Villedômain (prononcé /vil.do.ˈmɛ̃/) est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire
Limitrophe du département de l'Indre, elle est la première commune traversée par l'Indrois à son entrée dans le département d'Indre-et-Loire.
Même si quelques vestiges témoignent d'une présence humaine protohistorique voire néolithique, il faut attendre le XIIIe siècle pour voir le nom de Villedômain apparaître dans les sources écrites
La paroisse, puis la commune, ne connaissent jamais un développement important et Villedômain est au XXIe siècle l'une des communes les moins peuplées d'Indre-et-Loire avec 127 habitants en 2022
Son érosion démographique, importante à partir de 1960, semble toutefois enrayée depuis les années 1980.
L'économie locale reste en grande partie basée sur l'agriculture — plus de 40 % des entreprises de la commune sont des exploitations agricoles — et la vie de la commune est davantage tournée vers le département voisin de l'Indre et le pôle de Châtillon-sur-Indre
Aucun monument historique ne figure au patrimoine communal et peu d'édifices ou de bâtiments notables sont à signaler, exception faite de l'église dont la nef, qui a pu être construite au XIIe siècle, cohabite avec des reconstructions et des remaniements modernes.
Géographie
Localisation et communes limitrophes
Villedômain, commune dépendant du canton de Loches, est située dans l'extrême sud-est de la Touraine à environ 57,5 Tours, préfecture du département d'Indre-et-Loire. Elle est également implantée à 21,6 Loches, sous-préfecture départementale et bureau centralisateur du canton de Loches, et à 9,6 km au nord-est de Châtillon-sur-Indre, dans le département voisin de l'Indre. Villedômain, bien que partie intégrante du département d'Indre-et-Loire, fait partie du bassin de vie de Châtillon-sur-Indre.
Communes limitrophes de Villedômain
Loché-sur-Indrois
Nouans-les-Fontaines
Écueillé (Indre)
Châtillon-sur-Indre (Indre)
Saint-Médard (Indre)
Préaux (Indre)
Sur les six communes limitrophes de Villedômain deux seulement, du sud-ouest au nord-est, sont des communes d'Indre-et-Loire ; les quatre autres appartiennent au département de l'Indre.
Géologie et relief
Le bassin parisien, au sens géologique du terme, est une grande zone sédimentaire s'étendant vers le sud jusqu'aux confins du Massif central, marquée dans le sud de la Touraine par des dépôts sédimentaires résultant d'avancées maritimes successives prenant place au Crétacé supérieur.
Toute la partie sud-est de la Touraine est constituée des dépôts successifs des sables du Cénomanien (100 à 93,5Ma BP — Before Present —) du tuffeau jaune du Turonien (93,5 à 91,5Ma BP). Cette dernière strate, épaisse de 30 à 35m remonte sensiblement vers la surface au sud-est et les vallées des cours d'eau, Indrois et ruisseau de Calais surtout, l'ont largement entaillée en amont de leurs cours ; à ce niveau toutefois, le tuffeau est altéré en surface et a produit une argile sableuse et caillouteuse de dégradation (C3cR). Ces cours d'eau, un peu plus en aval, ont apporté leurs alluvions récentes (Fy-z). Ailleurs, sur l'ensemble du plateau, ce sont les argiles blanches à silex (c4-6S) déposées pendant une grande partie du Sénonien (89 à 71 Ma BP) qui dominent avec, très localement, quelques placages de limons des plateaux (LP) datant de la glaciation würmienne (0,12 à 0,01Ma BP).
Exception des vallées de l'Indrois et du ruisseau de Calais près de Loché-sur-Indrois où dominent les alluvions, les sols de Villedômain sont issus de l'évolution des argiles à silex et sont des bournais battants (issus des argiles blanches) ou des perruches (provenant des argiles caillouteuses de dégradation du tuffeau).
Le quadrilatère légèrement resserré dans sa partie centrale qui figure le territoire communal de Villedômain est principalement composé d'un plateau d'altitude variant de 140 à 150m. Il est coupé par les vallées de l'Indrois et du ruisseau de Calais qui coulent du sud-est au nord ouest, mais ces vallées ne sont pas encaissées et leurs pentes sont douces. Plusieurs petites éminences parsèment le plateau ; l'altitude maximale de la commune est rencontrée au sud-ouest, dans les bois du Chaillou alors que le point d'altitude minimale se trouve là ou l'Indrois quitte Villedômain pour entrer sur Loché-sur-Indrois. La superficie de la commune (1 647 hectares au
Hydrographie
Deux cours d'eau, l'Indrois et le ruisseau de Calais, dont les cours sont perpendiculaires à l'axe général du territoire communal, traversent Villedômain. D'autres ruisseaux, tributaires des premiers ou bien, au sud-ouest, se jetant dans l'Indre au-delà de Loché-sur-Indrois, ne sont que temporaires, alimentés par les eaux de ruissellement du plateau. Plusieurs étangs parsèment le territoire. Le plus important d'entre eux, l'étang de la Cailletterie, se déverse dans un ruisseau rejoignant l'Indrois en limite de Loché-sur-Indrois.
L'Indrois, du sud-est au nord-ouest, sépare le territoire communal en deux parties sensiblement égales. Le ruisseau de Calais, qui lui est sensiblement parallèle dans la traversée de la commune, coule plus au nord-est. Au niveau de Villedômain, ces deux cours d'eau, encore assez proches de leurs sources, n'ayant pas reçu le tribut d'affluents importants et coulant dans des vallées assez peu encaissées, ne présentent pas de risques majeurs d'inondation.
La communauté de communes Loches Sud Touraine engage en 2017, et pour une durée de cinq ans, des travaux de restauration de l'Indrois et de ses affluents sur l'ensemble des communes d'Indre-et-Loire riveraines de la rivière.
Quatre zones humides ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée du Ruisseau de Calais », « l'étang du Château de Chaillou », « la vallée de l'Indrois de Villedômain à Loché-sur-Indrois » et « l'étang de la Cailletterie »,.
Paysages naturels
À distance des principaux massifs forestiers du sud-est de l'Indre-et-Loire, comme la forêt de Loches ou la forêt de Brouard, le territoire de Villedômain n'est pas excessivement boisé, excepté dans sa partie sud-ouest où le bois de Chaillou s'étend jusque dans l'Indre. Au nord-est, le bois de Douince constitue un second noyau forestier, de moindre importance. Les vallées de l'Indrois et du ruisseau de Calais ne traversent pas à proprement parler de bois, même si les cours sont largement bordés de rideaux d'arbres ou de bosquets.
Sur les espaces découverts du plateau se développent les parcelles agricoles de grandes dimensions parsemées de petits bosquets ou d'étangs de faible superficie. Aucune partie du territoire n'est couverte par un site Natura 2000 ou une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique mais un bois recèle une zone tourbeuse abritant la Linaigrette à feuilles étroites (Eriophorum angustifolium), espèce protégée en région Centre-Val de Loire.
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat du Centre-Val de Loire et Climat d'Indre-et-Loire.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 amplitude thermique annuelle de 15,3 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Pellevoisin à 14 vol d'oiseau, est de 12,4 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Transports et voies de communication
Le principal axe de communication desservant le territoire de Villedômain est la D 975 qui, sous différentes appellations, relie Blois à la vallée de la Dordogne, via Saint-Aignan-sur-Cher et Châtillon-sur-Indre. Cette voie traverse Villedômain du nord-est au sud-ouest en passant par le chef-lieu communal. La D 90, suivant à peu près la vallée de l'Indrois, relie Loché-sur-Indrois à Préaux en passant par le bourg de Villedômain. Les hameaux et écarts sont desservis par des voies rayonnant depuis le chef-lieu communal ou embranchées sur les deux routes principales mentionnées.
Aucun réseau de transport collectif par autocar ne dessert directement Villedômain. Il faut se rendre à Genillé pour accéder au réseau Fil Vert du conseil départemental d'Indre-et-Loire ou à Châtillon-sur-Indre ou encore Écueillé pour bénéficier du réseau L'Aile bleue du conseil départemental de l'Indre.
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Toponymie
Formes successives du nom, attestées pour le territoire ou la paroisse, :
Villa Domin : 1222, Liber compositionum (manuscrit de la bibliothèque municipale de Tours) ;
Decima de Villedomin [var. Villadomin, Villedosmin] : 1243, cartulaire de l'abbaye de Villeloin ;
Parochia Sancti Andreae de Villa Domini : 1290, pouillé de Tours ;
Presbyter de Villa Domini : archevêché de Tours ;
Villedosmain : 1763-1768, carte de Cassini ;
Ville-Dosmein : début du ;
Villedosmain : 1831, cadastre napoléonien basé sur le premier plan cadastral communal.
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Ville- au sens de « domaine rural » ou de « village », comme il en existe quelques-unes dans la région (cf. Villegouin). Elle correspond aux formations en -ville que l'on rencontre ailleurs et qui sont généralement plus anciennes.
L'identification du second élément -dômain divise les auteurs. Stéphane Gendron propose d'y reconnaître l'anthroponyme Domin qui se rencontre plus spécifiquement, avec plusieurs variantes orthographiques, dans le Lochois. Albert Dauzat et Charles Rostaing y ont plutôt vu un rappel du statut féodal du lieu, le domain étant un terme d'ancien français désignant le seigneur. La graphie du nom comporte plusieurs variantes dont celle de 1243 qui montre l'adjonction d'un s intercalaire entre le o et le m soit de manière accidentelle, et qui sera conformément à l'évolution de l'orthographe du français, remplacé par un accent circonflexe par la suite (cf. coste > côte), soit de manière volontaire car os est un graphe destiné à marquer la fermeture du [o], l'accent circonflexe n'existant pas à l'époque (cf. la prononciation différenciée des mots français coste > côte et cote). En effet, le [] de -dômain est plus fermé que celui de domaine.
Plusieurs micro-toponymes (les Champs-du-Four, la Mardelle,, les Minées) peuvent trouver leur origine dans de très anciennes activités liées à l'exploitation et au traitement du minerai de fer, ce que corrobore la découverte de vestiges sur place,.
↑ a et bStéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 ISBN ), p. 249.
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↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Éditions Larousse, , 740 p., p. 720.
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↑ Gérard Cordier, « Toponymie paléosidérurgique de la Touraine », Norois, lire en ligne).
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Histoire
Dans le sud-est de l'Indre-et-Loire, les preuves d'une occupation humaine à l'époque laténienne sont nombreuses. Elles consistent le plus souvent en des traces d'enceintes ou d'enclos associées à des vestiges d'une exploitation précoce du minerai de fer, confirmée par ailleurs par la micro-toponymie. À Villedômain même, deux de ces enceintes de grandes dimensions (plus de 100 prospection aérienne. Les mêmes sites ont également livré des silex néolithiques mais rien ne permet d'affirmer que la présence de l'Homme a été continue d'une époque à l'autre,,.
Au cours du Haut Moyen Âge, jusqu'au Turonicus,. À cette époque, le site Villedominis se révèle être situé à la limite méridionale de cette subdivision territoriale.
Il ne semble pas que l'histoire locale soit retracée avant le . En 1173, l'important domaine de Douince, appartenant jusque-là aux bénédictins de Saint-Genou, passe sous le contrôle des cisterciens de Beaugerais à Loché-sur-Indrois. En 1222, l'appellation Villa Domin donnée au territoire semble indiquer qu'il est le siège d'un domaine médiéval et, à la fin du paroisse,,. C'est vers 1243 qu'est mentionné Regnaud de Villedômain, premier seigneur connu du lieu, dont la châtellenie dépend du château de Bridoré,. En 1664, un rapport au roi précise que Villedômain est du ressort de la justice royale de Loches.
Les cahiers de doléances de la paroisse, rédigés à l'occasion des États généraux de 1789, montrent la volonté d'une répartition plus équitable des charges entre les habitants, et avant tout la disparition des impôts sur les produits de première nécessité, comme la gabelle. En , un curé qui passe par Villedômain célèbre, avec la complicité du maire, une messe clandestine dans une grange du village. Dénoncés, le maire, le propriétaire de la grange — qui est rasée — et plusieurs autres personnes sont arrêtées et emprisonnées pendant quelques semaines. Elles sont cependant rapidement libérées, le comité de salut public estimant que, s'agissant d'agriculteurs, leur incarcération prolongée est préjudiciable aux travaux des champs.
Le premier plébiscite organisé les 20 et et intitulé « Le Peuple français veut le maintien de l'autorité de Louis-Napoléon Bonaparte, et lui délègue les pouvoirs nécessaires pour établir une constitution sur les bases proposées dans sa proclamation du » remporte l'approbation des 79 électeurs votants sur les 84 inscrits de la commune. Le , le prince-président est reçu à Tours, la veille de son retour à Paris à l'issue d'un voyage en France entamé le
Dans le cadre des grandes manœuvres du Centre, en 1908, le territoire de Villedômain est le théâtre d'importants mouvements de troupes dans la journée du 18 septembre,. Dix ans plus tard, le bilan de la Première Guerre mondiale se monte à vingt-trois victimes parmi les combattants de la commune, alors que le second conflit mondial cause la mort de deux soldats de Villedômain ; la population communale était d'environ 320 personnes avant chacun des deux conflits,.
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↑ Couderc 1987, p. 902.
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↑ a b et cJean-Pascal Foucher, « Histoire du château de Châtillon-sur-Indre. », dans Fabienne Audebrand (direction d'ouvrage) et al., Châtillon-sur-Indre : Un château, un palais., DOI 10.3406/bulmo.2010.7475, lire en ligne).
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↑ Charles de Sourdeval (d'après un manuscrit de la Bibliothèque nationale), Rapport au roi sur la province de Touraine, Tours, Mame, 1863, 170 lire en ligne), p. 42.
↑ Jean-Michel Gorry et Denis Jeanson, Cahiers de doléances en Indre-et-Loire, ISBN ), p. 542-545.
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↑ Général Pierre Bonnal, « Les grandes manœuvres du Centre », La Revue des deux mondes, lire en ligne).
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