Monestier-de-Clermont
Localisation
Monestier-de-Clermont : descriptif
- Monestier-de-Clermont
Monestier-de-Clermont est une commune française située dans le sud du département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes et autrefois rattachée à l'ancienne province du Dauphiné. Le village appartient à un territoire de moyenne montagne dont l'altitude se situe entre 500 et 1 200 m et qui se trouve entre des massifs montagneux qui l'entourent de trois côtés : à l'ouest, on peut découvrir le massif du Vercors, au sud et à l'est se détache le chaînon de l'Obiou appartenant au massif du Dévoluy). Ancien chef-lieu de canton du département de l'Isère jusqu'en 2015, la petite ville est désormais rattachée au canton de Matheysine-Trièves dont le bureau centralisateur est situé à La Mure depuis le nouveau découpage territorial
La commune est le siège administratif de la communauté de communes du Trièves qui regroupe vingt-huit communes.
Géographie
Localisation et description
Localisation
Positionné au sud du département de l'Isère et de la région Auvergne-Rhône-Alpes, la commune de Monestier-de-Clermont s'étend sur 5,5 la Motte-d'Aveillans la plus grande ville à proximité. La commune est également située à environ, 39 chef-lieu du département de l'Isère, 149 Lyon, chef-lieu de la région Auvergne-Rhône-Alpes et 609 Paris, capitale de la France.
Ce village, qui se localise au fond d'une vallée, à la limite des secteurs de basse montagne et de moyenne montagne, se positionne à une altitude de 846 col du Fau, situé lui-même à une altitude de 899 m.
Le territoire communal est un lieu de passage routier situé sur les balcons du Vercors entre la vallée de la Gresse et la région du Trièves, et se positionne plus particulièrement au pied de la « crête du Baconnet et de la Pale », qui sépare son territoire du vallon de la Gresse.
Description
Le village et ses quelques rares hameaux (composés de fermes ou de groupes de fermes plus ou moins isolées) se situent au fond d'une combe dite monoclinale, qui s'élève légèrement vers le sud, non loin des vallées de l'Isère et du Drac, à mi chemin entre les Alpes du Nord et celles du sud.
Dès ses origines, le lieu fut traversé par un chemin muletier, également utilisé comme sentier de la transhumance, ancêtre de la Grand'rue centrale, puis par l'ancienne voie delphinale et enfin, une route royale qui unissait la vallée du Grésivaudan et la Savoie à la Haute-Provence. Cette voie qui, plus tard, devint une route nationale commençant au pont de Tournus et finissant officiellement à Aspres-sur-Buëch.
À cette route, très ancienne, une voie de chemin de fer dite « ligne des Alpes » allant de Grenoble à Marseille via Veynes est venu logiquement se joindre en 1878. Cette ligne est officiellement dénommée aujourd'hui ligne Grenoble-Gap. Une route appelé, « la route du soleil », passe par la pour se rendre ensuite jusqu'à Nice. Cette route est très convoitée par les cyclistes et les vacanciers.
Originellement et comme l'indique tous les anciens plans de la commune, la cité s'est présentée comme un « village-rue », terme qui désigne un type d’habitat rural groupé assez typique des villages situés dans des combes ou des vallées resserrées comme l'atteste encore aujourd'hui, la forme du territoire communal, tout en longueur et assez étroit.
Depuis la création d'une voie autoroutière en 2007 qui contourne la commune ainsi qu'une déviation interne au village effectuée en 2004 grâce à la construction d'une route de contournement, l'aspect du bourg central s'est profondément modifié, lui donnant un aspect plus apaisé, car nettement moins soumis au passage des véhicules de tourisme et des poids lourds de jour comme de nuit.
Communes limitrophes
Saint-Paul-les-Monestier | Sinard | Sinard | ||
Saint-Paul-les-Monestier | N | Sinard/Treffort | ||
O Monestier-de-Clermont E | ||||
S | ||||
Saint-Paul-les-Monestier | Roissard | Roissard/Treffort |
Géologie et relief
Le territoire communal est installé au fond de la combe monoclinale dite des « Terres Noires » du sillon subalpin à moins de deux kilomètres au nord du Col du Fau, site qui en est l'un des points hauts. Au sud du territoire communal, ce sillon s'épanouit progressivement pour se raccorder à la région du Trièves.
Hydrographie
Les cours d'eau
Le territoire communal présente deux cours d'eau notables, mais au débit modeste essentiellement lié aux pluies et à la fonte nivale :
- Le ruisseau Chabanat qui se jette dans le torrent de la Gresse, hors du territoire communal ;
- Le ruisseau des Condamines, affluent du ruisseau Chabanat qu'il rejoint près du centre du village.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,6 amplitude thermique annuelle de 16,6 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 9,9 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −2,1 | −2 | 0,9 | 3,6 | 7,4 | 10,9 | 12,7 | 12,8 | 9,6 | 6,5 | 1,8 | −1,1 | 5,1 |
Température moyenne (°C) | 1,4 | 2,2 | 5,9 | 8,9 | 12,9 | 16,7 | 18,9 | 18,7 | 14,7 | 10,8 | 5,4 | 2,1 | 9,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 4,9 | 6,3 | 10,8 | 14,1 | 18,4 | 22,4 | 25 | 24,6 | 19,8 | 15,2 | 9 | 5,3 | 14,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−21,5 20.01.1940 |
−24 14.02.1956 |
−17 07.03.1971 |
−10 06.04.1970 |
−7 07.05.1957 |
−1 03.06.1953 |
1 09.07.1948 |
−1,5 09.08.1955 |
−4 25.09.1931 |
−9 17.10.1927 |
−14,5 27.11.1925 |
−20,5 26.12.1940 |
−24 1956 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19 06.01.1999 |
22,5 28.02.1960 |
24 22.03.1990 |
30 28.04.1947 |
31 24.05.09 |
38 06.06.1955 |
38 26.07.1983 |
39 30.08.1944 |
36 01.09.1944 |
28,9 02.10.23 |
23 09.11.1985 |
19 02.12.1953 |
39 1944 |
Précipitations (mm) | 94,7 | 70,5 | 80,3 | 84,9 | 94,1 | 74,6 | 67 | 79,7 | 93 | 103 | 119,3 | 101,5 | 1 062,6 |
Voies routières
Monestier-de-Clermont est accessible depuis Grenoble par deux routes principales : L'ancienne route nationale 75 devenue route départementale 1075, à la suite d'un déclassement et l'autoroute A51 dénommée officiellement « autoroute du Trièves ».
La RD 1075
À l'origine, cette route reliait Tournus, depuis le pont sur la Saône après l'embranchement avec la route nationale 6 jusqu'à la ville de Sisteron. Le tronçon de Tournus à Bourg-en-Bresse est déclassé en RD 975 dans les années 1970, puis en RD 1075 en 2005 pour la partie située dans le département de l'Isère
Les camions ne sont pas autorisés à traverser en transit les communes de Monestier et celle de Vif, depuis l'ouverture de l'autoroute, la circulation sur la RD 1075 est autorisée aux camions de plus de 7,5 t, seulement s'ils ne sont pas en transit.
L'autoroute A51
L'autoroute A51 doit relier à terme Grenoble à Marseille via Gap, Sisteron et Aix-en-Provence. Elle a été amorcée par les deux bouts : depuis Marseille jusqu'à la Saulce, au sud de Gap ; depuis Grenoble jusqu'au col du Fau (en 2007, l'ouverture de la section entre Saint-Martin-de-la-Cluze et le Col du Fau sur 10,5 km désenclave définitivement la commune de Monestier). L'A51 se branche sur l'A480 directement à la sortie sud de Grenoble.
Transports publics
Transport ferroviaire
La gare de Monestier-de-Clermont est desservie par le TER Rhône-Alpes, sur la Ligne des Alpes, depuis Grenoble en 45 minutes ou Gap/Veynes en 1 h 30 environ, avec 15 allers-retours par jour (dont 6 allers-retours au départ/arrivée de Clelles-Mens).
Le bâtiment de la gare SNCF, ainsi que ses structures annexes, est situé au juste dessus du bourg central, devant une petite place, elle-même située au bout d'une rue bordée de platanes, non loin de l'ancienne route nationale.
L'unique bâtiment chargé de l'accueil des voyageurs et ses quais ont conservé un style simple et original du fait de la présence d'un équipement ancien parfaitement entretenu. Une visite de ce bâtiment qui comprend petit hall d'attente avec un guichet unique et des quais attenant permet notamment de découvrir un double système d'aiguillage pour les trains venant en amont et en aval de la gare et un système manuel (à manivelle) pour actionner un passage à niveau situé à environ 200 mètres des bâtiments. Cette installation est contiguë à un mécanisme actionnant un sémaphore mécanique qui se présente sous forme d'une aile rouge.
Le hall de la gare abrite également une ancienne horloge qui indique depuis son ouverture en 1878, l'heure aux usagers attendant l'arrivée des trains.
La ligne des Alpes est devenue, « ligne de Lyon-Perrache à Marseille-Saint-Charles (via Grenoble) » dénommé ligne 905 000 du réseau ferré national relie Lyon et Marseille en traversant les Alpes par Grenoble, Veynes - Dévoluy et Aix-en-Provence, et dans l'esprit de ses concepteurs du Lyon et Grenoble (TGV, TER et fret), Grenoble et Veynes (TER), et Veynes et Marseille (TER). Le premier de ces segments est à double voie et électrifié. Il porte un trafic important, qui est proche de la saturation aux heures de pointe. Les deux autres segments sont à voie unique, non-électrifiés et portent un trafic beaucoup plus léger.
Transport routier
Les services de transports départementaux dénommés « Cars Région Isère » (anciennement TransIsère) exploitent une ligne sous le numéro T95, au départ de Grenoble en direction de Monestier-de-Clermont/Clelles/Mens en passant par Vif, Saint-Martin-de-la-Cluze, Avignonet, Sinard, Monestier-de-Clermont, Clelles Gare, Clelles Village, Mens en maximum 1 heure 30, selon les horaires empruntés.
Depuis , 2 navettes à la demande, baptisé « Le Reviron » a été mis en place par le Département sur le Balcon Est du Vercors.
Depuis le , ce service de transport est assuré par les Voyages Grindler depuis leur dépôt de Monestier de Clermont.
Deux lignes sont proposées :
- MON06 : Gresse-en-Vercors Monestier-de-Clermont via Saint-Guillaume et Saint-Paul-lès-Monestier.
- MON07 : Col de l’Arzelier Monestier-de-Clermont via Château-Bernard, Saint-Andéol, Saint-Guillaume, et Saint-Paul-lès-Monestier.
- Ouvrage « Patrimoine en Isère-Le Trièves » édité par le Musée dauphinois/Conservation du patrimoine de l'Isère, page 130 à 135
- Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements, et avis du Conseil d'État, année 1863, page 677.
- Site géologie alpine sur Monestier de Clermont
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Site du Dauphiné libéré, reportage sur "l'autoroute du Trièves"
- « », sur laprovence.com.
- Classement sonore des voies RFF du département des Bouches-du-Rhône, page 5 Lien
Toponymie
Le village du Monestier-de-Clermont doit son nom à l'installation d'un monastère fondé au début du .
Le terme monasterium « monastère » évolua en Monestier, et le nom « Clermont », qui vient du latin et évoque la lumière qui illumine les sommets, est celui du petit village de Clermont (faisant aujourd'hui partie de la commune de Chirens) où se trouvait le château féodal des premiers seigneurs de Clemont.
- Site de la mairie de Monestier-de-Clermont, page "Histoire"
- Site des Clermont-Tonnerre, page "Histoire"
Histoire
Préhistoire
À l'occasion de la construction de l'autoroute A51 qui contourne le territoire de la commune, des fouilles archéologiques ont été préalablement effectuées, et elles ont permis d'apprendre que la région immédiate de Monestier a été fréquentée durant la Préhistoire.
Sur le site dit des Éménées situé entre Avignonet et Monestier, des fouilles ont permis d'identifier un premier site habité, datant du bronze final qui correspond à une période située entre la Préhistoire et l'Antiquité. À un niveau inférieur, datant du Néolithique, du matériel de poterie et des restes de céramiques ont été mis au jour.
Un peu plus loin, sur le territoire de la commune de Sinard, également voisine de celle de Monestier, plusieurs sites archéologique datant du Mésolithique ont également été trouvés sur d'autres sites aux environs immédiats.
Antiquité
Historiquement, les premières implantations humaines découvertes sur le territoire de la commune, proprement dit, datent de la période gallo-romaine. Dans le hameau de « L'Étaudey », lors des fouilles préliminaires aux travaux de la déviation d'une route en 2004, on a relevé quelques traces d'un ensemble agricole datant de cette époque.
Selon l'ouvrage de Patrick Ollivier-Elliot dénommé « Trièves », le site de Monestier-de-Clermont et du col du Fau fut un point de passage aménagé par Lucius Munatius Plancus, le Lieutenant de Jules César et plus tard le fondateur de la colonie de Lugdunum qui deviendra plus tard la ville de Lyon et la colonie d'Augusta Raurica qui deviendra la ville d'Augst en Suisse.
Moyen Âge et Renaissance
Le Moyen Âge
Monestier-de-Clermont portait, autrefois, le nom de "Monasterium de Clermontis" en référence à la création d'un monastère dédié à saint Pierre et dont on ne connait pas avec certitude la date de création. Quelques ruines éparses subsistent sur la crête des bois.
Durant le haut Moyen Âge, le village qui se nomme alors Monestier ne regroupe qu'une modeste communauté lovée dans un vallon qui est lieu de passage entre le plateau du Trièves et la plaine grenobloise. La paroisse dépend du Dauphin qui possède le château fort qui deviendra plus tard celui de Clermont en référence à celui de Clermont dans le Viennois et situé au nord de la colline qui domine le village. De ce château médiéval qui comprenait deux tours dont l'une présentait une hauteur de huit toises, il ne reste plus aujourd'hui que quelques pans d'anciens remparts.
En 1340, le dauphin donne la terre de Clermont en Trièves (Monestier-de-Clermont, donc) à Aynard de Clermont, baron de Clermont en Viennois (paroisse de Chirens) près de Paladru et l'érige en vicomté en sa faveur. Les descendants d'Ainard II sont désormais maîtres des deux Clermont, jusqu'à la cession de la vicomté du Trièves en 1566 (voir plus loin).
Après le rattachement du Dauphiné à la France en 1349, le petit-fils puis très vite le fils aîné du roi de France relève le titre delphinal. Ainsi, le fils du roi (le futur roi ) prend le titre de dauphin et devient le gouverneur effectif de la province dans les années 1440 et 1450. Il fera des séjours à Monestier-de-Clermont dans une auberge. En 1480, le monastère du petit village de Monestier dépend du grand-prieuré de Sinard.
La Renaissance
En 1566, le vicomte de Clermont vend son fief à André Allemand de Paquier, un seigneur voisin qui vers 1690 fait construire un château à proximité de l'église. Sa famille vendra la vicomté en 1687 à Alexandre de Bardonenche, issu d'une vieille famille protestante du Trièves. Ses descendants revendront le château en 1828.
En , une rencontre est organisée entre le pouvoir royal (représenté par le baron de Saulsac) et les chefs protestants (représentés par le duc de Lesdiguières) afin de mettre fin aux violences et exactions exercées entre les deux partis. Il y aura un accord, mais celui-ci sera cassé l'année suivante par Marie de Médicis. Toutefois, à la suite de l'accord, c'est à cette époque que le château de Monestier sera démantelé.
Époque Moderne
Un grand incendie ravage la plupart des maisons de la paroisse de Monestier le . L'église a été préservée ainsi que le château et quatorze maisons couvertes de tuiles et la quasi-totalité des récoltes se sont envolées en fumée durant le sinistre.
Après la Révolution française, la commune devient un chef-lieu de canton, dénomination qu'elle gardera jusqu'en 2015.
Époque Contemporaine
Le désenclavement de la commune
En 1828, la liaison routière entre le col du Fau et le col de la Croix-Haute est achevée. Conséquence directe de ces travaux historiques pour le village, une foire aux bestiaux est organisée dès cette époque et regroupe à Monestier-de-Clermont les paysans et les commerçants venus des parties haute et basse du Trièves pour échanger leurs produits fermiers et d'élevage.
La période thermale
À compter de la fin du peuvent ainsi bénéficier d'une modeste cure thermale. L'exploitation de cette source s'arrêtera au milieu du
La Seconde Guerre mondiale
Le , un des chantiers de la jeunesse française créés par le régime de Vichy, enregistré sous la référence de groupement 9 (dépendant de la province Province d'Alpes-Jura), et baptisé « le Roc sans faille » en référence au mont Aiguille très proche, s'installe à Monestier-de-Clermont. Ce site comprenait onze groupes. En , l'ensemble sera transféré en Gironde.
Le | ]
Depuis 2004 une déviation routière permet d'éviter que le flot routier emprunte la grand'rue dans la partie du cœur du village entre l'ancienne place du marché et le rond-point où se situe la caserne des pompiers ainsi que la maison médicale et l'arrivée de l'autoroute A51 en 2007 facile les moyens de communication. De nombreuses maisons de village, abandonnées durant le siècle passé, en raison de la nuisance permanente due aux passages des véhicules, sont de nouveau habitées et de nouveaux lotissements ont été créés.
Le
- Site Persée Page Découvertes archéologiques majeures sur le tracé de l'A51 à Sinard
- Site de la mairie de Monestier, page sur l'Histoire
- Patrick Olivier Eliott, Trièves, Édition EDISUD, Saint-Rémy-de-Provence
- Site de l'académie de Grenoble, page sur l'école de Monestier-de-clermont
- -
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- 450.
- Trièves de Patrick Ollivier Elliott, édition EDISUD, page 148
- -
- Mémoire d'Eustache Piémond, Edition Slatkine Reprints, Genève, 1973
- Site de la mairie, page sur l'incendie de 1770
- Trièves de Patrick Ollivier Elliott, édition EDISUD, page 149
- Estelle Zanardi, « », sur ledauphine.com, (consulté le ).
- « Monestier-de-Clermont, terre d'entrepreneurs », ouvrage collectif, Edition Glénat, 2015. page 16
- Site de Gallica "LivreManuel de thérapeutique thermale clinique"
- « Monestier-de-Clermont, terre d'entrepreneurs », ouvrage collectif, Edition Glénat, 2015. page 38
- Site de la mairie, page sur l'Histoire de Monestier-de-Clermont
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Monestier-de-Clermont dans la littérature
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