Cepoy

Localisation

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Cepoy : descriptif

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Cepoy

Cepoy est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Géographie

Localisation

Carte de la commune de Cepoy et des communes limitrophes.

La commune de Cepoy se trouve dans le quadrant nord-est du département du Loiret, dans la région agricole du Gâtinais pauvre. À vol d'oiseau, elle se situe à 63,8 Orléans, préfecture du département, à 5,3 Montargis, sous-préfecture, et à 3,8 Châlette-sur-Loing, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant mars 2015. La commune fait partie du bassin de vie de Montargis

Les villes les plus proches sont : Girolles (2,3 Corquilleroy (3 Châlette-sur-Loing (3,8 Paucourt (4,4 Montargis (5,3 Pannes (6,1 Gondreville (6,2 Ferrières-en-Gâtinais (6,5 Villemandeur (6,5 Treilles-en-Gâtinais (6,7 Fontenay-sur-Loing (6,9 .

Communes limitrophes de Cepoy
Girolles Fontenay-sur-Loing
Corquilleroy Cepoy Paucourt
Châlette-sur-Loing – Lancy

Géologie et relief

Géologie

La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années, et du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma. La formation la plus ancienne est de la craie blanche à silex remontant à la période Crétacé. La formation la plus récente est des alluvions récentes des lits mineurs remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « n°329 - Château-Landon » et « n°365 - Montargis » de la carte géologique au 1/50 000ème du département du Loiret, et leurs notices associées,.

Carte géologique de la commune
Ère Période Époque Formations géologiques
Cénozoïque
(0 - 66.0)
Quaternaire
(0 - 2.58)
Holocène
Fz  : alluvions récentes des lits mineurs, Holocène
Fy  : alluvions récentes des levées et montilles de la Loire et des basses terrasses du Loing, Holocène
Pléistocène
qOE  : Limons et Loess, Quaternaire
Néogène
(2.58 - 23.03)
Pliocène  non présent
Miocène  non présent
Paléogène
(23.03 - 66.0)
Oligocène
g1CEt  : calcaire d'Étampes, Stampien supérieur
Éocène
e4PN  : poudingue de Nemours, Paléocène-Éocène inférieur
Paléocène
e1-4Rc  : complexe argilo-sableux à silex = argiles à silex, Paléocène-Éocène inférieur
Mésozoïque
(66.0 - 252.17)
Crétacé
(66.0 - ≃145.0)
c5Cr  : craie blanche à silex, Campanien
Relief

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 8,52 ,. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 8,44 . Son relief est relativement plat puisque la dénivelée maximale atteint 37 mètres. L'altitude du territoire varie entre 77 .

Hydrographie

Cepoy est traversée par deux voies d'eau :

  • à la lisière du bourg historique et au pied de la pente occidentale de la vallée du Loing, le canal du Loing, qui est navigable ;
  • à l'écart du bourg, à environ 300 mètres à l'Est, le Loing, rivière affluent de la rive gauche de la Seine, aujourd'hui non navigable, franchi par un pont nommé « pont de la Girafe ».

Lieux-dits et écarts

Le Bourg, Montenon, Montigny Rapine, le Moulois, les Murgères, le Parc, Puy-la-Laude, le Tranchoir, les Vallées.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 amplitude thermique annuelle de 15,5 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune d'Amilly à 8 vol d'oiseau, est de 11,7 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Milieux naturels et biodiversité

Zones nationales d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Cepoy comprend une ZNIEFF.

La ZNIEFF, de deuxième génération et de type 2, dénommée forêt de Montargis, d'une superficie de 4 598 hectares, est répertoriée depuis 1985-86 pour ses intérêts écologiques et faunistiques. Elle s'étend sur 9 communes, dont Cepoy pour la frange nord-ouest de la ZNIEFF correspondant à la partie est de la commune. Son altitude varie entre 88 et 133 . Le chêne est l'essence la plus représentée, toutefois, la chênaie-hêtraie est présente sous forme de stations de faible superficie. La flore se caractérise par la présence de végétaux associés aux sols acides comme la callune (Calluna vulgaris), la violette des chiens (Viola canina) ou la myrtille (vaccinium myrtillus), et aux sols neutres à légèrement alcalins sur calcaire ou marne (Rosa micrantha, la scille à deux feuilles (Scilla bifolia), le céphalanthère à longues feuilles (Cephalanthera longifolia), le gaillet odorant (Galium odoratum). Un réseau complexe de mares (toutes ne sont pas en eau la même année) conduit à de notables déplacements d'amphibiens en période de reproduction. Le nord-est du massif est ainsi directement concerné. Le nord du massif, nettement relié à la vallée de la Clairis correspond également à un secteur de mouvements importants de mammifères grands et petits ainsi que pour l'avifaune. L' intérêt pour les chiroptères semble s'être déplacé durant les années vers la vallée de la Clairis. La forêt de Montargis est gérée par l'Office national des forêts.

  1. «  », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  2. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
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  4. «  », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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  6. «  », sur le site du Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie (consulté le ).
  7. « Carte géologique de Cepoy » sur Géoportail (consulté le 29 mai 2022).
  8. a et b «  », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  9. «  », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  10. «  », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  11. Insee, «  », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, «  », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, «  », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. IGN, «  », sur drive.google.com.
  15. On ne dispose pas de preuve tangible d'un lien entre le nom de ce pont et le voyage retentissant, au printemps 1827, du convoi pédestre conduisant la girafe offerte à Charles X par Méhémet Ali de Marseille à Paris, mais il n'existe également aucune preuve rendant plausible toute autre explication sur le nom de ce pont.
  16. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  17. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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Histoire

Préhistoire

La Pierre-aux-Fées

Avec sa position dans le Bassin parisien et dans la vallée du Loing, la station de la Pierre-aux-Fées est l'un des sites les plus importants du Paléolithique final pour les contacts entre le nord et le sud de la plaine européenne centrale et occidentale. Son occupation date du Magdalénien supérieur et final mais avec des particularités.

Bien conservée, elle a fourni une industrie lithique incluant des pointes à cran hambourgiennes, des pointes à dos anguleux très proches des pointes hambourgiennes, des perçoirs de type Zinken (les rares perçoirs très fins étant sur éclats), d'étroits grattoirs sur bout de lame à front très plat. Les silex sont façonnés par débitage laminaire de nucleus aménagés, souvent bipolaires. Il y a très peu de lamelles à dos rabattu, ce qui distingue cet ensemble du Magdalénien final. Mais il se distingue aussi du Hambourgien pur par l'absence de formes microlithiques et le fait que les grattoirs sont plus étroits et leur plan de travail plus plat que celui des grattoirs hambourgiens.
Plusieurs auteurs (Schmider, 1971 ; Tromnau, 1981 ; Kobusiewicz 1983 ; Allain, 1989) ont proposé l’existence de contacts entre le Hambourgien et notamment le Magdalénien du Bassin parisien, sur la base de la présence régulière de pointes lithiques évoquant entre autres les pointes à cran hambourgiennes qui, dans certains inventaires, l'emportent même sur les lamelles à dos, armatures typiques du Magdalénien. L'industrie lithique du locus 7 du Tureau des Gardes (Marolles-sur-Seine) présente les mêmes caractéristiques hambourgiennes que celle de la Pierre-aux-Fées.

La même époque a fourni une plaquette gravée représentant une tête de cheval délicatement dessinée de 4 .

Deux foyers de la couche IV dans le secteur 2 indiqueraient l'emplacement d'une structure d'habitat.

En 1983 la station de la Pierre-aux-Fées est en cours de fouille.

Sites proches

Un autre site du Paléolithique supérieur est découvert fin septembre 1974 au lieu-dit La Maison Blanche, à 2,4  au nord sur la commune de Fontenay-sur-Loing. Malgré la proximité avec la Pierre-aux-Fées, la Maison Blanche est un site du Magdalénien typique, sans tendances hambourgiennes.

Un peu plus éloignés, à 50 Pincevent et ceux de Marolles-sur-Seine (Seine-et-Marne). Le site de Marsangy (Yonne) est à un peu moins de 50 km à l'est.

Antiquité

Le Chalat

Établissement rural occupé entre le  siècle de notre ère.

Moyen-Âge

Cepoy fut, jusqu'au milieu du  siècle, le siège d'un bailliage qui fut transféré à Montargis en raison de l'essor pris par cette cité, en raison de la fréquentation royale de son château.

Temps modernes

Un relais de poste a existé jusque dans la seconde moitié du route nationale 7, à la lisière ouest de la forêt de Montargis.

En 1743, Cepoy fut érigée en marquisat sous Louis XV, au profit de Guillaume Bouvier de La Motte (1686-1759), petit-neveu de Madame Guyon, célèbre mystique amie et correspondante de Fénelon.

La physionomie du château de Cepoy (qui héberge aujourd'hui une école des Compagnons du devoir), date à peu près de cette époque, la construction d'origine, datant du règne de , ayant été fortement remaniée.

La gare de Cepoy sur la ligne de Moret - Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache est mise en service vers 1888 par la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM). Elle était encore en service en 1975, elle a été fermée et détruite depuis.

Héraldique

Les armes de Cepoy se blasonnent ainsi :

De gueules à un chevron d'or accompagné de trois trèfles du même.

(armoiries de la famille Bouvier de La Motte, marquis de Cepoy)

  1. « La Pierre-aux-Fées à Cepoy, carte interactive » sur Géoportail.
  2. a b c et d [Kobusiewicz 1983] Michel Kobusiewicz, « Le problème des contacts des peuples du Paléolithique final de la plaine européenne avec le territoire français », Bulletin de la Société préhistorique française, lire en ligne [sur persee], consulté en ), p. 312.
  3. [Despriée & Duvialard 1994] Jackie Despriée et Jean Duvialard, Préhistoire en région Centre, DRAC du Centre, , 160 présentation en ligne), « Le Magdalénien supérieur et final - Le site de la Roche-aux-Fées à Cepoy, Loiret », p. 75-86.
  4. [Schmider 1971] Béatrice Schmider, « Les industries lithiques du Paléolithique supérieur en Île-de-France », présentation en ligne).
  5. [Tromnau 1981] G. Tromnau, « Die Hamburger Kultur » (Actes du Colloque international organisé dans le cadre du Xe Congrès U.I.S.S.S. à Mexico, éd. J.K. Kozłowski & S.K. Kozłowski), Archaeologia Interregionals, Cracow-Warsaw, no 1 « Préhistoire de la Grande Plaine de l'Europe »,‎ , p. 131-141.
  6. [Allain 1989] Jacques Allain, « La Fin du Paléolithique supérieur en région Centre », dans Jean-P. Rigaud, Le Magdalénien en Europe. La structuration du Magdalénien (Actes du colloque de Mayence 1987), Liège, université de Liège, coll. « ERAUL » (no 38), , p. 197-217.
  7. [Lang 1998] L. Lang, Marolles-sur-Seine : « Le Tureau des Gardes » (Seine-et-Marne). Site n° 77 279 027 AP. Vestiges d’implantations du Paléolithique supérieur. Fouilles de sauvetage urgent. Campagnes du 01.03.97 au 30.04.97, du 01.09.97 au 31.10.97 et du 01.03.98 au 31.03.98 (Document final de synthèse, Bazoches-lès-Bray, Saint-Denis), . Cité dans Valentin, Bodu & Julien 2004, p. 67.
  8. [Valentin, Bodu & Julien 2004] Boris Valentin, Pierre Bodu et Michèle Julien, Habitats et peuplements tardiglaciaires du Bassin parisien (Projet collectif de recherche 2003-2005. Rapport d’activité pour 2004), CNRS, Équipe ethnologie Préhistorique UMR 7041, , 187 lire en ligne [PDF] sur hal-lara.archives-ouvertes.fr), p. 67.
  9. [Allain et al. 1978] Jacques Allain, André Aubourg, Michel Grattier et Jean-Marie Lorain, « Site préhistorique de la Pierre-aux-Fées (Cepoy, Loiret) », Bulletin de la Société d'Émulation de Montargis, lire en ligne [sur gallica]), p. 19.
  10. [Wenzel & Jagu 2010] Stefan Wenzel et Dominique Jagu, « L’habitat autour du foyer T5/T6 dans le gisement du Magdalénien final de Cepoy (Loiret, France) » (Colloque Rzeszów, 20-22 septembre 2005), Archaeologica Ressoviensis, lire en ligne [PDF] sur hal.archives-ouvertes.fr, consulté en ).
  11. a b et c 1978, p. 20.
  12. a et b « La Maison Blanche à Fontenay-sur-Loing, carte interactive » sur Géoportail.
  13. 1978, p. 7.
  14. 1978, p. 21.
  15. [Blanchard et al. 2020] Johann Blanchard, Céline Barthélemy-Sylvand, Delphine Henri, Sandrine Linger-Riquier et Gaëlle Robert, « L'établissement rural de Cepoy “ Chalat ” (Loiret) : une occupation entre le  siècle de notre ère », dans Stephan Fichtl, Thibaud Guiot et Thierry Massat (dir.), Entre Carnutes et Sénons, Habitats et nécropoles de l'âge du Fer sur l'autoroute A19 (série « Archéologie de l'Autoroute A19 », vol. 4), Tours, FERACF, ISBN , résumé, présentation en ligne).
  16. Blason sur le site de la commune. Consultation : janvier 2009.
  17. Jougla de Morenas, Grand armorial de France, t. 2, 238.

Héraldique

Les armes de Cepoy se blasonnent ainsi :

De gueules à un chevron d'or accompagné de trois trèfles du même.

(armoiries de la famille Bouvier de La Motte, marquis de Cepoy)

  1. Blason sur le site de la commune. Consultation : janvier 2009.
  2. Jougla de Morenas, Grand armorial de France, t. 2, 238.

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Cepoy dans la littérature

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1838 autres localités pour la Centre-Val de Loire

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 30/10/2024
Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-cvl/34593.html

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