Chédigny
Localisation
Chédigny : descriptif
- Chédigny
Chédigny (prononcé [ ʃediɲi]) est une commune française du département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire
La présence humaine sur son territoire est attestée depuis la Préhistoire
Si la commune actuelle est née à la Révolution de la fusion de deux anciennes paroisses, le nom de Chedignacum apparaît au milieu du XIIe siècle alors que l’existence d’une châtellenie est attestée par des sources écrites au début du XIIIe siècle. Cette petite commune de la vallée de l'Indrois, de tradition agricole, qui avait connu un exode rural massif depuis la fin du XIXe siècle, a amorcé en 1978 sa mutation en créant une zone artisanale au moment même où sa population recommençait à croître ; cette zone d'activités accueille, en 2011, huit entreprises qui emploient près de cent personnes. Chédigny a régulièrement organisé depuis le milieu des années 1970 des manifestations culturelles (spectacles montés et joués par ses habitants, festival de blues), mais elle s'est surtout fait connaître ces dernières années grâce au fleurissement de son bourg : elle a obtenu en 2013 le label national « Jardin remarquable » attribué, pour la première fois, à une commune dans son ensemble
Enfin, elle possède un patrimoine naturel diversifié, son territoire étant intégré, à des degrés divers, à cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) et à un site du réseau Natura 2000.
Géographie
Localisation et communes limitrophes
La commune de Chédigny se trouve dans le quart sud-est du département d'Indre-et-Loire, dans la région historique de Touraine. À vol d'oiseau, Chédigny se situe à 31,5 Tours, préfecture du département d'Indre-et-Loire, à 9,6 Loches, chef-lieu du canton auquel la commune est rattachée et à 13 Bléré, seconde ville importante la plus proche de Chédigny après Loches.
Chédigny est limitrophe de six autres communes :
Géologie et relief
AU point de vue géologique, le territoire communal de Chédigny est sensiblement partagé en deux par la vallée de l'Indrois.
Au nord, le plateau de plateau de craie déposée au Sénonien (e7) et datée de 89 à 65 millions d'années (Ma) BP (before present) est recouvert d'argiles à silex (eP) déposées à l'Éocène (55 à 37 Ma BP) puis du calcaire lacustre (e7) du Ludien (37 à 33,7 Ma BP) caractéristique de la petite région agricole fertile de la Champeigne tourangelle,, générant des sols agricoles fertiles. Sur le rebord du plateau toutefois, l'érosion laisse apparaître la couche d'argile à silex sous-jacente ; les sols lourds et battants qui en résultent sont dénommés « bournais ».
Dans la partie sud-ouest du territoire communal, sur la rive gauche de l'Indrois, les calcaires lacustres de couverture sont remplacés par des sables éoliens (moins de 2,6 Ma) dont la granulométrie, très fine, les fait tendre vers le limon.
Les vallées de l'Indrois et de ses affluents, qui ont profondément entaillé le plateau, sont recouvertes d'alluvions fluviatiles récentes donnant des sols à tendance hydromorphe avec, bien souvent, une nappe phréatique peu profonde. Les pentes de raccordement entre les plateaux et les vallées, là où le calcaire sénonien est mis à nu, sont recouvertes de dépôts limoneux ou caillouteux érodés et dégradés ; ce type de sol est appelé « perruche » dans la vallée de la Loire.
La superficie de la commune est de 2 317 hectares (au
Hydrographie
Chédigny est située dans le bassin hydrographique de la Loire. Son territoire communal est parcouru dans sa moitié sud par la rivière Indrois. À l'approche de son confluent avec l'Indre, 2,3 méandres, bras morts et zones marécageuses. La rivière peut provoquer des inondations dévastatrices ; chroniques communales et registres paroissiaux, comme ceux de Chédigny, en conservent le témoignage : « Le , jour de Sainte Catherine, inondation si considérable qu'elle surpassa de trois pieds les ponts de Saint-Quentin qu'elle emporta et démolit les principales arches... ».
L'Indrois reçoit, sur sa rive droite, cinq petits ruisseaux aux cours plus rapides, surtout dans leurs parties terminales ; leur pente, de l'ordre de 3 . Ils ont profondément entaillé le plateau qui supporte leurs lits à moins qu'ils n'aient emprunté des réseaux de fractures préexistantes,.
Quatre zones humides ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de l'Indrois de la prairie de la Mourière à la confluence », « l'étang de la Hubaudière », « la vallée du Ruisseau de la Rochette », « la vallée du Ruisseau de Cléret »,.
Paysages naturels
La carte communale des paysages naturels et la carte géologique de Chédigny sont intimement liées. Le plateau situé au nord et à l'est du bourg (74 % du territoire communal) offre un paysage de « champ ouvert », même si des toponymes comme le Bois-Nivert, la Fosse des Tailles ou encore les Saules indiquent que le boisement de Chédigny fut important; au forêt domaniale de Loches en est un vestige.
Au nord du territoire, on trouve des pelouses calcaires et des landes abritant une flore et une flore remarquables, justifiant la mise en place de mesures de protection particulières. La partie sud de la commune, soit 13 % du territoire, sur la rive gauche de l'Indrois, est parsemée de bois qui se densifient au fur et à mesure que l'on s'approche de la forêt de Loches. Les pentes de la vallée de l’Indrois restent également largement boisées ; les fonds des vallées de l'Indrois, et de ses affluents dans leur partie terminale, sont dévolus aux prairies, naturelles ou articielles, aux peupleraies et à quelques roselières ; ces deux derniers types de paysages représentent ensemble 13 % de la superficie de la commune.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 amplitude thermique annuelle de 15,1 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Sublaines à 6 vol d'oiseau, est de 12,1 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Voies de communication et transports
Liaisons aériennes
À une heure de trajet routier depuis Chédigny, l'aéroport de Tours Val de Loire (code IATA : TUF • code OACI : LFOT) propose en 2014 des dessertes régulières à destination d'Ajaccio, Figari, Toulouse, Dublin, Londres, Marrakech et Porto ; d'autres dessertes, saisonnières ou occasionnelles, sont disponibles.
Infrastructure routière
Le centre-bourg de Chédigny se trouve à l'écart de toute voie de communication reliant directement des centres urbains importants. Côté sud-ouest et via Chambourg-sur-Indre, distant de 4,5 A85, sortie 11 Bléré, distant de 9,5 A10 ou Vierzon et l'autoroute A71.
Transport en commun
Aucun transport en commun ne dessert directement Chédigny ; la commune n'a jamais été reliée à un réseau ferroviaire. En 2014, les habitants de Chédigny peuvent se rendre à Loches ou Tours en empruntant la ligne TER Centre-Val de Loire Tours-Loches, soit en train accessible à partir de la halte de Chambourg-sur-Indre, soit en car à partir de Chambourg-sur-Indre ou Azay-sur-Indre, selon les horaires.
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Histoire
Préhistoire et protohistoire
Des silex du Néolithique ont été découverts sur plusieurs stations, notamment à proximité de la Pierre Bachelière, un menhir situé en limite nord de la commune. Une cachette de fondeur datée du Bronze final, surnommée « le trésor de Code », du nom du hameau proche du site, découverte en 1915, renfermait plusieurs dizaines de kilos d’objets divers. Cette découverte fortuite, à la faveur d'un simple labour, peut être rapprochée des noms des lieudits situés à proximité, les Minées et les Fourneaux, traduisant l’ancienneté de l’extraction et du traitement des métaux dans ce secteur,. Quelques objets découverts à cette occasion sont conservés au musée de la Préhistoire du Grand-Pressigny, d'autres au musée de la Société d'histoire de Chinon, Vienne & Loire mais la plus grande partie de la collection a été dispersée.
Antiquité
De cette époque datent les vestiges découverts sur un site : des tuiles, de grandes quantités de céramiques et une grande meule gallo-romaine ; cette dernière découverte est peut-être l'indice d'une longue tradition d'agriculture céréalière dans cette zone. La présence d'une voie antique est supposée, recouverte par l'actuelle D 10 au niveau du franchissement de l'Indrois. Une maçonnerie gallo-romaine aurait été réutilisée lors de la construction du pont.
Moyen Âge
Entre les écrits de Grégoire de Tours au chartes des grandes abbayes au ; Chédigny ne fait pas exception et son histoire pendant le haut Moyen Âge n’est pas renseignée ; par exemple, on ignore si ce territoire a été concerné par les affrontements qui ont opposé les comtes d’Anjou et de Blois à la charnière du . Le fil de l'histoire locale reprend en 1204 ; Chédigny est alors, sous le nom de Saint-Michel, une châtellenie dépendant du château de Loches, dont le premier seigneur connu est Bochard (ou Bodard) de Saint-Michel. Peu de temps après, et avant 1223 en tout cas, le roi Philippe Auguste fait don à Dreux V de Mello de la ville et du château de Loches et de leurs dépendances, dont Chédigny. La châtellenie passe entre les mains successives d'au moins six grandes familles, dont la famille Cardonne par l'intermédiaire de Jean-François de Cardonne, général des finances de 1492 à 1516 sous Charles VIII, Louis XII et , « seigneur du Grand et du Petit Chédigny en Touraine », également propriétaire d'Azay-sur-Indre, appelée à cette époque et pour cette raison Azay-le-Cardonne.
Des temps modernes à l'Empire
Il semble qu'au début du paroisses ait lieu : les registres paroissiaux de Saint-Pierre de Chédigny sont connus dès 1553 ; ils n'apparaîtront qu'en 1610 pour Saint-Michel de Chédigny. Les deux paroisses coexistent jusqu'en 1790, séparées par l'Indrois, franchissable grâce à un bac jusqu'en 1808 avant la construction d’un pont en bois. Certains hameaux situés à la limite entre Saint-Michel et Chambourg-sur-Indre sont alors dits « tournants et virants », c'est-à-dire qu'ils dépendent de l'une ou l'autre paroisse en alternance annuelle avec, à la clé, un système complexe de compensation financière entre les paroisses concernées. La paroisse Saint-Michel est définitivement supprimée en 1792 ; une partie en est rattachée à Chambourg-sur-Indre, l'autre à Chédigny avec Saint-Pierre pour seule paroisse. À compter de la suppression de sa paroisse, le hameau de Saint-Michel voit sa population baisser pour ne plus compter que quelques maisons. L'église Saint-Michel est vendue comme bien national en 1798 ; elle existe toujours en partie, transformée en habitation.
La première école connue à Chédigny est une école gratuite pour les filles, fondée en 1698 par Dreux le Hayer, seigneur de Chédigny.
Entre et , une grave épidémie, de pneumonie semble-t-il, touche le sud-ouest de la Touraine. Les deux paroisses de Chédigny ne sont pourtant pas les plus sévèrement atteintes puisque « seulement » 20 habitants meurent, soit une incidence quatre fois moindre que pour Manthelan, par exemple ; le nombre de malades n'est pas connu. À cette époque, bien évidemment, aucun moyen thérapeutique ne permet de lutter efficacement contre cette maladie, dont l'ampleur paraît être aggravée par l'affaiblissement de la population (les récoltes 1782 avaient été mauvaises).
Le château féodal fortifié, connu dès 1204, ruiné dès la fin du . En 1789, la châtellenie de Chédigny appartient par héritage au marquis de La Fayette, également propriétaire de six autres châteaux et plus de 2 300 hectares de terres dans les communes voisines. À la Révolution, les biens du marquis de La Fayette, considéré comme émigré, sont saisis comme bien nationaux et vendus. La saisie concerne le château, mais également une dizaine de fermes représentant au total près de 400 hectares de terres, ainsi que le moulin de la Rochette et la maison du passeur qui faisait traverser l'Indrois sur son bac. La période révolutionnaire de la Grande Peur s'accompagne à Chédigny (comme dans d'autres communes) de scènes de pillages et de destruction dans les champs prêts à être récoltés. Les habitants de Chédigny ne sont pas particulièrement royalistes : à l'annonce de l'arrestation du roi Louis XVI en fuite, ils allument un feu de joie.
Époque contemporaine
En 1871, les troupes prussiennes occupent le village pendant quelques jours au début du mois de mars.
Quarante-neuf Chédignois meurent au combat pendant la première Guerre mondiale, soit environ un habitant sur quatorze. En 1914, répondant à une sollicitation du préfet d'Indre-et-Loire, le maire de Chédigny, Lucien Bienvault, déclare disposer sur sa commune de dix lits susceptibles d'accueillir des blessés de guerre.
Les premières troupes allemandes arrivent à Chédigny dans la soirée du . La veille, des avions de la Luftwaffe avaient mitraillé un convoi de troupes françaises et de tirailleurs sénégalais traversant la commune, faisant une victime dans les rangs de ces derniers. Entre le et le , la ligne de démarcation traverse les communes de Reignac-sur-Indre et Cigogné, limitrophes de Chédigny, à l'ouest de leurs bourgs respectifs : Chédigny est donc en zone libre et se trouve rattachée, jusqu'à la suppression de la ligne de démarcation, à la préfecture de l'Indre. La situation géographique de Chédigny (et du Lochois en général), territoire en zone libre proche de l'Angleterre « à vol d'avion » et situé non loin de la ligne de démarcation, va favoriser les actions de résistance à l'ennemi :
le , en pleine nuit, un opérateur radio est parachuté, avec tout son équipement dans les bois du château du Breuil où il s'installe ; le , le Résistant Henri Sevenet, de retour d’Angleterre, est à son tour parachuté au-dessus du Breuil, propriété familiale, avant de participer à de nombreuses actions en France ; la même année, Bernard et Jeanne Louault recueillent et cachent dans leur ferme de Norçay deux jeunes juifs. Ils se verront décerner en 2002 le titre de « Justes parmi les nations ». Le a lieu l'inauguration d'un foyer communal, tout récemment construit, par l'instituteur Gérard Meusnier et l'abbé Jean Tulasne, deux personnages emblématiques dans les petites communes rurales d'alors ; ils sont alors respectivement président et vice-président de l’Amicale de la maison du prisonnier et foyer communal de Chédigny, association à l'origine de ce projet. La salle sera baptisée de leurs deux noms en 2011. Les rapports des Chédignois avec leur curé ne sont pas toujours aussi apaisés : en 1913, le conseil municipal avait refusé que soit donné au curé le bois d'une croix qu'on venait d'abattre dans le haut du bourg.
De 1976 à 1997, les habitants de Chédigny proposent chaque année un spectacle thématique : les vieux métiers d'antan, la vie au village, les révoltes paysannes, la Révolution française, spectacle joué à Memphis en Tennessee en 1990. De 1997 à 2012, Chédigny organise au mois d'août un festival musical « Festival Blues in Chédigny » parrainé par le musicien américain Big Joe Turner (1944-2008), ancien bassiste des B. B. King ; ce festival a accueilli chaque année entre 6 000 et 6 500 spectateurs.
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Héraldique
|
Les armes de Chédigny se blasonnent ainsi : D'azur aux trois colombes d'argent, à l'écusson du champ en cœur chargé d'une fleur de lys d'or, au chef du même chargé d'un lion issant de gueules. |
Chédigny a adopté le blason de la famille le Breton de la Donneterie (paroisse de Neuillé-Pont-Pierre) ; la fleur de lys a remplacé une étoile d'argent en 1638.
- Dominique Morche, L'héraldique municipale de Touraine ou l'histoire des villes et villages à travers le blason, Tours, D. Morche, , 36 ISBN ), p. 7.
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Chédigny dans la littérature
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