Maure-de-Bretagne

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Maure-de-Bretagne : descriptif

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Maure-de-Bretagne

Maure-de-Bretagne est une commune déléguée française, située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 3 370 habitants

Elle est devenue commune déléguée de Val-d'Anast le 1er janvier 2017.

Géographie

Situation et site

Carte de l'ancienne commune de Maure-de-Bretagne et des communes avoisinantes.

La bourg, dénommé initialement Anast, s'est développé dès le milieu du .

Relief et hydrographie

Le relief de Maure donne l'impression d'un espace morcelé en une suite de vallées s'échelonnant du nord au sud, séparées par une succession de collines ; le point le plus haut est à l'extrême nord du finage communal (117 mètres à l'est du Bois de Livry) et le point le plus bas (17 mètres) à la limite sud-ouest de la commune, à la confluence du Combs avec le ruisseau de la Beltière. L'altitude moyenne du territoire est d'une soixantaine de mètres, le bourg est vers une vingtaine de mètres, en bordure de la vallée du Ruisseau de Maure, modeste affluent de rive droite du Combs.

Maure-de-Bretagne n'est traversée que par des cours d'eau de faible importance : des affluents de rive gauche de l'Aff (lequel, un court instant, sert de limite communale avec Guer et de limite départementale avec le Morbihan), le principal étant le Combs, qui sert sur deux tronçons de son cours de limite communale (avec La Chapelle-Bouëxic au nord-est et avec Lieuron au sud-est du territoire communal) et qui rejoint l'Aff plus en aval, sur le territoire de la commune de Quelneuc.

Le sous-sol, où domine le schiste pourpré, a fourni la plupart des matériaux de construction ; il est parsemé ici et là par des veines de grès et de quartzite.

Voies de communication et transports

L'ancienne commune de Maure-de-Bretagne est traversée par deux anciennes routes nationales, désormais routes départementales : la D 772 (ancienne route nationale 772, allant de Ploërmel à Châteaubriant via le bourg de Maure-de-Bretagne) et la D 776 (ancienne route nationale 776, allant de Kerchou en Elven au Mont Saint-Michel via Rennes).

D'autres routes départementales desservent la commune : les D 48, 61 et 66 passent par Maure-de-Bretagne, la D 65 relie les deux bourgs de Maure et Campel.

Maure-de-Bretagne était desservie anciennement par le réseau BreizhGo (ex Illenoo) du conseil général par la ligne 6 (Rennes gare routière - Goven - Maure-de-Bretagne). Actuellement desservie par la ligne 10 (Mernel - Guichen - Pipriac - Guignen - Rennes).

Une voie verte allant de Messac à Ploërmel traverse la commune, passant au sud du bourg.

  1. «  », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
  2. «  », sur patrimoine.bzh, (consulté le ).
  3. «  », sur af3v.org/les-voies-vertes (consulté le ).

Toponymie

Les formes anciennes attestées sont Plebs Anast (832), Anast (867), Anast (871), ecclesia de Maura (1152), More (1630).

La forme correcte proposée par l'Office public de la langue bretonne est Anast. Cette forme est tirée de l'ancien nom de la commune que l'on retrouve dans certains noms de lieux actuels comme Les Landes d’Anast, l’ancien fief de Nast, le manoir et les moulins du Bois-Denast ou d’Anast, etc.

D'autres historiens attestent de la présence d'un camp romain sur la commune; camp formé par des troupes de Maurétanie (royaume tribal du peuple imazighen Mauri) sous le Bas-Empire romain, dont la présence d'un millier d'hommes est attestée en Bretagne à Brest lors de la construction du Castellum.

Mais si la présence antique de nord-africains à Maure-de-Bretagne et au château de Brest semble établie, la commune doit plus vraisemblablement son nom à son emprunt de celui de Saint-Maur-sur-Loire, en Anjou.

En 843, Anowareth ou Anawaroth ou Anauvareth, le chef (machtiern en breton) de la vaste paroisse primitive d'Anast, la donna à l'abbaye de Glanfeuil (l'abbaye Saint-Maur de Glanfeuil, située à Saint-Maur-sur-Loire) avec son église et ses chapelles à l'exception de la chapelle Saint-Martin de Mernel,.

Les moines vont alors venir fonder un prieuré appelé prieuré de Saint-Maur (ou Maure), du nom de leur abbé fondateur. Le nom de Maure semble venir de cette donation.

  1. a et b «  », sur www.fr.brezhoneg.bzh (consulté le )
  2. Société archéologique du département d’Ille-et-Vilaine, « Statistique historique et monumentale du canton de Maure (arrondissement de Redon, Ille-et-Vilaine) », Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d’Ille-et-Vilaine,‎ , lire en ligne, consulté le )
  3. Yannick GUÉRIN, « Sous le château, les vestiges d'un camp romain », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  4. «  », sur www.infobretagne.com (consulté le )
  5. Tehy, «  », sur Bretagne découverte, (consulté le )
  6. L'acte le stipule en latin : « excepta ecclesia que est sita in villa que dicitur Mirhenella, sacrata in honore Sancti Martini ». Voir "Cartulaire de l'abbaye de Saint-Maure", Archives d'Anjou, I, 363.
  7. Tehy, «  », sur Bretagne découverte, (consulté le )

Histoire

Moyen Âge

Le machtiern de Maure, Anauvareth, « parle tant sa langue natale, le breton, et le latin, qu'il est obligé de faire appel à un interprète pour comprendre la langue romane.

La seigneurie de Maure est une bannière fort ancienne. Jean, chevalier, seigneur de Maure, épousa en 1330 la fille aînée du seigneur Dupont : elle mourut au château de Maure en 1334, et voulut être enterrée dans l'église de la paroisse, dans une chapelle où les ancêtres de son mari avaient été enterrés.

Temps modernes

En 1553 la baronnie, châtellenie et seigneurie de Maure furent érigées en comté par le roi Henri II au profit de François de Maure, lequel acheta le même année le terre et seigneurie de Lohéac et reçut en don par lettres patentes du roi la seigneurie du Plessis-Angers en Lieuron. François de Maure décéda le au Temple de Maupertuis (à une vingtaine de km de Nantes).

Le , dans le contexte des Guerres de la Ligue, Jean d'Avaugour, seigneur de Saint-Laurent, capitaine ligueur, soutien du duc de Mercœur, qui occupait avec 600 hommes de troupe le château de Maure, fut attaqué par René de Grézille, seigneur de La Tremblaye, partisan d'Henri IV, qui parvint à s'emparer du château, contraignant de Saint-Laurent à se réfugier à Néant. En 1610, la terre et seigneurie de Maure, tombée en quenouille, passa aux mains de la Famille de Mortemart en raison du mariage de Louise de Maure avec Gaspard de Mortemart, et passa par la suite aux mains de la Famille de Piré-Rosnyvinen.

Carte de Cassini de la paroisse de Maure et de ses environs (1785).

Quatre foires se tenaient à Maure ( siècle) : à la Saint-Maur le 15 janvier, le lendemain de l'Ascension le 26 mai, le lendemain de la Saint-Pierre le 30 juin, à la Saint-Claude le 6 juillet. La paroisse disposait vers le milieu du XVIIIe siècle d'une école des garçons.

Le prieuré Saint-Barthélemy de Boussac, qui dépendait de l'abbaye Notre-Dame de Paimpont, a existé depuis au moins 1478 jusqu'à la Révolution française.

`Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Maure en 1778 :

« Maure : à 18 lieues au sud de Saint-Malo, son évêché ; à 7 lieues un quart de Rennes et à 3 lieues un sixième de Plélan, sa subdélégation. Cette paroisse, dont la cure est à l'alternative, ressortit à la Cour royale de Ploërmel, et compte 4 800 communiants, y compris ceux de Campel, sa trève. Maure avait jadis le titre de ville (..). Des terres en labeur, des prairies , des landes fort étendues, et des arbres à fruits pour le cidre, voilà ce que ce territoire présente à la vue. »

Révolution française

Après la campagne de déchristianisation de la Terreur, l’église de Maure, qui avait été fermée, est rendue au culte le 3 messidor an IV ().

Le | ]

A. Marteville et P.Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Maure en 1853 :

« Maure (sous l'invocation de saint Pierre) : commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, moins sa trève Campel ; aujourd'hui cure de 2e classe, avec desservance de Bovel ; chef-lieu de perception ; brigade de gendarmerie à pied. (..) Principaux villages : Ropenard, Launay-Cherel, la Héraudais, Brangolo, Haut et Bas-Commet, le Pâtis-Forcel, Trevellan, la Rouillée, le Jaunay-Pirot, Chapelle-de-Bovel, la Nortière, la Barbotais, la Morlaix, la Bouessière-es-Glo, la Ruaudais, la Reinais, le Hadé, la Bourousais, la Rivière du Pont-ès-Frères, Langerais, la Devinais, Village et Chapelle Saint-Melaine, la Halliais, la Divrais, Trecontier et Chapelle des Domaines, la Bandière, la Bessonais, la Besnardais, la Glais, Haute et Basse-Luguen, la Tremblais, Haut et Bas Brebu, Cambara, Couedsor, Trevion, Tréheux, Haut et Bas-Hara, Chapelle Saint-Aubin, Treluyer, la Couture. Fermes notables : le Bois-Denais, la Roche-Cotherel, Bois-Haut-Fue, la Barbouenais-des-Aunais, le Bois-Basset, Brambeac. Châteaux de Maure, du Bois-au-Voyer, de Penhouet, de la Lardais. Superficie totale 7 982 hectares 36 ares, dont (..) terres labourables 3 342 ha, prés et pâturages 966 ha, bois 291 ha, vergers et jardins 80 ha, landes et incultes 3 009 ha, étangs 27 ha (..). Moulins : 16 (de Maure, Neuf, du Tertre, à eau ; Neuf, de Chenot, de Malaunay, du Bois-Basset, du Bois Denaîs, de la Haute-Roche, de la Roche-Cotheul, de Maure, des Domaines, de Penhouet, du Houx, à vent). Outre la trève Campel qu'elle a perdu, cette ancienne paroisse renfermait l'aglise Saint-Mathurin, située au village de Saint-Melaine, et qui appartenait aux bénédictins de Saint-Melaine de Rennes. La commune actuelle est traversée, de l'est à l'ouest, par la route départementale de Rennes à Vannes, par Guer ; du nord-est au sud-ouest, elle est également traversée par la rivière de Combs et l'étang du Moulin-Neuf ; enfin par le chemin de grande communication de Guer à Guipry. Elle contient beaucoup de petits bois, dont les plus notables sont ceux dits le Bois-Basset, le Bois Denaîs, les bois du Voyer et de la Lardais. Il y a foire le 3 et le 29 mai, le 10 juin, le 11 septembre, le 5 octobre. Géologie : schiste argileux, quartzite au nord et au nord-est. On parle le français [en fait le gallo]'. »

Le quartier de la Chapelle-de-Bovel, qui dépendait jusque-là de la paroisse, puis de la commune de Maure, forme une commune indépendante, Bovel, en 1872.

Le | ]

La Belle Époque

L'inauguration de la gare de Maure fut l'occasion d'une grande fête organisée le .

L'ouverture le du tronçon Ploërmel-Messac, via Guer et Maure, de la ligne ferroviaire allant de Châteaubriant à Ploërmel fut un événement important que raconte le journal L'Ouest-Éclair :

« La chaux à Maure et à Guer ! Cette chaux qui donnait tant de peine à aller chercher à la gare de Messac ! La gare, pour ne parler que de Maure (..) a été littéralement assiégée, une moyenne de six wagons par jour a été enlevée ; le jeudi 9 il y en eut encore davantage, et le soir, cependant, de nombreuses charrettes durent s'en retourner à vide. (..) Enfin le huitième jour un train supplémentaire dut être organisé pour ravitailler la gare de Maure et celles d'au-delà où l'empressement était pareil. Et pendant ce temps-là, au retour, les wagons ne sont point vides : le bois de tanin, les cercles, les palissades, les grains, sont emportés par les trains montants : les grains surtout abondent (..). »

L'inventaire des biens d'église eut lieu à Maure le . Le journal républicain et libre-penseur La Dépêche bretonne en fait le récit suivant :

« Mardi 6 mars, pendant la nuit, l'église de Maure a été transformée en forteresse, à cause de l'inventaire qui devait avoir lieu le lendemain. : barricades à l'extérieur avec charrettes de tous les genres, barricades à l'intérieur avec bûches de bois, madriers, cuves d'eau et pompes à incendie, sable, etc.. Comme armes, beaucoup de triques et de bâtons, jusqu'au couteau à couper le marc de M. le curé. (..) Certaines saintes femmes réveillaient l'ardeur des assiégés volontaires par des boissons variées ; certaines même ont pris part à la beuverie (..). Ah! pauvre église de Maure, en as-tu vu de drôles dans cette nuit !. »

La querelle des inventaires et l'inauguration du calvaire à Maure
Maure à la Belle Époque

La ligne des Tramways d'Ille-et-Vilaine allant de Bréal-sous-Montfort (correspondance avec la ligne de Rennes à Plélan-le-Grand) à Redon via Maure et Pipriac ouvrit en 1912 et ferma dès 1937.

La Première Guerre mondiale

Le monument aux morts de Maure-de-Bretagne porte les noms de 175 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 6 au moins sont morts en Belgique(Félix Raffegeau à Fosses et François Bigot à Sambreville dès le , Alfred Laperche à Virton, Armand Gautier à Falisolle, Alexandre Collet et François Chotard à Rossignol, tous les quatre le ) ; François Garnier est mort des suites de ses blessures le alors qu'il était prisonnier en Allemagne et Victor Poussin, lui aussi prisonnier de guerre, mort de maladie le , donc après l'armistice, dans la partie de l'Allemagne désormais polonaise ; la plupart des autres sont morts sur le sol français.

L'entre-deux-guerres

Le monument aux morts de Maure-de-Bretagne a la forme d'un obélisque sur socle, en granite, avec à sa base la statue en fonte d'un poilu couché, mourant ; il porte l'inscription "À nos morts pour la patrie" et est décoré de quelques ornements (palme et croix latine notamment) : il a été inauguré le  ; une plaque rejoutée porte à l'avant le nom des morts pour la France de la Seconde Guerre mondiale.

Les courses du à Maure (journal L'Ouest-Éclair du .

Des courses étaient organisées chaque année à Maure-de-Bretagne, notamment des courses hippiques sur l'hippodrome de la Bataille.

En 1928, le nom de la commune de Maure a été modifié en Maure-de-Bretagne, afin de mieux différencier la commune des nombreux autres lieux ayant le même toponyme.

La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Maure-de-Bretagne porte les noms de 19 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles Jean Foveau, résistant F.F.I., tué à l'ennemi le à Maure-de-Bretagne ; une stèle commémorative honore sa mémoire.

Le vol de tickets de pains à Rennes, mais dont la vente fut organisée à Maure-de-Bretagne, entraîna plusieurs arrestations en février 1942.

Le « plusieurs individus armés (des résistants ?) attaquent le bureau de poste, puis la perception de Maure-de-Bretagne, se faisant remettre respectivement 60 000 francs et 90 715 francs. On n'a pu les identifier ».

L'Après Seconde Guerre mondiale

Deux soldats (M. Éon et R. Lecoq) originaires de Maure-de-Bretagne sont morts pour la France pendant la Guerre d'Indochine et deux (M. Bauchet et L. Letournel) pendant la Guerre d'Algérie.

Le | ]

Un parc éolien constitué de 4 éoliennes d'une puissance chacune de 2 000 kW et d'un diamètre de 82 mètres fonctionne à La Croix des Trois Chesnots (à la limite nord de la commune), géré par une société créée en 2009. En janvier 2017, Maure-de-Bretagne a fusionné avec la commune voisine de Campel pour devenir la commune de Val d'Anast.

  1. Le machtiern était un chef politique et judiciaire dans la Bretagne armoricaines.
  2. Jean-Christophe Cassard, "Les Bretons de Nominoé", éditions Beltan, Brasparts, 1990, p. 231-244
  3. a b c et d Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, lire en ligne), p. 483 et 484.
  4. «  », sur broceliande.brecilien.org (consulté le .
  5. Léon Dubreuil, « Essai sur l’administration générale d’un district pendant la Révolution. Le district de Redon, Annales de Bretagne, vol. 21, t. 4,‎ , p. 549
  6. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, lire en ligne), p. 19 et 20.
  7. Lapoussée, « Une manifestation républicaine à Maure. Inauguration de la gare », La Dépêche bretonne,‎ , lire en ligne, consulté le ).
  8. Barbotin, « À propos de l'ouverture du chemin de fer de Ploërmel à Messac », L'Ouest-Éclair,‎ , lire en ligne, consulté le ).
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  13. « L'affaire des tickets. C'est à Maure-de-Bretagne qu'avait été organisée la vente des tickets de pain volés à Rennes », L'Ouest-Éclair,‎ , lire en ligne, consulté le ).
  14. « Maure-de-Bretagne. La perception et la poste sont attaquées », L'Ouest-Éclair,‎ , lire en ligne, consulté le ).
  15. «  », sur thewindpower.net (consulté le ).
  16. «  », sur Ouest France, (consulté le ).


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Culture

  • Festival d'humour des Cambrouss'Ries, organisé par l'association Art-Maure-Spectacles. Il se déroule en avril de chaque année, accueillant des artistes humoristes professionnels (Exemple, en 2017 : Serge Llado, Gerald Dahan, Albert Meslay, Les Glandeurs Nature, Les Chiche-Capon, Chraz, Marianne Sergent, Jeff Didelot, Les Kischs, etc.).

Rendez-vous culturel annuel bien installé sur le territoire (depuis 2015), les humoristes des Cambrouss'Ries se produisent sur Maure-de-Bretagne, et les communes environnantes, dans des bars, restaurants, mais aussi dans des salles plus grandes (salle du Rotz, cinéma Aurore, salles des fêtes). En 2018, le festival aura lieu du 10 au , pour sa 4e édition.

  • des artistes musiciens de se produisent aussi sur la commune sur invitation de l'association Art-Maure-Spectacles : le groupe "ZORBA" en 2015, "RIMO" en 2016, et "UM" en 2017.
  • Troupe de théâtre amateur se produisant chaque année sur Maure-de-Bretagne et ses environs (pièces : "Flashboule" en 2015-2016, "Les Scottish" en 2016-2017). Troupe composée d'une dizaine d'acteurs amateurs, de l'association Art-Maure-Spectacles.
  1. a b et c Site officiel d'Art-Maure-Spectacles

Héraldique

Blasonnement :
De gueules, au croissant de vair.
Commentaires : Il s'agit des armes de la famille de Maure.
  1. D'après cette plaque de jumelage.
  2. , Armorial général, 1 et 2, Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 12/12/2024
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