Loc-Envel [lɔk ɛnvɛl] est une commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.
Le nom de la commune en breton est Lokenvel.
Géographie
Localisation
Loc-Envel est située entre la forêt de Coat-an-Noz et celle de Coat-an-Hay. En bas du bourg coule le Guic, qui sépare la commune de celle de Plounévez-Moëdec.
Loc-Envel est la commune la moins peuplée de la Bretagne avec seulement 68 habitants en 2020.
Communes limitrophes de Loc-Envel
Plounévez-Moëdec
Loguivy-Plougras
Belle-Isle-en-Terre
Plougonver
Relief et hydrographie
Le relief de Loc-Envel est accidenté ; le point le plus élevé du finage communal (240 mètres d'altitude) se trouve à sa limite sud-est avec Plougonver et le plus bas (102 mètres d'altitude) à sa limite nord-ouest avec Plounévez-Moëdec et Loguivy-Plougras, dans la vallée du Guic, au niveau de Moulin Bastien, soit un dénivelé de 138 mètres. Le bourg, situé dans un site en pente vers l'ouest, est vers 140 mètres d'altitude.
Le réseau hydrographique est consttué principalement du Guic, affluent de rive gauche du Léguer, qui sert de limite nord à la commune et de deux de ses affluents : le ruisseau de Lan Scalon, qui traverse la partie ouest du territoire communal, et un autre, qui sert de limite occidetale à la commune.
Géologie
Le gisement ferrifère de Belle-Isle-en-Terre s'étend du nord de Lohuec à l'ouest jusqu'à Gurunhuel à l'est en passant par Loc-Envel.
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat de la Bretagne et Climat des Côtes-d'Armor.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (6 . Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 amplitude thermique annuelle de 11 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lannion à 24 vol d'oiseau, est de 11,6 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Transports
La commune, isolée, n'est desservie que par des routes secondaires d'intérêt local.
Paysages et habitat
« Locquenvel [Loc-Envel] est située sur une élévation et domine le paysage, qui est magique. C'est un des sites les plus curieux et les plus jolis que l'on puisse rencontrer. Devant soi la vallée du Guic et les hautes collines des anciennes landes, sur les côtés des bosquets et la belle forêt de Coat-an-Noz (...) . Derrière la vallée de Locquenvel on aperçoit Plougonver et La Chapelle-Neuve. Le paysage, avons-nous dit, est féérique et aussi curieux à visiter que toute la Bretagne (...) » écrit La Dépêche bretonne en 1894.
Louis Gallouédec décrit ainsi Loc-Envel en 1910 : « Cinq ou six maisons disposées sans ordre, aux murs en moellons de granit rejointés à la chaux, aux ouvertures relativement étroites et peu nombreuses ; une petite église entourée du cimetière. (...) La population vit dispersée dans la campagne.
La commune a de nos jours totalement conservé son caractère rural traditionnel et son paysage de bocage avec un habitat dispersé en hameaux ; le bourg est de faible importance. « La spécificité de Loc-Envel est qu'il reste un village authentique. Typiquement breton », explique Virginie Doyen, la maire.
Le bourg de Locquenvel (Loc-Envel) en 1910 (photographie de Paul Gruyer).
Le bourg de Loc-Envel et l'église Saint-Envel.
Le bourg de Loc-Envel vu depuis l'église Saint-Envel.
↑ Louis Chauris, "Minéraux de Bretagne", éditions du Piat, 2014, (ISBN ).
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
↑ « », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
↑ « », sur fr.distance.to (consulté le ).
↑ « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
↑ « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
↑ « », sur meteofrance.fr, (consulté le )
↑ « Locquenvel, ses environs et la légende de saint Envel », La Dépêche bretonne, (lire en ligne, consulté le ).
↑ Louis Gallouédec, La France : principaux aspects du globe : ouvrage rédigé conformément aux nouveaux programmes du 20 juillet 1909 : 2e édition revue et corrigée, Paris, Hachette, (lire en ligne), page 235.
↑ Paul Kerneïs, « Loc-Envel, terre de légendes », Journal Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Louguenmael et Louguemael vers 1330, Locquenmel au début du .
Loc-Envel vient de l’ancien breton lok (« lieu consacré ou sacré ») et de saint Envel (ou Guenvel ou Gwenvel ou Winmaël), venu de Grande-Bretagne au loups. Pendant des siècles les loups ont été très redoutés à Loc-Envel, situé en bordure d'une très grande forêt. Selon une légende locale, saint Envel se serait réveillé d'une sieste au moment où un loup achevait de dévorer son âne ; par la grâce de Dieu, saint Envel aurait contraint le loup à se soumettre au joug pour remplacer l'âne ; depuis ce jour, on aurait plus vu de loup à Loc-Envel.
Selon Bernard Tanguy son nom résulte d'une fausse coupe du toponyme Gwenvel.
↑ Office Public de la Langue Bretonne, « ».
↑ « », sur infobretagne.com (consulté le ).
↑ « », sur infobretagne.com (consulté le ).
↑ Louis Vallée, « Loc-Envel. L'église M. H. », Comptes rendus, procès-verbaux, mémoires... : agriculture, archéologie. Association bretonne et Union régionaliste bretonne, , page 60 (lire en ligne, consulté le ).
↑ Société des traditions populaires (Paris), « Les loups de Coat-an-Noz », Revue des traditions populaires, .
↑ Bernard Tanguy, Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses des Côtes-d'Armor, 1992.
Histoire
Préhistoire
Deux dolmens renversés se trouvaient encore vers la fin du .
Moyen-Âge
Loc-Envel serait une paroisse issue de celle de l'Armorique primitive de Plougonver et était le siège d'un prieuré Saint-Armel dépendant de l'abbaye de Saint-Jacut, laquelle disposait d'un droit de haute justice sur les paroissiens.
L'emplacement actuel de l'église a accueilli l'ermitage de l'abbé Envel au VIe siècle.
Le bourg de Loc-Envel (concaténation de « lok », signifiant lieu saint et Envel, du nom de l'abbé) fait partie de la paroisse de Plougonver sous l'Ancien Régime.
Temps modernes
Un baron de Quelen (ramage de Poher) était seigneur de Loc-Envel en 1512.
Des mines de zinc et d'argent, dont on trouve encore la trace dans la forêt de Coat-an-Noz, sont exploitées à partir de 1740.
Révolution française
Le cahier de doléances de Loc-Envel est approuvé lors de la réunion du général de la paroisse le 16 mars 1789 ; il reprend largement le contenu d'un cahier de doléances rédigé par 10 paroisses de Rennes. François Blanchard est élu pour représenter la paroisse à l'assemblée générale du tiers-état de la sénéchaussée.
Le mouvement contre les domaines congéables, dont la suppression est dmandée dans de nombreux cahiers de doléances, partit de « cette région forestière, encore aujourd'hui si difficile à atteindre, de Gurunhuel, Loc-Envel, Loguivy-Plougras, courbée plus que toute autre sous le joug des propriétaires nobles, dont l'absentéisme presque permanent permettait à l'intendant de gérer les biens à peu près à leur guise » écrit L. Dubreuil en 1909.
| ]
La commune de Loc-Envel naît en 1790 (détachée de celle de Plougonver), est supprimée et rattachée à celle de Belle-Isle-en-Terre en 1805 et est enfin rétablie en 1820.
Loc-Envel compte 250 fondeurs, charbonniers et bûcherons en 1838 vivant pour la plupart dans des cabanes le long de la forêt de Coat-an-Noz ; de nombreux sabotiers vivaient aussi dans la commune. En 1843, l'activité sidérurgique cesse, concurrencée par de nouveaux procédés, celui du coke notamment et la commune vit principalement de l’exploitation forestière jusqu'au début du XXe siècle.
A. Marteville et P. Varin, continuateurs de Jean-Baptiste Ogée, décrivent ainsi Loc-Envel en 1843 :
« Locquenvel, autrefois Loc-Envel ; commune formée d'une ancienne paroisse de l'évêché de Tréguier, qui nous semble omise par Ogée ; aujourd'hui succursale. (...). Principaux villages : Goerguin-Huellan, Run-Moan, Roz-Angoff, Lanvic, Coz-Milin. Superficie totale : 336 hectares 10 ares dont (...) terres labourables 112 ha, prés et pâturages 26 ha, bois 34 ha, vergers et jardins 5 ha, landes et incultes 143 ha (...). Moulins : 6 (de Locquenvel, ar-Illey, Bastion ; à eau). Géologie : roches amphiboliques ; gneiss dans le nord ; minerai de fer exploité par la forge de Coatannos [Coat-an-Noz]. On parle le breton. »
Joachim Gaultier du Mottay écrit en 1862 que Locquenvel possède une école de garçons ayant 24 élèves, que le territoire de la commune est « accidenté avec pentes au nord et au sud, bien boisé et peu planté de pommiers ; fertile ; arrosé par les rivières le Gouic et le Scalon, et par les ruisseaux de Goascol et de Saint-Sébastien ; couvert en partie par la forêt de Coat-an-Noz » ; Locquenvel a possédé une chapelle Saint-Sébastien, qui était alors ruinée, qui dépendait du manoir de Lanvic, désormais converti en ferme.
Le | ]
La Belle Époque
Le 4 novembre 1901, le conseil municipal de Locquenvel demande la substitution du nom « Loc-Envel » à celui de « Locquenvel » (forme orthographique en usage depuis 1820), car c'est l'orthographe étymologique. Le 8 avril 1902, le Conseil général des Côtes-du-Nord émet un avis favorable à cette demande et une décision ministérielle autorise le changement de nom en août 1902.
Léonce Levraud, député de la Seine, affirme le 19 juin 1902 dans une intervention à la Chambre des députés qu'à Locquenvel « le territoire appartient à peu près en entier aux princes de Lusinge-Faucigny » et que lors des élections législatives de 1902 « l'électeur arrivait, prenant des mains des gardes particuliers (...), en permanence sur le terre-plein, un bulletin au nom de M. du Roscoat, puis montait un petit perron et le remettait au prince [le maire Ferdinand Faucigny-Lucinge], qui n'a pas quitté l'urne un instant, de sorte qu'en faisant ces quatre ou cinq mètres, il était impossible à l'électeur de changer son bulletin ».
En 1902, « Mme la princesse Ferdinand de Lucinge-Lusigny, dont le mari a donné sa démission pour protester contre la laïcisation de l'école des filles (décidée le 12 septembre 1902) qu'il refuse de notifier aux Sœurs, va ouvrir une école libre où elle remplira les fonctions d'institutrice » écrit le journal La Croix ; ceci « pour assurer aux enfants une instruction chrétienne » précise le journal Le Figaro.
Le bourg de Loc-Envel au début du Émile Hamonic).
L'église paroissiale de Loc-Envel au début du XXe siècle.
Loc-Envel : paysage sur le Guic.
Le 12 mars 1906, l'inventaire des biens d'église ne put avoir lieu à Loc-Envel, l'église étant fermée.
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Loc-Envel porte les noms de 19 soldats morts pour la Patrie pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux un (François Guichebaron) est mort en mer en 1915, victime du naufrage du cuirassé Bouvet ; un autre (Yves Augel) est mort en Belgique en 1917 ; la, plupart des autres sont morts sur le sol français.
L'Entre-deux-guerres
François-Marie Cadec, émigré aux États-Unis, légua par testament en date du 20 juillet 1916 13 000 francs pour ériger une slèle pyramidale dans le cimetière, surmontée d'une statue de l'ange Gabriel, à la mémoire des morts pour la France. Sa volonté fut respectée.
Loc-Envel ː l'église paroissiale Saint-Envel en 1926.
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Loc-Envel porte les noms de 9 personnes mortes pour la France durant la Seconde Guerre mondiale ; toutes étaient des résistants FFI : Lucien Augel et ses fils Lucien Augel et Robert Augel ont été fusillés le 13 novembre 1944 à Außenlager Husum-Schwesing (Allemagne) ; Yves Toudic, lui aussi résistant FFI, également, ainsi qu'Yves Derriennic ; Marcel Le Guillermic, Paul Nogré et Maurice Peigné, tous les trois aussi résistants, ont été fusillés le 23 juin 1944 à Saint-Jacques-de-la-Lande (Ille-et-Vilaine) ; Théophile Omnès est mort en déportation en Allemagne.
L'Après Seconde Guerre mondiale
↑ « », sur megalithes-breton.fr (consulté le 10 janvier 2024).
↑ René Largillière, « Locquenvel et ses saints », Bulletins et mémoires / Société d'émulation des Côtes-du-Nord, 1924, lire en ligne, consulté le 9 janvier 2024).
↑ Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Étymologie et histoire de Loc-Envel
↑ Pol Potier de Courcy, Nobiliaire et armorial de Bretagne : Tome 2, Nantes, V. Forest et E. Grimaud, 1862 (lire en ligne), page 307.
↑ « », sur infobretagne.com (consulté le 9 janvier 2024).
↑ L. Dubreuil, La Révolution dans le département des Côtes-du-Nord, Paris, 1909, pages 82 et 83.
↑ Jean Ollivro, "Bretagne. 150 ans d'évolution démographique", Presses Universitaires de Rennes, 2005, (ISBN ).
↑ A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Rennes, Molliex, 1843 (lire en ligne), page 514.
↑ Joachim Gaultier du Mottay, Géographie départementale des Côtes-du-Nord, Saint-Brieuc, Guyon frères, 1862 (lire en ligne), pages 466-467.
↑ Côtes-d'Armor. Conseil général, « Affaires diverses. Chapitre IV », Rapports et délibérations / Conseil général des Côtes-d'Armor, avril 1902, pages 66 à 68 (lire en ligne, consulté le 9 janvier 2024).
↑ « Côtes-du-Nord. Séance du 8 avril 1902 », La Dépêche de Brest et de l'Ouest, 9 avril 1902 (lire en ligne, consulté le 13 janvier 2024).
↑ « Loc-Envel », La Dépêche de Brest et de l'Ouest, 27 août 1902 (lire en ligne, consulté le 13 janvier 2024).
↑ « Chambre des députés. Séance du 19 juin 1902 », Journal officiel de la République française. Débats parlementaires. Chambre des députés : compte rendu in-extenso, 19 juin 1902, page 1903 (lire en ligne, consulté le 10 janvier 2024).
↑ « Les écoles des Côtes-du-Nord », L'Univers, 14 septembre 1902 (lire en ligne, consulté le 10 janvier 2024).
↑ « Réouverture d'écoles », Journal La Croix, 9 septembre 1902 (lire en ligne, consulté le 9 janvier 2024).
↑ « La fermeture des éoles congréganistes », Journal Le Figaro, 8 septembre 1902, page 3 (lire en ligne, consulté le 10 janvier 2024).
↑ « Côtes-du-Nord. Les inventaires des biens d'église », Journal L'Ouest-Éclair , 15 mars 1906, page 4 (lire en ligne, consulté le 13 janvier 2024).
↑ a et b« », sur memorialgenweb.org (consulté le 27 février 2021).
↑ Annick Mévellec et Bernard Carré, « Les monuments aux morts des Côtes-d'Armor. Contribution à l'histoire de leur érection », Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne, date inconnue, page 339 (200912.pdf, consulté le 12 janvier 2024).
↑ « La commune célèbre ses résistants victimes des nazis », Journal Ouest-France, 15 octobre 2014 (lire en ligne, consulté le 11 janvier 2024).
↑ « », sur fusilles-40-44.maitron.fr (consulté le 11 janvier 2024).
Erreur de référence : Des balises <ref> existent pour un groupe nommé « Note », mais aucune balise <references group="Note"/> correspondante n’a été trouvée
Héraldique
Blason
Parti: au 1er d'argent au loup assis de sable en chef, au 2e de sinople à la paire de sabots d'or en pointe, rangés en bande et celui de senestre branchant sur l'autre; au bâton de prieur d'or brochant en barre sur le tout.
Si vous préférez continuer sur le site en français, cliquez sur "Annuler". Si vous annulez, ce message n'apparaîtra plus durant la session.
You are on the French version of the site, but your system indicates that you prefer to use the English language. The entire site is not translated yet, but the menus and buttons on the interface are largely translated.
U bevindt zich op de Franse versie van de site, maar uw systeem geeft aan dat u liever de Nederlandse taal gebruikt. De hele site is nog niet vertaald, maar de menu's en knoppen op de interface zijn grotendeels vertaald.
Sie befinden sich in der französischen Version der Website, Ihr System gibt jedoch an, dass Sie die deutsche Sprache bevorzugen. Die gesamte Site ist noch nicht übersetzt, aber die Menüs und Schaltflächen auf der Benutzeroberfläche sind weitgehend übersetzt.
28/11/2024 04:07:02 Cette version de la page est en cache (à la date du 28/11/2024 04:07:02) afin d'accélérer le traitement. Vous pouvez activer le mode utilisateur dans le menu en haut pour afficher la dernère version de la page.
Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 30/10/2024 Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-bre/261992.html
L'infobrol est un site personnel dont le contenu n'engage que moi. Le texte est mis à disposition sous licence CreativeCommons(BY-NC-SA). Plus d'info sur les conditions d'utilisation et sur l'auteur.