Meyzieu
Localisation
Meyzieu : descriptif
- Meyzieu
Meyzieu est une commune française située dans la partie nord-est de la métropole de Lyon, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ses habitants sont appelés les Majolans. Avec une zone industrielle de 210 hectares et la réalisation de nombreux programmes d’habitations, la commune connaît un développement démographique et économique accompagné notamment par la construction de nombreux équipements publics. À environ 10 km à vol d'oiseau de Lyon, en banlieue est, Meyzieu se situe dans l'Est lyonnais, au carrefour des départements du Rhône, de l'Isère et de l'Ain, la commune est accessible par de nombreux modes de transports, dont le tramway T3 et la ligne Rhônexpress qui relie la gare de Lyon-Part-Dieu à l’aéroport de Lyon-Saint-Exupéry en passant par Meyzieu depuis août 2010.
Géographie
Les communes limitrophes sont Beynost, Saint-Maurice-de-Beynost, Thil, Miribel, Chassieu, Décines-Charpieu, Genas, Jonage et Pusignan.
Localisation
Meyzieu est une commune de la métropole de Lyon (circonscription départementale du Rhône), en région Rhône-Alpes. Elle est située dans l’Est de l’agglomération lyonnaise, à 20 minutes en voiture de Lyon (10 aéroport Lyon-Saint-Exupéry.
La commune dépendait du département de l’Isère jusqu’au , époque où elle fut rattachée au département du Rhône. Meyzieu devient membre de la Communauté urbaine de Lyon en 1969.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Meyzieu se situe en moyenne à 203 m d'altitude.
Hydrographie
La partie nord de Meyzieu, proche du Rhône, est traversée par des bras du fleuve dénommés Vieux Rhône et par le canal de Jonage qui alimente le réservoir du Grand-Large de 160 canal de Jonage, sur une plaine alluviale et face aux Monts du Lyonnais et du plateau de la Dombes.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 amplitude thermique annuelle de 18,2 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lyon-Bron », sur la commune de Bron à 8 vol d'oiseau, est de 13,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1,1 | 1,4 | 4,2 | 7,2 | 11,2 | 15 | 17 | 16,6 | 12,8 | 9,6 | 4,9 | 2 | 8,6 |
Température moyenne (°C) | 4,1 | 5,2 | 9 | 12,3 | 16,3 | 20,3 | 22,6 | 22,3 | 17,9 | 13,7 | 8,1 | 4,8 | 13 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,1 | 9 | 13,8 | 17,4 | 21,5 | 25,6 | 28,2 | 28 | 23,1 | 17,7 | 11,4 | 7,7 | 17,5 |
Record de froid (°C) date du record |
−23 23.01.1963 |
−22,5 14.02.1929 |
−10,5 07.03.1971 |
−4,4 10.04.1949 |
−3,8 01.05.1938 |
2,3 01.06.1959 |
6,1 07.07.1962 |
4,6 25.08.1940 |
0,2 24.09.1928 |
−4,5 31.10.1950 |
−9,4 30.11.1925 |
−24,6 22.12.1938 |
−24,6 1938 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,1 10.01.15 |
21,9 25.02.21 |
26 31.03.21 |
30,1 16.04.1949 |
34,2 16.05.1945 |
38,4 27.06.19 |
40,4 24.07.19 |
41,4 24.08.23 |
35,8 05.09.1949 |
30,6 09.10.23 |
23 02.11.1924 |
20,2 18.12.1989 |
41,4 2023 |
Ensoleillement (h) | 711 | 1 024 | 1 737 | 1 977 | 2 238 | 2 565 | 2 881 | 2 631 | 2 041 | 1 314 | 789 | 587 | 20 495 |
Précipitations (mm) | 49,8 | 41,6 | 49,4 | 68,9 | 80,9 | 74,1 | 67,4 | 65,5 | 82,5 | 99,8 | 87,2 | 53,7 | 820,8 |
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la Rocade Est de Lyon et l'ancienne Route nationale 517.
Après avoir été desservie, au début du siècle par la ligne 16 de l'ancien tramway de Lyon et le Chemin de fer de l'Est de Lyon (CFEL), elle l'est à nouveau, depuis 2006, par la ligne de tramway , qui emprunte le tracé de l'ancienne ligne du CFEL. Depuis , la commune est reliée directement à l'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry avec la ligne Rhônexpress.
La ville de Meyzieu est également desservie par plusieurs lignes de bus TCL : les lignes 28, 29, 32, 47, 67, 85, 95 et Zi2.
Des liaisons vers l'Isère sont produites grâce à la ligne EX04 direction Crémieu
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
Toponymie
Attestation anciennes
Le nom de la localité est attesté sous les formes Maizeu au ,, Mezieu, Mezieux, Meizieu, Meizieux, Meysieu, Meyzieux. Elle est officiellement dénommée depuis 1965 Meyzieu.
Étymologie
Il s'agit d'une formation toponymique gauloise ou gallo-romaine en -acum,, suffixe de localisation et de propriété d'origine gauloise. Il est précédé de l'anthroponyme gaulois ou roman Masius.
Maizeu semble bien provenir d’un terme latin au génitif masi. Il s’agit ici du terme latin tardif masus,i, « maison rurale », dérivé du latin classique mansio,onis, le « séjour » et à l’origine de l’occitan mas, « maison, propriété à la campagne ».[réf. nécessaire]
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume I : les formations préceltiques, celtiques et romanes, Librairie Droz, Genève 1990, p. 532, n° 8601 (lire en ligne) [1]
- André Devaux, Les noms de lieux dans la région lyonnaise aux époques celtique et gallo-romaine, Lyon, , 48 lire en ligne), p. 34.
- Du Cange & al., Glossarium mediæ et infinæ latinatis, L. Favre, Niort, 1883-1887
- Félix Gaffiot, Dictionnaire latin-français, Hachette, Paris, 1934
Étymologie
Il s'agit d'une formation toponymique gauloise ou gallo-romaine en -acum,, suffixe de localisation et de propriété d'origine gauloise. Il est précédé de l'anthroponyme gaulois ou roman Masius.
Maizeu semble bien provenir d’un terme latin au génitif masi. Il s’agit ici du terme latin tardif masus,i, « maison rurale », dérivé du latin classique mansio,onis, le « séjour » et à l’origine de l’occitan mas, « maison, propriété à la campagne ».[réf. nécessaire]
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- Du Cange & al., Glossarium mediæ et infinæ latinatis, L. Favre, Niort, 1883-1887
- Félix Gaffiot, Dictionnaire latin-français, Hachette, Paris, 1934
Histoire
Meyzieu demeure longtemps un modeste bourg et ce n’est qu'à partir du milieu du XXe siècle que la ville s’impose comme la porte nord-est de l’agglomération lyonnaise.
À la source du village : un château
L’origine de Meyzieu remonte au village de Bardieu situé en pays de Velin, autour d’une source celte bienfaisante et prétexte d’implantations gallo-romaines et médiévales. Au XIe siècle, l’un des premiers seigneurs féodaux élève un château sur une motte près de Bardieu et demande aux sires de Chandieu d’en assurer la protection. Les habitants s’installent donc au pied de cet édifice, qui leur assure un refuge, et une église paroissiale est construite. C’est alors un nouveau village qui se forme et qui correspond aux fondations du Meyzieu d’aujourd’hui.
La place forte est une possession du comte de Savoie Amédée V. Elle passe à l'issue de la paix signée en l'église de Villard-Benoît, le , au dauphin Jean II de Viennois.
Au Louis XII, accueille chez lui en 1536. Henri II séjourne également à Meyzieu en 1548. De nombreux propriétaires se succèdent ensuite au gré des héritages ou des ventes.
Meyzieu au | ]
A partir des indications fournies par le parcellaire, il est possible d’affirmer que les cultures sont plus importantes que l’élevage. Mais le village de Meyzieu est privilégié par rapport à certaines paroisses voisines, comme celle de Chassieu où les habitants se plaignent de ne point posséder de pâturages et envient les habitants de Meyzieu.
Les terres dominent et occupent plus des 2/3 du finage selon le parcellaire, mais plus si on prend en compte les différentes combinaisons où les terres sont associées à un autre élément. Dans ces conditions, il n’est pas faux d’affirmer qu’elles occupent plus des 3/4 du finage. Le parcellaire parle de « terres », il faut entendre par ce terme « champs cultivés » car les espaces non mis en culture sont indiqués sous le terme de « vacants ». Quant aux terres non cultivables, elles sont nommées « hermes ». Prés et pâturages, appelés « paquerages » atteignent 6,5 % du finage. La différence entre prés et pâturages vient de leur utilisation : l’herbe est récoltée dans les prés, c’est le foin qui sert de litière et de nourriture au bétail, les pâturages sont directement exploités par le bétail qui va paître sur ces espaces. Les vignes sont présentes en différents lieux du finage. Les parcelles en vignes sont la plupart du temps de très petite taille. Elles dépassent à peine 2 % du finage.
Les bois ne sont pas absents, même si avec les défrichements opérés depuis le XIIIe siècle, ils ont considérablement diminué. Il faut se rappeler que François de Tardes, seigneur de Meyzieu, s’est ruiné en accueillant sur ses terres le roi François 1er qui venait chasser dans les forêts giboyeuses de Meyzieu. La présence des forêts au Moyen Âge explique les noms des lieux-dits comme la Combe au Loup et les Louvatières. Les loups étaient nombreux dans ces forêts. Les bois de Meyzieu en 1701 n’ont plus rien à voir avec les forêts d’antan. Ce sont de petits espaces et ces bois sont souvent entremêlés de broussailles et de bruyères. Ils occupent moins de 4,6 % du finage.
Certaines parcelles sont en jachère et le parcellaire ne précise pas s’il s’agit d’un phénomène temporaire ou si ces terres sont définitivement abandonnées. Par contre, les hermes occupent environ 3 % du finage. Les sols en hermes sont des sols pauvres sur lesquels il est difficile de faire pousser quoi que ce soit. Par la présence du Rhône, une partie du finage est constitué de gravières et de landes, un peu moins de 10 % de la superficie totale. Les gravières se localisent essentiellement sur le mas 19, aux prairies du Dérippe, sur les communaux de Malbois et de la Verchandière. La Verchandière est écrite au XIVe siècle Vercherandere, Paul Chartron émet l’hypothèse que le mot verchère dérive de ce lieu-dit qui devait être planté à cette époque d’arbres fruitiers. Contrairement à d’autres paroisses du Velin, comme Saint Priest, Meyzieu compte très peu de mûriers . Ils occupent 2 hectares et cela peut correspondre à un nombre de mûriers entre 1 000 et 2 000. Le parcellaire précise la présence de prés saulés et de saulées qui occupent plus de 4 % du finage. Il s’agit de plantations de saules. Ces saulées expliquent le nom du lieu-dit Saugey qui dérive du mot saule.
L’analyse détaillée par parcelles montre donc à l’évidence que ce sont les micros propriétés qui dominent, les 3/4 des exploitations sont inférieures à 5 ha. Cependant, le parcellaire dénombre plusieurs domaines :
- le château, mas 1 articles 4, 5, 6 et 38 qui appartient à la Marquise de Pusignan ;
- le domaine de Turry, mas 1 article 6, qui correspond à une exploitation agricole. Le parcellaire parle d’une maison-grange qui est la propriété de la Marquise de Pusignan ;
- le domaine de Teitard, mas 1 article 34 qui comprend une maison et une grange qui appartient à Paul de Cohade ;
- le domaine de Grange Blanche, mas 2 article 39, situé sur le lieu-dit Leyraut qui appartient à la Marquise de Pusignan ;
- le moulin de Platacul, mas 19 article 571 qui est la propriété de Paul de Cohade ;
- le domaine de Rambion, mas 25 article 829, appelé « maison forte de Rambion » qui appartient à Paul de Cohade.
En 1790, Vincent Quinon devient le premier maire de Meyzieu. Il installe sa mairie en location, à l’angle des actuelles rues Louis-Saulnier et de la République. C’est à la cure qu’il tient ensuite ses réunions municipales. Meyzieu devient ainsi une commune du département de l’Isère et chef-lieu de canton. Une mairie représentative de sa promotion administrative est alors construite sur l’actuelle place du Général-de-Gaulle.
En 1793, le propriétaire du château de l’époque, le marquis de Leusse est guillotiné à Lyon malgré ses initiatives philanthropiques dans la commune. Le château est alors vendu comme bien national. Quelques acquéreurs se succèdent, dont les frères Vachon, avant que Madame la marquise Le Clerc de La Verpillière n’hérite du domaine. Benoît Charles Candide Chenevaz, député de l'Isère de 1824 à 1827, décède au château en 1829.
La révolution industrielle
À la fin du XVIIIe siècle, la ville s’ouvre aux relations commerciales grâce à la construction du premier pont Morand qui permet d’ouvrir la route aux relations avec la cité de la soie.
Le développement de la commune se poursuit au siècle, grâce au chemin de fer de l'Est de Lyon inauguré en 1881, à la construction du canal de Jonage en 1895, puis au tramway en 1910. En 1893, le fort de Meyzieu est construit sur le site de la source de Bardieu, dans le cadre de la construction de la deuxième ceinture fortifiée de Lyon. Toutefois, jusque dans les années 1920/1930, l’activité dominante de la commune reste agricole, avant que l’Est lyonnais ne s’industrialise avec la chimie notamment.
Le château, devenu maison de retraite, voit quant à lui sa dernière tour s’effondrer le , un jour de grand vent. Du fait des nombreuses transformations effectuées au cours des siècles, il est aujourd’hui méconnaissable.
Le boom démographique et le rattachement au département du Rhône
Jusqu’en 1950, la population majolane oscille autour de 2 200 habitants avant de prendre son essor dans les années 1960 et 1970. De grands ensembles urbains comme Les Plantées sont alors construits sur la commune pour accueillir les rapatriés d’Afrique du Nord.
La délocalisation des industries lyonnaises en quête d’espace sert de moteur à une urbanisation accélérée et le paysage s’organise autour des grandes zones d’activités. Mais à la différence de villes comme Bron ou Vaulx-en-Velin, l’expansion démographique se traduit davantage à Meyzieu par le développement de l’habitat individuel que collectif[réf. nécessaire].
L’agglomération lyonnaise, à cheval sur trois départements (l’Isère, le Rhône et l'Ain), devient difficile à gérer. À plusieurs reprises, des cantons limitrophes du Rhône sont donc rattachés au département rhodanien. C’est le cas de Meyzieu, le
Avec l’explosion de l’habitat pavillonnaire, Meyzieu attire alors de nouvelles couches sociales, à la recherche d’un mode de vie plus convivial et passe de 19 505 habitants en 1975 à 29 097 en 2006.
Meyzieu au | ]
La ville s’impose aujourd’hui comme un pôle important de l’agglomération lyonnaise. Du fait de son développement démographique et économique, de nombreux équipements publics voient le jour pour répondre à la demande des nouveaux habitants. En , l’arrivée du tramway T3 contribue à l’évolution de la ville en permettant de joindre directement la gare de La Part-Dieu en 22 minutes. En , ce développement se poursuit avec la mise en service du tramway Rhônexpress, qui relie la ville à l’aéroport Saint-Exupéry en moins de 15 minutes.
Enfin, côté loisirs, la ville dispose du Grand Large, vaste déversoir de 150 hectares du canal de Jonage, et du centre aquatique Les Vagues.
Le Grand Lyon disparaît le
- « La Dent, Meyzieu, carte interactive » sur Géoportail. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
- Alain Kersuzan, Défendre la Bresse et le Bugey - Les châteaux savoyards dans la guerre contre le Dauphiné (1282 - 1355), Lyon, Presses universitaires de Lyon, ISBN , lire en ligne), chap. 14, p. 54.
- « », sur lyoncapitale.fr (consulté le ).
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Meyzieu dans la littérature
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