Sainte-Sève
Localisation
Sainte-Sève : descriptif
- Sainte-Sève
Sainte-Sève ([sɛ̃tsɛv], breton Sant-Seo) est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
Géographie
Localisation
La commune de Sainte-Sève est située à proximité (3 Morlaix qui est sous-préfecture du département du Finistère. Les habitants se nomment les Saintes-Sèvistes.
Communes limitrophes
Géologie et relief
De modeste superficie (998 hectares), la commune correspond à un morceau du plateau granitique du Léon légèrement vallonné et d'une altitude moyenne d'une centaine de mètres (121 mètres maximum à la limite sud), le bourg étant à 87 mètres d'altitude. L'altitude s'abaisse toutefois jusqu'à une trentaine de mètres (29 mètres au point le plus bas) dans les deux vallées encaissées qui délimitent la commune : à l'ouest celle de la Coat Toulzac'h, affluent de rive droite de la Penzé, qui sépare Sainte-Sève de Saint-Thégonnec et à l'est celle de la Pennelé, qui se jette dans la Rivière de Morlaix et sépare Sainte-Sève de Saint-Martin-des-Champs.
Hydrographie
Ces deux cours d'eau ont permis par le passé l'installation de moulins dont les ruines sont encore visibles (trois au moins sur le tronçon du Coat Toulzac'h qui délimite la commune et un au moins sur la Pennelé). Le moulin à blé de Pen-ar-Vern était situé à plus d'un kilomètre en aval du moulin Mintric et est resté en activité au moins jusqu'en 1924. Un moulin à papier, abandonné depuis longtemps, portait le même nom. Les limites communales avec Pleyber-Christ au sud et avec Taulé au nord sont artificielles, ne s'appuyant sur aucun élément naturel notable. Un élevage piscicole existe le long du cours du Coat Toulzac'h à Moulin Fontaine Blanche.
Voies de communication et transports
Sainte-Sève est traversée par la voie expresse N 12 reliant Rennes à Brest via Morlaix et bénéficie d'un important échangeur qui permet une très bonne desserte routière de la commune et où se greffe un autre axe routier important, la départementale 785, ancienne route nationale (tronçon commun aux axes Roscoff-Lorient et Morlaix-Quimper). Cet échangeur est marqué dans le paysage par un signal visuel important : le château d'eau, de style original, situé à proximité. La voie ferrée Morlaix - Roscoff traverse la partie orientale de la commune, mais celle-ci n'est pas desservie par une gare en raison de la trop grande proximité de Morlaix. Cette voie ferrée est hors service depuis l'orage du .
Le bourg était traditionnellement tout petit, la majeure partie des habitants vivant dans la trentaine de hameaux et fermes isolées qui parsèment le territoire communal. La répartition de l'habitat s'est totalement modifiée ces dernières décennies, plusieurs lotissements liés à la proximité de Morlaix ayant provoqué une forte croissance de la population agglomérée au bourg, le dernier grand lotissement en cours en 2010 étant celui de « La Croix ».
L'occupation des sols
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (6 . Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 amplitude thermique annuelle de 10,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pleyber-Christ à 6 vol d'oiseau, est de 11,7 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
- Sainte-Sève sur Géoportail, consulté le 7 avril 2018.
- Carte au 1/25000e de l'IGN 0616 ouest Morlaix
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- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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Toponymie
Attesté sous les formes Santsegue au .
Le nom de la localité est attesté en breton sous les formes Sant Seo ou Sant Sev.
- Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez, an Here, , 188 ISBN )
Histoire
Les origines
Des fouilles de sauvegarde réalisées juste avant l'aménagement de la zone d'activité de « Penprat » ont permis d'y reconnaître une occupation gallo-romaine, vraisemblablement une villa, pendant le Haut Empire.
La commune doit son nom à sainte Sève (ou sainte Sewa), sœur (ou frère car c'était peut-être un homme) de saint Tugdual, qui fait partie des saints bretons plus ou moins mythiques et non reconnus officiellement par l'église catholique romaine, venus de l'île de Bretagne en Armorique vers le Albert Le Grand, saint Tugdual aurait construit à cet endroit un monastère en l'honneur de sa sœur (ou frère). Saint Lunaire et Hoël II seraient aussi ses frères.
Selon le « scriptorium de Tréguier », qui date du Saint-Martin-des-Champs faisaient partie de l'ancien Pagus Daudour qui, au sein de l'évêché de Léon, dépendait du royaume de Domnonée. Un document de 1128 évoque la contestation par le vicomte de Morlaix d'une donation ("tout ce que j'avais comme dîme à Sainte-Sève" écrit le vicomte) faite en faveur des moines de l'abbaye de Marmoutier pour établir un prieuré et un bourg près de Morlaix. Cette donation serait à l'origine de la création de la paroisse Saint-Martin de Morlaix, dont la partie rurale englobait initialement, outre Saint-Martin-des-Champs, le territoire de Sainte-Sève. Le lieu-dit « Trébompé » situé dans cette commune proviendrait d'ailleurs de Pompée, nom de la mère de sainte Sève. Une chapelle disparue honorait sainte Pompée à Trébompé.
Moyen Âge
Jusqu'à la Révolution française, Sainte-Sève est une trève de Saint-Martin-des-Champs et faisait partie de l'évêché de Léon. Son orthographe a varié au fil du temps : Santsegue (au XIe siècle), Sentseguot (en 1128), Saint Scevoy (en 1598).
Époque moderne
Au châtellenie de Daoudour est subdivisée en deux juridictions : celle de « Daoudour-Landivisiau », dite aussi « Daoudour-Coëtmeur », qui avait son siège à Landivisiau et comprenait Plouvorn et ses trèves de Mespaul et Sainte-Catherine, Plougourvest et sa trève de Landivisiau, Guiclan, Saint-Thégonnec, Guimiliau, Lampaul-Bodénès, Pleyber-Christ, Commana et sa trève de Saint-Sauveur, Plounéour-Ménez et pour partie Plouénan ; et celle de « Daoudour-Penzé », qui avait son siège à Penzé et comprenait Taulé et ses trèves de Callot, Carantec, Henvic et Penzé, Locquénolé, Saint-Martin-des-Champs et sa trève de Sainte-Sève.
Le bail consenti en 1748 par la veuve de Guillaume Barazé, sieur de Lannurien, à Ollivier Le Laviec et sa femme Marie Guizien concernant la « métairie noble » de Kerfertou en Sainte-Sève est un bon exemple des usages agricoles de l'époque dans la région.
Trois Morlaisiens (Julien Saget, Julien Scouarnec et Olivier Cozic) tuèrent quatre louveteaux près de Penanvern en Sainte-Sève le .
Révolution française
Les habitants de Sainte-Sève, qui dépendaient alors de la sénéchaussée de Lesneven, ont rédigé un cahier de doléances en 1789. Les deux députés représentant la trève de Sainte-Sève lors de la rédaction du cahier de doléances de la sénéchaussée de Lesneven le
Jacques Cambry évoque très brièvement Sainte-Sève en 1794 ou 1795 : « De Morlaix prenez la route de Brest ; vous traversez la paroisse de Sainte-Sève, alternativement aride et cultivée et vous arrivez à Saint-Thégonnec » écrit-il.
Sainte-Sève est renommé "Unité des Champs" pendant la Révolution française.
Légende d'une naissance de Napoléon à Sainte-Sève
Une légende locale prétend que Napoléon Bonaparte soit né et ait passé les premiers mois de sa vie au manoir de Penanvern sur la commune. Le manoir aurait été celui de Louis Charles René de Marbeuf, gouverneur de la Corse et supposé amant de Laëtitia Ramolino, mère de Napoléon, mais en fait le manoir de Penanvern n'appartenait pas à Charles Louis René de Marbeuf à l'époque supposée des faits, mais aux héritiers de sa cousine germaine, Louise Josèphe de Marbeuf.
Un témoignage tardif du curé de Sainte-Sève en poste entre 1828 et 1847 affirme que Napoléon Bonaparte est né à Sainte-Sève. Le registre des naissances, alors tenu par le clergé, faisant partie de la collection de la Bibliothèque municipale aurait vu une de ses pages déchirée, cependant, si des pages ont bien été arrachées dans le registre des baptêmes et mariages de 1770 (collection communale), il s'agissait de pages vierges. Le registre de la collection départementale, lui, est indemne.
« L'abbé Livinec (...), nommé curé de Sainte-Sève en 1896, il y connut Mme de Cerny (...) qui lui parla plusieurs fois de la naissance de Napoléon. « Elle me dit qu'on l'avait baptisé à Sainte-Sève et qu'on gardait comme reliques au château de Penanvern et le berceau et les vases qui avaient servi à verser l'eau du baptême. Elle me disait avoir vu et ce berceau et ces vases ; elle affirmait aussi très énergiquement qu'elle avait vu plusieurs fois l'acte de baptême ». Elle déclara aussi à M. l'abbé Livinec que, dès l'arrivée de Napoléon III sur le trône, il envoya quelqu'un de la police secrète à Sainte-Sève pour enlever la page compromettante. »
Edmond Outin affirme que le prénom Napoléon (Nab ab Leon en latin, Na — pour né — à Pol-Léon, ou Né dans l'évêché de Léon) aurait été donné à l'enfant en référence au diocèse du Léon voire à Saint-Pol lui-même.
Le | ]
Selon des statistiques agricoles publiées en 1849 et concernant selon les productions des années comprises entre 1836 et 1846, la totalité de la population de 1836, soit 654 personnes, est considérée comme agricole. La répartition de l'occupation des terres est alors la suivante : 402 terres arables, 422 avoine, 80 froment, 60 orge, 21 seigle, 32 sarrasin, 8 lin, 1 chanvre, 12 trèfle, 20 ajonc d'Europe, 28 jachère, et élevaient 129 chevaux (33 mâles, 85 juments, 11 poulains), 1 âne, 1 190 bovins (dont 801 vaches), 135 porcs, 197 ovins (40 moutons, 120 brebis, 37 agneaux), 10 caprins (2 boucs et 8 chèvres), 145 poules et 37 coqs, 27 canards, et possédaient 50 ruches à miel.
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Sainte-Sève en 1853 :
« Saint-Sève, ou plutôt Sainte-Sève et Sainte-Scève : commune formée d'une ancienne trève de Morlaix [faux : de Saint-Martin-des-Champs] ; aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Fontaine-Blanche, Kervéguen, Penarvern, le Palais, le Cloître. Superficie totale : 998 ha, dont (...) terres labourables 416 ha, prés et pâturages 82 ha, bois 44 ha, landes et incultes 397 ha (...). Moulins 4 (de Fontaine-Blanche, de Penvern, de Mentric, de Penarvern ; à eau). Cette commune, située sur le plateau qui à l'ouest domine Morlaix est à 92 mètres (au point dit de l'Hôtellerie) au-dessus du niveau de la mer. La route de Paris à Brest la traverse d'est en ouest. Sainte-Sève a, depuis quelques années, considérablement progressé sous le rapport des constructions : celles-ci deviennent larges et aérées, au lieu d'être, comme jadis, de véritables bouges [des taudis]. Les fermes y sont presque toutes exploitées en consortises, c'est-à-dire que les enfants partagent entre eux, après la part faite aux parents. On se nourrit, comme dans toute la Basse-Bretagne ; cependant on fait, dans cette commune, une espèce de poudingue composé de farine de blé noir, et qu'on mange avec du lard ou du bœuf fumé. La gale est fréquente ; on l'y traite, non comme ailleurs par la soupe, etc.., mais par la tisane de parelle. Il y a un pardon chaque année. Les paysans cultivent beaucoup l'ajonc pour leur propre chauffage, et vendent à Morlaix tout leur bois de corde. Le nom de Sainte-Sève est en breton santès Séo. Géologie : grès au sud et à l'est du bourg ; schiste argileux à l'ouest. On parle le breton et on entend le français. »
Une épidémie de choléra, partie de Morlaix, touche Sainte-Sève, ainsi que les communes avoisinantes, en 1854 : elle ne provoque toutefois que trois décès (contre 532 à Morlaix par exemple) dans la commune entre le 10 et le .
Un rapport du Conseil général du Finistère indique en que Sainte-Sève fait partie des 27 communes de plus de 500 habitants du Finistère qui n'ont encore aucune école de filles.
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La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Sainte-Sève porte les noms de 18 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; tous sont décédés sur le sol français.
L'Entre-deux-guerres
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Sainte-Sève ː l'église paroissiale Sainte-Sève et son calvaire vers 1920 (carte postale).
En 1924 une société de chasse intitulée "La Sainte-Barbe de Sainte-Sève" est créée à Morlaix?
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Sainte-Sève porte les noms de sept personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale.
François Trévien, un agriculteur de Pénarven, et son employé André Corvez, qui cachaient quatre résistants du « bataillon d'Ornano » (Marcel Le Berre, René Morvan, Hervé Ollivier et Jacques Ollivier), qui faisait partie du maquis FFI de Saint-Laurent en Plouégat-Guérand, furent, en raison d'une dénonciation, arrêtés par la Feldgendarmerie qui cerna la ferme, condamnés à mort par un tribunal allemand comme francs-tireurs le et fusillés le même jour en un lieu inconnu, probablement dans les Côtes-du-Nord. Leurs corps n'ont jamais été retrouvés. Jean Louis Quéguiner est mort en captivité en Allemagne.
L'après-Seconde-Guerre-mondiale
Après un long déclin lié à l'exode rural, la commune a retrouvé dans les dernières décennies un dynamisme lié à la proximité de Morlaix et à sa bonne desserte routière (l'échangeur de Pen ar Prat sur la voie express RN 12 comprend une bretelle desservant Sainte-Sève).
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- H. Guillotel, "Les vicomtes de Léon aux XIe et XIIe siècles", dans "Mémoires de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Bretagne", tome 51, 1971, pages 47-48
- A. De la Borderie, "Saint Tugdual : Texte des trois Vies (Vita) les plus anciennes de ce saint et de son très ancien office, publié avec notes et commentaire historique », dans "Mémoires de la Société archéologique des Côtes-du-Nord", 2e série, t. 2 (1886-1887), p. 99
- "Bulletins et mémoires", Société d'émulation des Côtes-du-Nord, Saint-Brieuc, tome L, 1912, lire en ligne
- Arthur de La Borderie, Les grandes seigneuries de Bretagne. La vicomté ou principauté de Léon, "Revue de Bretagne et de Vendée", 1889, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k207871k/f108.image.r=Daoudour?rk=21459;2
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- François de Beaulieu, "Quand on parle du loup en Bretagne", éditions Le Télégramme, 2004, (ISBN )
- Henri Sée, La Révolution française, Revue d'histoire moderne et contemporaine, Paris, tome 47, juillet-décembre 1904, lire en ligne
- J. Madival et E. Laurent, "Archives parlementaires de 1787 à 1860 : recueil complet des débats législatifs et politiques des Chambres françaises" , imprimé par ordre du Corps législatif. lire en ligne
- Jacques Cambry, "Voyage dans le Finistère, ou état de ce département en 1794 et 1795"
- Rapportée notamment par Gwenc'hlan Le Scouëzec dans son Guide de la Bretagne, Coop Breizh, Spézet, 1997, (ISBN )
- Patricia Gaudé et Didier Rousvoal, Le lien, Revue du Centre Généalogique du Finistère, no 111, septembre 2009
- Elvire de Pressac, comtesse de Cerny (née le à Roscoff, décédée à Plougasnou le au château du Rhun où elle habitait), auteur de Contes et légendes de Bretagne 1856-1898 et Saint-Suliac et ses traditions : contes et légendes d'Ille-et-Vilaine.
- "Le Figaro. Supplément littéraire du dimanche" n° 144 du 8 janvier 1922, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k273413m/f2.zoom.r=Plougasnou.langFR
- Edmond Outin, Napoléon fils du comte Marbeuf (2006)
- Jean-Marie Éléouet, " Statistique agricole générale de l'arrondissement de Morlaix", imprimerie de J.-B. Lefournier aîné (Brest), 1849, consultable lire en ligne
- A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, lire en ligne), page 875.
- Henri Monod, Le choléra (Histoire d'une épidémie − Finistère 1885-1886), Morlaix, 1892 lire en ligne
- Rapport présenté au Conseil général du département du Finistère par Gilbert Le Guay, session d'août 1880, lire en ligne
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- « Société de chasse », Journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
- « », sur cerp22.free.fr (consulté le ).
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Héraldique
Blason | Parti d'azur et d'argent au totem du château d'eau de Pen Frat, mouvant de la pointe et brochant de l'un en l'autre. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
- https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=20418
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