Saint-Jean-Trolimon

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Saint-Jean-Trolimon : descriptif

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Saint-Jean-Trolimon

Saint-Jean-Trolimon [sɛ̃ ʒɑ̃ tʁɔlimɔ̃] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Géographie

Communes limitrophes de Saint-Jean-Trolimon
Baie d'Audierne Tréguennec Plonéour-Lanvern
Baie d'Audierne Saint-Jean-Trolimon
Baie d'Audierne Plomeur

Description

La plage de Tronoen vue de la Pointe de la Torche.

Saint-Jean-Trolimon est située à la pointe de la Bretagne dans le Finistère-sud, en pays Bigouden. La commune dispose d'une façade littorale donnant sur la baie d'Audierne, une partie de la plage de Tronoan (Tronoën) et des dunes la bordant lui appartenant.

Saint-Jean-Trolimon est implantée au sud-ouest du Finistère dans le canton de Plonéour-Lanvern. Elle est située et à 24 Quimper, son chef-lieu d'arrondissement, à 4 kilomètres à l'ouest de Pont-l'Abbé et à 5 Plonéour-Lanvern, dont une langue de terre qui s'avance jusqu'à la mer au niveau de l'étang de Saint-Vio sépare le finage communal en deux parties ; la partie sud, où se trouve le bourg, est aussi au sud et au sud-est limitrophe de Plomeur, et contient comme principaux hameaux Tréganné, Kerfilin, Kérioret, Ouernel, Tronoan et Stand ; tandis que la partie nord, plus petite en superficie, est totalement enclavée dans la commune de Plonéour-Lanvern et contient comme principaux hameaux Kerstrad, Kersine, Kergonan, Kerbascol et Saint-Ivy ; elle correspond à l'ancienne trève de Gorré-Beuzec.

La superficie de la commune est de 1 468 hectares ; son altitude varie entre 0 et 56 mètres.

Linguistiquement, Saint-Jean-Trolimon se situe dans la zone du breton cornouaillais.

Lieux-dits et écarts

Les hameaux de Gorré Beuzec, Kerbascol, Kerlaoudec, etc.. forment une exclave de la commune de Saint-Jean-Trolimon entre les territoires des communes de Tréguennec et Ploneour-Lanvern.

Le lieu-dit de Tronoën, à l'ouest de la commune, donne accès au littoral de la Baie d'Audierne.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Littoral », exposée à un climat venté, avec des étés frais mais doux en hiver et des pluies moyennes.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 amplitude thermique annuelle de 10,4 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pont-l'Abbé à 4 vol d'oiseau, est de 13,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. «  », sur topic-topos.com via Internet Archive (consulté le ).
  2. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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Toponymie

La paroisse de Saint-Jean-Trolimon est notée « Treffrumon » dans des actes de 1389 et 1395, « Trolymon » en 1536, « Saint-Jean-Rumon » en 1690 et « Saint-Jean » en 1815. Les formes anciennes montrent que Trolimon est composé de deux éléments bretons : treff devenu tro, qui signifie « village », ici avec le sens de trève, et d'un nom de saint, Rumon, également honoré à Audierne et dans la Cornouailles britannique. Rumon est l'ancien saint patron de la trève avant qu'il ne soit remplacé par saint Jean (-Baptiste) dans le courant du  siècle,.

En breton, la commune se nomme Sant-Yann-Drolimon.


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  1. a et b «  », Office public de la langue bretonne (consulté le ).

Histoire

Préhistoire

Le sable venu de la Baie d'Audierne, déposé par le vent, a recouvert et conservé intacts sur l'ensemble de la commune une allée couverte et d'importants sites archéologiques de l'âge du fer.

La nécropole gauloise de Kerviltré (Kerveltré) se situe dans un champ dénommé Parc-an-Menhir, en forme de monticule, où s'élevaient autrefois cinq menhirs dont quatre ont été renversés, brisés et leurs pierres en partie utilisées pour des constructions, un seul subsistant avec des traces de six cupules sur l'une de ses faces. Vingt et une urnes cinéraires furent trouvées par le propriétaire qui les brisa, espérant y trouver un trésor caché ; elles contenaient des restes d'os humains calcinés et des bracelets en bronze. Deux autres urnes trouvées en 1874 par le propriétaire contenaient des objets archéologiques qui furent vendus à vil prix à un orfèvre, mais quelques objets conservés furent sauvés par Paul du Chatellier, alors informé de ces découvertes et qui entreprit une campagne de fouille en 1875 qui permit de découvrir d'autres urnes, des squelettes et de nombreux objets archéologiques, ainsi qu'une cachette de fondeur située à proximité. Deux cents mètres plus au nord, un terrain tout couvert de monticules, au nombre d'environ 150, sont les restes des habitations.

La stèle cannelée de Kerveltré, brisée en quatre morceaux, a été réparée au ciment blanc et redressée à une centaine de mètres de son site d’origine.

L' de Tronoën, fouillé par Paul du Chatellier (une statuette en bronze d'Osiris y fut alors découverte) ; le site fut réutilisé par la suite par les Romains : des statuettes votives indiquent qu'il existait à cet endroit un temple consacré à Vénus anadyomène.

D'autres sites préhistoriques existent sur le territoire communal : la cachette de fondeur de Rugaoudal ; la galerie souterraine de Castellou-Peron ; les stèle de Kerbonnevez (qui présente trois cupules à son sommet), de Castellou-Braz et celle située devant l'église datent de l'âge du fer et sont en leucogranite de Pont-l'Abbé.

Époque moderne

Le calvaire de Kerfilin, dit aussi de Kerfilha, ou Croas an Istilli, ou Croas an Esquidi ("Croix des Abcès), avec ses bubons répartis sur le fût qui évoquent la peste, aurait été érigé en 1505 pour remercier le ciel d'avoir mis fin à l'épidémie.

Cette commune est connue pour son rôle lors de la révolte des bonnets rouges survenue en Bretagne en 1675. C'est sur son territoire, à la chapelle de Notre-Dame de Tréminou, que fut discuté et voté l'un des codes paysans.

La chapelle Saint-Evy desservait, pour les baptêmes et les mariages seulement, l'enclave de Gorré-Beuzec, séparée du bourg par une langue de terre de Plonéour-Lanvern qui s’avance vers la mer, les enterrements se célébrant au bourg de Saint-Jean-Trolimon où se trouvait le cimetière.

Révolution française

La trève de Saint-Jean-Trolimon, qui comprenait alors 29 feux, élit deux délégués, Nicolas Le Pape et Jacques Carot, pour la représenter à l'assemblée du tiers-état de la sénéchaussée de Quimper au printemps 1789.

Saint-Jean-Trolimon est érigé en commune lors de la révolution française, sur la base d'une trève qui dépendait de la paroisse de Beuzec-Cap-Caval,. L'enclave de Gorré-Beuzec fut alors rattachée à Saint-Jean-Trolimon contre la volonté de ses habitants qui auraient souhaité être rattachés soit à Plonéour, soit à Tréguennec.

Cette ancienne trève de Beuzec était fort réduite puisqu'elle ne comportait que 14 villages. On y ajouta 12 villages de l'ancienne paroisse-mère de Beuzec, avec la chapelle de Tronoën, ainsi que la totalité de l'enclave de Saint-Evy. La nouvelle commune présentait une bien étrange figure avec un bourg adossé à sa frontière orientale, et un territoire s'étendant jusqu'à l'océan.

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La première moitié du | ]

Jérôme Loëdon, alors curé de Saint-Jean-Trolimon (après avoir été curé constitutionnel de Plomeur), aussi commissaire de la République du canton de Plomeur, organisa une fête en l'honneur des victoires de Napoléon Bonaparte, notamment la prise de Malte le 9 fructidor an VI () dont le compte-rendu a été conservé : on y cria Vive la République ! Vive Bonaparte !  ; à une question demandant dans quelle partie du monde était Bonaparte, en route pour l'Expédition d'Égypte, il répondit « qu'il était là où est la victoire ». Les habitants de Trolimon érigèrent un obélisque, exécuté par leurs mains d'après un dessin de Valentin, avec l'inscription suivante en latin (son texte est dû à Jérôme Loëdon) : « Civi Bonaparte victori, negociatori pacificatori, claro et insigni, hoc gratitudinis publicœ monumentum, erexere hujus communitatis incolœ republicani, ad perpetuam viri memeoriam, anno Reipublicœ sexto, die prima mensis venti ».

Le curé de Pont-l'Abbé écrit en 1810 : « Les habitants de Saint-Jean[-Trolimon] sont privés de pasteur».

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée décrivent ainsi Saint-Jean-Trolimon en 1845 :

« Saint-Jean-Trolimont ; commune formée par le démembrement de Beuzec-Cap-Caval ; aujourd'hui succursale. (...). Principaux villages : Gorre-Beuzec, Kerbascol, Tréganne, Kerfilin, Kerloret. Superficie totale 1 468 hectares dont (...) terres labourables 637 ha, prés et pâturages 540 ha, bois 15 ha, landes ou incultes 230 ha (...). Moulins : 2 (à vent, de Rupape, de Kernavec). Il y a, en outre du bourg, la chapelle Saint-Ivy, qu'il ne faut pas confondre avec l'église du même nom située entre Quimper et Rosporden. Géologie : constitution granitique. On parle le breton. »

La deuxième moitié du | ]

« Non seulement le territoire est (...) restreint, mais il est de valeur inégale, près du cinquième de ses 1 400 hectares étant constitué d'[un] cordon sableux littoral [et de palus], occupé au plus fort de la pression démographique [seconde moitié du Révolution, une minorité [aisée] non négligeable ».

Traditionnellement, chez les paysans aisés, « c'est généralement le dernier ou l'avant-dernier des enfants qui hérite du fermage ou de la propriété des parents. Les aînés partent dès après leur mariage s'ils trouvent une ferme indépendante, parfois après une période de cohabitation avec leurs parents et le cadet recueille la propriété ou le fermage après des aménagements patrimoniaux entre frères et sœurs ». Ce système de transmission du patrimoine diffère du système de dévolution en usage généralement ailleurs, y compris dans le nord du Pays bigouden, où l'exploitation agricole est généralement transmise à l'aîné des enfants.

Fin XIXe la construction de 67 écoles de hameaux a été autorisée dans le Finistère par deux décrets :

  • Le décret du qui a délégué une subvention pour 18 écoles de hameaux sur l'arrondissement de Quimperlé ; toutes ont été bâties.
  • Le décret du qui a délégué une subvention pour 50 écoles de hameaux sur les quatre autres arrondissements du département (Brest, Châteaulin, Morlaix, Quimper) à choisir dans les communes « dont le territoire est le plus étendu et les ressources les plus restreintes » ; 49 ont été bâties dont 1 à Saint-Jean-Trolimon (Kerbascol).

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La Première Guerre mondiale
Saint-Jean-Trolimon : le monument aux morts.

Le monument aux morts de Saint-Jean-Trolimon porte les noms de 38 soldats et marins morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux, trois sont décédés sur le front belge (Jean Briec) est mort le dans les combats de Maissin ; Rolland Quiniou le même jour à Rossignol ; Pierre Gloaguen le à Ypres) ; deux (Michel Souron et Laurent Maréchal) sont disparus en mer ; la plupart de autres sont décédés sur le sol français.

L'Entre-deux-guerres

Une photographie en couleurs (plaque autochrome) de Georges Chevalier, datant de , qui se trouve au Musée Albert-Kahn de Boulogne-Billancourt, représente une "Petite ferme à la sortie du village, Saint-Jean-Trolimon".

Le , Médaille de la famille française.

Le journal L'Ouest-Éclair écrit le que « les nombreux producteurs de pois des palues de Penmarch, Plomeur, Saint-Jean et Tréguennec, dont la récolte des pois est la principale, sinon la seule, ressource, après l'année désastreuse de 1938, ne pourront guère améliorer leur sort cette année ». Le journal L'Humanité écrivait déjà en 1935 : « C'est la misère aussi chez les petits paysans que le Crédit agricole menace de saisies, menace aiguë chez les petits producteurs de pois de Plomeur, Penmarch, Saint-Jean, razziés férocement par le patronat de la conserve ».

La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Saint-Jean-Trolimon porte les noms de 10 personnes mortes pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale ; parmi elles, Georges Le Faou, matelot canonnier, engagé dans les Forces navales françaises libres, disparu en mer lors du naufrage du sous-marin Surcouf (qui aurait été bombardé par erreur par un avion américain) le dans le Golfe du Mexique. Dans les années 1970, l'anthropologue Martine Segalen a consacré plusieurs travaux à cette commune.

L'après Seconde Guerre mondiale

Lors du remembrement effectué en 1961 dans la commune 30 kilomètres de talus sont arasés et 5 kilomètres de vieux chemins supprimés ; de nouveaux chemins d'exploitation sont ouverts pour permettre aux agriculteurs d'accéder à leurs nouvelles parcelles ; avant le remembrement « les parcelles étaient tellement mélangées qu'il nous est arrivé de prendre la moisson du voisin, sans le savoir » témoigne un agriculteur.

  1. Paul du Chatellier, Exploration du cimetière gaulois de Kerviltré en Saint-Jean-Trolimon, "Bulletins et mémoires / Société d'émulation des Côtes-du-Nord", 1877, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2078185/f334.image.r=Treffiagat
  2. Paul du Chatellier, "L'oppidum de Tronoën", 1877
  3. Louis Richard, Statuette en bronze d'Osiris provenant de Tronoën (Finistère), revue "Annales de Bretagne", 1969, consultable http://www.persee.fr/doc/abpo_0003-391x_1969_num_76_1_2517
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  5. P.-L. Gouletquer, Le souterrain de Castellou-Péron en Saint-Jean-Trolimon (Finistère), revue "Annales de Bretagne", 1968, consultable http://www.persee.fr/doc/abpo_0003-391x_1968_num_75_1_2438
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  7. "Archives parlementaires de 1787 à 1860 ; 2-7. États généraux ; Cahiers des sénéchaussées et bailliages", série 1, tome 5, 1879, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k49520z/f514.image.r=Plovan?rk=4206029;2
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  9. http://www.saintjeantrolimon.fr/la-commune/histoire/
  10. a et b Jean-Louis Le Floc'h, "Réorganisation du culte dans le canton de Pont-Croix lors du Concordat de 1801", dans "Le Pays Bigouden à la croisée des chemins", "Actes du colloque de Pont-l'Abbé des 19-20-21 novembre 1992", 1993.
  11. Henri Waquet, "Bulletin de la Société archéologique du Finistère", 1927, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1162784/f171.image.r=Plomeur
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  13. A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome 2, 1845, consultable https://books.google.fr/books?id=9o8DAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=bibliogroup:%22Dictionnaire+historique+et+g%C3%A9ographique+de+la+province+de+Bretagne%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwii4YLAv8beAhUEfBoKHbJ-C_AQ6wEILzAB#v=onepage&q=Saint-Jean-Trolimon&f=false
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  15. Marie-Paule et Bernard Kernéis, Les écoles de hameaux : deux programmes d' envergure à la fin du XIXe siècle dans le Finistère, revue "Le Lien", Centre généalogique du Finistère, http://www.roch-gad.eu
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  19. Journal L'Humanité, n° du 2 juillet 1935, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4054195/f4.image.r=Plomeur?rk=1609450;0
  20. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=14967
  21. Madeleine de Moulins, « C’était quoi, le remembrement agricole en Pays bigouden ? », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).


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Saint-Jean-Trolimon dans la littérature

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 23/12/2024
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