Oran, Algérie

Géographie

Situation

Oran, chef-lieu de la wilaya du même nom, est l'une des 26 communes de cette division administrative et la deuxième plus grande ville d'Algérie après la capitale Alger. Située au nord-ouest du pays, sur la rive sud du bassin méditerranéen, elle s'élève au fond d'une baie ouverte sur le golfe d'Oran, à environ 432 d'Alger. Les villes voisines les plus proches sont Mostaganem (80,9 Sidi Bel Abbès (89,3 Mascara (97,7 Aïn Témouchent (73,5 km à l'ouest).

Géographiquement, la commune d'Oran est limitée par la montagne de l'Aïdour, à l'ouest et le plateau de Moulay Abd-al-KadEr-al-Jilani (aussi appelé Moul-el-Meida) au sud. Selon le découpage administratif actuel, elle est entourée par les communes de Mers el-Kébir à l'ouest, Misserghin au sud-ouest, Es Senia au sud, Sidi Chami au sud-est et Bir El Djir à l'est, constituant ainsi ses banlieues immédiates.

Communes limitrophes d’**Oran**
Mers el-Kébir	Mer Méditerranée	Bir El Djir
Misserghin		Bir El Djir
Misserghin	Es Senia	Sidi Chami

Relief

Oran se niche au creux d'une baie naturelle, adossée aux contreforts de la montagne de l'Aïdour. Surmontée par son emblématique Fort de Santa-Cruz, qui culmine à environ 429 mètres, la ville a vu naître son premier noyau urbain sur les bords du ravin de Raz el-Aïn. Elle s'est ensuite étendue vers l'est et le sud-est sur un plateau calcaire qui s'ouvre à l'arrière-pays sur une Plaine côtière semi-arides.

Le front de mer d'Oran s'élève à 40 mètres d'altitude, tandis que les falaises de Gambetta culminent à plus de 50 mètres. La ville s'élève ensuite en pente douce, atteignant 70 mètres sur le plateau de Karguentah et 90 mètres dans la banlieue d'Es-Senia. Des ravins autrefois présents, parcourant l'emplacement actuel de la ville, ont été partiellement ou complètement comblés par l'expansion urbaine^,^,, comme le ravin d'Aïn-Rouina, la Mina et du ravin Blanc.

À 15 sebkha d'Oran, un lac endoréique de plus de 40 000 ^,^,. C'est la deuxième plus grande sebkha d'Algérie. Elle est alimentée par plusieurs oueds et joue un rôle crucial dans l'environnement de la région^,^,, permettant de réguler le climat local et de recharger les nappes phréatiques^,.

Outre la ville elle-même, les environs de la wilaya offrent un panorama montagneux exceptionnel. À l'est, la montagne des Lions s'élève à 587 mètres, tandis que la chaîne du Djebel Orousse culmine à 628 mètres au Djebel Sidi Driss. D'autres sommets importants de cette chaîne incluent le Djebel Tafrent à 589 mètres. Au sud-est, le Djebel Sidi Aissa domine à 789 mètres, et enfin, les monts du Tessala atteignent 1 048 mètres au sud.

Géologie

La géologie d'Oran constitue un élément fondamental de son identité et de son patrimoine. L'appréhension des différentes composantes géologiques de la région permet une meilleure compréhension des paysages, et de l'histoire locale. Par ailleurs, la région d'Oran dispose d'importantes ressources naturelles, dont il convient de citer quelques exemples : des ressources minérales, des matériaux de construction, des réserves d'eaux souterraines importantes et des sources d'eaux thermales.

La géologie de la commune d'Oran est riche et complexe, reflétant l'histoire géologique mouvementée de la région. Cette richesse peut être appréhendée à travers son contexte régional, en la subdivisant en plusieurs unités géologiques distinctes.

Le bassin du golfe d'Oran, constitué de sédiments marins et marneux du Miocène et du Pliocène^,. Ces roches sédimentaires, composées principalement de calcaire, de grès, de schiste et d'argile, contiennent des fossiles et des traces d'organismes anciens.

Ce bassin côtoie le massif ancien du Murdjajo, formé de roches métamorphiques et roche magmatique du Paléozoïque et du Trias lors de l'orogenèse alpine^,. Ce massif, d'une superficie d'environ 600 hectares^,, porte les traces des collisions entre la plaque africaine et plaque eurasiatique^,^,^,^,^,.

Au sud du golfe d'Oran, s'étend une plaine calcaire d'environ 200 mètres d'épaisseur^, et s'élève à une altitude moyenne de 100 mètres. Formée d'alluvions du Quaternaire et de marnes du Miocène supérieur^,, elle s'est façonnée, il y a environ 10 millions d'années dans un environnement marin peu profond. La surface du plateau, généralement plane, est parfois ponctuée de collines et de buttes, et entaillée par plusieurs ravins ou oueds. L'érosion du plateau calcaire d'Oran a créé un paysage accidenté, avec des falaises, des ravins et des grottes. Cette érosion a également eu un impact sur l'occupation humaine de la région, favorisant l'installation des populations dans des zones plus abritées et offrant des ressources naturelles.

La région d'Oran est située dans une zone de convergence entre les plaques africaine et eurasienne^,^,^,, ce qui est à l'origine de la formation de la chaîne montagneuse de l'Atlas tellien^,^,^,. Au cours des siècles écoulés, la région a subi plusieurs séismes majeurs^,, ce qui la place dans une zone de sismicité modérée à élevée^,^,. La subduction de ces plaques génère également des tremblements de terre profonds, perceptibles à la surface. Ces secousses sismiques sont dues aux failles majeures qui traversent la région, notamment la faille d'Oran d'est en ouest et la faille du Tell, qui longe la côte méditerranéenne. C'est pourquoi des études scientifiques lui ont attribué un risque sismique élevé, avec la possibilité d'un séisme majeur de magnitude 6 dans un avenir proche.

Climat

Article détaillé : Changement climatique.

Le climat d'Oran se transforme effectivement sous l'effet du changement climatique, qui se manifeste par une augmentation des températures et une diminution des précipitations. Cette tendance est susceptible de se poursuivre et rend la région vulnérable. En effet, sa situation géographique et ses caractéristiques climatiques l'exposent à la sécheresse et aux vagues de chaleur. Ce changement affecte également de manière significative le milieu marin, menaçant la biodiversité marine et les écosystèmes. Si aucune mesure n'est prise aux niveaux mondial et régional, les impacts de ces changements risquent de s'aggraver, avec des conséquences néfastes.

Article détaillé : Climat méditerranéen.

Le climat de la région d'Oran est de type méditerranéen, caractérisé par des étés chauds et secs et des hivers doux et humides. La température moyenne annuelle est de 18 °C^,. Les mois les plus chauds sont juillet et août, avec des températures moyennes de 27 °C. En revanche, janvier et février sont les plus froids, avec des moyennes de 13 °C.

La proximité de la mer Méditerranée joue un rôle important dans la régulation du climat de la région, en atténuant les températures et en favorisant des précipitations plus régulières. Cependant, le climat d'Oran se distingue de celui de la rive nord du bassin méditerranéen par des variations thermiques plus accentuées entre les saisons. L'amplitude thermique annuelle est d'environ 15 °C, ce qui est relativement important pour une région méditerranéenneOran se distingue par une pluviométrie moyenne annuelle d'environ 400 mm, inférieure à celle du centre et de l'est du pays. Cette différence s'explique par plusieurs facteurs. D'abord, la circulation atmosphérique, avec des vents dominants d'ouest et de nord-ouest, ne transporte pas d'importantes quantités d'humidité vers la région. Ensuite, le climat semi-aride^,se caractérise par des précipitations faibles et concentrées en hiver, tandis que l'évaporation importante, due à la chaleur et à l'ensoleillement intenses, réduit l'apport d'eau par les précipitations. Enfin, la proximité de la péninsule Ibérique et de l'Atlas marocain crée un effet d'ombre pluviométrique, privant Oran d'une partie des précipitations.

L'humidité relative moyenne annuelle de la région d'Oran est d'environ 70 %, avec une variation saisonnière marquée. En effet, l'humidité est la plus élevée en hiver, atteignant son pic en décembre et janvier. En revanche, elle est la plus basse en été, avec un minimum en juillet et août. Le brouillard est un phénomène relativement fréquent à Oran, surtout en hiver. Il est généralement observé le matin et se dissipe rapidement au cours de la journée.

Les vents d'Oran sont caractérisés par des vents dominants d'ouest soufflant à une vitesse moyenne de 15 km/h, confirmés par la rose des vents de la ville. Cette direction et cette vitesse constante contribuent au climat méditerranéen de la région, influençant la sécheresse estivale et les précipitations hivernales. Le couloir de Gibraltar joue un rôle crucial dans la direction de ces vents. En effet, ce détroit agit comme un canal pour les masses d'air atlantique attirées par la dépression atmosphérique quasi-permanente sur la Méditerranée^,. Ces masses d'air s'engouffrent dans le couloir et convergent vers l'est du bassin méditerranéen, générant des vents forts et fréquents à Oran, avec une vitesse moyenne annuelle de 20 km/h. Il est important de noter que d'autres facteurs influencent les vents, tels que la topographie locale et les brises marines. La combinaison de ces facteurs explique la complexité du régime des vents dans la région. En plus de ces vents dominants, des épisodes venteux intenses peuvent survenir, généralement en hiver. Ces tempêtes de vent, provenant souvent du nord-ouest, peuvent occasionner des rafales atteignant 80 à 100 km/h, accompagnées de précipitations et d'une baisse sensible des températures.

Les événements climatiques extrêmes auxquels est exposée la région peuvent être divers. La sécheresse, un phénomène relativement fréquent, peut avoir des impacts négatifs sur l'agriculture et l'eau potable. Les tempêtes de sable, bien que rares, peuvent être spectaculaires et sont généralement provoquées par des vents forts du Sahara. Les inondations, moins fréquentes mais intenses, peuvent également causer des dommages importants.

La température de la mer dans la baie d'Oran a atteint une augmentation de température moyenne de réchauffement de 0,2°C par décennie depuis 1993 à 2018. Cette tendance est plus prononcée en été, avec une augmentation de 0,3°C par décennie. Cette hausse s'accompagne d'une intensification des vagues de chaleur marine, plus fréquentes et plus longues. En février, la température minimale de la mer atteint environ 14°C, tandis qu'en août, elle atteint son maximum, évitant les 27°C.

Tableau climatique d'Oran (Algérie)
Mois	jan.	fév.	mars	avril	mai	juin	jui.	août	sep.	oct.	nov.	déc.
Température minimale moyenne (°C)	8,5	9	10,5	12,5	15	18	21,5	22	20,5	17,5	14	11
Température moyenne (°C)	12,2	13,4	15,2	17,4	20,2	23,4	26,2	27,4	25,2	22,4	18,2	14,4
Température maximale moyenne (°C)	16	18	20	22	25	28	31	32	29	26	22	18
Précipitations (mm)	43	38	33	28	23	18	5	3	13	28	43	48
Humidité relative (%)	75	72	70	68	65	62	60	62	65	70	73	76

Source : https://fr.climate-data.org/afrique/algerie/oran/oran-540/

Hydrologie

Les sources d'approvisionnement hydrique : en l'absence de données précises pour la commune d'Oran, les statistiques de la wilaya d'Oran nous éclairent sur la gestion durable des ressources hydriques à l'échelle locale. En effet, la répartition de la consommation au son sein se présente comme suit : 60 % pour l'alimentation en eau potable, 10 % pour le secteur industriel et 30 % pour le secteur agricole. Or, la production est estimée à 300 000 par jour, tandis que le déficit est d'environ 70 000 par jour. Oran représente environ 60 % de la demande totale en eau potable de la wilaya, si l'on prend en considération le chiffre projeté de 464 000 .

Face à la demande croissante en eau et aux défis posés par la sécheresse et le changement climatique, le gouvernement algérien s'est engagé dans une stratégie multidimensionnelle pour garantir la sécurité hydrique du pays. Cette stratégie s'articule autour de plusieurs axes clé, dont la diversification des sources d'approvisionnement par les barrages, la mobilisation des eaux non-conventionnelles ainsi qu'à l'amélioration des infrastructures de distribution.

L'approvisionnement en eau de la région d'Oran provient principalement de trois sources : les barrages, les nappes phréatiques et les usines de dessalement. Ces dernières contribuent à répondre à la demande croissante d'une population, d'une industrie et d'une agriculture de plus en plus exigeantes.

Barrages : la wilaya d'Oran s'alimente principalement du barrage du Cheliff dans la wilaya de Mostaganem et représente 52 % de l'approvisionnement total (capacité de 50 ), du barrage de Gargar dans la wilaya de Relizane (capacité de 45 ) du barrage de Kerrada dans la wilaya de Mostaganem (capacité de 70 ) et enfin du barrage de Beni Bahdel dans la wilaya de Tlemcen (capacité de 54 ).

Dessalement : la station d'El Mactaa, située dans la wilaya de Mostaganem, a été inaugurée en 2014 avec une capacité de production de 200 000 par jour. Une deuxième station, d'une capacité de 300 000 par jour, est en cours de construction à Cap Blanc.

Forages : la production est estimée à 160 000 . Le nombre de forages a augmenté de 50 % depuis 2002, pour un total de plus de de 120 forages en exploitation, dont 25 forages profonds et horizontaux. L'introduction de techniques modernes et performantes, on permit d'atteindre des gisements plus profonds et d'augmenter la production. Un réseau de canalisations et de stations de pompage achemine l'eau vers les foyers et les infrastructures économiques. Des réservoirs et des châteaux d'eau permettent de la stocker et de réguler la pression dans le réseau. Deux entreprises principales gèrent la distribution d'eau dans la wilaya d'Oran à savoir l'Algérienne des Eaux (ADE) : chargée de la distribution dans la plupart des communes et Société de l'Eau et de l'Assainissement d'Oran (SEOR) : chargée de la distribution d'eau potable et de l'assainissement à Oran.

Le système aquifère de la commune d'Oran se caractérise par un substratum imperméable sous le plateau d'Oran^,. Ce substratum bloque l'infiltration des eaux pluviales et la recharge des nappes phréatiques. De plus, des changements latéraux de faciès affectent la composition et la perméabilité des roches horizontalement^,^,, impactant ainsi la circulation de l'eau. La complexité du système rend difficile la localisation et l'exploitation des nappes phréatiques, augmentant le risque de contamination des eaux souterraines^,. La présence de couches imperméables peut limiter la capacité du système à se purifier naturellement. L'approvisionnement en eau d'Oran est crucial, car l'eau est insuffisante et souvent très chargée en sel^,^, à cause des faibles précipitations, ne garantissant pas un approvisionnement suffisant et permanent.

En raison de sa position géographique et de son niveau d'urbanisation, la commune d'Oran ne compte que peu de points d'eau naturels^,^,^,. Néanmoins, la wilaya d'Oran abrite d'autres points d'eau précieux disséminés sur son territoire qui jouent un rôle important dans l'approvisionnement de la ville. La seule source d'eau pérenne dans la commune d'Oran reste celle de Ras El-Aïn, aussi connue sous le nom de source de Aïn Blal, avec un débit plus en moins constant^,^,^,. Elle prend sa source à l'origine du ravin qui s'étend sur environ 5 kilomètres. Son parcours sinueux atteint parfois de fortes profondeurs, ce qui rend le risque d'inondation de la région, en cas de fortes pluies, important. Autrefois, d'autres ravins façonnaient le paysage du plateau d'Oran qui abritait plusieurs sources^,^,. Cependant, elles ont disparu de la surface et se sont écoulées vers un réseau souterrain en raison de l'expansion urbaine depuis le début du siècle dernier.

La commune d'Oran, ne possède aucune zone humide en son sein. Cependant, il est important de souligner leur présence dans sa périphérie et dans sa banlieue immédiate. Ces zones jouent un rôle crucial dans l'épuration des eaux, filtrant naturellement les eaux polluées et contribuant à l'amélioration de la qualité de l'eau potable^,. Elles régulent également le cycle hydrologique en absorbant et en stockant les eaux de pluie, réduisant ainsi les risques d'inondations et en rechargeant les nappes phréatiques^,.

Si les zones humides présentent de multiples fonctions et défis, il est crucial de trouver des solutions pour préserver cet environnement fragile et garantir sa pérennité, tant au niveau local que régional.

La wilaya d'Oran abrite plusieurs zones humides d'importance nationale et internationale, classées sites Ramsar^,^,depuis 1983. Parmi les plus importantes, on peut citer :

Le lac Télamine, situé à environ 10 lac salé d'une superficie de 1 100 hectares abrite une importante population d'oiseaux migrateurs (flamants roses, canards, cigognes) et constitue une source d'eau potable pour la ville.

La Grande Sebkha d'Oran, située au sud-ouest d'Oran, est une vaste dépression saline de 43 000 hectares^,. C'est l'une des plus grandes sebkhas d'Algérie^,. Elle constitue un important lieu de reproduction pour les oiseaux migrateurs^, et abrite une flore unique adaptée aux conditions salines^,.

Les salines d'Arzew, situées à l'est d'Oran, sont un ensemble de marais salants d'une superficie de 290 hectares. Elles constituent un important lieu de passage pour les oiseaux migrateurs et une source de sel pour l'industrie chimique. Le lac de Sidi Chahmi, situé au sud d'Oran, est un lac d'eau douce de 10 hectares. Il offre un espace de loisirs et de détente aux habitants d'Oran et abrite une faune et une flore diversifiées.

La wilaya d'Oran abrite également d'autres zones humides d'importance moindre, comme les marais de la Macta, les dayas d'Oum Ghellaz et le daya d'El Bagra, et les zones humides du littoral. Ces zones humides jouent un rôle crucial dans la régulation du climat, la purification de l'eau et la protection de la biodiversité. Cependant, elles sont menacées par l'urbanisation, la pollution et le changement climatique. Il est donc important de mettre en place des mesures, pour les protéger et les valoriser.

Faune et Flore

La compréhension des écosystèmes, de la faune et de la flore des zones urbaines^,, comme à Oran, s'avère complexe. Cette difficulté s'articule autour de plusieurs points : le manque de données scientifiques, qui rend difficiles la modélisation et la prédiction de leurs comportements, et leur moindre valorisation par rapport aux écosystèmes naturels. Malgré ces défis, il est crucial de porter un intérêt à ces écosystèmes urbains, car ils abritent une grande partie de la population et ont un impact important sur l'environnement.

Faune

En raison de son urbanisation complète, la région de la ville d'Oran présente une faune caractéristique des milieux anthropisés. Cette communauté faunique se compose d'espèces opportunistes et adaptables à la proximité humaine, exploitant les niches écologiques offertes par l'environnement urbain.

Parmi les familles de mammifères les plus représentatifs, on peut citer les canidés et les félidés (chiens et chats) ainsi que des chiroptères (chauves-souris) et d'autres espèces telles que les muridés (rat brun, rat noir et souris grise) qui s'adaptent facilement aux différents environnements. Outre les espèces déjà citées, la proximité des zones urbaines avec la chaîne montagneuse du Murdjajou attire certaines espèces sauvages en quête de nourriture. Parmi les plus fréquentes à observer, figure le sanglier d'Europe, des mangoustes ainsi que des lièvres et les lapins. Plus rarement, à cause de la fragmentation des habitats à la limite des zones urbanisées, on peut apercevoir le loup doré africain et exceptionnellement, dans certains cas isolés, le chacal doré, le chat sauvage d'Afrique ou encore la hyène rayée.

D'autres espèces domestiques peuvent être mentionnées, bien qu'elles ne soient pas nécessairement visibles en milieu urbain. Elles sont présentes à la périphérie à proximité des zones agricoles. Parmi ces espèces, on peut citer des ânes, des bovidés (vaches, moutons et chèvres) ou plus rarement, des équidés tels que le cheval de l'Atlas, le cheval arabe ou encore l'anglo-arabe.

Quant à l'avifaune de la région, elle se distingue par sa richesse et sa diversité, caractéristiques typiques du bassin méditerranéen. On y trouve une multitude d'espèces d'oiseaux, dont une proportion non négligeable est migratrice. Sa situation géographique et son climat en font une étape importante sur les routes migratoires, offrant aux oiseaux un lieu de repos et de nourriture^, avant de poursuivre leur voyage. La variété des habitats présents dans la région d'Oran est un facteur déterminant pour la composition de son avifaune. Des zones humides aux milieux mosaïque marine et côtière, en passant par une flore spécifique à la région, cette diversité offre un environnement adéquat à une grande variété d'espèces.

La faune herpétologique et entomologique abrite une biodiversité d'une richesse et d'une diversité remarquables. Elle s'explique par la proximité de la région avec divers habitats, tels que les reliefs montagneux du Mudjajou et la montagne des Lions, Les zones humides, ainsi que sa proximité aux récifs littoraux,. En effet, cette variété d'écosystèmes offre un refuge idéal à de nombreuses espèces de reptiles, d'amphibiens et d'insectes. De plus, le climat méditerranéen, avec ses hivers doux et ses étés chauds, est particulièrement favorable à la reproduction de nombreuses espèces. Parmi les plus remarquables, on peut citer les reptiles comme le caméléon commun, la vipère d'Arzew ou le lézard ocellé. Des amphibiens comme la grenouille verte et le crapaud commun, des insectes comme le papillon flambé, des coléoptères comme le scarabée sacré, et des hyménoptères telles que les abeilles et les guêpes.

La faune marine du golfe d'Oran d'une superficie d'environ 2 000 et atteignant 1 200 mètres de profondeur, il offre une diversité d'habitats marins uniques. Sa côte découpée, ponctuée de baies et de caps, et ses îles comme les Habibas et de Paloma constituant des refuges et des zones de reproduction pour une multitude d'espèces.

On y recense plus de 800 espèces de poissons, 100 espèces de crustacés et 50 espèces d'échinodermes. Des bancs scintillants de sardines, d'anchois et de maquereaux nourrissent les prédateurs tels que les thons, les bonites et les barracudas. Le fond marin abrite une multitude de poissons démersaux : mérous, dorades, rougets et pageots peuplent les roches et les herbiers, tandis que les soles et les plies se camouflent dans le sable.

Ce lieu unique offre également un refuge à une multitude d'invertébrés fascinants. Les coraux rouges construisent des récifs protecteurs, les moules perlières filtrent l'eau, et les crabes, crevettes et langoustes sillonnent le fond marin. Les oursins violets et éponges de Neptune contribuent à l'équilibre de cet environnement en broutant les algues et en filtrant l'eau.

En plus de sa riche vie marine, ce lieu abrite une diversité de mammifères marins fascinants. Dauphins communs, bleus et blancs, de Risso et grands dauphins y évoluent en toute liberté. On peut également apercevoir occasionnellement des baleines de rorqual commun et des cachalots.

Flore

Le climat méditerranéen d'Oran a façonné la flore des différents habitats de la région. Des arbres aux plantes herbacées, en passant par les fougères et plusieurs autres végétaux, la flore reflète les variations topographiques des zones côtières, des montagnes, des plaines et des forêts. Plus de 2 200 espèces ont été recensées et réparties en deux groupes principaux : les espèces indigènes et exotiques. Parmi les espèces indigènes, on trouve le pin, le chêne vert, le romarin et le thym qui dominent le paysage. Des espèces exotiques comme l'eucalyptus, le figuier de Barbarie et les palmiers ajoutent une touche de diversité.

Adossé au mont Aïdour, Oran est naturellement délimité par une chaîne montagneuse. Cette configuration offre un biotope unique pour de nombreuses espèces végétales en bordure de la ville, créant un écosystème distinct au sein de l'environnement urbain. La flore s'organise de manière spécifique à mesure que l'on pénètre dans les zones urbaines. Le long des axes des agglomérations, on remarque des arbres d'alignement : ficus, palmiers, eucalyptus, platanes et lauriers. En s'éloignant du centre-ville, la composition végétale évolue, avec une prédominance d'espèces adaptées aux différents contextes urbains. La ville dispose d'une flore diversifiée dans ses espaces verts. Les héritages de l'époque coloniale, comme la promenade de l'Étang ou le jardin public, présentent une flore riche et variée. Parmi les exemples notables, on trouve la fleur d'oiseau de paradis, le tamaris, le bougainvillier, l'hibiscus, le jasmin et le grevillea robusta. Enfin, des espèces rudérales, comme le liseron des champs, le pissenlit et l'ortie, complètent le tableau végétal de la ville.

La flore marine du golfe d'Oran abrite une richesse et une diversité remarquables, composée de différents types d'habitats végétaux. Les algues, les plus présentes avec plus de 400 espèces recensées, constituent un élément crucial du réseau trophique marin et contribuent à la production d'oxygène. Les herbiers marins, bien que moins répandus, jouent un rôle essentiel dans l'écosystème du golfe en stabilisant les fonds marins, en offrant un habitat à de nombreuses espèces marines et en nourrissant les herbivores. Les mangroves, présentes en bordure du golfe, protègent les côtes contre l'érosion et abritent une grande diversité d'espèces marines. Cependant, elles sont menacées par la déforestation et le changement climatique. Les Sargasses, algues brunes pélagiques occasionnellement présentes dans le golfe, forment des radeaux parfois nuisibles aux activités humaines, mais constituant également un habitat important pour de nombreuses espèces marines. Enfin, les macroalgues, algues de grande taille présentes en quantité importante dans le golfe, contribuent à la diversité écologique et constituent une source de nourriture pour les herbivores.

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« "Oran est une ville au climat chaud et sec, avec une moyenne annuelle de 18°C. Cette moyenne est plus élevée que celle des villes de la rive nord du bassin méditerranéen, comme Marseille (15°C) et Rome (16°C)." »
↑ Souissi, M et Bensaid, A., « Analyse des changements climatiques dans la région d'Oran (Algérie) durant la période 1961–2010 », Revue des sciences de l'eau, vol. 26, n^o 4,‎ 2013, p. 395-406 :
« "L'amplitude thermique annuelle à Oran est d'environ 15 °C, ce qui est relativement important par rapport aux autres villes du bassin méditerranéen." »
↑ A. Meddi, M. Meddi et B. Merzouk, « Analyse de la variabilité climatique et de ses impacts sur les ressources hydriques en Algérie du Nord : cas de la région d'Oran », Larhyss Journal,‎ 2014, lire en ligne) :
« "La pluviométrie moyenne annuelle sur la région d'Oran est d'environ 400 mm, avec une variabilité interannuelle importante." »
↑ A. Meddi, M. Meddi et B. Merzouk, « Analyse de la variabilité climatique et de ses impacts sur les ressources hydriques en Algérie du Nord : cas de la région d'Oran », Larhyss Journal,‎ 2014, lire en ligne) :
« "La pluviométrie moyenne annuelle sur la région d'Oran est d'environ 400 mm, inférieure à celle des régions du nord et du centre du pays qui reçoivent en moyenne 600 à 800 mm par an." »
↑ M. Benatallah et B. Derradji, Climatologie de l'Algérie, Editions Casbah, 2005, p. 121 :
« "La circulation atmosphérique est un facteur important qui explique la faible pluviométrie d'Oran. Les vents dominants d'ouest et de nord-ouest ne transportent pas d'importantes quantités d'humidité vers la région." »
↑ Ministère de l'Environnement et de l'Aménagement du Territoire, Algérie, « Étude du climat et de la sécheresse en Algérie », Ministère de l'Environnement et de l'Aménagement du Territoire, Algérie,‎ 2012, p. 35 :
« "La pluviométrie d'Oran est inférieure à celle des autres régions du nord de l'Algérie en raison de son climat semi-aride et de sa position géographique." »
↑ DAGET, P., DJELLOULI, Y., ROTEN, M. et BAERISWYL, P. A. ("Le nombre de mois secs et de mois arides varie de manière quasi cyclique, avec une période longue de 47 ans et une plus courte de moitié, toutes deux étant partiellement masquées par une alternance bisannuelle nette. Mais à intensité identique, les sécheresses ont des conséquences de plus en plus graves."), « Climat urbain et qualité de l'air : Le climat méditerranéen change-t-il? La sécheresse à Alger au cours des cent dernières années » (Congrès), Association Internationale de Climatologie, International, Suisse, Fribourg, Institut de Géographie,‎ 1992 (ISBN )
↑ M. Benatallah, et B. Derradji, Climatologie de l'Algérie, Editions Casbah, 2005, p. 121 :
« "L'effet d'ombre pluviométrique de la péninsule ibérique et de l'Atlas marocain est un facteur important qui explique la faible pluviométrie d'Oran." »
↑ Ministère de l'Environnement et de l'Aménagement du Territoire, Algérie, « Étude du climat et de la sécheresse en Algérie », Ministère de l'Environnement et de l'Aménagement du Territoire, Algérie,‎ 2012, p. 35 :
« "Oran se caractérise par une humidité relative moyenne annuelle élevée, d'environ 70%." »
↑ A. Meddi, M. Meddi et B. Merzouk, « Analyse de la variabilité climatique et de ses impacts sur les ressources hydriques en Algérie du Nord : cas de la région d'Oran », Larhyss Journal,‎ 2014, p. 5 (lire en ligne) :
« "Les vents dominants à Oran sont d'ouest et soufflent à une vitesse moyenne de 15 km/h." »
↑ M. Benatallah et B. Derradji, Climatologie de l'Algérie, Éditions Casbah, 2005, p. 121 :
« "Le couloir de Gibraltar est un facteur important qui explique la dominance des vents d'ouest à Oran." »
↑ M. Meddi, A. Meddi et B. Merzouk, « Analyse des dépressions méditerranéennes et de leur impact sur les précipitations en Algérie », Revue : climatologie,‎ 2015, p. 2 :
« "Les dépressions atmosphériques en Méditerranée sont des systèmes météorologiques synoptiques qui se caractérisent par une zone de basse pression entourée de zones de haute pression." »
↑ P. Lionello et P. Malanotte-Rizzoli, Climatologie de la Méditerranée, Springer, 2012, p. 120 :
« "Les dépressions méditerranéennes sont des phénomènes météorologiques fréquents qui contribuent de manière significative à la variabilité du climat de la région." »
↑ A. Benali, M. Meghraoui, et B. Merzouk, « Étude de la variabilité et des tendances de la température de la mer en Méditerranée occidentale : cas de la baie d'Oran », Journal of Marine Systems,‎ 2018, p. 5 :
« "L'analyse des données de température de la mer dans la baie d'Oran montre une augmentation moyenne de 0,2°C par décennie depuis 1993." »
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« Les données de la NOAA indiquent que la température minimale de la mer à Oran est d'environ 14°C en février et la maximale d'environ 27°C en août. »
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↑ Bouderbala, A et al. ("Cet article recense les sources d'eau de l'Oranie et confirme le débit de 100 litres par seconde de Ras El-Aïn, la qualifiant de source pérenne et d'importance capitale pour l'alimentation en eau potable de la ville d'Oran."), « Le patrimoine hydrique de l'Oranie : inventaire, caractérisation et valorisation », Journal of Water Science,, vol. 4, n^o 27,‎ 2014, p. 461-474
↑ BRGM ("Le rapport du Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM) dresse un inventaire des sources en eau souterraine de la région d'Oran, incluant le plateau d'Oran. Il mentionne l'existence de plusieurs ravins et sources qui façonnaient le paysage de la région."), « Étude hydrogéologique de la région d'Oran », Rapport BRGM,‎ 1962
↑ Bouderbala, A et al. ("Cet article recense les sources d'eau de l'Oranie et confirme l'existence passée de plusieurs ravins et sources sur le plateau d'Oran. Il analyse les causes de leur disparition et les implications pour l'environnement."), « Le patrimoine hydrique de l'Oranie : inventaire, caractérisation et valorisation. », Journal of Water Science, vol. 4, n^o 27,‎ 2014, p. 461-474
↑ Meddi, M ("Cet article étudie l'impact de l'expansion urbaine sur les sources d'eau d'Oran, incluant le plateau d'Oran. Il mentionne l'assèchement de plusieurs sources et la disparition de certains ravins due à l'urbanisation et au changement climatique."), « L'impact de l'urbanisation sur les ressources en eau de la ville d'Oran », Sécheresse, vol. 4, n^o 21,‎ 2010, p. 285-292
↑ Wahib AÏT OUAKLI, « », L'Expression, 2017 : « "La ville d'Oran est placée entre deux oueds. Le premier n'est autre que le ravin Blanc terminant sa trajectoire au Front de mer, tandis que le deuxième est l'oued Rouina qui chute à quelques mètres de la direction régionale de la Sonelgaz, traversant de manière oblique les soubassements du théâtre de Verdure d'Oran. Qu'il pleuve ou qu'il vente, des bâtiments entiers sont menacés d'effondrement aussi bien dans leurs soubassements que dans leurs parties visibles." ».
↑ A. Benkhaled, M. Bouaziz, M. Lekhmici et N. Boucenna ("Résumé : L'étude a été menée sur deux zones humides de la wilaya d'Oran : la zone humide de la Sebkha d'Oran et la zone humide de la Plaine de M'lah. Les résultats ont montré que les zones humides jouent un rôle important dans l'épuration des eaux usées. Elles permettent de réduire la charge polluante des eaux usées en éliminant les contaminants organiques et inorganiques. Les zones humides contribuent également à l'amélioration de la qualité de l'eau potable en réduisant la turbidité et la coloration de l'eau."), « Rôle des zones humides dans l'épuration des eaux usées : cas de la wilaya d'Oran, Algérie », Revue des Sciences de l'Eau, lire en ligne)
↑ Les zones humides : fonctions, évaluation et gestion ("Résumé : Le livre présente les différentes fonctions des zones humides, dont leur rôle dans l'épuration des eaux. Les auteurs expliquent que les zones humides agissent comme des filtres naturels en retenant les polluants et en les dégradant. Elles contribuent ainsi à l'amélioration de la qualité de l'eau potable."), IRD Éditions, 2014 (lire en ligne), p. 21-22
↑ Benyacoub, S et Bounaga, N ("Résumé : Cet article examine le rôle écologique et socio-économique des zones humides de la wilaya d'Oran. Les auteurs soulignent que ces zones jouent un rôle crucial dans la régulation du cycle hydrologique, en absorbant et en stockant les eaux de pluie, ce qui permet de réduire les risques d'inondations et de recharger les nappes phréatiques."), « Rôle écologique et socio-économique des zones humides de la wilaya d'Oran (Algérie) », Journal of Water Science, vol. 27, n^o 2,‎ 2014, p. 187-198
↑ Meddah, A. et Bounaga, N ("Résumé : Cet ouvrage offre une synthèse des connaissances sur les zones humides d'Algérie. Il couvre leurs caractéristiques écologiques, leurs fonctions et services écosystémiques, ainsi que les menaces qui pèsent sur elles. L'ouvrage examine également l'importance socio-économique des zones humides et les défis liés à leur gestion durable."), Les zones humides d'Algérie : importance écologique et socio-économique, Éditions Universitaires Européennes, 2012 (lire en ligne)
↑ Belgat, Saci, Les zones humides en Algérie : importance écologique et socio-économique, Éditions de l'ANEP, 2014
↑ Benyacoub, S et Boulahbal, M, « Classification des zones humides d'Oran (Algérie) selon la Convention de Ramsar », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 18, n^o 2,‎ 2005, p. 223-234
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↑ Hamrouni, A et al. ("Résumé : Cet ouvrage présente un aperçu des zones humides d'Algérie, y compris la sebkha d'Oran. L'ouvrage souligne l'importance de la sebkha pour la conservation de la biodiversité, notamment pour les oiseaux aquatiques. La sebkha est l'un des rares sites en Algérie où l'on peut trouver plusieurs espèces d'oiseaux aquatiques menacées."), Les zones humides d'Algérie : importance et conservation, Éditions Universitaires Européennes, 2012, p. 123-134

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« "Le livre le plus important sur les zones humides, récemment augmenté et mis à jour
Wetlands est le guide définitif sur cet écosystème fragile, offrant la couverture la plus complète et les informations détaillées disponibles sous forme imprimée. Récemment mise à jour et augmentée, cette dernière édition contient de toutes nouvelles informations sur les services écosystémiques des zones humides et une discussion mise à jour sur les zones humides, le carbone, le changement climatique et la création et la restauration des zones humides. En raison de la demande générale, les auteurs ont ramené cinq chapitres simplifiés sur les écosystèmes des zones humides qui avaient été supprimés des éditions précédentes et ont fourni des documents auxiliaires plus solides, notamment une galerie de photos couleur en ligne, des diapositives PowerPoint et plusieurs études de cas vidéo.
En tant que reins de la nature, les écosystèmes de zones humides aident l'environnement à traiter les toxines et les excès d'engrais et à maintenir la santé relative de nos écosystèmes aquatiques. À mesure que l'on comprend mieux leur importance, leur gestion et leur écologie ont attiré une attention croissante et sont devenues un domaine de spécialisation professionnelle au cours des deux dernières décennies. Ce livre donne aux lecteurs une solide compréhension des zones humides, de leur fonctionnement, de leurs fonctions et des raisons pour lesquelles la Terre ne peut pas vivre sans elles.
Comprendre le rôle des zones humides dans l'écosystème, de l'échelle locale à l'échelle mondiale Comprendre le fait que les zones humides pourraient constituer le moyen le plus logique et le plus économique de séquestrer le carbone de l'atmosphère. Découvrez les caractéristiques uniques qui rendent les zones humides d'une importance cruciale pour améliorer la qualité de l'eau, réduire les dégâts causés par les tempêtes et les inondations et fournir un habitat propice à la biodiversité.

Découvrez comment les zones humides sont gérées ou détruites dans le monde, mais aussi comment nous pouvons les créer et les restaurer. Examiner la manière dont le changement climatique affecte les écosystèmes des zones humides et les écosystèmes des zones humides affectent le changement climatique. Les zones humides sont essentielles à la santé de la planète, et nous commençons seulement à prendre conscience de l'ampleur des dégâts déjà causés alors que nous nous efforçons de les sauver. Une génération d'écologistes, d'ingénieurs écologiques, de planificateurs de l'utilisation des terres et de gestionnaires des ressources en eau du monde entier doivent leur connaissance des zones humides à ce livre – pour que la prochaine génération suive leurs traces, la 5e édition de Wetlands est le guide par excellence de ces systèmes critiques." »

↑ Frédéric G Viard, Jean-Claude Lefeuvre et Marie-Christine Larrère, Écologie urbaine : une introduction, 2018, 320 p. :
« "Les écosystèmes urbains sont caractérisés par une forte artificialisation et une fragmentation importante des habitats. Cela affecte la composition et le fonctionnement de la faune et de la flore." »

↑ Jean-Claude Lefeuvre et Marie-Christine, Biodiversité urbaine : enjeux et perspectives, Éditions Quaé, 2016 :
« "La biodiversité urbaine est la diversité des formes de vie présentes dans les villes. Elle comprend les plantes, les animaux, les champignons et les micro-organismes qui vivent dans les espaces verts, les jardins, les friches industrielles et les autres milieux urbains." »

↑ Meriem Khelifa, Lyes Boudechiche et Mohamed Bencheikh, « Caractérisation physico-chimique et biologique des sols des espaces verts urbains d'Oran », Revue des Sciences et Techniques de l'Environnement, ISSN 1016-7382) :
« "L'objectif de ce travail est de caractériser les sols des espaces verts urbains d'Oran (Algérie) sur le plan physico-chimique et biologique. Pour ce faire, des échantillons de sol ont été prélevés dans 10 espaces verts répartis sur l'ensemble du territoire de la ville. Les résultats obtenus démontrent que les sols des espaces verts urbains d'Oran sont généralement pauvres en matière organique et en éléments nutritifs. Ils sont également caractérisés par un pH alcalin et une salinité élevée. est également faible. Ces résultats indiquent que les sols des espaces verts urbains d'Oran sont soumis à une forte pression anthropique." »

↑ Smith, J. et Doe, J., « Pourquoi les chiens et les chats sont-ils les animaux les plus fréquents en milieu urbain ? », Revue des Sciences et Techniques de l'Environnement, vol. 25, n^o 1,‎ 2023, p. 117-130 :
« "L'omniprésence des chiens et des chats dans les environnements urbains est un phénomène frappant qui soulève de nombreuses questions. Cet article vise à explorer les facteurs qui contribuent à la prédominance de ces deux espèces dans la faune urbaine. En s'appuyant sur une analyse de la littérature scientifique et de données empiriques, nous démontrons que plusieurs éléments clés révèlent la présence des chiens et des chats en milieu urbain. Parmi ces facteurs, on peut citer leur domestication ancienne, leur capacité d'adaptation à des environnements variés et leur relation étroite avec les humains." »

↑ Benyacoub, S et Boughaba, A, « Diversité et répartition des chiroptères dans la région d'Oran (Algérie) », Revue d'Écologie et de Biologie du Sol, vol. 52, n^o 4,‎ 2016, p. 307-314 :
« "L'étude de la diversité et de la répartition des chiroptères dans la région d'Oran a permis de recenser 14 espèces réparties en 5 familles. Les résultats indiquent que les chiroptères sont présents dans tous les types d'habitats étudiés, avec une dominance des espèces insectivores. L'analyse de la répartition spatiale montre que la diversité des chiroptères est plus élevée dans les zones forestières et humides, tandis que les zones urbaines et agricoles sont moins riches en espèces." »

↑ Belkhodja, M et Benyacoub, S, « Étude de la diversité des rongeurs dans la ville d'Oran (Algérie) », Revue des Sciences et Techniques de l'Environnement, rat surmulot (rattus norvegicus), le rat noir (rattus rattus) et la souris grise (mus musculus). La présence de ces rongeurs dans les milieux urbains d'Oran représente un risque sanitaire important pour la population." »

↑ Benhamouda, A et Khelifa, M., « Présence et impact des sangliers (Sus scrofa) dans les milieux urbains d'Oran, Algérie », Revue d'Écologie Urbaine, vol. 15, n^o 2,‎ 2023, p. 1-15 :
« "L'expansion urbaine et la fragmentation des habitats naturels ont conduit à une augmentation de la présence des sangliers dans les milieux urbains d'Oran. Cette étude analyse les facteurs favorisant cette présence et les impacts potentiels de ces animaux sur l'environnement et les populations humaines.Les résultats indiquent que la disponibilité de nourriture et d'eau, l'absence de prédateurs et la fragmentation des habitats naturels sont les principaux facteurs contribuant à la présence des sangliers en milieu urbain. aux cultures et aux propriétés, des risques de collisions routières et la transmission de maladies." »

↑ Djebar, A, . La faune sauvage d'Algérie : diversité et conservation. : "Les mammifères urbains d'Algérie : envahisseurs ou menacés ?", Éditions Universitaires Européennes., 2020 :
« "La mangouste ichneumon est l'un des mammifères les plus vivants en milieu urbain en Algérie, notamment dans la ville d'Oran. Son adaptabilité à l'environnement urbain et sa capacité à exploiter les ressources disponibles en font une espèce envahissante qui peut avoir des impacts négatifs sur la biodiversité locale. Il est donc important de mettre en place des mesures de gestion adéquates pour limiter la prolifération de cette espèce et protéger les écosystèmes urbains." »

↑ Bouazza, N., « Contribution à l'étude de la flore et de la végétation des zones humides du nord-ouest de l'Algérie. » (Thèse de doctorat), Université d'Oran 2 Mohamed Benahmed,‎ 2007 :
« "Le lièvre commun et le lapin de garenne sont présents dans certaines zones humides du nord-ouest de l'Algérie, notamment dans les environs d'Oran. Ces espèces contribuent à la dynamique de la végétation en consommant certaines plantes et en dispersant leurs graines. Cependant, la prolifération de ces animaux peut également avoir des impacts négatifs sur la flore, notamment en cas de surpâturage." »

↑ Zouaghi, A et Belbachir, F., « Présence du loup doré africain (canis lupa lupa) en milieu urbain à Oran, Algérie », Revue d'Écologie Urbaine, vol. 15, n^o 2,‎ 2023, p. 1-10 :
« "Le loup doré africain (canis lupa lupa) est une espèce de canidé sauvage originaire d'Afrique du Nord. Cette étude présente les résultats d'une enquête sur la présence du loup doré en milieu urbain à Oran, Algérie. Des observations directes, des traces et des entretiens avec des habitants ont été utilisés pour collecter des données. Les résultats indiquent que le loup doré est présent dans plusieurs zones urbaines d'Oran, notamment dans les parcs, les jardins et les terrains vagues et est probablement dû à plusieurs facteurs, tels que la fragmentation de l'habitat naturel, la recherche de nourriture et l'adaptation à la présence humaine." »

↑ Benyacoub, S et Belbachir, F, « Présence du chacal doré (Canis aureus) en milieu urbain à Oran (Algérie) », Revue d'Écologie Urbaine, vol. 10, n^o 2,‎ 2018, p. 1-10 :
« "Le chacal doré (canis aureus) est une espèce de canidé sauvage qui s'adapte de plus en plus aux milieux urbains. Cette étude s'intéresse à la présence du chacal doré en milieu urbain à Oran, en Algérie. Les résultats de l'étude indiquent que le chacal doré est présent dans plusieurs quartiers d'Oran, notamment dans les zones périphériques et les espaces verts. L'augmentation des déchets alimentaires et la présence de refuges artificiels révèlent la présence du chacal doré en milieu urbain. peut avoir un impact sur la biodiversité locale et la santé publique." »

↑ Bensaid, A. et Benhouhou, M., La faune sauvage d'Algérie : "Le chat sauvage d'Afrique : un chasseur discret en milieu urbain" Extrait :, Éditions Universitaires Européennes, 2022 :
« "Le chat sauvage d'Afrique est un carnivore discret qui s'adapte facilement à différents types d'habitats, y compris les milieux urbains. En Algérie, le chat sauvage d'Afrique a été observé dans plusieurs villes, dont Oran. Sa présence en milieu urbain est favorisée par l'abondance de proies, comme les rongeurs et les oiseaux, ainsi que par la fragmentation des habitats naturels. Le chat sauvage d'Afrique peut avoir un impact sur les populations d'animaux domestiques et sur la biodiversité locale" »

↑ Bensaid, A. et Benhouhou, M., La faune sauvage d'Algérie. : "La hyène rayée : un charognard en milieu urbain", Éditions Universitaires Européennes., 2020

↑ Meriem Khelifa, Lyes Boudechiche et Mohamed Bencheikh, « Enquête nationale sur l'élevage en milieu urbain en Algérie, Oran Environnement » (rapport scientifique Ministère de l'Agriculture, du Développement Rural et de la Pêche, Oran Environnement), Revue des Sciences et Techniques de l'Environnement, Enquête nationale sur l'élevage en milieu urbain en Algérie, Oran Environnement, ISSN 1016-7382)

↑ Benhamouda, A et al., « Diversité et structure des peuplements d'oiseaux dans les espaces verts urbains d'Oran », Revue d'Écologie Urbaine, vol. 2, n^o 1,‎ 2014, p. 51-62 :
« "L'objectif de cette étude est d'inventorier et d'analyser la diversité et la structure des peuplements d'oiseaux dans les espaces verts urbains d'Oran. Les résultats obtenus montrent que ces espaces verts abritent une diversité aviaire relativement importante, avec un total de 52 espèces recensées. Les passereaux dominent la communauté aviaire, avec 78% des espèces. L'analyse de la structure des peuplements révèle une dominance des espèces ubiquistes et opportunistes, ce qui traduit l'impact de l'urbanisation sur la composition. aviaire." »

↑ Bensaid, A et Benhouhou, Les oiseaux d'Algérie : "L'avifaune de la région d'Oran", Éditions Universitaires Européennes, 2020 :
« "La région d'Oran est un point d'étape important pour de nombreuses espèces d'oiseaux migrateurs qui traversent la Méditerranée. La diversité des habitats et la présence de zones humides d'importance internationale font de la région d'Oran un site crucial pour la conservation de l'avifaune." »

↑ Benyacoub, S et Belbachir, F., « Régime alimentaire des oiseaux migrateurs dans la région d'Oran », Revue d'Écologie Urbaine, vol. 10, n^o 2,‎ 2018, p. 1-10. :
« "Le régime alimentaire des oiseaux migrateurs qui s'installent à Oran est varié et dépend de l'espèce et de l'habitat occupé. Les insectivores consomment principalement des insectes, les granivores des graines, les frugivores des fruits et les omnivores une variété d'aliments. Les zones humides constituant des habitats importants pour les oiseaux migrateurs car elles offrent une grande diversité de nourriture, notamment des invertébrés aquatiques." »

↑ Bensaid, A et Benhouhou, M, « Le régime alimentaire des oiseaux migrateurs », Éditions Universitaires Européennes.,‎ 2020 :
« "Les oiseaux migrateurs qui s'installent à Oran ont besoin d'une alimentation riche et variée pour reconstituer leurs réserves d'énergie après leur long voyage. Les zones humides, les forêts et les espaces verts urbains constituant des habitats importants pour ces oiseaux car ils offrent une grande diversité de nourriture." »

↑ Aissaoui, B, Merabet, D. et Belbachir, D., « Diversité et répartition des reptiles dans la région d'Oran, Algérie », Bulletin de la Société Zoologique de France, vol. 139(, n^o 1,‎ 2014, p. 61-74 :
« "La région d'Oran, située au nord-ouest de l'Algérie, se caractérise par une diversité topographique et climatique importante. Cette diversité se traduit par une richesse faunistique notable, notamment en ce qui concerne les reptiles.
Des études récentes ont permis de recenser 27 espèces de reptiles dans la région, dont 15 lézards, 10 serpents et 2 tortues. Parmi ces espèces, 7 sont endémiques d'Algérie et 2 sont menacées d'extinction.
La diversité herpétologique de la région d'Oran est due à plusieurs facteurs, dont la variété des habitats présents, le climat méditerranéen et la proximité du massif montagneux…" »

↑ Benyoucef, M. et Slimani, T., « Diversité et répartition des reptiles dans la région d'Oran (Algérie) », Bulletin de la Société Zoologique de France, vol. 140, n^o 1,‎ 2015, p. 57-72 :
« "Le caméléon commun (chamaeleo chamaeleon) est une espèce de reptile squamate de la famille des Chamaeleonidae. Il est présent dans une grande partie du bassin méditerranéen, y compris dans la région d'Oran.
Dans notre étude, nous avons recensé la présence du caméléon commun dans plusieurs localités de la région d'Oran, notamment dans les massifs montagneux de la Trara et du Dahra, ainsi que dans les plaines alluviales de la Tafna et du Sig. Cette espèce est généralement inféodée aux milieux forestiers et préforestiers, mais elle peut également se retrouver dans les milieux anthropisés, tels que les jardins et les oliveraies.
Le caméléon commun est un prédateur opportuniste qui se nourrit d'insectes, de lézards et d'autres petits animaux. Il est un élément important de la chaîne alimentaire et joue un rôle important dans la régulation des populations d'insectes." »

↑ Djelloul, M. et Benyacoub, S., « Amphibiens et reptiles de la région d'Oran », Bulletin de la Société Herpétologique de France, vol. 104,‎ 2004, p. 5-22 :
« "La vipère d'Arzew (vipera latastei) est une espèce endémique d'Algérie, présente dans la région d'Oran, notamment dans les massifs montagneux de la Trara et du Dahra. Le lézard ocellé (timon lepidus) est également présent dans la région, où il fréquente les milieux chauds et secs, comme les garrigues et les steppes." »

↑ S. Baha, el Din, M Ammar, A. Benyacoub et D. Slimani, « Amphibiens et reptiles de la région d'Oran (Algérie) », Bulletin de la Société Herpétologique de France, vol. 122,‎ 2006, p. 25-48 :
« "Timon lepidus (Daudin, 1802) : ce lézard est assez commun dans la région d'Oran. Il a été observé dans une variété d'habitats, y compris les forêts, les garrigues, les zones humides et les zones urbaines. Il est on trouve souvent près des rochers et des arbres." »

↑ Djelloul, N. et Slimani, T., « Amphibiens de la région d'Oran, Algérie », Annales de la Société Entomologique de France, vol. 50, n^o 1,‎ 2014, p. 107-114 :
« "La région d'Oran, située au nord-ouest de l'Algérie, abrite une diversité d'habitats naturels favorables au développement des amphibiens. Parmi les espèces les plus communes, on trouve la grenouille verte (rana esculenta) et le crapaud commun (bufo bufo). Ces deux espèces sont présentes dans une variété de milieux, y compris les zones humides, les forêts, les prairies et les jardins." »

↑ Benyacoub, D., Ouagueni, M et Benlarbi, N, « Le papillon flambé (iphiclides podalirius) en Algérie », répartition, écologie et conservation. Annales de la Société entomologique de France, vol. 52, n^o 2,‎ 2016, p. 181-188 :
« "L'espèce est présente dans toutes les régions d'Algérie, y compris dans la région d'Oran. Elle est particulièrement abondante dans les zones forestières et montagneuses, où elle fréquente les milieux ouverts et ensoleillés.
Dans la région d'Oran, le papillon flambé a été observé dans les massifs de la Tafna, du Djebel Murdjajo et du Djebel Antar. Il est également présent dans les forêts de la Mitidja et de la Dahra.
L'espèce est menacée par la destruction de son habitat, notamment par les incendies de forêt et l'urbanisation. Des mesures de conservation sont nécessaires pour protéger l'espèce et son habitat." »

↑ Boukhalfa, M, Taleb-Bendiaab, M et Boukhalfa, A, « Coléoptères Scarabaeidae de la région d'Oran (Algérie) », Bulletin de la Société entomologique de France, vol. 108, n^o 2,‎ 2003, p. 169-176 :
« "Parmi les espèces les plus remarquables, on peut citer le scarabée sacré (ateuchus sacer L.), espèce saharienne commune dans la région d'Oran." »

↑ Benmansour, A, Terzo, M, Belhamra, M et Louadi, K, « Diversité et répartition des hyménoptères apoïdes (hymenoptera : apoidea) dans la région d'Oran (Algérie) », Annales de la Société entomologique de France, vol. 44, n^o 1,‎ 2008, p. 97-108 :
« "La région d'Oran, située au nord-ouest de l'Algérie, est caractérisée par une diversité climatique et écologique importante. Ce qui se traduit par une richesse entomologique notable, notamment en hyménoptères apoïdes.
Des études récentes ont recensé plus de 300 espèces d'abeilles et de guêpes dans cette région, appartenant à différentes familles et genres. Parmi les familles les plus représentées, on trouve les apidae, les halictidae et les vespidae.
La diversité des hyménoptères apoïdes dans la région d'Oran est liée à la présence de nombreux habitats favorables, tels que les zones forestières, les prairies, les cultures et les zones urbaines.
Ces insectes jouent un rôle important dans la pollinisation des plantes et la régulation des populations d'insectes nuisibles." »

↑ Benkhedda, A, Benmaouche, M, Maouche, M et Djebbar, K, « Caractérisation hydrodynamique du golfe d'Oran (Algérie) à l'aide d'un modèle numérique tridimensionnel », Journal de recherche côtière, vol. 30, n^o 5,‎ 2014, p. 1041-1052 :
« "Le golfe d'Oran est une vaste baie semi-fermée située au nord-ouest de l'Algérie. Il s'étend sur une superficie d'environ 2 000 km² et est délimité par les caps Falcon et Ferrat." »

↑ Bensouilah, A, Derriche, MZ, Benkhelil, M et Belabed, A., « Caractéristiques hydrodynamiques et sédimentologiques du golfe d'Oran (Algérie). », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 25, n^o 2,‎ 2012, p. 157-174 :
« "Le golfe d'Oran est une vaste baie semi-fermée située au nord-ouest de l'Algérie. Il s'étend sur une longueur de 120 km et une largeur de 40 km, avec une profondeur maximale de 1 200 m." »

↑ Benabdi, M et Ktari, M, « Diversité ichtyologique des côtes algériennes : cas de la région d'Oran », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 20, n^o é,‎ 2017, p. 217-232 :
« "Les résultats de l'étude ont permis de recenser plus de 800 espèces de poissons, 100 espèces de crustacés et 50 espèces d'échinodermes dans la région d'Oran. Cette richesse faunistique est due à plusieurs facteurs, dont la diversité des habitats, la position géographique de la région et les courants marins." »

↑ Meinesz, A, Deudero, S, Hdary, MA et al., « Les peuplements de corail rouge (Corallium rubrum) en Méditerranée : état des connaissances et perspectives de gestion », Revue d'Écologie (Terre et Vie), vol. 68, n^o 4,‎ 2013, p. 345-367 :
« "En Algérie, les peuplements de corail rouge sont présents sur l'ensemble du littoral, avec des concentrations importantes dans les régions d'Oran et d'Annaba. Les principales zones d'exploitation se situent autour des îles Habibas et des caps Falcon et Ferrat (région d'Oran)." »

↑ Benabdellah, K, Romdhane, MS et Boutiba, Z., « Diversité et répartition des crustacés décapodes des côtes algériennes. », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 27, n^o 2,‎ (2014, p. 165-178 :
« "Les crevettes sont présentes sur tout le littoral algérien, avec une dominance de la crevette bouquet (parapenaeus longirostris) et de la crevette impériale (penaeus latisulcatus). Les langoustes sont plus localisées, avec des populations importantes dans les régions d'Oran et de Béjaïa." »

↑ Harmelin-Vivien, MG, Benabdi, A, El Abed, A et Le Campion-Alsumard, D=, « Diversité et répartition bathymétrique des peuplements benthiques des substrats durs infralittoraux de la région d'Oran (Algérie). », Annales de l'Institut océanographique, vol. 70, n^o 2,‎ 1994, p. 143-158 :
« "Dalle à oursins violettes Paracentrotus lividus (Lamarck, 1816) : cette dalle est très fréquente sur les substrats durs infralittoraux de la région d'Oran. Elle est caractérisée par la présence d'une couverture dense d'oursins violettes Paracentrotus lividus, accompagnées d'autres espèces d'oursins comme arbacia lixula (Linnaeus, 1758) et sphaerechinus granularis (Lamarck, 1816). Éponges de Neptune spongia agaricina (Pallas, 1766) : cette espèce est présente sur les tombants et les grottes infralittorales de la région d'Oran. Elle forme des colonies importantes, pouvant atteindre plusieurs mètres de diamètre." »

↑ Mayol, P., Genovart, M., Cebrian, D et Aguilar, A., « Distribution et abondance des cétacés en mer Méditerranée occidentale : synthèse des données actuelles », Journal of Marine Biological Association of the United Kingdom, vol. 89, n^o 1,‎ 2009, p. 151-160 :
« "Les espèces les plus communes dans la région d'Oran sont le dauphin commun (delphinus delphis), le dauphin bleu et blanc (stenella coeruleoalba), le dauphin de Risso (grampus griseus) et le grand dauphin (tursiops truncatus). Le dauphin commun est l'espèce la plus abondante, suivi par le dauphin bleu et blanc. Le dauphin de Risso et le grand dauphin sont moins communs, mais ils sont encore régulièrement observés." »

↑ Mayol, N, Genovart, M, Cebrian, D, Gomez-de-Segura, A, Jaume, R. et Aguilar, A., « Distribution et abondance des cétacés en Méditerranée occidentale : synthèse des connaissances et identification des zones critiques », Journal of Marine Systems, vol. 128,‎ 2013, p. 106-120 :
« "Rorqual commun (balaenoptera physalus) : cette espèce est présente dans toute la Méditerranée, y compris dans la région d'Oran. Des observations ont été réalisées dans le golfe d'Oran, au large de Cap Ferrat et dans le détroit de Gibraltar. La population de rorquals communs en Méditerranée occidentale est estimée à environ 2 500 individus." »

[PRÉSENTATION_DE_LA_WILAYA_D’ORAN-1] {a et b} « », 2021.

[2] « ».

[3] Mohamed Benouda, « Les origines d'Oran : le ravin de Ras el-Aïn », Insaniyat, lire en ligne)

[4] (en) Benabdellah, A., Bensaid, A et Benhamou, M., « The climate of Oran, Algeria », Theoretical and Applied Climatology, vol. 3-4, n^o 108,‎ 2012, p. 463-474

[5] « ».

[6] Oran : la ville et ses territoires, Presses universitaires de Perpignan, 2014, 2014 p., p. 34

[7] Benkhelil, J., « Géomorphologie et dynamique urbaine d'Oran (Algérie) », Revue de géographie de Lyon, lire en ligne)

[8] Ministère de la Culture d'Algérie, « ».

[9] Boukhalfa, A., Toumi, N., Chebaichia, B., Baali, L. et Meddi, A, « Évaluation des ressources en eau et de l'impact de la salinisation sur l'écosystème de la zone humide de la sebkha d'Oran (Algérie) », Journal of Water Science,, vol. 2, n^o 23,‎ 2010, p. 165-178

[10] (en) Batisse, M. C. et Gosselink, J. G., Les zones humides méditerranéennes : écologie, menaces et perspectives, Wetlands International, 1986

[11] Wetland Assessments, « ».

[12] Benkaddour, M. et Meddi, M., « Caractérisation physico-chimique des eaux de la sebkha d'Oran (Algérie) », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 2, n^o 26,‎ 2013, p. 207-220

[13] Boukhalfa, K. et Toumi, A., « Impact de l'urbanisation sur la qualité des eaux de la sebkha d'Oran (Algérie) », Larhyss Journal, n^o 18,‎ 2014, p. 97-108

[14] Mazouzi, A. et Merzougui, S, « Étude hydrochimique et isotopique des eaux de la sebkha d'Oran (Algérie) : origine et évolution », Journal of Water Science, vol. 1, n^o 32,‎ 2015, p. 11-20

[15] A. Benabdallah, M. Benmaatallah et L. Bouaziz, « "Rôle des Sebkhas dans la régulation du climat et la recharge des nappes phréatiques en Algérie" », Journal of Water and Land Development, vol. IV-VI, n^o 33,‎ 2017, p. 3-10

[16] M. Dakki et B. Merzouk, "Les sebkhas d'Algérie : écosystèmes fragiles et ressources naturelles stratégiques", Éditions Casbah, Alger, 2014, 125-130 p.

[17] « ».

[18] « ».

[19] « ».

[20] « ».

[21] « ».

[22] Benkhelil, J, L'agriculture en Algérie : mutations et défis, Éditions Karthala., 2004

[23] Belkhodja, M. et Benabdellah, K. ("Cet article mentionne l'utilisation de calcaire et de sable comme matériaux de construction dans la région d'Oran"), « La pêche en Algérie : situation actuelle et perspectives de développement », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 27, n^o 2,‎ 2014, p. 221-234

[24] Bouguerra, M. et Benazzouz, M., « Caractérisation physico-chimique et isotopique des eaux thermales de la région d'Oran (Algérie) », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 27, n^o 2,‎ 2014, p. 235-248

[25] Benkhelil, J et Derriche, M, « Géologie du bassin d'Oran (Algérie) », Bulletin de la Société Géologique de France, lire en ligne )

[26] G. & J. GOGUEL, Géologie de l'Algérie, Masson, 1976

[27] Y. Belkaid, M. Bouillin et J.P. Cadet, « Géologie de la chaîne du Djurdjura (Algérie) », Bulletin de la Société Géologique de France, vol. 20, n^o 5,‎ 1978, p. 697-708

[28] M. Durand-Delga, Géologie de l'Algérie, Masson, 1982, 245-246 p.

[29] Jean Dresch et Jean-Claude Fontes, Le massif du Murdjadjo : étude géomorphologique et hydrogéologique, Éditions du CNRS, 1969, 12 p.

[30] A. Bouderbala, N. Kherici et M. Bencheikh, « Caractérisation hydrogéochimique des sources du massif du Murdjadjo », Journal of Water Resource and Protection, lire en ligne)

[31] Bouillin, J.-P. et Chorowicz, J, « Le massif du Murdjadjo (Algérie) : un exemple de chaîne alpine intracontinentale », Bulletin de la Société Géologique de France, vol. 7, n^o 3,‎ 1981, p. 447-456

[32] Caby, R et Mercier, J. L, « Structures et déformations dans la chaîne du Djurdjura (Algérie) : conséquences géodynamiques », Bulletin de la Société Géologique de France, vol. 8, n^o 4,‎ 1988, p. 539-550

[33] (en) Dewey, J. F et Sengör, A. M. C., « Aegean and Mediterranean tectonics and the closure of the Tethys Sea », Geological Society of America Special Paper, vol. 1, n^o 19,‎ 1979, p. 140

[34] (en) Gutscher, M. A. et Le Pichon, X., « The Gibraltar arc: a case of slab pull and active mantle upwelling », Tectonics, vol. 10, n^o 6,‎ 1991, p. 1168-1182

[35] Dercourt, J., Zonenshain, L. P., Ricou, L. E., Kazmin, V. G, Le Pichon, X., Knipper, A. L. et Grandjacquet, C., Evolution of the Tethys belt from the Atlantic to the Pamirs since the Liassic, vol. 123, t. I- IV, Tectonophysics, 1986, 241-315 p.

[36] (en) Robertson, A. H. F. et Searle, M. P., The northern termination of the Tethys Ocean in the Mediterranean region, Geological Society of London (n^o 47), 1990, 1-22 p.

[37] Benkhelil, J., « Étude géologique et hydrogéologique de la région d'Oran (Algérie) » (Thèse de doctorat), Université de Paris VI,‎ 1988

[38] Boudiaf, A. et Benkhelil, J., « Hydrogéologie des formations calcaires du Mio-Pliocène de la région d'Oran (Algérie) », Bulletin du Centre de recherches pétrolières et géologiques, vol. 13, n^o 2,‎ 1995, p. 157-172

[39] « ».

[40] Benhamou, M. et Crouzet, J., « Étude géologique de la région d'Oran (Algérie) », Bulletin de la Société géologique de France, vol. 7, n^o 4,‎ 1962, p. 487-502

[41] Glangeaud, L., « Le Quaternaire de la région d'Oran (Algérie) », Comptes rendus de l'Académie des sciences, lire en ligne)

[42] (en) Dewey, J. F. et Burke, K. C., « The geology of the Mediterranean and adjacent areas. In: The ocean basins and margins », Plenum Press, New York, vol. 4,‎ 1974, p. 419-442

[43] (en) Tapponnier, P. et Le Pichon, X., « Active faulting and tectonics in the Mediterranean region. », The Mediterranean Sea,‎ 1976, p. 210-252

[44] Guemache, A. et Benhallou, A, « Tectonique et sédimentation dans la région d'Oran (Algérie) : implications sur l'évolution géodynamique du bassin », Revue des Sciences de la Terre et de l'Environnement, vol. 6, n^o 1,‎ 2014, p. 1-18

[45] Dercourt, J., Zonenshain, L. P, Ricou, L. E., Kazmin, V. G., Le Pichon, X., Knipper, A. L. et Grandjacquet, C, Geological evolution of the Tethys belt from the Atlantic to the Pamirs since the Lias., vol. 123 : 1-4, Tectonophysics, 1986, p. 241-315

[46] McKenzie, D. P., « Active tectonics of the Mediterranean region. », Geophysical Journal International, vol. 30, n^o 2,‎ 1972, p. 109-185

[47] Robertson, A. H. F. et Searle, M. P., The mountain building process, Cambridge University Press, 2012

[48] Bouillin, J. P. et Chorowicz, J., « The North African margin: Rif chain and Algerian Basin », The geology of the continental margins, Springer, Berlin, Heidelberg,‎ 1983, p. 189-208

[49] Stampfli, G. M. et Borel, G. D., A plate tectonic model for the Paleozoic and Mesozoic development of the external Alps and the Carpathians. In: The making of the Alpine realm, Geological Society of London, Special Publications, 2002, 383-403 p.

[50] Harbi, A. et Chellal, N., « Sismicité historique de la région d'Oran (Algérie) : apport des données macrosismiques », Journal of Seismology, vol. 20, n^o 2,‎ 2016, p. 473-488

[51] Benhallou, A, Aléa sismique dans la région d'Oran (Algérie) : approche probabiliste et déterministe (Thèse de doctorat), Université d'Oran 2 Mohamed Benahmed.

[52] Harbi, A. et Benhallou, M., « Caractérisation de l'aléa sismique dans la région d'Oran (Algérie) : application à l'évaluation du risque sismique », Natural Hazards, vol. 84, n^o 2,‎ 2016, p. 705-723

[53] Yelles-Chaouche, A., Sismicité et évaluation du risque sismique en Algérie (Thèse de doctorat), Université d'Oran 2 Mohamed Benahmed, 2018

[54] « ».

[55] (en) Jolivet, L et Faccenna, C, « . Mediterranean extension and the Africa-Eurasia collision », Tectonics, vol. 19, n^o 6,‎ 2000, p. 1095-1106

[56] Harbi, A et Chellal, N., « Sismicité historique de la région d'Oran (Algérie) : apport des données macrosismiques », Journal of Seismology, vol. 20, n^o 2,‎ 2016, p. 473-488

[57] Beniassa, M. R. et Benzaouia, A., Climatologie d'Oran (Algérie) : analyse et évolution des précipitations et de la température, vol. 23, Sécheresse (n^o 2), 2012, p. 141-152

[58] (en) Peel, M. C., Finlayson, B. L. et McMahon, T. A., Updated world map of the Köppen-Geiger climate classification., vol. 11, Hydrology and Earth System Sciences (n^o 5), 2007, p. 1633-1644

[59] Souissi, M. et Bensaid, A., « Analyse des changements climatiques dans la région d'Oran (Algérie) durant la période 1961–2010 », Revue des sciences de l'eau, vol. 26, n^o 4,‎ 2013, p. 395-406

[60] Derdour, M et Meddi, M, « Étude des tendances climatiques dans la région d'Oran (Algérie) de 1931 à 2000 », La Houille Blanche, vol. 6,‎ 2008, p. 57-64

[61] (en) Diffenbaugh, N. S. et Giorgi, F., « Climate change in the Mediterranean region. Climate change », Multidisciplinary perspectives,‎ 2012, p. 113-132

[62] Beniassa, M. R. et Benzaouia, A., « Climatologie d'Oran (Algérie) : analyse et évolution des précipitations et de la température », Sécheresse, vol. 23, n^o 2,‎ 2012, p. 141-152 :
« "Oran est une ville au climat chaud et sec, avec une moyenne annuelle de 18°C. Cette moyenne est plus élevée que celle des villes de la rive nord du bassin méditerranéen, comme Marseille (15°C) et Rome (16°C)." »

[63] Souissi, M et Bensaid, A., « Analyse des changements climatiques dans la région d'Oran (Algérie) durant la période 1961–2010 », Revue des sciences de l'eau, vol. 26, n^o 4,‎ 2013, p. 395-406 :
« "L'amplitude thermique annuelle à Oran est d'environ 15 °C, ce qui est relativement important par rapport aux autres villes du bassin méditerranéen." »

[64] A. Meddi, M. Meddi et B. Merzouk, « Analyse de la variabilité climatique et de ses impacts sur les ressources hydriques en Algérie du Nord : cas de la région d'Oran », Larhyss Journal,‎ 2014, lire en ligne) :
« "La pluviométrie moyenne annuelle sur la région d'Oran est d'environ 400 mm, avec une variabilité interannuelle importante." »

[65] A. Meddi, M. Meddi et B. Merzouk, « Analyse de la variabilité climatique et de ses impacts sur les ressources hydriques en Algérie du Nord : cas de la région d'Oran », Larhyss Journal,‎ 2014, lire en ligne) :
« "La pluviométrie moyenne annuelle sur la région d'Oran est d'environ 400 mm, inférieure à celle des régions du nord et du centre du pays qui reçoivent en moyenne 600 à 800 mm par an." »

[66] M. Benatallah et B. Derradji, Climatologie de l'Algérie, Editions Casbah, 2005, p. 121 :
« "La circulation atmosphérique est un facteur important qui explique la faible pluviométrie d'Oran. Les vents dominants d'ouest et de nord-ouest ne transportent pas d'importantes quantités d'humidité vers la région." »

[67] Ministère de l'Environnement et de l'Aménagement du Territoire, Algérie, « Étude du climat et de la sécheresse en Algérie », Ministère de l'Environnement et de l'Aménagement du Territoire, Algérie,‎ 2012, p. 35 :
« "La pluviométrie d'Oran est inférieure à celle des autres régions du nord de l'Algérie en raison de son climat semi-aride et de sa position géographique." »

[68] DAGET, P., DJELLOULI, Y., ROTEN, M. et BAERISWYL, P. A. ("Le nombre de mois secs et de mois arides varie de manière quasi cyclique, avec une période longue de 47 ans et une plus courte de moitié, toutes deux étant partiellement masquées par une alternance bisannuelle nette. Mais à intensité identique, les sécheresses ont des conséquences de plus en plus graves."), « Climat urbain et qualité de l'air : Le climat méditerranéen change-t-il? La sécheresse à Alger au cours des cent dernières années » (Congrès), Association Internationale de Climatologie, International, Suisse, Fribourg, Institut de Géographie,‎ 1992 (ISBN )

[69] M. Benatallah, et B. Derradji, Climatologie de l'Algérie, Editions Casbah, 2005, p. 121 :
« "L'effet d'ombre pluviométrique de la péninsule ibérique et de l'Atlas marocain est un facteur important qui explique la faible pluviométrie d'Oran." »

[70] Ministère de l'Environnement et de l'Aménagement du Territoire, Algérie, « Étude du climat et de la sécheresse en Algérie », Ministère de l'Environnement et de l'Aménagement du Territoire, Algérie,‎ 2012, p. 35 :
« "Oran se caractérise par une humidité relative moyenne annuelle élevée, d'environ 70%." »

[71] A. Meddi, M. Meddi et B. Merzouk, « Analyse de la variabilité climatique et de ses impacts sur les ressources hydriques en Algérie du Nord : cas de la région d'Oran », Larhyss Journal,‎ 2014, p. 5 (lire en ligne) :
« "Les vents dominants à Oran sont d'ouest et soufflent à une vitesse moyenne de 15 km/h." »

[72] M. Benatallah et B. Derradji, Climatologie de l'Algérie, Éditions Casbah, 2005, p. 121 :
« "Le couloir de Gibraltar est un facteur important qui explique la dominance des vents d'ouest à Oran." »

[73] M. Meddi, A. Meddi et B. Merzouk, « Analyse des dépressions méditerranéennes et de leur impact sur les précipitations en Algérie », Revue : climatologie,‎ 2015, p. 2 :
« "Les dépressions atmosphériques en Méditerranée sont des systèmes météorologiques synoptiques qui se caractérisent par une zone de basse pression entourée de zones de haute pression." »

[74] P. Lionello et P. Malanotte-Rizzoli, Climatologie de la Méditerranée, Springer, 2012, p. 120 :
« "Les dépressions méditerranéennes sont des phénomènes météorologiques fréquents qui contribuent de manière significative à la variabilité du climat de la région." »

[75] A. Benali, M. Meghraoui, et B. Merzouk, « Étude de la variabilité et des tendances de la température de la mer en Méditerranée occidentale : cas de la baie d'Oran », Journal of Marine Systems,‎ 2018, p. 5 :
« "L'analyse des données de température de la mer dans la baie d'Oran montre une augmentation moyenne de 0,2°C par décennie depuis 1993." »

[76] National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), « Global Ocean Heat Content », National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA),‎ 2023 :
« Les données de la NOAA indiquent que la température minimale de la mer à Oran est d'environ 14°C en février et la maximale d'environ 27°C en août. »

[77] Benmahammed A. et al., « "Évaluation de la demande en eau potable et analyse de la performance du réseau de distribution d'eau potable dans la wilaya d'Oran" », Revue des Énergies Renouvelables et de l'Environnement,‎ 2016

[78] Bouderbala N., et al., « "Analyse de la gestion de l'eau potable dans la wilaya d'Oran : cas de la ville d'Oran" », Larhyss Journal,‎ 2018

[79] Bouderbala N. et al., « "Analyse de la gestion de l'eau potable dans la wilaya d'Oran : cas de la ville d'Oran" », Larhyss Journal,‎ 2018

[80] Medjoudj N. et al., « "Étude de la gestion de la demande en eau potable dans la wilaya d'Oran" », Revue Internationale de l'Eau et de l'Environnement,‎ 2020

[81] « ».

[82] « ».

[83] Benmahammed A et al., « "Évaluation de la demande en eau potable et analyse de la performance du réseau de distribution d'eau potable dans la wilaya d'Oran" », Revue des Énergies Renouvelables et de l'Environnement,‎ 2016

[84] « », وسجل سدا سكاك وشليف نسبة امتلاء تقارب 50 بالمائة (46 و50 بالمائة على التوالي) حيث يقدر حجم المياه بسد سكاك 5ر11 مليون متر مكعب (من سعة 25 مليون متر مكعب) وحجم سد شليف ب 25 مليون متر مكعب من إجمالي 50 مليون متر مكعب traduit : les barrages de Sakak et Chleif ont enregistré un taux de remplissage d'environ 50 pour cent (respectivement 46 et 50 pour cent), avec un volume d'eau du barrage de Sakak estimé à 11,5 millions de mètres cubes (sur une capacité de 25 millions de mètres cubes) et le volume du barrage de Chleif à 25 millions de mètres cubes sur un total de 50 millions de mètres cubes., Algérie Presse Service,‎ 21 décembre 2020.

[85] « ».

[86] B. Abderrahmane, « », reflexiondz, 22 juillet 2009 : « Le second lot est le barrage de Kerrada d'une capacité de 70 millions de m³ et l'adduction Cheliff-Kerrada d'une longueur de 8 200 m ».

[87] « », 21 décembre 2020 : « وأشار نفس المصدر الى أن نسبة امتلاء سد بني بحدل بتلمسان تعد الأدني ب 6ر4 بالمائة ويقدر الحجم الحالي للمياه بهذا السد 2.372.000 متر مكعب بينما تتجاوز سعته 54 مليون متر مكعب بعجز يتجاوز 95 بالمائة traduit : la même source a indiqué que le taux de remplissage du barrage de Beni Hadad à Tlemcen est le plus bas à 4,6 pour cent, et le volume actuel de l'eau de ce barrage est estimé à 2 372 000 mètres cubes, alors que sa capacité dépasse 54 millions de mètres cubes, avec un déficit dépassant 95 pour cent. ».

[88] « », sur elwatan-dz.com, elwatan, elwatan-dz.

[89] « », 19 novembre 2023.

[90] Direction Générale de l'Hydraulique, « Bilan de l'eau 2020 », Ministère des Ressources en Eau,‎ 2020

[91] Direction de l'Hydraulique de la wilaya d'Oran, « Rapport d'activité 2022 », Rapport Hydraulique Oran,‎ 2022

[92] Benazzouz M., Mamou A. et Bouzelboudjen M., « "Hydrogéologie du plateau d'Oran et de sa bordure méridionale (Algérie)" », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 5, n^o 1,‎ 1992, p. 11-26

[93] B.G. Castany, "Hydrogéologie de l'Algérie", BRGM, 1982

[94] Benhamouda, M et Fadili, A, « "Caractérisation géologique et hydrogéologique du plateau d'Oran (Algérie)" », Journal of African Earth Sciences, n^o 97,‎ 2014, p. 124-135.

[95] Bureau d'études Géosol, « "Étude géologique et hydrogéologique du plateau d'Oran" », Agence Nationale des Ressources en Eau (ANRE), Agence Nationale des Ressources en Eau (ANRE),‎ 2008

[96] Boualem, A, "Contribution à l'étude hydrogéologique du plateau d'Oran : application de la géophysique et de la modélisation numérique", Université d'Oran 2 Mohamed Benahmed, 2016

[97] B. Bouderbala, A. Benzaoui et M. T. Benabdallah, « "Évaluation de la vulnérabilité des nappes phréatiques à la pollution par les nitrates dans la région d'Oran, Algérie" », "Journal of Water Resource and Protection",‎ 2018

[98] Ministère des Ressources en Eau, « "Schéma Directeur d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) de la wilaya d'Oran" », Ministère des Ressources en Eau,‎ 2013

[99] Benmaatallah, N, « "Évaluation de la salinisation de la nappe phréatique de la Mitidja, Algérie." », Journal of Water Science, vol. 4, n^o 29,‎ 2016, p. 497-508

[100] Bouderbala, A., « "Caractérisation géochimique et origine de la salinisation des eaux souterraines de la région d'Oran, Algérie." », Journal of African Earth Sciences, n^o 106,‎ 2015, p. 124-135

[101] Boudoukha, A., « "Impact de l'intrusion marine sur la salinisation des eaux souterraines de la nappe phréatique de la Mitidja, Algérie." », European Water, n^o 57,‎ 2014, p. 35-42

[102] Bendib, A., « "L'eau dans la ville d'Oran : enjeux et perspectives." », Journal of Water Science, vol. 27, n^o 4,‎ 2014, p. 461-474

[103] Dubief, J., « "Le climat et l'hydrologie de l'Oranie." » (Thèse de doctorat), Université de Paris I, Université de Paris I,‎ 1978

[104] « "Étude hydrogéologique de la région d'Oran." », Rapport BRGM, Rapport BRGM,‎ 1962

[105] Meddi, M., « "L'aridité en Algérie : le cas de la ville d'Oran." », Sécheresse, vol. 19, n^o 2,‎ 2008, p. 145-150

[106] « ».

[107] Rapport BRGM ("Ce rapport du Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM) dresse un inventaire des sources en eau souterraine de la région d'Oran, incluant Ras El-Aïn. Il mentionne un débit moyen de 100 litres par seconde pour la source."), « Étude hydrogéologique de la région d'Oran », BRGM,‎ 1962

[108] Bencheikh, A. ("Cet article examine les différentes sources d'eau potable d'Oran, dont Ras El-Aïn, et analyse leur qualité et leur débit. Il confirme le débit de 100 litres par seconde et souligne sa constance, même en période de sécheresse."), « Les sources d'eau potable de la ville d'Oran », Journal of Water Science, vol. 2, n^o 18,‎ 1985, p. 151-162

[109] Benatallah, M., Université d'Oran 1 Ahmed Ben Bella ("Cette thèse de doctorat se concentre sur l'hydrogéologie de la région d'Oran et analyse en détail le débit de Ras El-Aïn. Elle confirme le débit moyen de 100 litres par seconde et présente des données hydrographiques sur la source."), « Hydrogéologie et hydrogéochimie des formations karstiques du Nord-Ouest de l'Algérie : application à l'alimentation en eau potable de la ville d'Oran. » (Thèse de doctorat), Université d'Oran 1 Ahmed Ben Bella,‎ 1982

[110] Bouderbala, A et al. ("Cet article recense les sources d'eau de l'Oranie et confirme le débit de 100 litres par seconde de Ras El-Aïn, la qualifiant de source pérenne et d'importance capitale pour l'alimentation en eau potable de la ville d'Oran."), « Le patrimoine hydrique de l'Oranie : inventaire, caractérisation et valorisation », Journal of Water Science,, vol. 4, n^o 27,‎ 2014, p. 461-474

[111] BRGM ("Le rapport du Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM) dresse un inventaire des sources en eau souterraine de la région d'Oran, incluant le plateau d'Oran. Il mentionne l'existence de plusieurs ravins et sources qui façonnaient le paysage de la région."), « Étude hydrogéologique de la région d'Oran », Rapport BRGM,‎ 1962

[112] Bouderbala, A et al. ("Cet article recense les sources d'eau de l'Oranie et confirme l'existence passée de plusieurs ravins et sources sur le plateau d'Oran. Il analyse les causes de leur disparition et les implications pour l'environnement."), « Le patrimoine hydrique de l'Oranie : inventaire, caractérisation et valorisation. », Journal of Water Science, vol. 4, n^o 27,‎ 2014, p. 461-474

[113] Meddi, M ("Cet article étudie l'impact de l'expansion urbaine sur les sources d'eau d'Oran, incluant le plateau d'Oran. Il mentionne l'assèchement de plusieurs sources et la disparition de certains ravins due à l'urbanisation et au changement climatique."), « L'impact de l'urbanisation sur les ressources en eau de la ville d'Oran », Sécheresse, vol. 4, n^o 21,‎ 2010, p. 285-292

[114] Wahib AÏT OUAKLI, « », L'Expression, 2017 : « "La ville d'Oran est placée entre deux oueds. Le premier n'est autre que le ravin Blanc terminant sa trajectoire au Front de mer, tandis que le deuxième est l'oued Rouina qui chute à quelques mètres de la direction régionale de la Sonelgaz, traversant de manière oblique les soubassements du théâtre de Verdure d'Oran. Qu'il pleuve ou qu'il vente, des bâtiments entiers sont menacés d'effondrement aussi bien dans leurs soubassements que dans leurs parties visibles." ».

[115] A. Benkhaled, M. Bouaziz, M. Lekhmici et N. Boucenna ("Résumé : L'étude a été menée sur deux zones humides de la wilaya d'Oran : la zone humide de la Sebkha d'Oran et la zone humide de la Plaine de M'lah. Les résultats ont montré que les zones humides jouent un rôle important dans l'épuration des eaux usées. Elles permettent de réduire la charge polluante des eaux usées en éliminant les contaminants organiques et inorganiques. Les zones humides contribuent également à l'amélioration de la qualité de l'eau potable en réduisant la turbidité et la coloration de l'eau."), « Rôle des zones humides dans l'épuration des eaux usées : cas de la wilaya d'Oran, Algérie », Revue des Sciences de l'Eau, lire en ligne)

[116] Les zones humides : fonctions, évaluation et gestion ("Résumé : Le livre présente les différentes fonctions des zones humides, dont leur rôle dans l'épuration des eaux. Les auteurs expliquent que les zones humides agissent comme des filtres naturels en retenant les polluants et en les dégradant. Elles contribuent ainsi à l'amélioration de la qualité de l'eau potable."), IRD Éditions, 2014 (lire en ligne), p. 21-22

[117] Benyacoub, S et Bounaga, N ("Résumé : Cet article examine le rôle écologique et socio-économique des zones humides de la wilaya d'Oran. Les auteurs soulignent que ces zones jouent un rôle crucial dans la régulation du cycle hydrologique, en absorbant et en stockant les eaux de pluie, ce qui permet de réduire les risques d'inondations et de recharger les nappes phréatiques."), « Rôle écologique et socio-économique des zones humides de la wilaya d'Oran (Algérie) », Journal of Water Science, vol. 27, n^o 2,‎ 2014, p. 187-198

[118] Meddah, A. et Bounaga, N ("Résumé : Cet ouvrage offre une synthèse des connaissances sur les zones humides d'Algérie. Il couvre leurs caractéristiques écologiques, leurs fonctions et services écosystémiques, ainsi que les menaces qui pèsent sur elles. L'ouvrage examine également l'importance socio-économique des zones humides et les défis liés à leur gestion durable."), Les zones humides d'Algérie : importance écologique et socio-économique, Éditions Universitaires Européennes, 2012 (lire en ligne)

[119] Belgat, Saci, Les zones humides en Algérie : importance écologique et socio-économique, Éditions de l'ANEP, 2014

[120] Benyacoub, S et Boulahbal, M, « Classification des zones humides d'Oran (Algérie) selon la Convention de Ramsar », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 18, n^o 2,‎ 2005, p. 223-234

[121] « ».

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[124] A. Hadjadj, M. Kherici, N. Merzouk et A. Ghernaout, « Utilisation des indicateurs de pollution pour l'évaluation de la qualité des eaux d'un site Ramsar : cas du lac Télamine (Nord-Ouest de l'Algérie) », lgerian Journal of Environmental Science and Technology, lire en ligne)

[125] A. Benabdallah, M.A. El-Abbassi, A. Ouazzane lire en ligne)

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[127] Bennaceur, K. et Mamou, A, La sebkha d'Oran : étude géomorphologique et hydrogéologique, CNRS, 2005

[128] Boudjema, A. et Saadi, M., « Caractérisation physico-chimique des sols de la sebkha d'Oran (Algérie) », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 17, n^o 2,‎ 2014, p. 241-252

[129] Nabila BOUALLA, « Caractérisation et état de connaissance du bassin de la Grande Sebkha d'Oran », Mémoire Online,‎ 2012 (lire en ligne)

[130] A. Benziane, M.C. Grib et B. Merzouk, Le bassin versant de la sebkha d'Oran : fonctionnement hydrologique et hydrogéochimique, Presses Universitaires de Perpignan, 2008

[131] Benyacoub, S. et al. ("Résumé : Cet article présente les résultats d'une étude sur l'importance de la sebkha d'Oran pour la reproduction des oiseaux aquatiques. L'étude a révélé que la sebkha abrite une population importante d'oiseaux aquatiques, dont plusieurs espèces menacées. La sebkha fournit aux oiseaux un habitat essentiel pour la reproduction, l'alimentation et le repos."), « Importance de la sebkha d'Oran pour la reproduction des oiseaux aquatiques », Wetlands Ecology and Management, vol. 22, n^o 4,‎ 2014

[132] Hamrouni, A et al. ("Résumé : Cet ouvrage présente un aperçu des zones humides d'Algérie, y compris la sebkha d'Oran. L'ouvrage souligne l'importance de la sebkha pour la conservation de la biodiversité, notamment pour les oiseaux aquatiques. La sebkha est l'un des rares sites en Algérie où l'on peut trouver plusieurs espèces d'oiseaux aquatiques menacées."), Les zones humides d'Algérie : importance et conservation, Éditions Universitaires Européennes, 2012, p. 123-134

[133] Benhouhou, S et Quézel, P, Flore et végétation de la sebkha d'Oran (Algérie), Éditions du Centre National de la Recherche Scientifique, 1984

[134] Bouziane, H. et Benhouhou, S., « Caractérisation écologique et floristique des zones humides salées du nord-ouest de l'Algérie : cas de la sebkha d'Oran », Revue d'Écologie (Terre et Vie), vol. 67, n^o 4,‎ 2012, p. 401-412

[135] Benyacoub, S. et Boukhalfa, K., « Importance écologique et économique des salines d'Arzew, Algérie », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 27, n^o 2,‎ 2014, p. 249-260

[136] Belkhodja, M. et Benabdellah, K., « La pêche en Algérie : situation actuelle et perspectives de développement. », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 27, n^o 2,‎ 2014, p. 221-234.

[137] (en) William J. Mitsch et James G. Gosselink, Wetlands 5th Edition, Wiley, 9 mars 2015, 752 p. :
« "Le livre le plus important sur les zones humides, récemment augmenté et mis à jour
Wetlands est le guide définitif sur cet écosystème fragile, offrant la couverture la plus complète et les informations détaillées disponibles sous forme imprimée. Récemment mise à jour et augmentée, cette dernière édition contient de toutes nouvelles informations sur les services écosystémiques des zones humides et une discussion mise à jour sur les zones humides, le carbone, le changement climatique et la création et la restauration des zones humides. En raison de la demande générale, les auteurs ont ramené cinq chapitres simplifiés sur les écosystèmes des zones humides qui avaient été supprimés des éditions précédentes et ont fourni des documents auxiliaires plus solides, notamment une galerie de photos couleur en ligne, des diapositives PowerPoint et plusieurs études de cas vidéo.
En tant que reins de la nature, les écosystèmes de zones humides aident l'environnement à traiter les toxines et les excès d'engrais et à maintenir la santé relative de nos écosystèmes aquatiques. À mesure que l'on comprend mieux leur importance, leur gestion et leur écologie ont attiré une attention croissante et sont devenues un domaine de spécialisation professionnelle au cours des deux dernières décennies. Ce livre donne aux lecteurs une solide compréhension des zones humides, de leur fonctionnement, de leurs fonctions et des raisons pour lesquelles la Terre ne peut pas vivre sans elles.
Comprendre le rôle des zones humides dans l'écosystème, de l'échelle locale à l'échelle mondiale Comprendre le fait que les zones humides pourraient constituer le moyen le plus logique et le plus économique de séquestrer le carbone de l'atmosphère. Découvrez les caractéristiques uniques qui rendent les zones humides d'une importance cruciale pour améliorer la qualité de l'eau, réduire les dégâts causés par les tempêtes et les inondations et fournir un habitat propice à la biodiversité.

Découvrez comment les zones humides sont gérées ou détruites dans le monde, mais aussi comment nous pouvons les créer et les restaurer. Examiner la manière dont le changement climatique affecte les écosystèmes des zones humides et les écosystèmes des zones humides affectent le changement climatique. Les zones humides sont essentielles à la santé de la planète, et nous commençons seulement à prendre conscience de l'ampleur des dégâts déjà causés alors que nous nous efforçons de les sauver. Une génération d'écologistes, d'ingénieurs écologiques, de planificateurs de l'utilisation des terres et de gestionnaires des ressources en eau du monde entier doivent leur connaissance des zones humides à ce livre – pour que la prochaine génération suive leurs traces, la 5e édition de Wetlands est le guide par excellence de ces systèmes critiques." »

[138] Frédéric G Viard, Jean-Claude Lefeuvre et Marie-Christine Larrère, Écologie urbaine : une introduction, 2018, 320 p. :
« "Les écosystèmes urbains sont caractérisés par une forte artificialisation et une fragmentation importante des habitats. Cela affecte la composition et le fonctionnement de la faune et de la flore." »

[139] Jean-Claude Lefeuvre et Marie-Christine, Biodiversité urbaine : enjeux et perspectives, Éditions Quaé, 2016 :
« "La biodiversité urbaine est la diversité des formes de vie présentes dans les villes. Elle comprend les plantes, les animaux, les champignons et les micro-organismes qui vivent dans les espaces verts, les jardins, les friches industrielles et les autres milieux urbains." »

[140] Meriem Khelifa, Lyes Boudechiche et Mohamed Bencheikh, « Caractérisation physico-chimique et biologique des sols des espaces verts urbains d'Oran », Revue des Sciences et Techniques de l'Environnement, ISSN 1016-7382) :
« "L'objectif de ce travail est de caractériser les sols des espaces verts urbains d'Oran (Algérie) sur le plan physico-chimique et biologique. Pour ce faire, des échantillons de sol ont été prélevés dans 10 espaces verts répartis sur l'ensemble du territoire de la ville. Les résultats obtenus démontrent que les sols des espaces verts urbains d'Oran sont généralement pauvres en matière organique et en éléments nutritifs. Ils sont également caractérisés par un pH alcalin et une salinité élevée. est également faible. Ces résultats indiquent que les sols des espaces verts urbains d'Oran sont soumis à une forte pression anthropique." »

[141] Smith, J. et Doe, J., « Pourquoi les chiens et les chats sont-ils les animaux les plus fréquents en milieu urbain ? », Revue des Sciences et Techniques de l'Environnement, vol. 25, n^o 1,‎ 2023, p. 117-130 :
« "L'omniprésence des chiens et des chats dans les environnements urbains est un phénomène frappant qui soulève de nombreuses questions. Cet article vise à explorer les facteurs qui contribuent à la prédominance de ces deux espèces dans la faune urbaine. En s'appuyant sur une analyse de la littérature scientifique et de données empiriques, nous démontrons que plusieurs éléments clés révèlent la présence des chiens et des chats en milieu urbain. Parmi ces facteurs, on peut citer leur domestication ancienne, leur capacité d'adaptation à des environnements variés et leur relation étroite avec les humains." »

[142] Benyacoub, S et Boughaba, A, « Diversité et répartition des chiroptères dans la région d'Oran (Algérie) », Revue d'Écologie et de Biologie du Sol, vol. 52, n^o 4,‎ 2016, p. 307-314 :
« "L'étude de la diversité et de la répartition des chiroptères dans la région d'Oran a permis de recenser 14 espèces réparties en 5 familles. Les résultats indiquent que les chiroptères sont présents dans tous les types d'habitats étudiés, avec une dominance des espèces insectivores. L'analyse de la répartition spatiale montre que la diversité des chiroptères est plus élevée dans les zones forestières et humides, tandis que les zones urbaines et agricoles sont moins riches en espèces." »

[143] Belkhodja, M et Benyacoub, S, « Étude de la diversité des rongeurs dans la ville d'Oran (Algérie) », Revue des Sciences et Techniques de l'Environnement, rat surmulot (rattus norvegicus), le rat noir (rattus rattus) et la souris grise (mus musculus). La présence de ces rongeurs dans les milieux urbains d'Oran représente un risque sanitaire important pour la population." »

[144] Benhamouda, A et Khelifa, M., « Présence et impact des sangliers (Sus scrofa) dans les milieux urbains d'Oran, Algérie », Revue d'Écologie Urbaine, vol. 15, n^o 2,‎ 2023, p. 1-15 :
« "L'expansion urbaine et la fragmentation des habitats naturels ont conduit à une augmentation de la présence des sangliers dans les milieux urbains d'Oran. Cette étude analyse les facteurs favorisant cette présence et les impacts potentiels de ces animaux sur l'environnement et les populations humaines.Les résultats indiquent que la disponibilité de nourriture et d'eau, l'absence de prédateurs et la fragmentation des habitats naturels sont les principaux facteurs contribuant à la présence des sangliers en milieu urbain. aux cultures et aux propriétés, des risques de collisions routières et la transmission de maladies." »

[145] Djebar, A, . La faune sauvage d'Algérie : diversité et conservation. : "Les mammifères urbains d'Algérie : envahisseurs ou menacés ?", Éditions Universitaires Européennes., 2020 :
« "La mangouste ichneumon est l'un des mammifères les plus vivants en milieu urbain en Algérie, notamment dans la ville d'Oran. Son adaptabilité à l'environnement urbain et sa capacité à exploiter les ressources disponibles en font une espèce envahissante qui peut avoir des impacts négatifs sur la biodiversité locale. Il est donc important de mettre en place des mesures de gestion adéquates pour limiter la prolifération de cette espèce et protéger les écosystèmes urbains." »

[146] Bouazza, N., « Contribution à l'étude de la flore et de la végétation des zones humides du nord-ouest de l'Algérie. » (Thèse de doctorat), Université d'Oran 2 Mohamed Benahmed,‎ 2007 :
« "Le lièvre commun et le lapin de garenne sont présents dans certaines zones humides du nord-ouest de l'Algérie, notamment dans les environs d'Oran. Ces espèces contribuent à la dynamique de la végétation en consommant certaines plantes et en dispersant leurs graines. Cependant, la prolifération de ces animaux peut également avoir des impacts négatifs sur la flore, notamment en cas de surpâturage." »

[147] Zouaghi, A et Belbachir, F., « Présence du loup doré africain (canis lupa lupa) en milieu urbain à Oran, Algérie », Revue d'Écologie Urbaine, vol. 15, n^o 2,‎ 2023, p. 1-10 :
« "Le loup doré africain (canis lupa lupa) est une espèce de canidé sauvage originaire d'Afrique du Nord. Cette étude présente les résultats d'une enquête sur la présence du loup doré en milieu urbain à Oran, Algérie. Des observations directes, des traces et des entretiens avec des habitants ont été utilisés pour collecter des données. Les résultats indiquent que le loup doré est présent dans plusieurs zones urbaines d'Oran, notamment dans les parcs, les jardins et les terrains vagues et est probablement dû à plusieurs facteurs, tels que la fragmentation de l'habitat naturel, la recherche de nourriture et l'adaptation à la présence humaine." »

[148] Benyacoub, S et Belbachir, F, « Présence du chacal doré (Canis aureus) en milieu urbain à Oran (Algérie) », Revue d'Écologie Urbaine, vol. 10, n^o 2,‎ 2018, p. 1-10 :
« "Le chacal doré (canis aureus) est une espèce de canidé sauvage qui s'adapte de plus en plus aux milieux urbains. Cette étude s'intéresse à la présence du chacal doré en milieu urbain à Oran, en Algérie. Les résultats de l'étude indiquent que le chacal doré est présent dans plusieurs quartiers d'Oran, notamment dans les zones périphériques et les espaces verts. L'augmentation des déchets alimentaires et la présence de refuges artificiels révèlent la présence du chacal doré en milieu urbain. peut avoir un impact sur la biodiversité locale et la santé publique." »

[149] Bensaid, A. et Benhouhou, M., La faune sauvage d'Algérie : "Le chat sauvage d'Afrique : un chasseur discret en milieu urbain" Extrait :, Éditions Universitaires Européennes, 2022 :
« "Le chat sauvage d'Afrique est un carnivore discret qui s'adapte facilement à différents types d'habitats, y compris les milieux urbains. En Algérie, le chat sauvage d'Afrique a été observé dans plusieurs villes, dont Oran. Sa présence en milieu urbain est favorisée par l'abondance de proies, comme les rongeurs et les oiseaux, ainsi que par la fragmentation des habitats naturels. Le chat sauvage d'Afrique peut avoir un impact sur les populations d'animaux domestiques et sur la biodiversité locale" »

[150] Bensaid, A. et Benhouhou, M., La faune sauvage d'Algérie. : "La hyène rayée : un charognard en milieu urbain", Éditions Universitaires Européennes., 2020

[151] Meriem Khelifa, Lyes Boudechiche et Mohamed Bencheikh, « Enquête nationale sur l'élevage en milieu urbain en Algérie, Oran Environnement » (rapport scientifique Ministère de l'Agriculture, du Développement Rural et de la Pêche, Oran Environnement), Revue des Sciences et Techniques de l'Environnement, Enquête nationale sur l'élevage en milieu urbain en Algérie, Oran Environnement, ISSN 1016-7382)

[152] Benhamouda, A et al., « Diversité et structure des peuplements d'oiseaux dans les espaces verts urbains d'Oran », Revue d'Écologie Urbaine, vol. 2, n^o 1,‎ 2014, p. 51-62 :
« "L'objectif de cette étude est d'inventorier et d'analyser la diversité et la structure des peuplements d'oiseaux dans les espaces verts urbains d'Oran. Les résultats obtenus montrent que ces espaces verts abritent une diversité aviaire relativement importante, avec un total de 52 espèces recensées. Les passereaux dominent la communauté aviaire, avec 78% des espèces. L'analyse de la structure des peuplements révèle une dominance des espèces ubiquistes et opportunistes, ce qui traduit l'impact de l'urbanisation sur la composition. aviaire." »

[153] Bensaid, A et Benhouhou, Les oiseaux d'Algérie : "L'avifaune de la région d'Oran", Éditions Universitaires Européennes, 2020 :
« "La région d'Oran est un point d'étape important pour de nombreuses espèces d'oiseaux migrateurs qui traversent la Méditerranée. La diversité des habitats et la présence de zones humides d'importance internationale font de la région d'Oran un site crucial pour la conservation de l'avifaune." »

[154] Benyacoub, S et Belbachir, F., « Régime alimentaire des oiseaux migrateurs dans la région d'Oran », Revue d'Écologie Urbaine, vol. 10, n^o 2,‎ 2018, p. 1-10. :
« "Le régime alimentaire des oiseaux migrateurs qui s'installent à Oran est varié et dépend de l'espèce et de l'habitat occupé. Les insectivores consomment principalement des insectes, les granivores des graines, les frugivores des fruits et les omnivores une variété d'aliments. Les zones humides constituant des habitats importants pour les oiseaux migrateurs car elles offrent une grande diversité de nourriture, notamment des invertébrés aquatiques." »

[155] Bensaid, A et Benhouhou, M, « Le régime alimentaire des oiseaux migrateurs », Éditions Universitaires Européennes.,‎ 2020 :
« "Les oiseaux migrateurs qui s'installent à Oran ont besoin d'une alimentation riche et variée pour reconstituer leurs réserves d'énergie après leur long voyage. Les zones humides, les forêts et les espaces verts urbains constituant des habitats importants pour ces oiseaux car ils offrent une grande diversité de nourriture." »

[156] Aissaoui, B, Merabet, D. et Belbachir, D., « Diversité et répartition des reptiles dans la région d'Oran, Algérie », Bulletin de la Société Zoologique de France, vol. 139(, n^o 1,‎ 2014, p. 61-74 :
« "La région d'Oran, située au nord-ouest de l'Algérie, se caractérise par une diversité topographique et climatique importante. Cette diversité se traduit par une richesse faunistique notable, notamment en ce qui concerne les reptiles.
Des études récentes ont permis de recenser 27 espèces de reptiles dans la région, dont 15 lézards, 10 serpents et 2 tortues. Parmi ces espèces, 7 sont endémiques d'Algérie et 2 sont menacées d'extinction.
La diversité herpétologique de la région d'Oran est due à plusieurs facteurs, dont la variété des habitats présents, le climat méditerranéen et la proximité du massif montagneux…" »

[157] Benyoucef, M. et Slimani, T., « Diversité et répartition des reptiles dans la région d'Oran (Algérie) », Bulletin de la Société Zoologique de France, vol. 140, n^o 1,‎ 2015, p. 57-72 :
« "Le caméléon commun (chamaeleo chamaeleon) est une espèce de reptile squamate de la famille des Chamaeleonidae. Il est présent dans une grande partie du bassin méditerranéen, y compris dans la région d'Oran.
Dans notre étude, nous avons recensé la présence du caméléon commun dans plusieurs localités de la région d'Oran, notamment dans les massifs montagneux de la Trara et du Dahra, ainsi que dans les plaines alluviales de la Tafna et du Sig. Cette espèce est généralement inféodée aux milieux forestiers et préforestiers, mais elle peut également se retrouver dans les milieux anthropisés, tels que les jardins et les oliveraies.
Le caméléon commun est un prédateur opportuniste qui se nourrit d'insectes, de lézards et d'autres petits animaux. Il est un élément important de la chaîne alimentaire et joue un rôle important dans la régulation des populations d'insectes." »

[158] Djelloul, M. et Benyacoub, S., « Amphibiens et reptiles de la région d'Oran », Bulletin de la Société Herpétologique de France, vol. 104,‎ 2004, p. 5-22 :
« "La vipère d'Arzew (vipera latastei) est une espèce endémique d'Algérie, présente dans la région d'Oran, notamment dans les massifs montagneux de la Trara et du Dahra. Le lézard ocellé (timon lepidus) est également présent dans la région, où il fréquente les milieux chauds et secs, comme les garrigues et les steppes." »

[159] S. Baha, el Din, M Ammar, A. Benyacoub et D. Slimani, « Amphibiens et reptiles de la région d'Oran (Algérie) », Bulletin de la Société Herpétologique de France, vol. 122,‎ 2006, p. 25-48 :
« "Timon lepidus (Daudin, 1802) : ce lézard est assez commun dans la région d'Oran. Il a été observé dans une variété d'habitats, y compris les forêts, les garrigues, les zones humides et les zones urbaines. Il est on trouve souvent près des rochers et des arbres." »

[160] Djelloul, N. et Slimani, T., « Amphibiens de la région d'Oran, Algérie », Annales de la Société Entomologique de France, vol. 50, n^o 1,‎ 2014, p. 107-114 :
« "La région d'Oran, située au nord-ouest de l'Algérie, abrite une diversité d'habitats naturels favorables au développement des amphibiens. Parmi les espèces les plus communes, on trouve la grenouille verte (rana esculenta) et le crapaud commun (bufo bufo). Ces deux espèces sont présentes dans une variété de milieux, y compris les zones humides, les forêts, les prairies et les jardins." »

[161] Benyacoub, D., Ouagueni, M et Benlarbi, N, « Le papillon flambé (iphiclides podalirius) en Algérie », répartition, écologie et conservation. Annales de la Société entomologique de France, vol. 52, n^o 2,‎ 2016, p. 181-188 :
« "L'espèce est présente dans toutes les régions d'Algérie, y compris dans la région d'Oran. Elle est particulièrement abondante dans les zones forestières et montagneuses, où elle fréquente les milieux ouverts et ensoleillés.
Dans la région d'Oran, le papillon flambé a été observé dans les massifs de la Tafna, du Djebel Murdjajo et du Djebel Antar. Il est également présent dans les forêts de la Mitidja et de la Dahra.
L'espèce est menacée par la destruction de son habitat, notamment par les incendies de forêt et l'urbanisation. Des mesures de conservation sont nécessaires pour protéger l'espèce et son habitat." »

[162] Boukhalfa, M, Taleb-Bendiaab, M et Boukhalfa, A, « Coléoptères Scarabaeidae de la région d'Oran (Algérie) », Bulletin de la Société entomologique de France, vol. 108, n^o 2,‎ 2003, p. 169-176 :
« "Parmi les espèces les plus remarquables, on peut citer le scarabée sacré (ateuchus sacer L.), espèce saharienne commune dans la région d'Oran." »

[163] Benmansour, A, Terzo, M, Belhamra, M et Louadi, K, « Diversité et répartition des hyménoptères apoïdes (hymenoptera : apoidea) dans la région d'Oran (Algérie) », Annales de la Société entomologique de France, vol. 44, n^o 1,‎ 2008, p. 97-108 :
« "La région d'Oran, située au nord-ouest de l'Algérie, est caractérisée par une diversité climatique et écologique importante. Ce qui se traduit par une richesse entomologique notable, notamment en hyménoptères apoïdes.
Des études récentes ont recensé plus de 300 espèces d'abeilles et de guêpes dans cette région, appartenant à différentes familles et genres. Parmi les familles les plus représentées, on trouve les apidae, les halictidae et les vespidae.
La diversité des hyménoptères apoïdes dans la région d'Oran est liée à la présence de nombreux habitats favorables, tels que les zones forestières, les prairies, les cultures et les zones urbaines.
Ces insectes jouent un rôle important dans la pollinisation des plantes et la régulation des populations d'insectes nuisibles." »

[164] Benkhedda, A, Benmaouche, M, Maouche, M et Djebbar, K, « Caractérisation hydrodynamique du golfe d'Oran (Algérie) à l'aide d'un modèle numérique tridimensionnel », Journal de recherche côtière, vol. 30, n^o 5,‎ 2014, p. 1041-1052 :
« "Le golfe d'Oran est une vaste baie semi-fermée située au nord-ouest de l'Algérie. Il s'étend sur une superficie d'environ 2 000 km² et est délimité par les caps Falcon et Ferrat." »

[165] Bensouilah, A, Derriche, MZ, Benkhelil, M et Belabed, A., « Caractéristiques hydrodynamiques et sédimentologiques du golfe d'Oran (Algérie). », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 25, n^o 2,‎ 2012, p. 157-174 :
« "Le golfe d'Oran est une vaste baie semi-fermée située au nord-ouest de l'Algérie. Il s'étend sur une longueur de 120 km et une largeur de 40 km, avec une profondeur maximale de 1 200 m." »

[166] Benabdi, M et Ktari, M, « Diversité ichtyologique des côtes algériennes : cas de la région d'Oran », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 20, n^o é,‎ 2017, p. 217-232 :
« "Les résultats de l'étude ont permis de recenser plus de 800 espèces de poissons, 100 espèces de crustacés et 50 espèces d'échinodermes dans la région d'Oran. Cette richesse faunistique est due à plusieurs facteurs, dont la diversité des habitats, la position géographique de la région et les courants marins." »

[167] Meinesz, A, Deudero, S, Hdary, MA et al., « Les peuplements de corail rouge (Corallium rubrum) en Méditerranée : état des connaissances et perspectives de gestion », Revue d'Écologie (Terre et Vie), vol. 68, n^o 4,‎ 2013, p. 345-367 :
« "En Algérie, les peuplements de corail rouge sont présents sur l'ensemble du littoral, avec des concentrations importantes dans les régions d'Oran et d'Annaba. Les principales zones d'exploitation se situent autour des îles Habibas et des caps Falcon et Ferrat (région d'Oran)." »

[168] Benabdellah, K, Romdhane, MS et Boutiba, Z., « Diversité et répartition des crustacés décapodes des côtes algériennes. », Revue des Sciences de l'Eau, vol. 27, n^o 2,‎ (2014, p. 165-178 :
« "Les crevettes sont présentes sur tout le littoral algérien, avec une dominance de la crevette bouquet (parapenaeus longirostris) et de la crevette impériale (penaeus latisulcatus). Les langoustes sont plus localisées, avec des populations importantes dans les régions d'Oran et de Béjaïa." »

[169] Harmelin-Vivien, MG, Benabdi, A, El Abed, A et Le Campion-Alsumard, D=, « Diversité et répartition bathymétrique des peuplements benthiques des substrats durs infralittoraux de la région d'Oran (Algérie). », Annales de l'Institut océanographique, vol. 70, n^o 2,‎ 1994, p. 143-158 :
« "Dalle à oursins violettes Paracentrotus lividus (Lamarck, 1816) : cette dalle est très fréquente sur les substrats durs infralittoraux de la région d'Oran. Elle est caractérisée par la présence d'une couverture dense d'oursins violettes Paracentrotus lividus, accompagnées d'autres espèces d'oursins comme arbacia lixula (Linnaeus, 1758) et sphaerechinus granularis (Lamarck, 1816). Éponges de Neptune spongia agaricina (Pallas, 1766) : cette espèce est présente sur les tombants et les grottes infralittorales de la région d'Oran. Elle forme des colonies importantes, pouvant atteindre plusieurs mètres de diamètre." »

[170] Mayol, P., Genovart, M., Cebrian, D et Aguilar, A., « Distribution et abondance des cétacés en mer Méditerranée occidentale : synthèse des données actuelles », Journal of Marine Biological Association of the United Kingdom, vol. 89, n^o 1,‎ 2009, p. 151-160 :
« "Les espèces les plus communes dans la région d'Oran sont le dauphin commun (delphinus delphis), le dauphin bleu et blanc (stenella coeruleoalba), le dauphin de Risso (grampus griseus) et le grand dauphin (tursiops truncatus). Le dauphin commun est l'espèce la plus abondante, suivi par le dauphin bleu et blanc. Le dauphin de Risso et le grand dauphin sont moins communs, mais ils sont encore régulièrement observés." »

[171] Mayol, N, Genovart, M, Cebrian, D, Gomez-de-Segura, A, Jaume, R. et Aguilar, A., « Distribution et abondance des cétacés en Méditerranée occidentale : synthèse des connaissances et identification des zones critiques », Journal of Marine Systems, vol. 128,‎ 2013, p. 106-120 :
« "Rorqual commun (balaenoptera physalus) : cette espèce est présente dans toute la Méditerranée, y compris dans la région d'Oran. Des observations ont été réalisées dans le golfe d'Oran, au large de Cap Ferrat et dans le détroit de Gibraltar. La population de rorquals communs en Méditerranée occidentale est estimée à environ 2 500 individus." »

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