Dinan

Localisation

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Dinan : descriptif

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Dinan

Dinan /di.nɑ̃/ est une commune nouvelle française, créée le 1er janvier 2018, issue de la fusion des communes de Dinan et Léhon et une sous-préfecture située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne

C'est une ville du Poudouvre, pays traditionnel du nord de la Haute-Bretagne. La ville de Dinan est fortifiée par une ceinture de remparts et était défendue par un imposant château

Point stratégique pour la circulation entre la Normandie et la côte nord de Bretagne, Dinan est construite principalement sur une colline

La cité domine de 75 m la Rance qui coule vers le nord pour se jeter dans la Manche entre Saint-Malo et Dinard

Dinan proposa longtemps le pont le plus au nord pour traverser la Rance et son large estuaire. Dinan est le siège de Dinan Agglomération, communauté d'agglomération créée en 2017. Ses 14 675 habitants sont les Dinannais et Dinannaises.

Géographie

Localisation

Dinan est située à l'est du département des Côtes-d'Armor.

Communes limitrophes de Dinan
Quévert Taden Taden
Quévert Dinan Lanvallay
Trélivan Saint-Carné Lanvallay
Carte de la commune de Dinan.

Hydrographie

La Rance le long du port de Dinan.

La Rance constituant la frontière est de la commune.

Transports

Fresque à l'intérieur de la gare de Dinan.
  • Réseau terrestre

La route nationale 176 (2 × 2 voies) passe au nord de la commune (liaison Saint-Brieuc-Avranches). Dinan est également proche de la route départementale 137 (2 × 2 voies) qui relie Rennes à Saint-Malo.

  • Réseau ferroviaire

La gare de Dinan, sur la ligne de Lison à Lamballe, reçoit 5 TER Bretagne par jour en semaine depuis Saint-Brieuc et 7 depuis Dol-de-Bretagne (respectivement 3 et 5 le week-end).

  • Réseau aérien

L'aérodrome de Dinan - Trélivan se trouve sur la commune de Trélivan à 3 km à l'ouest - sud-ouest de Dinan.

  • Transport en commun
Autobus de Dinan.

Depuis le

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 amplitude thermique annuelle de 12,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Quiou à 12 vol d'oiseau, est de 11,6 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

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  12. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).

Toponymie

Attestations anciennes.


  • Dinam en 1040 ;
  • S.Petrus Dinannensis en 1099 ;
  • 1099 en 1099 ;
  • castrum Dinan au XIIe et XIIIe ;
  • eccl. S. Maclovii de Dinanno en 1108 ;
  • Dignanno en 1120 ;
  • Dinam en 1154 ;
  • Dignan en 1198  ;
  • Dinam en 1249  ;
  • Seint Mallou de Dinan en 1256 ;
  • Dynam en 1297 ;
  • Dynain en 1306 ;
  • Dynam en 1326 ;
  • Dinimium en 1452 ;
  • Dinant en 1566 ;
  • Dinan au XVIe et XVIIe.

En breton et en gallo, le nom est également orthographié Dinan. Il est prononcé [ĩ] en breton KLT.

L'étymologie du toponyme Dinan est discutée (grammatici certant).
D'après Bernard Tanguy et Hervé Abalain, c'est le nom breton qui pourrait expliquer son origine, constitué des mots din (variante moderne de dun) « forteresse » ou « fortin » et du suffixe diminutif an, c'est-à-dire la « petite forteresse ». Il serait donc à rapprocher du Kastell Dinn, le château de Dinan, une formation rocheuse sur la presqu'île de Crozon, ainsi que de Kastell-Dinan ou Castel Dinan, une motte féodale à Plouigneau,.
L'étymologie de Dinan a cependant donné lieu à plusieurs autres hypothèses et conjectures. Il proviendrait du gaulois Dun désignant une colline fortifiée et du toponyme breton nan [t] désignant une « vallée ». Dinan signifirait littéralement « la hauteur fortifiée dominant la vallée ». Pour le linguiste Jacques Lacroix, la racine din renvoie au gaulois deva, devonna, désignant l'eau sacrée, la rivière des ondes divines, d'où le sens global de « vallée des eaux divines ». Cet adjectif substantivé issu de devo- (« dieu ») est un proche parent du mot latin deus (« dieu »), et de divinus (« divin »). Il est également attesté dans des hydronymes caractéristiques dénommant des rivières « la Déesse, la Divine », en lien avec le culte de l'eau  chez les Celtes : Deva, Diva (la Dives, la Desges ou la Diège) ; Devona, Divona (la Divonne, la Dionne, la Jouanne, la Juine)

À l'instar de quelques autres grandes villes de Haute-Bretagne, la localité est aussi connue en breton sous le nom traditionnel de Dinam.

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  4. Jean-Marie Ploneis, La toponymie celtique, éditions du Félin, , p. 91.
  5. Jacques Lacroix, Le grand héritage des Gaulois, Yoran Embanner, , p. 46
  6. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Éditions Errance, , p. 142.
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Histoire

Préhistoire et Antiquité

La région de Dinan est habitée depuis le Néolithique, comme en témoigne la présence d'un dolmen en ruines à la sortie de la ville en direction de Lanvallay. Sa proximité avec la grande cité gallo-romaine de Corseul et le port gaulois puis gallo-romain de Taden permettent d'en déduire une occupation humaine à cette période.

Moyen Âge

L’histoire de Dinan est mieux connue à partir du  siècle, bien que le site eût été occupé depuis l'Antiquité. C’est à l’époque une bourgade dans laquelle s’implante un couvent bénédictin. En 1064, les Normands du duc Guillaume le Bâtard assiègent le château sur motte. Cet assaut figure sur la tapisserie de Bayeux.

L'attaque de la motte castrale de Dinan (tapisserie de Bayeux, XIe siècle). Hic milites Willelmi ducis pugnant contra Dinantes : « Ici les soldats du duc Guillaume combattent contre les Dinannais ».

Organisée autour des paroisses Saint-Malo et Saint-Sauveur, la moitié de Dinan est achetée en 1283 par le duc de Bretagne Jean le Roux. C'est à cette époque que la ville acquiert la ceinture de remparts qu’on lui connaît. Les tours de Beaumanoir, Vaucouleurs, Saint-Julien, Beaufort, du Connétable, de Coëtquen, Penthièvre, Longue et Sainte-Catherine entourent la vieille ville dans le sens trigonométrique. Ce chemin de ronde encore intact sur 2 600 m est percé par les portes du Jerzual, de Saint-Malo, de Brest, du Guichet et plus tard de Saint-Louis (1620).

Statue de Bertrand du Guesclin à Dinan.

En 1357, lors de la guerre de succession du duché de Bretagne, Bertrand Du Guesclin et son frère Olivier défendent avec succès la ville assiégée par les troupes anglaises et les Bretons fidèles à Jean de Montfort. Il affronte Thomas de Canterbury en combat singulier et en sort vainqueur. En 1364, après plusieurs tentatives infructueuses, le duc parvient à reprendre le contrôle de la ville et y fait construire la Tour ducale.

Les fortifications de la ville sont modernisées dans la deuxième moitié du  siècle avec l'addition de plusieurs tours d'artillerie. Cela passe par la destruction de la partie des faubourgs située contre les murailles par l'incendie, afin de dégager un glacis. Le château de Léhon, tout proche, est alors abandonné. Les canons n'ont jamais tiré : le gouverneur de la ville rend les clefs au représentant du roi de France après la bataille de Saint-Aubin-du-Cormier en 1488. Comme toutes les autres villes bretonnes, Dinan est définitivement rattachée au royaume de France en août 1532.

Temps modernes

Port de Dinan.
Viaduc sur la Rance.

La ville continue à prospérer, avec une activité artisanale soutenue intra-muros et la présence du port sur la Rance qui favorise le commerce. Dinan contrôle en effet la voie fluviale permettant de transporter les marchandises jusqu’à Saint-Malo. En 1598, Dinan choisit le camp du nouveau roi de France, , contre son gouverneur, Philippe-Emmanuel de Lorraine, duc de Mercœur, qui s’y oppose lors des guerres de la Ligue. C’est à partir de cette époque que les fortifications perdent leur usage défensif et ne sont plus entretenues.

Au Capucins, Ursulines, Bénédictines, Dominicaines, Clarisses s’ajoutent aux Cordeliers et aux Jacobins. À compter de ce siècle, la ville ouvre une nouvelle porte économique avec sa source minérale « La Fontaine des Eaux ». Un premier livre est publié en 1648 par Jan Duhamel mais le site se développera plus amplement au XVIIIe siècle.

Dinan participe à la Révolte du papier timbré survenue en 1675. Le bailliage de Dinan dépendait de l'abbaye Notre-Dame du Tronchet.

Au tisserands, qui produisent notamment des toiles utilisées pour les voiles des navires, envoyées ensuite à Saint-Malo par la vallée de la Rance. Sous l’impulsion d’une bourgeoisie qui se développe, diverses mesures sont prises pour lutter contre l’insalubrité régnant dans la ville, parallèlement à son développement extra-muros.

À partir de 1769, la ville de Dinan va investir dans sa « Fontaine des Eaux », une source d'eaux minérales qui a des vertus « miraculeuses » selon certains analystes de l'époque. Le vallon sera aménagé pour recevoir de nombreux curistes nobles, venant de la province et de Paris même. Ce développement de la vallée n'est pas négligeable dans l'économie de la ville et va encore s'étoffer au .

Révolution française

Pendant la Révolution, Jean Jules Coupard, avocat né en 1740, est élu député du Tiers état aux États généraux de 1789 et participe donc à la réorganisation administrative de la France et à la rédaction de constitution de 1791. Il est à nouveau élu député en 1792 à la Convention. Marie Toussaint Gagon du Chesnay, avocat et ancien maire de Dinan, est lui aussi député aux États généraux. Il adhère aux idées nouvelles. La constitution de 1791 prévoyait que les députés des États généraux ne pourraient se représenter à l'Assemblée nationale législative : il se retire donc sur ses terres en 1791. À la fin de la Révolution, il est appelé par Bonaparte au poste de sous-préfet de Dinan.

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Pendant les épisodes de la deuxième Commune de Paris, la ville de Dinan connut une exportation de ce modèle politique, et ainsi fut créée la Commune de Dinan toujours officiellement existante souhaitée].

Au  siècle, le port perd progressivement de son importance, avec la construction d’un viaduc routier qui désenclave la ville, en 1852, et avec l’arrivée du chemin de fer en 1879. La ville voit se construire de nombreuses demeures cossues et se transforme peu à peu en destination de villégiature, particulièrement prisée par les Britanniques.

Le | ]

Lors de son passage dans le pays de Dinan, Thomas Edward Lawrence, dit Lawrence d'Arabie, écrit à sa mère : « Je suis tombé amoureux de la Rance » dans une lettre en date du 26 août 1907 où il compare le canal aux rives de la Tamise à Londres ainsi qu'à la rivière Isis empruntée par les courses d'aviron de l'université d'Oxford.

Lawrence d’Arabie s’était pris de passion pour le cidre. En Angleterre, il avait découvert les « modern ciders », des cidres élaborés à partir de pommes de table.

Malgré un incendie en 1907 qui a détruit cinq maisons à colombages, et un bombardement en , la ville n'a pas connu de grands changements depuis le début du  siècle.

La Première Guerre mondiale

Dinan était alors une ville de garnison (le régiment d'artillerie et le régiment de hussards y étaient basés).

La Seconde Guerre mondiale

Ange Dubreuil, né et installé à Dinan, fut arrêté pour avoir initié une rixe avec un jeune soldat allemand dans un bar de la rue de la Chaux. Il fut arrêté, jugé et condamné à la peine de mort. Le Préfet des Côtes-du-nord intervint auprès du Général de corps d'Armée (français) afin qu'il demande aux autorités allemandes de commuer cette peine : ce dernier n'en fit rien. Ange Dubreuil fut fusillé le 5 décembre 1940... pour une simple bagarre.

Anne Beaumanoir, alors étudiante en médecine et résistante, amène à Dinan deux enfants juifs qu'elle a fait échapper à une rafle parisienne et les cache chez ses parents Jean et Marthe Beaumanoir. Ils sont reconnus tous les trois Justes parmi les nations.

Le , les Américains de la  division blindée US) approchent Dinan. À Lanvallay, ils sont sévèrement accrochés par les troupes allemandes qui résistent. Ils décident de contourner le nid de résistance, et de poursuivre leur course vers Brest. Au cours de leur retraite, un barrage d'artillerie et un soutien aérien sont effectués pour couvrir le repli des troupes américaines. Ce n'est que le qu'un groupe de reconnaissance du 802nd Tank Destroyer Battalion (802e Bataillon antichar) apprend que Dinan et Lanvallay ont été évacués par les troupes allemandes. Ils mènent plusieurs reconnaissances dans la ville et la libèrent. Le lendemain, un régiment et un groupe de reconnaissance passent Dinan, et progressent vers Dinard, qui est un des bastions de la Festung Saint-Malo.

Originaire d'Ille-et-Vilaine, René Fayon s'installe avec sa famille à Dinan en tant que gardien du pont de la Fontaine-des-Eaux. Membre du groupe FTP de Dinan, il est amené, avec ses camarades, à prendre d'assaut la prison de Dinan le 11 avril 1944 afin de libérer deux membres importants de la direction des FTP d'Ille-et-Vilaine. Bien que très risquée, l'opération fut un succès. Le 9 mai 1944 au matin, René Fayon fut arrêté au cours de son service de garde près du viaduc sur la ligne de chemin-de-fer Dinan-Dinard. Soupçonné d'actes de terrorisme et porteur d'un révolver, il fut transféré à la prison de Rennes. Jugé et condamné à la peine de mort le 30 mai, il fut fusillé le lendemain 31 mai au camp de la Maltière à Saint-Jacques-de-la-Lande avec 9 autres de ses camarades du secteur de Dinan.

Le monument aux morts

Le monument aux morts porte les noms de 308 soldats morts pour la Patrie :

  • 258 sont morts durant la Première Guerre mondiale ;
  • 33 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale ;
  • 8 sont morts durant la guerre d'Algérie ;
  • 9 sont morts durant la guerre d'Indochine.
La fermeture des casernes

Les casernes, longtemps occupées par les régiments de hussards et de dragons vont peu à peu se vider de leurs militaires.

En 1979, le Saint-Aubin-du-Cormier). Le 9e régiment de commandement et de soutien (9e RCS) (qui occupait le quartier Beaumanoir) régiment de soutien de la 9e DIMA, restera dans la ville jusqu'en 1986, avant de déménager sur Nantes. En 1998, l'école nationale de Spécialisation du service de santé pour l’armée de terre (ENSSSAT) située à Dinan depuis 1981 est supprimée, 500 militaires quittent la ville.

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De nos jours, la ville a largement restauré son patrimoine. Des maisons à colombage bordent encore la place des Cordeliers, la rue de l'Horloge, la célèbre rue du Jerzual et d'autres voies pavées du centre. Les églises Saint-Sauveur et Saint-Malo s'élèvent au milieu des anciennes paroisses de la ville.

Les casernes Beaumanoir et Duguesclin, désaffectées, ont été rachetées par la commune. Elle conserve 60 % des bâtiments pour aménager le nouveau quartier Europe, mêlant constructions militaires réhabilitées, bâtis contemporain et espaces verts. L'ensemble de cet aménagement couvre près de 15 Philippe Madec.

Dans la nuit du 6 au , une petite portion des remparts s'est effondrée sur la rue principale d'accès (rue du Général-de-Gaulle), et nécessite des travaux de consolidation.

L'agglomération de Dinan déborde aujourd'hui de ses remparts et s'étend jusqu'aux communes de Léhon, Quévert, Taden et Lanvallay.

Depuis septembre 2017, Dinan et Léhon ont fusionné pour constituer la commune nouvelle de Dinan. Par arrêté du préfet des Côtes-d'Armor en date du 30 septembre 2017, publié au JORF Léhon (canton de Dinan, arrondissement de Dinan) à compter du .

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  9. Prigent Alain et Tilly Serge, "Les fusillés et décapités après jugement d'un tribunal militaire allemand (Côtes-du-Nord, 1940-1944)", Les cahiers de la Résistance populaire, mai 2011, page 46..
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  11. Prigent Alain et Tilly Serge, "Les fusillés et décapités après jugement d'un tribunal militaire allemand (Côtes-du-Nord, 1940-1944)", Les cahiers de la Résistance populaire, mai 2011.
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Héraldique

Blasonnement :
De gueules au château donjonné de trois tourelles d'or, maçonné de sable, au chef d'hermine.
  1. Banque du Blason

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 23/12/2024
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