Loperhet

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Loperhet : descriptif

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Loperhet

Loperhet (prononcé [lɔpeʁɛt] ; nommé également Lopérhet non officiellement) est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Géographie

Logonna en arrière-plan, vu de la grève de Pors Gwen en Plougastel.
Communes limitrophes de Loperhet
Guipavas
Élorn
La Forest-Landerneau
Élorn
Dirinon
Plougastel-Daoulas Loperhet Dirinon
Rade de Brest Baie de Daoulas
Logonna-Daoulas
Mignonne
Daoulas
Schorre dans la ria d'un ruisseau côtier à Loperhet, le Glanvez à Penfoul, endroit où il se jette dans la mer.

Entourée par les communes de Dirinon à l’est et Plougastel-Daoulas à l’ouest, Loperhet est située à 9 Landerneau et à une quinzaine de kilomètres au sud-est de Brest, la plus grande ville aux alentours. Baignée au nord par l'Élorn, au niveau de la grève du Guern par exemple, et limitrophe au sud de la rade de Brest, la commune de Loperhet se termine au sud par la pointe de Rostiviec, située à l'embouchure de la rivière de Daoulas ; elle forme ainsi, avec la commune voisine de Plougastel-Daoulas, la presqu'île de Plougastel dont elle occupe l'entrée. Le bourg est situé à 58 mètres d'altitude mais le finage communal varie de 162 mètres d'altitude au niveau de la mer. Son territoire est très étiré dans le sens nord-sud, mais étroit dans le sens ouest-est.

La commune est proche du parc naturel régional d’Armorique, dont la limite nord se trouve à 7 km.

Géologie

Géologiquement, un bassin synclinal s'étend de Loperhet à Plouigneau, formé de roches dévoniennes, principalement les schistes et quartzites de Plougastel, accumulation sur plus de 1 000 mètres d'épaisseur de schistes grossiers, gris verdâtre, et de quartzites vert sombre, surmontés de grès blanc de Landévennec, puis de bancs où alternent schistes, grauwackes et calcaires ; enfin par-dessus se trouvent des schistes dits de Porsguen et de Rostellec.

Rostiviec

Falaise à Porz Donn.

Situé dans l'anse de Penfoul, le port de Rostiviec (le nom proviendrait du mot celte ou scandinave wic signifiant baie, embouchure) a connu par le passé une notable activité de pêche : l'été, aux maquereaux et aux chinchards et durant 3 mois d'hiver, au dragage des coquilles Saint Jacques et des praires; le dragage du sable par des petits sloops à voiles spécialisés dans cette activité, les bagou minou (car ils allaient draguer le sable en rade de Brest à proximité de la pointe du Petit Minou) ; les pêcheurs étaient souvent des « marins-paysans » se partageant entre ces deux activités. Les bateaux à vapeur n'ont été utilisés qu'à partir de 1935 (1949 même pour le dragage du sable). Désormais la navigation de plaisance a presque totalement remplacé la pêche et le dragage du sable. En 1896, le village de Rostiviec compte 142 habitants.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Littoral », exposée à un climat venté, avec des étés frais mais doux en hiver et des pluies moyennes.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 amplitude thermique annuelle de 10,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Guipavas à 10 vol d'oiseau, est de 11,7 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. Benjamin Girard, La Bretagne maritime, 1889, Gallica
  2. Topic-Topos
  3. Fernand Priem, La terre avant l'apparition de l'homme Périodes géologiques, faunes et flores fossiles, géologie régionale de la France, 1893, Gallica
  4. Topic-Topos
  5. Adolphe Joanne, Dictionnaire géographique et administratif de la France et de ses colonies, tome 6, Q-SD, 1890-1905, Gallica
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. «  », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  9. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes ecclesia Loco Sanctae Brigidae en 1218, Loperchet en 1442, Loperguet en 1535 et Locus Brigide en 1574.

Le nom breton de la commune est Loperhed ou Loperc’hed.

Le nom de la commune est composé du breton lok (breton), du latin Locus qui signifie « lieu consacré » et Berc’het, du vieil irlandais Brigit. Le nom s’est répandu en France sous la forme Sainte Brigitte (l'abbesse Brigitte de Kildare).

Sainte Brigitte était la patronne de la paroisse de Loperhet.

  1. Léo Quillien, Loperhet - un peu d'histoire..., Loperhet, , 174 p., p. 6.
  2. René Kerviler, Répertoire général de bio-bibliographie bretonne. Livre premier, Les bretons. 6, Bourg-Brou, 1886-1908, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5816057v/f385.image.r=Loperhet.langFR

Histoire

Étymologie et origines

Le document le plus ancien mentionnant Loperhet date de 1186, c'est la confirmation par de Léon d'une donation du lieu, faite par son père Guyomarch IV de Léon et sa mère Nobilis (Nobile) aux chanoines réguliers de l'abbaye Notre-Dame de Daoulas. Le nom de la commune provient de loc Perhet, l'oratoire de sant Perhet (ou sant Berc'hed), dite aussi sainte Brigitte. C'est alors un prieuré dépendant de l'abbaye Notre-Dame de Daoulas, issu du démembrement de l'ancienne paroisse de Plougastel-Daoulas.

On connaît les mentions suivantes de son nom au cours de l'histoire :

  • Loco Sanctae Brigidae (1218), forme latine, en référence à sainte Brigitte (Berc'hed en breton), ancienne abbesse du canton de Kildare en Irlande ;
  • Loperchet (1442) ;
  • Loperguet (1535) ;
  • Locus Brigide (1516 et 1574), forme latine ;
  • Loperc'het (1779) ;
  • Loperhet (ensuite).

Des érudits du Lopérec, provenait de Loc Pezrec (l'oratoire de Pezrec), du nom de Perzec, ermite qui vécut vers 600 dans un recoin isolé de la forêt du Cranou.

Préhistoire et Antiquité

Un menhir haut de 3,5 mètres se trouve au village du Carn et quatre autres ont été signalés à Linglas au XIXe siècle.

Deux tumuli de l'âge du bronze ont été trouvés sur le territoire communal, l'un à Gorré Menez (inscrit Monument historique le ), l'autre au Roc'hellou (inscrit Monument historique le ), traces d'un peuplement préhistorique datant de l'âge du bronze.

Moyen Âge

Aux Lesneven.

Une motte féodale datant du Haut Moyen Âge, de 44 mètres de diamètre et de 10 mètres de hauteur, se trouve au sud du bourg, à Goarem-ar-C'hatel, près de Roch'ellou. Elle a été fouillée en 1929 par Vera Collum, une exploratrice anglaise, qui recherchait en fait (mais en vain) des traces du culte de la déesse mère celte Brighid. La motte féodale aurait été construite sur un tumulus existant antérieurement.

Lors de la montre générale de l'évêché de Cornouaille tenue en 1562 à Quimper, deux familles nobles de Loperhet sont citées, celles d'Alain de Rosnivinen et de Jehan Botsuegel. Yvon Buzit [Buzic en fait], sieur de Kerdaoulas, « arquebusier à cheval » y est aussi cité, mais parmi les nobles de Dirinon.

Le manoir de Keranc'hoat
Le parc du château de Keranc'hoat.

Ce manoir du famille de Rosnyvinen, de Coëtmenech, du Harlay, de Montmorency, puis Goubin de Kerdaniel.

Le manoir tel qu'il existait jusqu'au ...

Les | ]

Loperhet, église paroissiale Sainte-Brigitte, calice de la deuxième moitié du XVIe siècle

Julien Maunoir, célèbre prédicateur, prêcha une mission à Loperhet en 1660.

En 1759, une ordonnance de Louis XV ordonne à la paroisse de Loperhet de fournir 19 hommes et de payer 124 livres pour « la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne ».

Révolution française

La paroisse de Loperhet, qui comprenait alors 97 feux, élit deux délégués, Goubin et Claude Kerdraon, pour la représenter à l'assemblée du tiers-état de la sénéchaussée de Quimper au printemps 1789.

Les paroissiens de Loperhet ont rédigé un cahier de doléances à la veille de la Révolution française dans lequel ils se plaignent de ne plus être déchargés des charrois militaires concernant les troupes qui passent par Landerneau comme ils l'avaient été par le passé « parce que deux ou trois bras de mer coupent les terres de la paroisse et interceptent les communications à marée haute ; parce que la paroisse fournit souvent des voitures pour le service du port de Brest ; et que de plus le quart des habitans agriculteurs sont emploités au service de la marine ». Les paroissiens de Loperhet se plaignent également des greffiers de justice, déclarant qu'ils commettent des perceptions illégales sur « les inventaires, biens et partages », prenant au moins « la moitié plus [le double] que ce qu'ils ne devrait leur revenir pour vacations », faisant marché avec les parties, avec les veuves et les tuteurs surtout, qui ont intérêt à ce que leurs inventaires ne soient pas bien exacts

En , pour approvisionner le marché de Landerneau, trois paysans de Loperhet s'étant permis de refuser les réquisitions qui leur avaient été adressées, la gendarmerie reçut aussitôt l'ordre d'arrêter les délinquants qui furent détenus jusqu'à ce qu'ils eussent fourni chacun une quantité de froment double de celle qui leur avait été demandée.

Le Bot, curé de Loperhet, prêtre réfractaire, s'exila en Espagne pendant la Terreur.

Le | ]

Au .

En 1873, la commune de Loperhet contracte un emprunt de 3 000 francs pour la construction d'une école des filles.

Le | ]

Le , la vedette à vapeur du croiseur Amiral Aube, se rendant au Barachois, par violent coup de vent accompagné de poudrin, sombre en rade ; le naufrage fait 7 morts dont Yves-Marie Quintric, matelot, né le à Loperhet, dont les parents étaient domiciliés dans le village de Kerdaniel.

La querelle des inventaires à Loperhet en 1906

Le , l'école privée des filles de Loperhet est laïcisée.

La querelle des inventaires provoque en novembre 1906 des incidents à Loperhet, ainsi relatés par le Journal des débats :

« Malgré la quantité des forces envoyées pour les inventaires et la rapidité des opérations, une vive résistance s'est produite dans plusieurs communes. Le commissaire de police Daligand s'est rendu à Plougastel-Daoulas avec 25 cuirassiers. (...) Le cortège repart pour Loperhet : le tocsin se met à sonner. Tous les habitants de la commune sont là. Le commissaire et les serruriers sont hués. L'abbé Le Meur refuse d'ouvrir la porte ; comme elle est solidement barricadée de l'intérieur, il faut avoir recours aux sapeurs du génie qui, à grands coups de hache, brisent l'obstacle. Le premier soldat qui pénètre dans l'église est reçu à coups de chaises par les fidèles massés à l'intérieur ; mais il brandit sa hache et tient ainsi en respect les défenseurs de leur clocher. Des chaises sont encore lancées dans la direction des soldats, elles n'atteignent très heureusement pas leur but et viennent se briser avec fracas sur les murs de l'église. Quand, dix minutes plus tard, nous pouvons pénétrer dans le sanctuaire, les fidèles se tiennent devant le tabernacle, lui faisant un rempart de leur corps. Point n'est besoin d'entrer dans le chœur et M. Daligand opère le récolement des objets servant au culte, pendant que les fidèles continuent à chanter. La colonne se reforme sous les huées des femmes et vient bientôt bivouaquer à Daoulas où elle passe la nuit. »

L'incendie du manoir de Keranc'hoat en 1912

Le journal L'Ouest-Éclair décrit ainsi, sous le titre « Manoir détruit par un incendie », l'incendie du manoir de Keranc'hoat dans la nuit du 2l au  :

« Un terrible incendie a complètement détruit en quelques heures dans la nuit de mercredi à jeudi, le manoir de Keranchoat, situé sur le territoire de Loperchet et appartenant à M. Goubin, ancien maire de cette commune. Il était environ dix heures du soir. Dans une chambre du troisième étage étaient réunies les trois jeunes bonnes de la maison [...] qui soignaient une vieille femme de 88 ans, Anne-Joséphine Dufour, laquelle était au service de la maison depuis 74 ans. Elle fut en effet prise à l'Hospice civil de Brest à l'âge de 14 ans par le père de M. Goubin, et depuis cette époque, cette domestique, qui était très attachée à ses maîtres, n'avait jamais quitté la famille. [...] Les trois jeunes filles entendirent bientôt des craquements sinistres pendant qu'une fumée épaisse envahissait la pièce dans laquelle elles se trouvaient. Elles sortirent affolées [...] et se mirent à pousser des cris perçants qui furent entendus de tous les habitants du manoir. M. Goubin, qui est âgé de 72 ans, et qui était souffrant, se leva immédiatement, et en compagnie de ses deux fils, dont l'un est vice-consul de France à Valparaiso, commença à organiser les secours. La première chose que l'on fit fut de s'occuper de la vieille domestique, qui était restée dans une chambre du troisième étage [...] avait succombé. [...] Des cultivateurs arrivaient de toutes les fermes des alentours pour combattre l'incendie. À une heure du matin arrivaient finalement les pompiers de Plougastel et les gendarmes de Daoulas, mais tous les efforts furent vains. On dut se contenter de protéger les bâtiments qui constituent les dépendances du manoir, et ce dernier, à l'heure actuelle, n'est plus qu'un amas de décombres. Le manoir de Keranchoat avait été construit en 1840 : c'était un bâtiment de 30 mètres de long sur 15 mètres de large ; il avait trois étages [...]. La gendarmerie de Daoulas a ouvert une enquête [...] : il paraît établi néanmoins que le foyer d'incendie se trouvait dans la chambre servant de lieu de débarras [...]. »

L'entre-deux-guerres

L'agence postale de Loperhet ouvre le , la commune ne dépendant plus alors de Daoulas comme antérieurement pour son service postal.

En , le naufrage de la goélette Tramontane sur l'Élorn entre Landerneau et Brest, fait six morts ; l'une des cadavres est retrouvé sur une grève de Loperhet en bordure de l'Élorn.

Le , un garçon de ferme originaire d'Hanvec, mais domestique au village de Kergreach en Loperhet, parti ramasser des coquillages dans la rivière de Daoulas entre Logonna-Daoulas et Loperhet, se noie. Le , un car de la compagnie SATOS, écrase et tue deux piétons (deux cultivateurs du village de Trébéolin en Dirinon) au lieu-dit Fogot, sur la route de Daoulas, à 500 mètres du bourg de Loperhet.

En 1932, le curé de Loperhet, Craignou, tonne en chaire contre les hommes qui jouent au football en culotte courte, exigeant qu'ils portent des pantalons longs lorsqu'ils participent à ce sport. Le curé aurait conseillé aux femmes « d'obliger leurs maris à se soumettre aux consignes de l'évêque en s'abstenant, en cas de résistance, de toutes relations avec eux et en ne leur servant que des plats brûlés ».

Les guerres mondiales

Le monument aux morts de Loperhet porte les noms de 88 personnes mortes pour la France dont 70 pendant la Première Guerre mondiale, 13 pendant la Seconde Guerre mondiale, 1 pendant la guerre d'Algérie, aucune indication de guerre n'étant fournie pour 4 d'entre eux.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le moulin à vent de Creach-ar-Moal est dynamité par les Allemands qui craignaient qu'il puisse servir de repère pour les aviateurs alliés.

  1. Comptes-rendus, procès-verbaux, mémoires... (Association bretonne, Agriculture, Archéologie), 1912, Gallica
  2. Adolphe Joanne, "Dictionnaire géographique et administratif de la France et de ses colonies tome 4, L-M, 1890-1905, Gallica
  3. a et b Topic-Topos
  4. Vera Christina Chute Collum, née en 1883, décédée en 1957 à Guilford (Surrey).
  5. Roger Faligot, L'archéologue en quête de déesse-mère, revue ArMen no 222, janvier-février 2018.
  6. « Monstre générale de l’Euesché de Cornouailles, faicte à Quimper les Tudchentil, les sources écrites sur les gentilshommes bretons
  7. Les Manoirs à Dirinon et la vie de leurs habitants à travers l'histoire (deuxième cahier par Jean-Bernard de La Brosse, imprimerie Le Cann, janvier 1998, p=8)
  8. R.P.G. L Roux, , 1848.
  9. 1759.
  10. "Archives parlementaires de 1787 à 1860 ; 2-7. États généraux ; Cahiers des sénéchaussées et bailliages", série 1, tome 5, 1879, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k49520z/f514.image.r=Plovan?rk=4206029;2
  11. Annales de Bretagne, Faculté des lettres (Rennes), 1886-1973, Henri Sée, « Les classes rurales en Bretagne du Gallica
  12. Cahier de doléances de Loperhet, cité par Henri Sée, « Les cahiers de paroisse de la Bretagne en 1789 », in La Révolution française, revue d'histoire moderne et contemporaine, 1904, Gallica
  13. Armand du Chatellier, Un essai de socialisme, 1793-94-95 : réquisitions, maximum, assignats, 1887, Gallica
  14. Abbé Coutrarty, « Quelques renseignements sur les prêtres du Finistère exilés en Espagne », in Bulletin diocésain d'histoire et d'archéologie, 1926, Gallica
  15. Rapports et délibérations du Conseil général du Finistère, août 1873, Gallica
  16. Journal L'Ouest-Éclair Gallica
  17. Journal L'Ouest-Éclair Gallica
  18. Journal des débats politiques et littéraires Gallica
  19. Journal L'Ouest-Éclair Gallica
  20. Journal L'Ouest-Éclair Gallica
  21. Journal Le Matin Gallica
  22. Journal L'Ouest-Éclair Gallica
  23. Société Auxiliaire de Transports de l'ouest et du sud-ouest), filiale des Chemins de Fer de l'État
  24. Journal L'Ouest-Éclair Gallica
  25. Journal L'Humanité Gallica
  26. MemorialGenWeb.org - Loperhet : monument aux morts

Héraldique

Blason
Coupé engrêlé : au premier d'argent aux trois mouchetures d'hermine de sable rangé en chef soutenues de deux trèfles de sinople, au second d'azur au voilier d'or.
Devise
« sell pell » (regarde loin).
Détails
Conception : Bernard Le Brun (1991)
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 23/12/2024
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