Larmor-Baden
Localisation
Larmor-Baden : descriptif
- Larmor-Baden
Larmor-Baden [laʁmɔʁ badɛn] est une commune française située dans le département du Morbihan en région Bretagne.
Toponymie
Larmor-Baden s'appelait jusqu'en 1695 Guenredut (ou Guerendut ou Gwerndut), ce nom d'origine bretonne pouvant être traduit en français par « Gens du marais ». C'est à partir de 1696 que Guenredut est dénommé Larmor pour la première fois, mais les deux noms demeurèrent fréquemment accolés jusqu'à la Révolution française pour dénommer le village.
Le nom, actuel, de la commune a été fixé et décidé lors de sa création en 1924 en se séparant de Baden. Larmor signifie en breton « village de mer », de l’ancienne écriture du nom de la chapelle du pèlerinage de « Notre-Dame de l’Armor »
Le nom breton de la commune est An Arvor-Baden. Le nom An-Arvor reprend le nom de la chapelle de pèlerinage, la transcription bretonne de son nom étant « Itron Varia an Arvor ».
La prononciation locale ignore la terminaison Baden.
- Association pour le développement du tourisme et des loisirs à Larmor-Baden (Morbihan), "Larmor-Baden sous la Révolution : chronique anecdotique : 1788-1799", 1989, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3374897j/f9.item.r=Keralbaud
- « », sur infobretagne.com (consulté le ).
- Norois - Volume 13 - Page 308.
Géographie
Localisation
Larmor-Baden se situe sur une presqu’île au bord du golfe du Morbihan, à 14 km de Vannes et à 14 km d'Auray.
Larmor-Baden a la particularité de n'avoir une limite terrestre qu'avec une seule commune, Baden. Elle possède des limites maritimes avec les autres communes.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 420 hectares dont 396 pour la partie émergée ; son altitude varie de 0 à 30 mètres.
Son littoral est très découpé alternant anses et presqu'îles : de l'ouest vers l'est l'anse de Locmiquel (partagée avec Baden), la pointe du Berchis, l'anse de Port Lagaden, la presqu'île de Larmor et l'anse de Kerdelan (aussi partagée avec Baden). Le marais de Pen en Toul, dans lequel se jette le ruisseau de Brangon (un minuscule fleuve côtier), est un ancien golfe marin qui fut partiellement exploité comme marais salant.
La commune possède 4 îles sur son territoire : l'île de Berder, reliée au continent par une chaussée submersible, l'île de Gavrinis, l'île Longue et Radenec.
Voies de communication et transports
En situation péninsulaire, Larmor-Baden est à l'écart des principaux axes de circulation qui desservent le sud de la Bretagne, notamment de la voie express RN 165 et de la ligne ferroviaire Paris-Rennes (ou Nantes) - Vannes-Lorient-Quimper. Larmor-Baden est accessible par la RD 316 qui traverse le village et est connectée en deux points à la RD 101, reliant Auray à Vannes en passant par Baden.
Larmor-Baden est desservie par deux lignes d’autobus : la ligne 12 du réseau de l'agglomération vannetaise Kicéo qui la relie à Vannes et la ligne 6 du réseau des transports interurbains du Morbihan (TIM) qui la relie à Auray. Il existe également deux services de transport à la demande gérés par l'agglomération : Mobicéo pour les personnes à mobilité réduite et Créacéo. Les transports scolaires sont assurés par le conseil général du Morbihan.
Risques naturels et technologiques
La commune est soumise à des risques d'inondation fluviale, d'inondation par subversion marine et de tempête ainsi qu'un aléa Retrait-Gonflement des Argiles dans l’axe du marais de Pen en Toul (risque moyen). Le risque sismique est de niveau 2.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Littoral doux », exposée à un climat venté avec des étés cléments.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 amplitude thermique annuelle de 11,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,8 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 4,3 | 4,1 | 5,2 | 7,1 | 10,2 | 12,7 | 14,4 | 14,3 | 12,3 | 10,8 | 7,1 | 4,4 | 8,9 |
Température moyenne (°C) | 7 | 7,5 | 9,4 | 11,4 | 14,4 | 17,2 | 19 | 18,9 | 17 | 14,2 | 10,2 | 7,3 | 12,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,7 | 10,8 | 13,5 | 15,8 | 18,6 | 21,7 | 23,5 | 23,6 | 21,7 | 17,6 | 13,3 | 10,2 | 16,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−10,5 02.01.1997 |
−6,5 11.02.12 |
−6,5 01.03.05 |
−2,5 03.04.1996 |
1 14.05.1995 |
5 03.06.1996 |
8 09.07.1996 |
6,5 10.08.01 |
5 26.09.10 |
1 29.10.1997 |
−3 21.11.1999 |
−7 29.12.1996 |
−10,5 1997 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16 27.01.03 |
18 29.02.12 |
24 19.03.05 |
25 07.04.11 |
29 25.05.12 |
33 27.06.1995 |
35,5 18.07.06 |
35,5 10.08.03 |
31 04.09.04 |
28,5 01.10.1997 |
19 03.11.11 |
15,5 04.12.06 |
35,5 2006 |
Précipitations (mm) | 98,2 | 75,5 | 62,4 | 65,9 | 57 | 46,2 | 44 | 51,4 | 66,6 | 94 | 100,8 | 110,2 | 872,2 |
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
Histoire
Préhistoire
Son territoire, habité depuis des millénaires fut marqué au néolithique (IVe millénaire) par la présence d'une population sédentaire d'agriculteurs, éleveurs et pêcheurs. Ils étaient organisés en communautés capables d'élever des monuments colossaux : menhirs, cromlechs, dolmens. On peut voir leurs vestiges dans les îles de Gavrinis, l'Ile Longue et Berder. Ces lieux étaient accessibles à pied : à cette époque le niveau de la mer était plus bas de plusieurs mètres. Remarquables constructeurs, ces hommes étaient aussi des marins expérimentés, allant le long des côtes et même en haute mer pour pêcher, échanger des produits (de curieux bateaux sont gravés sur le dolmen de Mane Lud en Locmariaquer). Les siècles passant, les monuments devinrent plus modestes ; on trouve, ainsi, une tombelle sur la route de Berder - un tumulus circulaire (tertre de terre) recouvre une fosse rectangulaire destinée à recueillir les restes d'un défunt. A la pointe de Berchis, la "Pierre aux oiseaux" était un monolithe percé de trous destinés à tailler la pierre par éclatement. Elle gisait dans la lande et servait de rendez-vous à la jeunesse avant la construction des maisons.
Les Vénètes
Au Celtes s'implantèrent dans l'Ouest. Le peuple des Vénètes s'installa dans le Golfe du Morbihan.
De l'époque gallo-romaine subsistent les vestiges d'une voie romaine à La Saline ; elle traversait le pays jusqu'à la côte d'où on embarquait pour Locmariaquer base d'une garnison romaine.
Durant les siècles suivants
Gavrinis
Après les invasions vikings, le Cartulaire de l'abbaye de Redon note la présence d'un ermite normand installé dans l'île de Gavrinis.
Dès le Ordre de Saint-Jean de Jérusalem - confondus par le peuple avec les Templiers-) s'installèrent dans cette île. Des ruines d'un monastère et d'une chapelle témoignent de leur présence ainsi que des sépultures. Un crucifix de style byzantin a été trouvé dans les ruines.
Le village de Larmor
La montre du qui se tint à Vannes n'indique la présence d'aucun noble venu de Larmor.
Larmor était une frairie de Baden et c'était son port. Jusqu'en 1695, il est très peu question de Larmor mais plutôt de Guenredut, Guerendut, ou Guerdut, à l'origine Guern en Duc, le marais du Duc ou Guerendut, les gens du marais. C'était, dit-on, le plus vieux village de Baden ; il était situé au pied des salines sous Trevras. Trevras était une seigneurie longtemps tenue par les seigneurs de Peillac, puis par le seigneur de Keralbaud. Elle dépendait du duc de Bretagne par la seigneurie de Largoët. En 1525, selon le rôle des fouages, Guenredut comprenait six feux.
Les noms de lieux comme la Saline, le Paludo témoignent de l'existence de marais salants et de paludiers. Il y avait un banc d'huîtres naturelles dans l'anse de Pen-en-Toul que les pêcheurs venaient glaner. Les laboureurs produisaient des céréales (blé, mil, seigle, avoine) et du lin . De vieux bâtiments de fermes subsistent : une maison rue du Four, datée de 1500, une ferme, rue du Verger datée de 1662, des fermes à Kereden et au Ter...
La vocation maritime de Larmor persista tout au long des siècles ; un document des archives de Bordeaux daté de 1445 l'atteste ; un marchand, Jean Le Gal, affrète la barque Saint-Yves de Baden dont le maître (capitaine) est Guillaume Jénodé, pour charger des tonneaux de vin à livrer dans divers ports bretons dont Vannes et Auray.
Dans la seconde moitié du registres paroissiaux on peut estimer que la population de Larmor est d'environ 330 personnes ; une douzaine de personnes vivaient alors dans l'île de Berder, environ 25 au Diben, une trentaine au Ter et une quarantaine à Locqueltas, enfin environ 80 personnes à Trévras, y compris Les Salines, soit en tout environ 560 personnes dans les limites actuelles de la commune de Larmor-Baden.
La marine marchande fut particulièrement développée au ex-voto de l'église : le brick Sainte Eugénie, capitaine G.V. Baudet, le Giralda, capitaine Héno. chasses-marées, bricks, goélettes , trois ou quatre-mâts embarquaient marins et capitaines au petit et au grand cabotages le long des côtes ou à travers les océans, au long cours.
On roulait les barriques de vin sur une petite cale au plan incliné près du Manoir pour les stocker dans un hangar. La plage de Port-Lagaden, où s'échouaient les voiliers pour être calfatés, conserve des silex étrangers à la géologie locale ; ils proviennent du lest embarqué en pays de calcaire.
Larmor comporte des habitations de pêcheurs et de paludiers : maisons basses, notamment rue du Paludo. Les grandes demeures à étage, tout autour de la place et rue de"la Pointe, sont des maisons de capitaines.
Le | ]
Une route-digue est construite en 1849 (actuelle D316) et ferme l'anse de Pen-en-Toul (autrefois la mer atteignait le village de la Saline. Il en reste cinq bassins. L'ancienne digue est toujours visible, elle permet de se balader à pied au nord de l'étang. Ce chemin surélevé était l'ancienne route.
La création de la paroisse de Larmor
En 1857, Larmor est encore un village dépendant de la paroisse et de la commune de Baden. Lorsqu'en le , l'empereur Napoléon III et l'impératrice Eugénie en visite en Bretagne se trouvent à Sainte-Anne-d'Auray, les habitants de Larmor, principalement Bernard Devolz, lassés de devoir se rendre à l'église de Baden par des chemins boueux, en profitent pour solliciter de leurs majestés impériales que leur section soit érigée en succursale de la paroisse de Baden. Le , le décret impérial érigeant en succursale l'église de Larmor-Baden, est signé par l'empereur Napoléon III en 1860.
« Pas de paroisse distincte sans commune distincte »… Mais ce n'est que 64 ans après la création de la paroisse qu'aboutirent les démarches pour l'érection du village de Larmor en commune.
L'église paroissiale de Larmor-Baden, qui remplaça la vieille chapelle devenue vétuste, fut consacrée le .
Larmor vers la fin du | ]
Le comte Arthur Dillon achète en 1878 l'île Berder, qu'il transforme en parc exotique avec son manoir et sa chapelle Sainte-Anne de style néo-gothique (il revend l'île en 1920 à la duchesse d'Uzès).
Benjamin Girard indique en 1889 qu'au sein du syndicat de Larmor-Baden existe « l'importante réserve d'huîtres de Bascalique, qui est sous la surveillance d'un grade maritime » et que les marins de cette localité « demandent qu'une balise soit placée sur la roche la Truie, située entre Gavrinis et l'Île Longue. Cette roche, ne découvrant que dans les grandes marées, constitue un écueil redoutable pour les bateaux qui entrent dans les rivières de Vannes et d'Auray, ou en sortent. Il ne se passe pas d'année que quelque accident ne se produise dans ces parages très fréquentés ». Un article de 1889 évoque Baudet, ostréiculteur à Larmor-Baden, disposant d'une concession de 3 hectares et produisant « aussi bien du naissin que des huîtres marchandes », qui vend plus d'un million d'huîtres par an et expose à l'exposition universelle de 1889.
Le | ]
La Belle Époque
La fête patronale de Larmor-Baden avait lieu chaque année « le dimanche qui suit le 15 août ».
En 1905 le comte Arthur Dillon, propriétaire de l'île Berder, prit l'initiative de créer un port en eau profonde à Larmor-Baden, faisant construire une jetée assurant aux bateaux un tirant d'eau de 8 mètres. Il négocia aussi avec la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans la création d'une voie ferrée allant de Ploeren à Larmor-Baden, où les bateaux de fort tonnage pourraient accoster, mais ce projet n'aboutit pas.
Arthur Dillon fait construire la cale de Pen Lannic et l'Hôtel des Îles vers 1900, ce dernier étant racheté en 1911 par l'Internationale ouvrière et nommé alors l'Hôtel du Grand Air.
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Larmor-Baden porte les noms de 23 soldats et marins morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale (ces morts sont aussi sur le monument aux morts de Baden car la commune de Larmor-Baden n'existait pas encore).
L'Entre-deux-guerres et la création de la commune
Après 60 ans de pétitions (les habitants de Larmor, de tradition maritime, s'opposent à ceux de Baden, des ruraux) et contre-pétitions (la commune de Baden s'y opposait), la commune de Larmor-Baden est créée en 1924 ; le décret est signé le par Alexandre Millerand, président de la République, avec parution au Journal Officiel le .
Larmor faisait auparavant partie de la commune de Baden et plus anciennement de la paroisse de Plougoumelen. Le village de Locmiquel refusa de faire partie de la nouvelle commune, préférant rester en Baden.
En juillet 1924 le journal L'Ouest-Éclair écrit que « ce joli coin de Larmor-Baden qui étale ses plages de sable fin sur les bords du Golfe (...) est devenu le centre d'une colonie de touristes ».
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Larmor-Baden porte les noms de 17 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale. Émile Le Grévellec, résistant, fut fusillé par les Allemands le .
L'après Seconde Guerre mondiale
Un soldat (Louis Le Berrigaud) originaire de Larmor-Baden est mort pour la France pendant la Guerre d'Indochine.
Le | ]
La polémique à propos de l'île Berder
En 2020, le projet d'aménagement d'un hôtel de luxe "4 étoiles" de 90 chambres par le groupe Michel Giboire dans l'île Berder déchaîne les passions et a divisé les habitants, opposant ceux qui voient dans ce projet la garantie de la restauration d'un immeuble vieillissant, la perspective de création de vergers et même d'un vignoble, ainsi que des emplois, et, pour les commerçants la venue d'une clientèle aisée à ceux qui rêvent de faire de l'île Berder un parc naturel ouvert à tous, lesquels sont soutenus par des personnalités connues comme Yann Queffélec, Gilles Servat, Jean-Louis Étienne, etc.
Finalement, face en plus à l'annulation du PLU par le tribunal administratif de Rennes, le groupe Giboire a renoncé à son projet, ce que déplore le maire : «On va faire de la commune une carte postale et on aura des volets fermés la moitié du temps... » a-t-il déclaré.
- "Cartulaire de l'abbaye de Redon"
- « », sur infobretagne.com (consulté le ).
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- Association pour le développement du tourisme et des loisirs à Larmor-Baden (Morbihan), "Larmor-Baden sous la Révolution : chronique anecdotique : 1788-1799", 1989, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3374897j/f10.item.r=Keralbaud
- Jaccques Lanoé "Histoire de Larmor" documenté par les recherches et écrits du Père Marouille ancien recteur de Baden
- « », sur Le Télégramme, (consulté le ).
- « », sur larmorbaden.com (consulté le ).
- « », sur larmorbaden.com (consulté le ).
- Benjamin Girard, "La Bretagne maritime", 1889, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5744832r/f390.item
- Edmond Perrier, "Ministère du Commerce, de l'industrie et des colonies. Exposition universelle internationale de 1889 à Paris. Rapports du jury international", 1892, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9325401/f29.image.r=Baden%20(Morbihan)?rk=2575120;0
- Journal L'Ouest-Éclair, n° du 21 août 1900, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k638985k/f3.image.r=Baden%20(Morbihan)?rk=3454952;4
- Journal des débats politiques et littéraires, n° du 27 septembre 1905, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k482073t/f2.image.r=Baden%20(Morbihan)?rk=665239;2
- ACAM-MEMORIAL, « », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64603656/f1.item.r=Baden%20(Morbihan)
- Journal L'Ouest-Éclair, n° du 23 juillet 1924, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k647710m/f5.image.r=Baden%20(Morbihan)?rk=1244641;2
- « », sur univ-lille.fr (consulté le ).
- https://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=44950&dpt=56 et https://monumentsmorts.univ-lille.fr/monument/58467/baden-presdeleglise/
- Catherine Lozach, Pourquoi l'avenir de Berder déchaîne-t-il les passions ?, journal Le Télégramme de Brest et de l'Ouest, n° du 22 mars 2021.
- « », sur FranceInfo, (consulté le ).
- Journal Le Télégramme, n° du .
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Héraldique
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Les armoiries de Larmor-Baden se blasonnent ainsi : |
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