Saint-Gervais-les-Bains

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Saint-Gervais-les-Bains : descriptif

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Saint-Gervais-les-Bains

Saint-Gervais-les-Bains est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes

Elle se situe dans le Val Montjoie, en haute-vallée de l'Arve, dans la province historique du Faucigny, et que l'on nomme le pays du Mont-Blanc.

Géographie

Localisation

Borne de nivellement sur le mur de l'église: altitude 809 m.

La commune de Saint-Gervais, située sur les contreforts de la rive gauche de l'Arve, se trouve dans la haute-Vallée de l'Arve, qui correspond à la région historique et naturelle du Faucigny. Cette partie porte le nom depuis quelques années de pays du Mont-Blanc, nom que l'on trouve également avec la communauté de communes Pays du Mont-Blanc, créé en 2013. Le territoire de la commune recouvre une superficie de 8 720 ). Son territoire s'étale des rives de l'Arve situées à 590 mont Blanc. Le dénivelé est considéré comme l'un des plus importants pour une commune française.

A très haute-altitude la frontière franco-italienne (tracée en 1860) n'est pas matérialisée sur le terrain. Il en résulte un désaccord entre les deux Etats. Au titre des revendications françaises autour du mont Blanc, Saint-Gervais-les-Bains possèderait une exclave sur le versant sud englacé du dôme sommital, la frontière franco-italienne passant alors légèrement en contrebas au niveau du mont Blanc de Courmayeur. La commune serait ainsi l'une des deux plus élevées de France et d'Europe occidentale, à 4 806 Chamonix-Mont-Blanc, qui partage le sommet sur son versant nord. L'Italie revendique le territoire de cette enclave au profit de Courmayeur.

Les communes limitrophes avec Saint-Gervais-les-Bains sont : Passy, Les Contamines-Montjoie, Megève, Combloux, Demi-Quartier, Domancy, Les Houches et Chamonix pour la France, et Courmayeur pour l'Italie.

Rose des vents Domancy Passy Les Houches
Chamonix-Mont-Blanc
Rose des vents
Combloux
Demi-Quartier
N Mont Blanc
O    Saint-Gervais-les-Bains    E
S
Megève Les Contamines-Montjoie Courmayeur
( Italie)

Géologie et relief, hydrographie

Le mont Blanc.

Altitude de la station : de 850 à 4 806 , le viaduc de Saint-Gervais dont la première pierre est posée le 10 avril 2010 est qui est inauguré en 2012.

Morphologie urbaine

La commune de Saint-Gervais possède de nombreux hameaux ou villages ou écarts : Le Bettex, les chalets de Miage ; les chalets du Truc ; le Champel ; Bionnassay ou encore l'ancienne commune de Saint-Nicolas-de-Véroce.

La commune est organisée en quartiers ou hameaux : Le Bettex, Bionnay ; avenue de Miage et route des Contamines ; Saint-Nicolas-de-Véroce ; Mont Paccard ; Ma Forêt ; Vernet, La Perette, Les Pratz et Les Bernards.

Climat

Le climat y est de type montagnard en raison de la présence du massif alpin. D'un point de vue des données météorologiques, il est important de préciser s'il s'agit de l'agglomération à une altitude d'environ 1 000 mètres ou du sommet du mont Blanc à 4 806 mètres. Pour ce dernier, la vitesse du vent peut atteindre 150 neige et de brouillard. Le vent renforce l'effet de froid (refroidissement éolien), la température apparente chute de 10 .

Voies de communication et transports

La commune est reliée au réseau ferroviaire national grâce à la gare de Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet. Celle-ci constitue le terminus de la ligne de La Roche-sur-Foron à Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet, intégré au RER franco-valdo-genevois le Léman Express. C'est aussi le départ de la ligne de Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet à Vallorcine (frontière), exploité par la SNCF et du tramway du Mont-Blanc exploité par la Compagnie du Mont-Blanc. Cette situation ferroviaire fait que le territoire communal comporte cinq gares : Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet, Saint-Gervais-les-Bains, Col-de-Voza, Bellevue et du Nid-d'Aigle.

Pour ce qui est des déplacements individuels, 49.8 % des ménages Saint-Gervelains possèdent une voiture, 38.8 % en ont deux et enfin 11,4 % n'ont pas de véhicules.

En 2022-2023, des travaux sont menés sur la commune : nouveau télésiège 6 places de l'Arbois, finalisation du groupe scolaire du Fayet, démarrage des travaux du pôle d'échange modal, construction d'un ascenseur valléen, nouveau parking suspendu de 500 places, nouvelle gare pour le tramway du Mont-Blanc et ses 4 nouvelles motrices, modernisation du parc thermal, construction d'un ascenseur incliné pour rejoindre le parc au centre-bourg, fin des travaux sur 5 chapelles de montagne.

  1. a b et c Histoire des communes savoyardes, 1980, p. 396.
  2. L'ascension du mont Blanc est affaire d'alpiniste
  3. Donnée INSEE
  4. Patricia Rey, « Saint-Gervais : un ascenseur valléen et une télécabine à 45 millions », Eco Savoie Mont Blanc,‎ (lire en ligne)
  5. Fred Manneveau, « ...des projets en pagaille », L'Essor savoyard,‎ , p. 22


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Toponymie

Le nom officiel de la commune est Saint-Gervais-les-Bains selon le Code officiel géographique français, depuis le ,. Le toponyme associe l'ancien nom de la commune, « Saint-Gervais », au syntagme « -les-Bains », en raison du développement thermal de la commune.
Saint-Gervais est le nom d'un saint, Gervais. Saint Gervais avec son frère jumeaux, Protais, fils des saints Vital et Valérie, sont martyrisés sous le règne de l'empereur Néron. Les jumeaux sont les saints patrons de l'église paroissiale du chef-lieu.

On trouve la mention du village sous la forme latine Sancti Gervasii burgus ou de l'église vers 1344, Cura Si Gervasii. La forme de Saint-Gervais est utilisée jusqu'en 1867, et elle s'est même maintenue durant l'occupation révolutionnaire française,.

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit San-Zharvé, selon la graphie de Conflans.

Dès les années 1980, la redéfinition de l'image de la commune est entreprise avec le début de l'appropriation du mont Blanc, dans son appellation touristique comme dans son nouveau logo. Pour la commune, le syntagme « -les-Bains » est remplacé, depuis 2009, sans pour autant avoir de valeur légale puisqu'aucun décret officiel n'a encore validé ce changement, par celui de « Mont-Blanc », donnant Saint-Gervais Mont-Blanc. Le nouveau toponyme apparaît ainsi sur le logo établi dans le cadre promotionnel et touristique de la station-village, mais aussi sur les supports de communication de la commune. Cette orientation permet de mettre en avant le sommet en partie revendiqué par la commune.

  1. Code officiel géographique de Saint-Gervais-les-Bains sur le site de l'Insee, consulté le 21 octobre 2015.
  2. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini
  3. a et b «  », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
  4. a b c et d D'après Henry Suter, , Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ).
  5. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 ISBN , lire en ligne), p. 14.


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Histoire

Période antique

Le Val Montjoie a été habité depuis très longtemps (plus de 4000 ans). On a en effet trouvé des outils de silex au-dessus du Truc, qui doivent dater du Néolithique récent (2000 à 3000 ans pollens atteste la présence d'une agriculture céréalière entre 2700 et 2300 ans av. J.-C.

Les Ceutrons

Les hautes vallées alpines (Montjoie, Val d'Arly, Tarentaise, Beaufortin, Chamonix) étaient habitées par les Ceutrons, peuplade celto-ligure tardivement pacifiée par les Romains, qui ont ensuite arbitré les conflits avec leurs voisins Allobroges de la vallée de l'Arve en 74 .

L'oppidum des Amerands

On trouve également des traces d'un oppidum aux Amerands dominant l'entrée Nord-ouest de la vallée, à proximité duquel on a observé quelques traces de pièces romaines (trésor de Robinson).

La vallée du Bon Nant a donc été, dès le Ier siècle, un lieu de passage (col du Joly, col du Bonhomme, col de la Seigne), et de pâture.

Le Moyen Âge

En 1355, le nouveau château dit de la Comtesse, car traditionnellement considéré comme édifié par la Grande Dauphine Béatrix, devient le centre de la seigneurie. Ce nouveau rôle politique est complété par la mise en place d'une foire double, qui est inaugurée le « jour de l'Exaltation de la Sainte-Croix », le ,. Ces deux foires sont ainsi organisées toutes les années « le quatorzième septembre avec son retour assigné au quatrième octobre suivant jour saint François »,. Le marché qui a lieu le mercredi est quant à lui maintenu.

Mandement de Montjoie

Le Val Montjoie devient administrativement le mandement de Montjoie qui comprend 63 villae pour cette châtellenie en 1377.

Les paroisses
L'église Saint-Gervais et Protais.

La vallée regroupe deux grandes paroisses : Saint-Nicolas de Véroce au sud, et Saint-Gervais au nord, sans oublier une autre paroisse de création tardive Notre-Dame de la Gorge, dès le XIIe siècle.

Le Val Montjoie savoyard

En 1355, le Val Montjoie cesse d'être le bastion avancé du Faucigny et rejoint le comté de Savoie. La disparition de la frontière laisse à l'abandon le château des Contamines. Le pouvoir, qui devient essentiellement économique, est transféré sur Saint-Gervais dans la maison forte de la Comtesse.

Essor rural

Dès le XIVe siècle, la vie rurale s'organise autour d'une douzaine de hameaux disséminés sur les deux versants : Bionnasset, Bionnay, le Champel, Motivon, la Gruvaz, les Pratz, Orsin, la Planchette, la Cry, Cupelin, la Forêt. Le bourg n'est qu'un petit hameau parmi les autres.

La foire d'automne (1371)

Saint-Gervais participe à l'essor commercial de la fin du Moyen Âge et organise l'une des trois grandes foires importantes des Alpes du Nord, avec Martigny et Sembrancher en Valais (1392) et avec Courmayeur en Vallée d'Aoste (foire d'automne).

La montagne à vaches

L'élevage domine, mais contrairement aux idées reçues, la domination de l'élevage bovin ne s'affirme qu'au XVIIIe siècle. Auparavant, les ovins et les caprins dominaient le cheptel.

Les alpages

À la suite des albergements de 1287 et 1307, la communauté locale obtient de la comtesse Beatrix, la propriété des montagnes ou alpages. La gestion de ces propriétés indivises ou communales permet un apprentissage précoce de la démocratie locale. Les montagnes de Voza et du Prarion, de Miage et de Tricot d'Hermance et du Mont d'Arbois sont communes à tous les hameaux qui se trouvaient à leurs pieds.

Châteaux et maisons fortes
Maison forte de Hautetour en 2016.
Maion forte dite de la Comtesse.

La plupart des demeures nobles ont disparu et ne laissent percevoir que quelques petits morceaux de ruines comme le Châtelet, la tour de Bongain côté Neirey, le château de Menthon, côté La Villette. On a aussi les traces plus hypothétiques des châteaux du Rosay, de Cupelin, du Freney et du Maccan.

La maison forte de Hautetour a fait l'objet d'une étude archéologique à l'été 2006 par la société Archéodunum (Suisse). Il s'agit d'un édifice de la seconde moitié du XIIIe siècle, remanié à 7 reprises jusqu'au XVIIIe siècle.

Celle dite de la Comtesse est la mieux conservée et la plus récente des maisons fortes. Elle correspond au déplacement géographique du pouvoir politique de la châtellenie de Montjoie et à la prospérité économique de Saint-Gervais au .

Baroque populaire

Fresques de l'église de Saint-Nicolas de Véroce (XVIIe siècle).
Les joyaux du baroque : | ]

De cette période date la construction des églises par les architectes du Val Sesia avec le soutien des quelques émigrés qui ont fait fortune comme Nicolas Revenaz des Pratz.

1698 : l'église de Saint-Gervais

Saint-Gervais est une église de type halle sans transept. Son clocher fut détruit par la foudre en 1792, reconstruit seulement en 1819, sous la restauration sarde, par l'architecte Claude François Amoudruz de Samoëns. C'est un clocher aux « souples étagements et bulbes légèrement écrasés ».

1729 : l'église de Saint-Nicolas de Véroce

L'église de Saint-Nicolas-de-Véroce fut elle aussi reconstruite avec l'aide des émigrés et terminée en 1729. C'est un véritable petit musée du baroque populaire avec ses multiples aménagements au cours du XVIIIe siècle.

Les chapelles

La plupart des hameaux ont construit leur chapelle, petite église baroque miniature avec leur retable comme celles des Plans, de Véroce, des Pratz et surtout celle des Chattrix.

Contemporain

Le monument aux morts.

Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures, dont 173 pour Saint-Gervais, 53 pour Saint-Nicolas-de-Véroce,. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et 23 avril 1860 où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? ».

Le un lac sous-glaciaire du glacier de Tête Rousse rompt son soutien et provoque une formidable vague d'eau, de glace, de rochers et de boue qui emprunte la combe de Bionnassay, détruit en partie le village de Bionnay, avant de dévaler les gorges du Bonnant. Le premier pont du Diable, d'époque médiévale, de nombreuses maisons et finalement les bâtiments thermaux situés au Fayet sont détruits, plus de 200 personnes trouvent la mort,.

En 1936, construction de l'église Notre-Dame des Alpes, dans le secteur du Fayet.

En 1973, la commune de Saint-Nicolas-de-Véroce est rattachée à Saint-Gervais.

En 1977, construction du télésiège de l'Arbois.

Le

Station thermale

Les sources thermales sont découvertes en 1806 au Fayet par M. Gontard. Le développement des bains permet à Saint-Gervais de participer à la grande vogue des bains au 1824.

La catastrophe du 12 juillet 1892 stoppe brutalement cette prospérité : un phénomène de lave torrentielle provoquée par la rupture d'une poche d'eau glaciaire entraîne la destruction quasi totale des thermes.

Par la suite, les thermes se sont à nouveau développés et sont reconnus dans le milieu médical pour le traitement des maladies ORL et des grands brûlés, avec également une gamme de produits cosmétiques.

Le nombre de curistes ne cesse d'augmenter passant de 1 853 dans les années 1973 à près de 5 000 dans les années 2000. L'exploitant développe également les activités de bien-être.

En 2016, le groupe L'Oréal acquiert la société de gestion Les Thermes de Saint-Gervais-les-Bains et la licence de marque Saint-Gervais Mont-Blanc.

Mont Blanc

Les précurseurs

La voie normale vers le mont Blanc passe en grande partie par Saint-Gervais.

Dès 1784, des alpinistes dont Cuidet de Saint-Gervais ont failli réussir la première ascension mais ils ont buté devant l'arête des bosses, deux ans avant la première chamoniarde de 1786.

1815 - 1820 : nouvel échec du Dr Hamel, conseiller du Tsar.

1808 : 14 juillet, la première femme à accéder au mont Blanc, via Chamonix, est une Saint-Gervolaine d'origine : Marie Paradis.

1855 : ouverture de la voie royale. Les britanniques Hudson, Kennedy, Smythe arrivent au sommet du mont Blanc en venant de Saint-Gervais, mais en évitant l'arête des Bosses.

1859 : l'arête des Bosses est ouverte par le même Hudson. La voie royale est définitivement ouverte et, la même année, la cabane du Goûter a été construite pour servir de refuge aux alpinistes empruntant cette voie.

1864 : les guides du val Montjoie organisent la compagnie des guides de Saint-Gervais pour amener les alpinistes au mont Blanc par la voie saint-gervolaine. Mais c'est le train qui va confirmer la « voie royale » par Saint-Gervais.

1898 : arrivée du train. La société PLM amène le train à Saint-Gervais dans le bas de la commune, au Fayet. L'arrivée du train va faire de ce petit hameau le deuxième centre de la commune.

1904 : le Tramway du Mont-Blanc.

1909 : premier tronçon du Tramway du Mont-Blanc, Le Fayet/Col du Voza.

1913 : deuxième tronçon du Tramway du Mont-Blanc qui va permettre d'accéder au glacier de Bionnassay.

La voie royale d'accès au Mont-Blanc, point culminant de la commune et de l'Union européenne, a toujours alimenté l'imaginaire des techniciens du XIXe siècle qui ont souvent rêvé de faire monter leur machine jusqu'au sommet.

Le premier projet date de 1834.

À la fin du XIXe siècle, les projets se multiplient : comme le projet Issartier de 1895 tout en souterrain : train + ascenseur. Deux projets plus sérieux entrent en concurrence en 1899, en version chemin de fer complète. Le premier, soutenu par Vallot et Fabre, part des Houches favorise la vallée de Chamonix. Le second, est soutenu par Dupportal qui a le mérite d'avoir amené le train au Fayet. C'est un contre projet qui se présente en tramway et qui reste totalement à l'air libre. C'est ce projet saint-gervolain qui l'emporte en 1904, et confirme la voie royale du Mont-Blanc par Saint-Gervais.

Ski depuis 1930

Cette aventure commence avec la construction du téléphérique Saint-Gervais-Le Bettex en 1936 par la famille Viard, en même temps que l'arrivée d'un téléphérique à Bellevue côté Prarion (domaine skiable des Houches), puis au Mont d'Arbois en 1937 permettant l'accès au domaine skiable du mont d'Arbois et la jonction avec Mégève.

Depuis, l'équipement des deux massifs Arbois et Prarion n'a cessé de se développer, pour devenir l'activité principale de cette station multicarte avec l'urbanisme correspondant : résidences secondaires et immeubles locatifs.

  1. Cf. Borne de Larioz, à la Forclaz.
  2. a b c et d Histoire des communes savoyardes, 1980, p. 397.
  3. a et b Nicolas Carrier et Fabrice Mouthon, Paysans des Alpes : les communautés montagnardes au Moyen Âge, Rennes, Presses universitaires de Rennes, ISBN ), p. 282.
  4. Élisabeth Sirot 2007, p. 12.
  5. lire en ligne).
  6. Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
  7. Paul Guichonnet (Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 ISBN ), p. 163.
  8. Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 lire en ligne).
  9. Paul Guichonnet (Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 ISBN ), p. 167.
  10. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 lire en ligne), p. 18.
  11. Joseph Vallot, « La Catastrophe de Saint-Gervais (12-13 juillet 1892) », article paru en 1892 dans la revue La Nature no 1003 — 20 août 1892, retranscrit sur le site Sciences.gloubik.info.
  12. Marc Le Roux « La Catastrophe de Saint-Gervais : Théorie de l’accident », La Science illustrée no 246 — 13 août 1892
  13. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées sabaudia
  14. Fred Manneveau, « L'accès au village de Bionnassay... », L'Essor savoyard,‎ , p. 22
  15. L'Oréal s'est porté acquéreur de la société de gestion des thermes de Saint-Gervais-les-Bains, Les Echos, 20 juillet 2016
  16. Eric Fauguet, Savoie Mont Blanc, Projection, , p. 191.
  17. Le téléphérique Saint-Gervais-Le Bettex est démantelé en 2024 pour être remplacé par L'Alpin.


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