Bourbon-Lancy

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Bourbon-Lancy : descriptif

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Bourbon-Lancy

Bourbon-Lancy est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté. Elle est connue, notamment, pour sa station thermale, qui est la dernière encore en activité en Bourgogne avec celle de Saint-Honoré-les-Bains.

Géographie

Localisation

Bourbon-Lancy est une petite cité médiévale dans le sud-ouest de la Bourgogne. Elle est située à l’extrémité ouest du département de Saône-et-Loire, à la limite avec l’Allier et la Nièvre. Bourbon-Lancy est à 27 Digoin, à 35 Moulins et à 55 Montceau-les-Mines.

Rose des vents Lesme Vitry-sur-Loire Maltat Rose des vents
Garnat-sur-Engièvre
(Allier)
Beaulon
(Allier)
N Mont
O    Bourbon-Lancy    E
S
Saint-Aubin-sur-Loire Gilly-sur-Loire Chalmoux

Voies de communication et transports

La commune est accessible par autocar depuis Moulins (Réseau départemental trans’allier).

Géologie et relief

Deux unités géologiques existent : le socle primaire du Morvan à l'est et la Limagne tertiaire à l'ouest ; elles sont séparées par une grande dislocation (rupture de couches terrestres) qu'empruntent les sources thermales pour venir au jour.

Hydrographie

On compte un ruisselet, dit le Borne. La Loire se trouve à trois kilomètres.

Les thermes

Les bains de Bourbon-Lancy sont réputés pour soigner les rhumatismes. On compte plusieurs sources chaudes : la Limbe (58 .

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 amplitude thermique annuelle de 16,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vitry/loire », sur la commune de Vitry-sur-Loire à 9 vol d'oiseau, est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42 ,,.

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. Site des transports de l'Allier (consulté le 6 octobre 2009).
  2. J.F. Destombes, «  », sur infoterre.brgm.fr, .
  3. Fascicule Guide de Bourbon-Lancy, 1955, p. 5.
  4. Fascicule Guide de Bourbon-Lancy, 1955, p. 21.
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  11. «  », sur meteofrance.com, (consulté le ).


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Toponymie

Le nom de la commune, composé de Bourbon et de Lancy, a deux origines différentes : le nom de Bourbon viendrait du gaulois borua, de l'ancien français borbe/bourbe comparable à l'occitan borba, « boue, bourbier », tous deux d'origine gauloise avec le mot borba/borva, source bouillonnante, d'où la boue qu'elle produit, de Borvo ou encore Bormanus un surnom d'Apollon qui aurait donné Bourbon mais aussi La Bourboule dans le Puy-de-Dôme ou, dans l'Allier, Bourbon-l'Archambault. Le surnom de Lancy viendrait d'un ancien seigneur nommé Ancellus.

  1. Coll., Notes historiques et médicales sur l'établissement thermal de Bourbon-Lancy, (Saône-et-Loire) : renseignements, tarifs, eaux chlorurées sodiques., Paris, Baillière et fils, , 38 p. (Consultable sur BNF/Gallica), Chap. 1. Étymologie du nom de Bourbon-Lancy p. 7.
  2. Jean-Paul Savignac, Dictionnaire français-gaulois, 2004, La Différence, p. 67

Histoire

Antiquité

Dédicace à Borvo et Damona, les divinités tutélaires du sanctuaire de source antique de Bourbon-Lancy (Autun, musée Rolin).

Bourbon-Lancy est surtout connue depuis l’Antiquité pour ses eaux thermales qui, des Romains aux curistes du rhumatismes.

L'agglomération d'époque romaine, située sur le territoire du peuple des Éduens, semble s'être développée sous les règnes des empereurs Auguste et Tibère en périphérie d'un important sanctuaire des eaux dont les divinités tutélaires, Borvo / Apollon et Damona, sont connues par plusieurs inscriptions antiques trouvées dans la commune. Ce lieu de culte devait se trouver à proximité des thermes actuels, qui recouvrent les captages de source et les thermes romains, encore visibles au XVIIe siècle. Un important réseau de galeries antiques liées à l'évacuation des eaux est encore conservé sous le parc thermal. Le lieu de culte, ses sources d'eaux chaudes et son bois sacré sont décrits de manière allusive par un orateur éduen dans un discours d'invitation à l'empereur Constantin en 310.

Dans sa plus grande extension, l'agglomération d'époque romaine s'étendait des thermes aux environs de l'église Saint-Nazaire et au plan d'eau du Breuil. La ville figure sur la table de Peutinger sous le nom d'Acquis Bormonis. Outre les activités liées au sanctuaire, l'agglomération abritait des activités artisanales dont des ateliers de production de statuettes en terre cuite à l'emplacement du plan d'eau du Breuil.

Moyen Âge et Renaissance

L'agglomération du haut Moyen Âge est documentée par la découverte de sarcophages à l'emplacement de l'ancienne église Saint-Martin et de monnaies des empereurs byzantins Zénon et Justinien. Elle abrite alors un atelier monétaire qui frappe des monnaies à la légende BORBON CAS(TRUM).

Sur l'éperon surplombant les thermes, on bâtit durant le Moyen Âge un château fort orné de sept tours. La ville compte comme patrimoine médiéval un beffroi (qui auparavant était garni d'un pont-levis et d'une grille), le vieux quartier et un rempart, ainsi qu'une église (église Saint-Nazaire, datant du roman primitif, qui lui vaut d'être membre des sites clunisiens. Elle a été le « bailliage le plus occidental de la Bourgogne ».

Bourbon-Lancy constituait une baronnie. Au d'Uchon étaient aux Semur de Luzy puis aux Châteauvillain. Mais bien auparavant, depuis le l'Arroux en Autunois, comme l'a montré l'historien Jean Richard,, dont les membres se nommaient notamment Ancéis (Ansei, Anséide, Ansedeus), et Bourbon l'Ancéis s'est transformé en Bourbon-Lancy. Cette famille a donné de nombreux rameaux à la généalogie compliquée : les Montperroux, les Clessy (cf. la postérité naturelle du duc Louis) etc. Il est plausible que par des mariages Bourbon-Lancy soit passé aux Semur, puis aux Châteauvillain.

  • de Châteauvillain († 1313 ; fils de de Broyes-Châteauvillain) possédait Luzy, ainsi que Thil-sur-Arroux, Uchon, Bourbon-Lancy et Semur (terres qu'il engage un moment au duc Robert en 1282). Son fils cadet Guy/Guyot de Châteauvillain-Luzy († 1288), transmet Luzy et Semur à son fils Jean († 1339), alors qu'Uchon et Bourbon passent à sa fille Marie († ap. 1335), qui épouse en 1311 Guillaume II de Mello (né vers 1280/1285-† v. 1326), seigneur d'Époisses et de Givry.
  • Les Mello vont tenir Uchon et Bourbon jusqu'à la fin du connétable Dreu IV et petit-neveu de Dreu V de Mello - et d'Agnès de Saint-Vérain) et sa femme Marie de Châteauvillain-Luzy les transmettent à leur dernier fils Guy de Mello († v. 1370) puis à une fille de ce dernier, Marie de Mello, femme de Guillaume de La Trémoïlle († v. 1397 ; maréchal de Bourgogne, oncle de Georges).
    • Les La Trémoïlle — comtes de Joigny et sires d'Antigny à la génération suivante car Guy de La Trémoïlle († av. 1438), le fils de Guillaume et Marie de Mello, marie Marguerite de Noyers, héritière de Joigny et d'Antigny — assument Uchon et Bourbon avec Louis de La Trémoïlle († sans postérité vers 1467 ; fils de Guy et Marguerite), puis sont continués à Bourbon par les Vergy d'Autrey (car une sœur de Louis, Claude de La Trémoïlle († v. 1438/1440), dame d'Antigny et de Bourbon-Lancy — alors qu'Uchon passe à leur sœur aînée Jeanne de La Trémoïlle, comtesse de Joigny — épouse en 1434 Charles de Vergy d'Autrey, † 1467), les Vergy de Champvans (car la petite-fille de Claude et Charles de Vergy, Marguerite de Vergy d'Autrey († 1472), fille de leur fils Antoine de Vergy († v. 1458), marie en 1469 sans postérité son cousin Guillaume IV de Vergy-Champvans et Champlitte, † v. 1520), enfin par les Talmay :
    • car Guillemette de Vergy d'Autrey (v. 1440-1504), sœur d'Antoine et tante de Marguerite de Vergy ci-dessus, dame de Frôlois et d'Antigny, héritière de Bourbon-Lancy en 1472, épouse 1° 1451 Guillaume de Pontailler-Talmay (d'où la suite d'Antigny), puis 2° 1476 Claude de Toulongeon de La Bastie (-sur-Cerdon) († v. 1503 ; fidèle du Téméraire puis de Marie et Maximilien, chevalier de la Toison d'Or en 1482, sire de Sennecey en 1483 ; fils d'Antoine (1385-1432) qui fut sire de Buxy, La Bastie, Montrichard, Traves, St-Aubin, maréchal de Bourgogne, chevalier de la Toison d'Or en 1430).
    • Mais la baronnie de Bourbon-Lancy est alors vendue à Anne de Beaujeu (1461-1522 ; duchesse de Bourbon et d'Auvergne, dame de Beaujeu, fille de Louis XI et sœur de Charles VIII). Après la chute de son gendre le connétable-duc Charles de Bourbon (1490-1527), les duchés de Bourbon et d'Auvergne passent à Louise de Savoie (1476-1531 ; mère du roi François) vers 1527/1528, puis sont rattachés à la Couronne en 1531 par (comme le duché de Bourgogne, dès 1477, par Louis XI), et Bourbon-Lancy l'est aussi.
  • Gilbert-Charles Le Gendre (1688-1746), marquis de St-Aubin en 1718 sous la Régence (un fief que son père Charles Le Gendre († 1702) avait acheté en 1652), acquiert aussi la terre de Bourbon-Lancy cette même année 1718 par aliénation de la Couronne à son profit. Bourbon suit désormais le sort féodal de St-Aubin :
    • achat par les du Crest en 1752 (Pierre-César du Crest (1711-1763), père de Mme de Genlis) ; par Charles-Guillaume Le Normant d'Étiolles (1717-1799 ; mari de la marquise de Pompadour) en 1757 jusqu'en 1770 (puis retour à la Couronne : Louis XV) ; enfin par Charles-Jean-Baptiste des Gallois de La Tour (1715-1802 ; arrière-petit-fils de Charles Le Gendre († 1702) ci-dessus) en 1771. Marquis de St-Aubin et vicomte de Gléné, sire de la Tour (-Chalabran), Chezelles et Dompierre, premier président du Parlement de Provence et intendant de la généralité d'Aix, Charles-Jean-Baptiste des Gallois sera ainsi le dernier seigneur de Bourbon-Lancy, abordant la Révolution en position fort délicate à Marseille.

En 1580, Henri III envoie son premier médecin, Miron, son premier architecte, Androuet du Cerceau, et son contrôleur des bâtiments, Donon, à Bourbon-Lancy pour remettre en état les bains et préparer le séjour de la reine, Louise de Lorraine, atteinte de stérilité. Il leur faut très vite « remettre aucunement l'ancienne commodité des bains accablés et confondus dans leurs ruines, destoupper les canaux, tant des fontaines que de la vuidange desdicts Bains, où déjà la longueur du temps avoit ensevely le nom avec la forme de la chose ». Louise de Lorraine y séjourne d’août à novembre 1580. Elle y revient en 1582 et 1583 pour tenter, en vain, de devenir enceinte.

Période moderne

En 1622, la commune accueille des membres des frères mineurs capucins ; le 10 mars 1658, elle les dote d'une aide de 40 livres, « attendu qu'ils sont grand nombre de religieux et que les aumônes qui leur sont données par les habitants de cette ville ne sont pas suffisantes pour les faire subsister, et que journellement ils rendent de signalés services aux dits habitants ».

Période contemporaine

Bourbon-Lancy est chef-lieu de district de 1790 à 1795. En 1793, à l'instar de quelque cent cinquante autres communes de Saône-et-Loire, change de nom et devient provisoirement Bellevue-les-Bains, avant de reprendre son nom dès 1795.

Au Étienne Jean François d'Aligre fait bâtir un hôpital, par philanthropie, déboursant quatre millions de francs or ; une statue du marquis et de son épouse, ainsi que des armoiries dispersées rappellent leur don. En juin 1904, des inondations submergent en partie la ville.

  1. CIL XIII, 2805, 2806, 2807, 2808, 2809.
  2. Comier, "Lettre touchant les eaux minérales de Bourbon-Lancy", Mercure Galant, juillet 1681, p. 175-198.
  3. Barriquand L., "Le collecteur d'eau gallo-romain des thermes de Bourbon-Lancy", in Notet J.-C. (dir.), 20 ans d'Archéologie en Saône-et-Loire, Montceau-les-Mines, CDRA 71, 2019, p. 15-22.
  4. Panégyriques latins, VII, 22.
  5. P. Barrière, « Lignes de terre et lignes d'eau d'après la Table de Peutinger », revue des études anciennes, DOI 10.3406/rea.1943.3250).
  6. [Notet et al. 1989] Jean-Claude Notet, Micheline Rouvier-Jeanlin et Martine Joly, Bourbon-Lancy (Saône-et-Loire) : Un atelier de figurines en terre cuite gallo-romaines (les fouilles du Breuil : 1985/86), Paris, éd. de la Maison des Sciences de l'Homme, ISBN ).
  7. Communication de MM. A. Héron de Villefosse et M. Boirot, séance du 6. 11. 1912, Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France, 1912, p. 395-405
  8. Boirot M., Histoire de Bourbon-Lancy. Manuscrit dactylographié, sans date. Conservé à la Mairie de Bourbon-Lancy, p. 170.
  9. Prou M., Catalogue des monnaies françaises de la Bibliothèque Nationale. Catalogue des monnaies mérovingiennes. Paris, 1892, n° 146-147, pl. III, n° 12.
  10. Fascicule Guide de Bourbon-Lancy, 1955, p. 9.
  11. Fascicule Guide de Bourbon-Lancy, 1955, p. 4.
  12. «  », sur Les Bourbons du Val d'Arroux et de Montperroux, par Gilles Auloy et Hervé Mouillebouche.
  13. «  », sur MedLands.
  14. «  », sur Mémoires de la Société éduenne, t. XV (1887) et t. XVI (1888).
  15. «  », sur MedLands.
  16. «  », sur MedLands.
  17. «  », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2005 et 2022.
  18. «  », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2005 et 2022.
  19. «  », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2007 et 2021.
  20. «  », sur Geneanet, arbre de "Fraternelle".
  21. SCHEID John, NICOUD Marilyn , BOISSEUIL Didier, et al., Le thermalisme, Paris, Ed.CNRS, 2015, Chapitre Médecine et thermalisme à l’époque moderne : suivisme des pratiques et plasticité doctrinale dans les recueils de consilia et consultations français (milieu xvie siècle-début xixe siècle) de COSTE Joël, p.233
  22. Aubery J., Les bains de Bourbon Lancy et Larchanbaut, Paris, Perier, 1604, p. 54-5 cité par Joël COSTE, op; cit. p. 233
  23. Boucher Jacqueline, Deux épouses et reines à la fin du xvie siècle : Louise de Lorraine et Marguerite de France, Saint-Etienne, Publications de l’université de Saint-Etienne, 1995
  24. Fascicule Guide de Bourbon-Lancy, 1955, p. 14.
  25. Henri Nicolas, Quand l'Assemblée constituante esquissait les contours du département de Saône-et-Loire, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 6 (octobre 1970), pp. 2-3.
  26. E. Lauxeur, Les changements de noms des communes de Saône-et-Loire pendant la Révolution, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 4 d'avril 1970, pages 9 à 13
  27. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini
  28. Fascicule Guide de Bourbon-Lancy, 1955, p. 19.
  29. Fascicule Guide de Bourbon-Lancy, 1955, p. 6.

Héraldique

Blason
D'azur au lion d'or accompagné de huit coquilles du même rangées en orle.
Détails
Armes des premiers seigneurs de Bourbon-l'Archambault.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Brian Timms mentionne l’existence d’une variante blasonnée ainsi : « d’or au lion de gueules, à l’orle de huit coquilles d’azur » qui, selon lui, aurait été mentionnée pour la première fois dans un document en 1631. Ces armes, qui étaient celles des seigneurs de Bourbon (-l'Archambault) de la famille de Dampierre (1196-1296), auraient pu être octroyées à la ville par Eudes de Bourgogne (1230-1269), comte de Nevers, d’Auxerre et de Tonnerre, duc héritier de Bourgogne, époux à partir de 1248 de Mathilde II de Bourbon (v. 1234-1262), dame de Bourbon.

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 30/10/2024
Source du document imprimé : https://www.gaudry.be/lieu/fr/fr-bfc/33463.html

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