Tréal

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Tréal : descriptif

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Tréal

Tréal [tʁeal]est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Géographie

Situation

Carte de Tréal et des communes avoisinantes.
Communes limitrophes de Tréal
Réminiac Monteneuf
Ruffiac Tréal Carentoir
Saint-Nicolas-du-Tertre


Relief et hydrographie

En dehors du quart septentrional, le sous-sol de la commune est constitué de schistes briovériens. Depuis le nord, se succèdent une bande de siltstones grossiers, une autre bande de siltstones de la formation de Traveusot, une fine bande de grès armoricain, puis de formation de Pont-Réan. Le sol est dans cette partie d'une valeur agricole plus faible que dans la partie schisteuse où elle est globalement excellente.

Le réseau hydrographique de la commune de Tréal.

La partie la plus élevée du finage communal correspond à un axe est-ouest proche de la limite nord de la commune, qui culmine à 101 mètres d'altitude près du hameau de Quoiqueneuc, mais atteint des altitudes proches en allant vers l'est (94 m à la Chênaie, 96 m à la Béraie, 98 m à la Lande de la Pie) caractéristique du relief armoricain. Les altitudes s'abaissent progressivement en allant vers le centre de la commune (le bourg est vers 70 m, le château du Préclos a 54 m) et plus encore vers son angle sud-est où se trouve le point le plus bas (27 mètres dans la vallée du Ruisseau de l'Étang de Tréal). Les altitudes remontent toutefois quelque peu vers la limite sud de la commune, atteignant par exemple 81 m aux alentours du hameau du Plessis.

Le réseau hydrographique est constitué essentiellement par le Rahun (un affluent de l'Aff et sous-affluent de l'Oust, qui fait donc partie du bassin hydrographique de la Vilaine), qui forme la limite orientale de la commune avec Carentoir et certains de ses petits affluents de rive droite, le principal étant le Ruisseau de l'Étang de Tréal qui traverse en diagonale la partie centrale de la commune, alimentant le petit étang de Tréal et passant au sud-ouest du bourg.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 amplitude thermique annuelle de 12,8 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Guer à 11 vol d'oiseau, est de 12,3 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Transports

Tréal n'est desservi que par des routes secondaires, les principales étant la D 146 (qui vers le sud-ouest se dirige vers Ruffiac) et la D 147 (qui côté sud rejoint la D 8 en direction de La Gacilly et côté nord va vers Réminiac), qui se croisent dans le bourg. La D 118, un axe routier sud-nord, passe par le Vieux-Bourg, venant de Carentoir et se dirigeant aussi vers Réminiac.

Paysages et habitat

Le centre du bourg de Tréhal.

Tréal présente un paysage agraire traditionnel de bocage avec un habitat dispersé en écarts formés de hameaux (appelés localement "villages") et de fermes isolées. Le bourg traditionnel (désormais appelé le Vieux Bourg) était très excentré à la limite nord-est de la commune, dans la vallée du Rahun et dans un site de cluse ; le bourg actuel n'était encore qu'un simple hameau (la Villie) comme le montre la carte d'état-major datant du milieu du .

La majeure partie du territoire est cultivée ; toutefois landes et bois dominent sur les hauteurs du nored de la commune, ainsi qu'aux alentours du château du Préclos. La commune, éloignée des grands centres urbains et à l'écart des grands axes de circulation, a conservé son caractère rural et est peu atteinte par le rurbanisation.

  1. * Grenville Astill, Wendy Davies, Un paysage breton ; De l'archéologie à l'histoire dans le sud de la Haute-Bretagne, Les Dossiers du Ce.R.A.A., suppl. X, 2001, 214 p.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  9. https://www.geoportail.gouv.fr/carte

Toponymie

Le nom de la commune est attesté sous les formes Trebetuual en 820 et 830, Treal Plebs en 858 et Villa Etuual en 840,, Treal en 1387, Trehel en 1654.

Tréal dérive du vieux breton tref, (« paroisse, puis village ») et de al (« lieu pierreux »).

Teurya en gallo.

Le nom de la sainte patronne de la paroisse (sainte Zéphirine) est surprenant : aucune sainte de ce nom n'est connue ("vierge et martyre" selon l'abbé Luco) ; par contre il existe un saint Zéphiryn. Joseph-Marie Le Mené écrit que « sainte Zéphirine, patronne de Tréal, paraît être la même que sainte Leuférine », mais le nom de cette sainte hypothétique n'apparaît nulle part ailleurs ; ce pourrait être sainte Triphine

  1. Dans le cartulaire de l'abbaye de Redon.
  2. Ernest Nègre - 1996 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1050.
  3. Nantes (France) Université. Centre de recherches sur l'historie de la France atlantique, Université de Nantes. Centre de recherches sur l'histoire de la France atlantique - 1975 - Enquêtes et documents - Volumes 3 à 5 - Page 62.
  4. a et b Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN  et , OCLC 63764620), p. 220
  5. Jean-François Luco, « Tréal », Bulletin de la Société polymathique du Morbihan,‎ , lire en ligne, consulté le ).
  6. «  », sur nominis.cef.fr (consulté le ).
  7. Joseph-Marie Le Mené, « Évêché de Vannes », Bulletin de la Société polymathique du Morbihan,‎ , lire en ligne, consulté le ).

Histoire

Préhistoire

Joseph-Marie Le Mené écrit en 1891 que « Sur une lande, au nord du presbytère, se trouve un tumulus de forme elliptique, ayant dix pas de longueur et entouré de blocs de pierre. Un peu plus loin, se voit un dolmen en ruines. A quelques pas de là, se dresse un menhir de 1 m. de hauteur, au pied duquel on a trouvé des cendres et des charbons et même un fragment de poterie rouge ».

Antiquité

« La voie romaine qui allait (..) de Rennes  (Condate Riedonum) et Juliomagus (Angers) à Carhaix (Vorgium) par Castel-Noëc , limite Réminiac et Tréal au sortir de Carentoir. De ce point elle se dirige vers Missiriac. M. De la Monneraye a constaté la présence de nombreux débris de briques romaines, près de Bermagois [peut-être Bostubois]. M. Cayot-Délandre signale un camp romain, dont on voit les traces au lieu-dit le Madry, sur une lande au nord du presbytère de Tréal ». La "Chaussée d'Ahès", à la limite nord de la commune avec Monteneuf et Réminiac reprend le tracé de cette ancienne voie romaine.

Moyen-Âge

Tréal est un démembrement de la paroisse de l'Armorique primitive de Ruffiac.

Tréal est mentionné au cartulaire de Redon (charte du ) : « Anauan donne la vigne qui est dans son jardin, en Tréal, pour en jouir à jamais, aux moines de Redon, et à l'abbé Conwoïon… ». Tréal trouve son origine dans le monastère de Conoch ou de Sainte-Leuférine, dont Sulmin était abbé en 830 et 867 (Cartulaire de l'abbaye de Redon, 117, 118). Sainte Zéphirine, patronne de Tréal, paraît être la même que Sainte Leuférine. — En 858, « le clerc Anauan donna à l'abbaye de Saint-Sauveur la vigne qu'il avait dans son jardin de Tréal, pour racheter sa main droite, qu'il avait été condamné à perdre, après avoir battu et tenté de tuer le prêtre Anauhoiarn » (lb. 157, 158). Ce rachat est un acte curieux à noter ; l'existence d'une vigne dans un pays où il n'y en a plus, est également intéressante. Dans ces textes, Tréal ne porte point la qualification de paroisse, plebs ; aussi pense-t-on que sa séparation de Ruffiac ne date que du XIe siècle (J-M. Le Mené).

Jean de Tréal fut abbé de l'abbaye Saint-Sauveur de Redon entre 1339 et 1370.

Olivier de Tréal, seigneur de Tréal, fut écuyer du duc de Bretagne et lieutenant des ville et château de Fougères ; son fils Bertand de Tréal, seigneur de Tréal et du Plessix, fut gouverneur de Saint-Malo en 1433

Selon Jean-Baptiste Ogée « en 1500, les maisons nobles de l'endroit étaient : le Plessis-Tréal, haute justice , qui appartient aujourd'hui [en 1778] à Madame Thébaud de la Ruée ; la Ville-Reguen ; la Ville-Gleyo, au sieur de Tréal ; les manoirs de la Ruée et du Coüedic , à Louis de la Bourdonnaye (cette dernière, qui a moyenne justice, appartient [en 1778] à M. Cartel de Landual) ; la Godon, à Raoul Perdic ; la Guichardais , Lesliac , la Beraye et la Touche , à N. de la Guichardais ; la Provotaye , à Jean Bellouan ; la Logerais , au sieur de la Morlaix ; le Pré-Clos , à Guillaume Gouridon ; le Bot-Sabri , à Jean de Bois-Bic ; la Chenot, aux héritiers de Raoul de la Marche ; Fanhonnac , à N. du Bois-Guehenneuc, à cause de fa femme ; et le Bois-Brun , au sieur de Trécesson ; cette dernière , qui a haute justice , appartient à M. de Tourtat ».

Temps modernes

En 1692 l'église paroissiale subit d'importantes restaurations qui obligèrent à transférer le culte dans la chapelle Saint-Fiacre et les autres chapelles de la paroisse (chapelle de l'Assomption dans le village du Cleu, chapelle Sainte-Anne et chapelle Notre-Dame de Bonne-Rencontre). L'église fit aussi l'objet d'un interdit, dont la cause est inconnue, entre 1762 et 1764. Une chapellenie existait à la chapelle du Cleu et une confrérie de Notre-Dame et de Saint-Sébastien est signalée en 1606 dans l'église paroissiale.

Carte de Cassini de la paroisse de Tréal et de ses environs (1785).

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Tréal en 1778:

« Tréal : dans un fond, à 10 lieues à Nord-est de Vannes , son évêché ; à 11 lieues de Rennes ; et à 2 lieues de Malestroit, sa subdélégation. Cette paroisse ressortit à Ploërmel, et compte 1 200 communiants : la cure est à l'alternative. Le territoire, qui, en 1300, était pour la majeure partie planté en vignes, n'offre plus aujourd'hui à la vue que des terres en labeur [labour], des prairies, et beaucoup de landes ; toutes les vignes ont été détruites , apparemment parce que ne produisaient rien. Le Roi possède plusieurs fiefs dans cette paroisse (..). »

Le comte Joseph de la Ruée fut président de l'Ordre de la noblesse aux États de Bretagne en 1788.

Révolution française

Yves Priellec fut recteur de Tréal entre 1761 et 1790, mais refusa de prêter le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé, devenant donc prêtre réfractaire, à la différence de son curé Michel Robin, qui devint le premier maire de Tréal. Yves Priellec a disparu pendant la Révolution sans que l'on sache ce qu'il est devenu.

Le le conseil général [ nom que portait alors le conseil municipal] de la commune de Malestroit s'alarme d'un rassemblement de nombreuses personnes au château du Pré-Clos et demande l'envoi par les responsables du district de Rochefort de détachements de la Garde nationale et de troupes venues de Ploërmel (un détachement du régiment Walsh-Irlandais). Le château, qui appartenait à M. de la Ruée est investi le , des armes et munitions saisies (25 fusils, 25 pistolets, etc..) et 37 hommes sont faits prisonniers et transférés dans la prison de la chapelle des Cordeliers de Vannes, puis à la citadelle du Port-Louis ; ils ne furent libérés que fin septembre ou début octobre 1791, leur culpabilité n'étant pas établie (simple réunion amicale ou début d'une conspiration ?).

Le 19 floréal an IV () l'adjudant général Simon, sorti de Rennes avec des forces supérieures en nombre, trouva des Chouans au château de la Bourdonnaye en Carentoir et les poursuivit jusqu'à Ploërmel via Tréal, Monteneuf, Reminiac, Caro et Monterrein.

Le | ]

Tréal ː cadastre napoléonien datant de 1826 (plan d'assemblage, Archives départementales du Morbihan).

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Tréal en 1853 :

« Tréal: commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom ; aujourd'hui succursale. (..) Principaux villages : Quoiqueneuc, la Ville-Hatte, Launay, la Chênaie, la Béraie, Bodlinguen, le Préclo, Fanhoët, le Plessix, Trégueho, le Cleu, la Villio. Moulins à vent de la Roche, de Bonne-Rencontre, de la Rucé ; à eau, de Tréal. Maison importante : château du Préclo. On voit dans cette commune les chapelles de Bonne-Rencontre et de Saint-Fiacre. Géologie : schiste argileux ; grès à l'ouest. On parle le français [en fait le gallo]. »

En mars 1874 des habitants de Limerzel, Saint-Martin, Saint-Nicolas-du-Tertre et de Tréal, demandent le rétablissement, dans le plus bref délai, de la royauté en la personne d'Henri V, héritier légitime de la couronne de France.

Une nouvelle église est construite à la Villio (hameau plus central que le bourg traditionnel très excentré, mais qui fut le centre de la vie paroissiale pendant des siècles) entre 1884 et 1889, remplaçant l'ancienne située dans le bourg traditionnel, qui devint le "Vieux Bourg" ; autour de cette nouvelle église sont construits la mairie, l’école et des habitations. Un bourg neuf apparaît qui l’emporte peu à peu sur l’ancien, désormais dénommé Vieux Bourg".

En mai 1888, l’ancienne église est démolie, mais par respect, il est décidé de conserver une aile du transept, qui devint la nef de la chapelle Saint-Cornély ; le portail de l'ancienne église, datant du .

Le XXe siècle

La Belle Époque
Tréal au début du XXe siècle

À la suite des manifestations qui ont eu lieu notamment à Carentoir et Quelneuc, le préfet du Morbihan a donné l'ordre de suspendre les inventaires des biens d'église dans les paroisses de La Chapelle-Gaceline, Cournon, Peillac, Les Fougerets, Saint-Martin-sur-Oust, Tréal « où les populations sont dans une surexcitation dont on n'a pas idée. La préfecture était, dit-on, terrifiée ».

La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Tréal.

Le monument aux morts de Tréal porte les noms de 48 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 2 sont morts en Belgique (Joseph Bouge, dès le à Rossignol et Louis Dabo le à Hoogstade); Louis Geoffroy est mort en captivité en Allemagne le  ; tous les autres sont morts sur le sol français (dont Julien Borgat et Jean Epaillard, décorés tous les deux à la fois de la Médaille militaire et de la Croix de guerre, Joseph Borgat et Joseph Noël de la Médaille militaire, Jean Riallin, Julien Ricaud et Jean Robin de la Croix de guerre).

L'Entre-deux-guerres

Le monument aux morts de Tréal a la forme d'un monolithe sur lequel est placée une plaque sur laquelle il est inscrit "TRÉAL À SES MORTS" ; les noms des victimes est indiqué sur une autre plaque apposée par terre au pied du monument.

La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Tréal porte les noms de 4 personnes (Jean Clody [Clodic], Marcel Lanoë, Joseph Riaud et Alphonse Rolland) mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale.

L'après Seconde Guerre mondiale

Le | ]

La restauration de l'église paroissiale

En octobre 2012 l'église de Tréal est fermée pour des raisons de sécurité, des fissures importantes ont été décelées sous les voûtes. Elle rouvre en 2016 (l'église retrouve son coq au sommet du clocher le ) après des travaux coûteux, qui ne s'achèvent qu'en 2020.

  1. Joseph-Marie Le Mené, Histoire archéologique, féodale et religieuse des paroisses du diocèse de Vannes, Vannes, Imp.de Galles, .
  2. a et b A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, lire en ligne).
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  5. a et b Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, lire en ligne), p. 430-431.
  6. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Tréal
  7. Jacques Marsille, «  » (consulté le ) et Jacques Marsille, « L'affaire du Pré-Clos Tréal (Morbihan) 29 juin 1791 », Bulletin de la Société polymathique du Morbihan,‎ , lire en ligne, consulté le ).
  8. « Sans titre », L'Hermine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  11. « Tréal. « Les amis du Vieux-Bourg » soignent le patrimoine communal », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  16. « L’église de Tréal retrouve son coq », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).


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Héraldique

Les armoiries de Tréal se blasonnent ainsi :

De gueules au croissant burelé d’argent et d’azur, à la bordure engrêlée d’argent.
(Armes de la famille de Tréal brisée d'une bordure).

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Tréal dans la littérature

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