Dame-Marie-les-Bois
Localisation
Dame-Marie-les-Bois : descriptif
- Dame-Marie-les-Bois
Dame-Marie-les-Bois (prononcé [dam maʁi lɛ bwa]) est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire. L'occupation du territoire semble attestée pendant la Protohistoire, mais les terres agricoles de la paroisse sont progressivement gagnées au Moyen Âge sur la forêt de Blémars disparue
Les juridictions de Tours et de Blois montrent dans plusieurs occasions leur difficulté à agir de manière concertée à Dame-Marie, qu'elles se partagent au Moyen Âge et à l'Époque moderne, Cette commune limitrophe du Loir-et-Cher au sud-est de Château-Renault, son bureau centralisateur, connaît une forte baisse de sa population dès le début des années 1860
Une reprise démographique se manifeste à partir des années 1980 et Dame-Marie-les-Bois compte 342 habitants en 2021
Malgré la tradition rurale de Dame-Marie-les-Bois, la part de l'agriculture est en baisse dans l'économie locale, dominée au XXIe siècle par les commerces et les services
Toutes les entreprises implantées sur le territoire sont de petite taille. Aucun monument historique n'est présent sur le territoire
Le château de la Guérinière, siège d'une seigneurie ayant accompagné l'histoire de Dame-Marie depuis le Moyen Âge, est démoli au début du XXe siècle
L'église, profondément remaniée au cours des siècles, recèle plusieurs objets protégés.
Géographie
Localisation et communes limitrophes
Aux confins nord-est de l'Indre-et-Loire, Dame-Marie-les-Bois est rattachée au canton de Château-Renault ; les deux chefs-lieux communaux sont distants de 10,7 arrondissement de Loches,, ces distances étant exprimées « à vol d'oiseau ». La commune fait partie du bassin de vie de Château-Renault et se trouve dans l'aire urbaine de la zone d'emploi de Tours.
Dame-Marie-les-Bois est limitrophe de sept communes, quatre se trouvant en Indre-et-Loire et trois dans le département voisin de Loir-et-Cher.
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Géologie et relief
L'histoire géologique de Dame-Marie, comme celle de la Touraine plus généralement, est marquée par une succession de phases de sédimentation. Les formations calcaires crétacées qui forment le socle profond d'une bonne partie du sol de l'Indre-et-Loire ont été altérées et dégradées à Dame-Marie-les-Bois, comme dans tout le nord du département, pour donner des argiles blanches à silex (Rs1) mises au jour sur les pentes des vallons. La formation affleurante qui domine toutefois sur le plateau est constituée d'une couche d'argile rouge à silex détritique déposée à l'Éocène (eA), sur une épaisseur de 2 à 4 Helvétien terminal (m2-3). Par places, des limons éoliens quaternaires, dont l'épaisseur dépasse rarement un mètre, recouvrent les formations tertiaires, alors que des alluvions modernes (Fz) soulignent le cours des ruisseaux temporaires coulant au fond des talwegs.
Dame-Marie-les-Bois est établie sur un plateau dont l'altitude s'abaisse progressivement du nord vers le sud, entaillé par les vallons des ruisseaux temporaires. L'altitude minimale (93 .
Le territoire communal affecte sensiblement la forme d'un quadrilatère allongé du nord-est au sud-ouest. Ses 891 .
Hydrographie
Aucun cours d'eau permanent n'irrigue le territoire de Dame-Marie-les-Bois mais la nature imperméable des sols favorise la création d'un réseau de ruisseaux temporaires collectant les eaux de ruissellement du plateau et coulant du nord au sud,.
Paysages naturels
Le territoire communal de Dame-Marie-les-Bois reste très boisé puisque 42 % de sa superficie, notamment dans sa partie sud, sont occupés par des bois, vestiges de la forêt médiévale de Blémars, à la limite entre la Touraine et le Blésois ; le bourg lui-même se trouve au cœur d'une zone dégagée, indice d'un défrichement précoce,. Aux landes et de bruyères subsistent, alors que les terres cultivées, aux qualités agronomiques médiocres, sont d'un faible rapport.
Le nord de la commune propose plutôt un paysage de grandes étendues agricoles où dominent les cultures de céréales, prémices de la Petite Beauce, même si des bois subsistent localement sur les pentes des talwegs.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 amplitude thermique annuelle de 15,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saunay à 8 vol d'oiseau, est de 12,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Voies de communication et transport
La D55, d'Autrèche à Santenay, traverse la commune dans toute sa longueur du sud-ouest au nord-est. Au niveau du chef-lieu communal, elle croise la D74 qui depuis Morand au nord-ouest rallie Cangey au sud. La maillage est complété par la D274 puis D43 de Dame-Marie à Mesland au sud-est. Depuis le centre du bourg de Dame-Marie, il est possible, via Autrèche, de gagner la sortie autoroute A10, après un trajet d'un peu plus de 6 km.
Dame-Marie-les-Bois est desservie par la ligne TA du réseau de transports en commun routiers Rémi de la région Centre-Val de Loire[. Cette ligne relie Château-Renault à Amboise où des correspondances sont assurées avec d'autres lignes du réseau, routières et ferroviaires.
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Toponymie
Formes successives attestées de la dénomination du , de la châtellenie puis de la paroisse, :
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Le nom du territoire apparaît en 1059 en tant villam que Domna Maria dicitur dans un cartulaire de l'abbaye de Marmoutier. Dom[i]na Maria désigne la Vierge Marie, à qui une chapelle était alors dédiée. C'est d'ailleurs la seule paroisse de Touraine à porter un topopnyme consacré à la Sainte Vierge. C'est au .
Le nom de la forêt de Blémars, qui couvrait à l'origine le territoire de Dame-Marie-les-Bois, provient du patronyme germanique Blitmarus.
Le fief de la Guérinière pourrait avoir été fondé ou avoir appartenu, comme bien souvent, à un dénommé « Guérin », mais aucune source ne semble en avoir conservé la trace.
- Stéphane Gendron, L'Origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 ISBN ), p. 110.
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- Marie-Thérèse Morlet, « Noms de lieux en Touraine », dans Marie-Thérèse Morlet et al., Bulletin philologique et historique (jusqu'à 1610) du Comité des Travaux Historiques et Scientifiques - Année 1968 : Actes du Bibliothèque nationale, , 984 lire en ligne), page 492.
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Histoire
De la Protohistoire au Moyen Âge
Les témoignages archéologiques antérieurs au Moyen Âge sont très rares à Dame-Marie-les-Bois. Seules sont signalées des découvertes de scories de forge, indice d'une probable activité sidérurgique au cours des périodes laténienne ou gallo-romaine, au lieu-dit le Bois-de-la-Forge,,.
Au cours du Haut Moyen Âge, et ce jusqu'au Turonicus, dont il occupe la partie est. Dès la période capétienne, la seigneurie de Dame-Marie fait partie des possessions du chapitre de la collégiale Saint Martin-de-Tours. Au tournant du premier millénaire, une motte castrale devait exister au nord-est des bois de la Guérinière, en limite du département actuel. Elle est encore discernable sur le cadastre napoléonien — elle est alors appelée « butte de Moulina » — mais il n'en est plus fait mention dans des documents plus récents. Il est probable qu’une première paroisse fut fondée au ,,, pour délimiter le diocèse de Tours face au diocèse de Chartres. Elle est à l’origine, dès avant une première reconstruction de l’église au XIIe siècle, d’un premier noyau de population.
Temps modernes
Le château féodal de la Guérinière est, au fief vassal de la seigneurie de Blémars que la Guérinière rachète ensuite, peut-être dans le troisième quart du châtellenie indépendante, mais également rachetée par la Guérinière vers la fin du .
Au cours du , en ces termes :
« Il serait à propos de commencer par Saint-Nicolas les battues, sur le territoire de monsieur le comte d'Estain et monsieur le comte de Bury, monsieur le baron de Boye, monsieur le marquis de Villeneuve, seigneur de ma paroisse, à qui appartient tous les bois, à Dame-Marie »
— D'après les archives départementales d'Indre-et-Loire (série C412) « lettre de Pilon, curé de Dame-Marie-les-Bois, ».
Quelques battues sont organisées, sans grand résultat semble-t-il, en raison notamment de la difficulté des juridictions de Blois et Tours, qui se partagent le territoire de Dame-Marie, à agir de manière concertée. Le rattachement de Dame-Marie, avant la Révolution, à l'élection de Tours et en même temps au grenier à sel de Blois puis d'Herbault témoigne également de cette bipolarité.
En 1731, Joseph de Villeneuve, alors seigneur de la Guérinière est à la tête d'un domaine de 472 arpents, soit 286,75 hectares pour 16 métairies, dont la plupart sont réparties le long du vallon qui parcourt le territoire du nord au sud. L'année suivante, tous ses biens sont saisis.
Révolution et époque contemporaine
L'histoire de Dame-Marie pendant la Révolution est assez mal connue, de nombreux documents ayant disparu. Il apparaît toutefois certain que Gentien Rangeard de la Boissière, seigneur de la Guérinière depuis 1760 et procureur du roi à la Chambre des comptes de Blois, n'a pas émigré ; il n'est pas inquiété et il réussit à conserver son domaine, qu'il complète même en achetant des biens nationaux dans l'est du département d'Indre-et-Loire.
En 1857, un braconnier abat de plusieurs coups de feu le garde-chasse de la Guérinière. Le maire de l'époque lui-même est inquiété pour ne pas avoir refusé à l'assassin le droit de détenir de la poudre, mais il garde finalement sa place. La guerre franco-allemande de 1870 marque profondément la commune. L'approche des Prussiens est signalée le 9 décembre et, le 22, plusieurs milliers de soldats investissent la commune et pillent les fermes ; ils partent le lendemain. D'autres troupes, encore plus nombreuses, arrivent le mais les faibles réserves de la commune ne permettent pas de répondre à leurs ordres de réquisition — les récoltes ont été mauvaises. Ce sont donc le canton et les communes qui participent solidairement aux besoins des habitants et aux demandes de l'ennemi. Bien que la commune en ait exprimé le souhait dès 1882, le premier bureau de poste de Dame-Marie n'ouvre qu'à l'automne 1887 dans un local mis personnellement à disposition par le maire.
Le . La Première Guerre mondiale fait 17 victimes parmi les combattants de Dame-Marie-les-Bois, morts sur les fronts européens (France, Allemagne, en Belgique) ou dans les rangs de l'armée d'Orient alors que près de 80 habitants ont été mobilisés. Quatre soldats sont tués pendant la Seconde Guerre mondiale. Un militaire meurt pendant la Guerre d'Algérie. En 1973, la création d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) primaire est envisagée avec la commune voisine de Morand. L'objectif est de permettre la création d'une classe de maternelle spécifique, les enfants étant jusqu'alors répartis dans les classes à plusieurs niveaux des deux communes. Le RPI est mis en place à la rentrée 1975 et l'accroissement démographique impose l'ouverture en 2003 d'une classe de maternelle à Morand, puis d'une classe dans l'école élémentaire de Dame-Marie-les-Bois deux ans plus tard. Dans l'intervalle, la commune de Saint-Nicolas-des-Motets a rejoint le RPI.
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