au VIIIe siècle : période caractérisée
par le cimetière franc d'Audun-le-Tiche
langue indéterminée, celte, proto-germanique ou celto-germanique selon les historiens indéterminé Royaume mérovingien ou tribu ou fédération de tribus franques, selon les historiens
Du VIIIe siècle à 1289 (environ) dialecte du vieux haut allemand (Mittelfränkisch) À l'écrit aquaeductus
(le nom oral est du vieux haut allemand)
Évêché de Trêves
De 1289 à 1389 (environ) vieux français (dialecte lorrain roman) et dialecte du vieux haut allemand (Mittelfränkisch) Awedeux, Audieux, Audeux le Thieux Duché de Bar
De 1389 à 1659  : le Luxembourg français
est cédé au royaume de France en 1659
francique mosellan Aydoch, Aydoth, Adecht, Adicht Comté de Luxembourg
De 1659 à 1870 transition du francique mosellan vers le français et le dialecte lorrain roman Adud, Audun-la-Tiche, Audun le Tige Royaume de France, Empire français et République française
1870-1918 : annexion allemande allemand, français et francique mosellan Deutschoth et Deutsch-Oth Empire allemand
1918-1940 principalement le français mais aussi l'italien standard et certains de ses dialectes,
le polonais et le francique mosellan
Audun-le-Tiche République française
1940-1945 : nouvelle annexion allemande comme précédemment mais aussi moins fréquemment l'allemand Deutschoth Allemagne nazie
De 1945 à aujourd'hui principalement le français mais aussi l'italien standard et certains de ses dialectes,
le polonais et l'arabe dialectal algérien
Audun-le-Tiche République française
  1. Alain Simmer, Le cimetière mérovingien d’Audun-le-Tiche, Paris, Errance, 1988, 160 p, ill., (ISBN ) : A. Simmer, Audun-le-Tiche mérovingien, Éditions des Paraiges, 2017, 63 p. 
  2. Tina Anderlini, Une œuvre mérovingienne unique ? La croix pattée d'Audun-le-Tiche (en ligne).
  3. a et b «  », notice base Mérimée, ministère français de la Culture.
  4. Pascal Rohmer, « Le moulin carolingien d'Audun-le-Tiche », L'Archéologue, no 22,‎ , p. 6-8.
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  8. « France : Cessions d'usines », L'indépendance luxembourgeoise,‎ (lire en ligne)
  9. Mairie d'Audun-le-Tiche, «  », sur audun-le-tiche.fr, (consulté le ).
  10. Eugène Gaspard et Alain Simmer, Le Canton du Fer, Audun-le-Tiche, édition à compte d'auteurs, .
  11. Alain Simmer, Les Seigneurs d'Audun-le-Tiche, Audun-le-Tiche, Alain Simmer, .
  12. Michel Poinsignon et Bernard Reimeringer, Audun-le-Tiche, Histoire et Patrimoine,, Audun-le-Tiche, Serge Domini, .
  13. Anne Blanchot-Philippi, «  », sur documents.irevues.inist.fr, (consulté le ).

Héraldique

Blason
Parti : au 1er mi-parti d'azur à deux bars adossés d'or accompagnés de quatre croisettes recroisetées au pied fiché du même, au 2e mi-parti d'or à l'aigle bicéphale de sable, becquée et membrée de gueules ; au marteau de mineur renversé de gueules brochant sur la partition.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Audun-le-Tiche dans la littérature

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