Nordhorn
Localisation
Nordhorn : descriptif
- Nordhorn
Nordhorn est une ville de Basse-Saxe (Allemagne) située dans l'arrondissement du comté de Bentheim. Nordhorn est le chef-lieu du district du comté de Bentheim dans l'extrême sud-ouest de la Basse-Saxe près de la frontière des Pays-Bas et de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie
Nordhorn est classée centre de ressources avec des fonctions partielles quant à l'aménagement du territoire.
Géographie
Situation géographique
La situation géographique est à 52 degrés 26 minutes de latitude nord et 7 degrés 4 minutes de longitude est, à une altitude de 23 mètres au-dessus du niveau zéro.
La ville est située dans l'extrême sud-ouest de la Basse-Saxe, à proximité de la frontière avec les Pays-Bas et le Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, sur la Vechte.
La ville la plus proche du côté néerlandais est Hengelo, à environ 20 Münster, à environ 75 Osnabrück, à environ 85 km à l'est, sont les grandes villes les plus proches.
Le paysage dans et autour de Nordhorn est marqué par la Vechte, le Vechtesee que traverse la Vechte, et par les canaux Nord-Sud-Kanal, Nordhorn-Almelo-Kanal et Vechte-Ems-Kanal.
Climat
Nordhorn se trouve dans la zone de climat tempéré d'Europe centrale. La température moyenne annuelle est de 8,5 degrés Celsius, la pression atmosphérique moyenne de 761,5 hectopascals, et la moyenne annuelle des précipitations de 700 à 800 millimètres. Le climat est subatlantique plutôt marqué par des hivers doux et des étés moyennement chauds.
Extension de la ville
Par des rattachements, la superficie du territoire de la ville s'est accrue jusqu'à 14.959 hectares. Cela correspond à la superficie de la principauté du Liechtenstein.
Communes voisines
Au nord de Nordhorn se trouvent la ville de Neuenhaus et la commune d'Osterwald. La commune de Wietmarschen borde Nordhorn au nord-est et à l'est. Au sud-est se trouve la commune d'Engden, au sud la commune d'Isterberg et la ville de Bad Bentheim. La limite ouest de la ville constitue en même temps une partie de la frontière avec les Pays-Bas.
Quartiers de Nordhorn
Anciennes communes : Altendorf, Bakelde, Bimolten, Bookholt, Brandlecht, Frensdorf, Frenswegen, Hesepe, Hestrup, Hohenkörben, Klausheide
Nouveaux quartiers : Blanke, Blumensiedlung, Bussmaate, Deegfeld, Feldflur, Frensdorferhaar, Neuberlin, Oorde, Stadtflur, Streng, Wehrmaate
Rattachements
- 25 juin 1921 Frensdorf
- 1929 Frenswegen
- 1929 Des parties des communes d'Altendorf*, Bakelde*, Bookkolt, Hesepe et Brandlecht
- 1974 Bimolten, Bookholt, Brandlecht, Hesepe, Hestrup, Hohenkörben et Klausheide
- les territoires non rattachés d'Altendorf Bakelde formaient ensemble la nouvelle commune de Clausheide (Klausheide)
Histoire
Appartenances historiques
Comté de Bentheim 1228-1806 |
La structure du paysage de Nordhorn a été modelée il y a des millions d'années par les changements climatiques, en particulier par les périodes glaciaires. Les plus anciens dépôts, situés à environ deux mètres de profondeur, proviennent du Carbonifère. Au tournant du Crétacé et du Tertiaire, la croûte terrestre s'est ici formée en plissements plus petits. Dans le tertiaire moyen des températures subtropicales ont régné dans la plaine de Nordhorn. Ensuite a commencé un refroidissement croissant, qui a atteint son point culminant avec les périodes glaciaires. Après la fonte des dernières glaces, des cuvettes se sont formées. Des vents violents soufflaient sur la surface sans végétation des dunes. Encore aujourd'hui, on trouve dans les Tillenberge (montagnes) proches les restes d'un tel complexe de dunes. Les résultats de fouilles sur l'âge de la pierre récent et sur l'âge du bronze qui le suit attestent qu'il y a déjà six mille ans, des hommes s'étaient établis sur les plaines de sable de Nordhorn.
Au cours de l'âge du fer, pluvieux et plus froid, la colonisation s'étend sur les hauteurs sèches des rives de la Vechte. Dans presque toutes les forêts de frênes, l'archéologue tombe sur les traces des établissements de l'âge du fer, bases pour les futures paysanneries de Frensdorf, Bookholt, Altendorf, Hesepe et Bakelde.
De 12 tribuns militaires romains Drusus, Tibère, Germanicus et Varus ont entrepris au total treize campagnes dans la Germanie encore libre à cette époque. De leur camp de Xanten ces troupes romaines auraient souvent fait des incursions dans les pays des Chamaves et des Tubantes, les habitants de l'aire d'établissement de Nordhorn. Les Romains utilisaient probablement les rives préhistoriques de la Vechte et les « passerelles » de sable le long des marais comme voies militaires. Cette liaison terrestre d'Ouest en Est devait devenir une route commerciale importante, qui reliait des villes comme Bruxelles, Amsterdam, Brême et Hambourg.
Vers la fin du Saxons venus du nord ont pénétré vers l'ouest. Ils ont refoulé les Tubantes plus à l'ouest dans la Twente. Après la conquête de la Saxe par Charlemagne est née la première ligne de démarcation entre Francs et Saxons, comme frontière intérieure. Elle a survécu largement aux vicissitudes de l'histoire et demeure encore à ce jour la frontière avec les Pays-Bas.
En l'an 687 l'évêque Wilfrid d'York envoya outre-Manche des missionnaires pour la christianisation de l'ancien pays tubante. Willibrord fonda le diocèse d'Utrecht et Werenfrid diffusa le christianisme dans la vallée de la Vechte. Vers l'an 800 l'agglomération de Nordhorn fut rattachée à l'évêché de Münster. L'évêque Liudger édifia une église de bois sur un éperon rocheux dans la Vechteaue. Vers l'an 900 le nom de l'agglomération (épelé "Northhornon") est pour la première fois mentionné sur le livre de comptes du monastère de Werden sur la Ruhr.
En l'an 1180 les comtes de Bentheim acquirent le Gogericht {droit de rendre la justice] pour Nordhorn. Ils édifièrent un château sur une île au milieu de la Vechte. Jusqu'à 1912 subsistaient des restes de ce château. Aujourd'hui se trouve à son emplacement l'église catholique Saint-Augustin. Grâce à la Mühlendamm [digue des moulins] posée par l'homme et à deux moulins, on réussit à réguler le niveau la Vechte et à coloniser l'île. On a - probablement sous l'influence de Wasserbauer néerlandais - aménagé d'autres canaux, dénommés Binnenvechten, qui subdivisaient l'île probablement en six îles plus petites. Avec la construction de deux "Torbrücke" ("ponts-barbacanes") et sous la protection du Wasserburg on pouvait la défendre contre les agresseurs plus facilement que l'ancienne colonie autour de l'église du marché. L'actuelle grand-rue devrait déjà alors passer sur la Vechteinsel, qui s'était à présent développée en place commerciale attrayante. Les négociants et armateurs s'établirent là - une place du marché apparut. Le nom de Nordhorn fut désormais utilisé pour la nouvelle agglomération à l'entrée de la ville, tandis que l'ancienne colonie autour de l'église du marché fut appelée "Alte Dorf" ("Vieux village") et garde aujourd'hui le nom d'Altendorf.
Nordhorn avait acquis une position-clé sur la route de Flandre, au croisement de l'actuelle route fédérale 213 et de la route fédérale 403. Des marchandises et des biens en provenance de Scandinavie et des villes de la ligue hanséatique étaient acheminées par Nordhorn vers les places commerciales de l'Ouest, jusqu'à Paris.
La Vechte était déjà navigable à partir de Schüttorf. C'est au commerce entre ces deux villages et au fait que les bateliers utilisaient une corne de brume pour s'avertir mutuellement, que Nordhorn ("Corne du Nord") doit peut-être son nom. Heinrich Specht en revanche, dans sa Chronique de la ville de 1941, voit comme plus probable que le nom de Nordhorn dérive de l'éperon de terre d'abord colonisé, qui, du Nord, s'enfonçait comme une corne dans la vallée de la Vechte. Depuis les années 1970 est érigé, près de l'ancien port de la Tuter, un monument de bronze qui commémore les débuts de la navigation intérieure.
La Vechte est longue d'environ 167 Zwolle (dans le Zuiderzee), qui à l'époque n'était pas encore séparé de la mer du Nord, et a constitué de longs siècles le centre du commerce maritime néerlandais. Après la conquête des terres sur la mer lors des temps modernes, elle se jette aujourd'hui au nord de Zwolle dans la Zwarte Water, un affluent de l'IJsselmeer créé à partir du Zuiderzee après la construction de la digue de clôture.
Dès 1160 les premiers grès de Bentheim ont été acheminés par bateau vers les Pays-Bas. En une année, jusqu'à mille deux cents grues de fret, bacs et barges jetaient l'ancre ici et apportaient leurs marchandises aux Pays-Bas. La Steinmaate devint un entrepôt de stockage. La rue du même nom rappelle encore aujourd'hui que le grès de Bentheim était exporté d'ici vers de nombreux pays. Ainsi par exemple des édifices comme le Palais royal à Amsterdam, mais aussi de nombreux moulins, églises, écluses, mairies et autres bâtiments publics furent construits avec le célèbre grès de Bentheim. Les bateaux ramenaient au retour des épices, des textiles, du papier, ainsi que des produits alimentaires et de dégustation comme le café, le thé, le cacao et le tabac. Le commerce, l'artisanat et l'agriculture furent jusqu'au milieu du XIXe siècle les principales bases de l'économie dans la région. La navigation sur la Vechte, le canal Vechte-Ems, le canal Nordhorn-Almelo, le canal Sud-Nord et le canal Coevorden-Picardie formaient à cette époque avec le transit d'importantes activités productives. La ville était dans ces siècles-là le rendez-vous de riches négociants, d'armateurs et de bateliers.
En 1379, le neuvième jour après la Pentecôte, le comte Bernard Ier octroya à Bentheim les droits d'une ville et lui accorda en 1416 le privilège (pour le grès ?). La colonie villageoise sise entre les bras de la Vechte était devenue importante pour les comtes de Bentheim comme plaque tournante commerciale. Avec l'essor économique, la vie culturelle a également atteint un sommet ces années-là. Des chanoines réguliers augustins fondèrent en 1394 le monastère de Marienwolde à Frenswegen. Grâce à des fondations et des dons, ce monastère fut connu au-delà des frontières comme le « paradis de la Westphalie ». Après la sécularisation par Napoléon en 1806, le comte de Bentheim entra en possession des installations et des terres monastiques. Le peuplement sur des millénaires et les 625 années précédentes d'histoire de la ville n'ont laissé subsister que peu de témoins architecturaux des temps anciens à côté du monastère de Marienwolde.
À l'instar des églises de style roman tardif dans la Westphalie voisine, des églises des furent construites au grès de Bentheim. Les fonts baptismaux de Brandlechter est la seule œuvre d'art conservée de cette période. Témoin du gothique tardif, et consacrée en l'honneur de saint Liudger, le fondateur de la première église de Nordhorn. Trois générations ont vraisemblablement travaillé à cette impressionnante église-halle à trois nefs. Le clocher avait à l'origine 102 mètres de haut et était placé, comme tour de garde et tour d'incendie, sous la responsabilité du Conseil de la ville. Lors d'une grave tempête la flèche du clocher s'effondra sur la place du marché sise devant l'édifice. La nouvelle flèche était nettement moins haute (environ 70 mètres) et perméable au vent. Lors d'une restauration de l'intérieur de l'église, des peintures murales gothiques ont été dégagées en 1967 dans le secteur du chœur: les « images d'apôtres de Nordhorn ». Elles montrent les douze apôtres et diverses scènes bibliques. Les peintures ont été alors conservées parce qu'on n'est pas parvenu à se mettre d'accord sur ce qu'on devait en faire (d'après le règlement des églises calvinistes de la confession réformée introduite en 1588 à Bentheim par le comte Arnold II, on doit renoncer aux images et à la décoration dans les lieux de culte). Puis, lors d'une rénovation à la fin des années 1990, on a redécouvert ces images, et le consistoire a décidé de les recouvrir de papier de riz, car elles semblaient trop précieuses pour les badigeonner purement et simplement de peinture.
Déjà fortement décimée par des guerres et des épidémies, la ville a dû, aux guerre de Quatre-Vingts Ans des Néerlandais contre les Espagnols pour leur liberté, Nordhorn fut un point de passage pour les troupes espagnoles, puisque le comté voisin de Lingen faisait partie de leur territoire. Le prince de Parme a dû temporairement camper autour de Nordhorn avec 6 000 soldats.
Pendant la guerre de Trente Ans la Suède, la Hesse-Cassel, des troupes de Lunebourg et des troupes impériales ont traversé Nordhorn par l'ancienne route militaire et commerciale de Flandre : tous voulaient se nourrir des maigres récoltes. Il resta pourtant tout juste le temps à la ville pillée de se relever des dommages de la guerre. Mais déjà, quelques années plus tard, l'évêque belliqueux Christoph Bernhard, comte von Galen, de Münster, menait contre les Pays-Bas dans la plaine de Nordhorn une guerre qui s'acheva en 1666 avec par la « paix de Nordhorn ».
À l'époque de Napoléon, Nordhorn se remit à bourdonner d'activité industrieuse. Au cours de ces années la zone de commerce se développa sur la Vechte ; deux ports ont marqué l'image de la ville. Le Blocus Continental de Napoléon, dirigé contre le commerce anglais, fit de Nordhorn, à partir de 1806, un haut-lieu de la contrebande. Les vastes étendues de landes et de marécages ont favorisé ce commerce lucratif.
Par suite de la réorganisation du paysage politique de l'Europe lors du Congrès de Vienne (1814-1815), le commerce de transit, jusque-là florissant à Nordhorn, subit un nouveau coup d'arrêt. La frontière d'État devint une frontière douanière, ce qui retira à Nordhorn les bases de son commerce vers l'ouest. Dans les années qui suivirent, la ville s'appauvrit. Comme la Vechte s'ensablait, et ne pouvait être aménagée de façon plus moderne, le transport fluvial tomba également au point mort. Les citadins se firent agriculteurs, les commerçants et les transporteurs quittèrent Nordhorn. Seul l'atelier de tissage local offrait encore des possibilités de revenus ; des familles entières émigrèrent en Amérique.
L'année 1839 est considérée comme l'année de fondation de l'industrie textile de Nordhorn. Le premier atelier de tissage mécanique rapide a été être construit sur la Handelsstraße par Willem Stroink d'Enschede. On y transformait le coton, on y tissait le calicot et le watertwist. Jan van Delden en 1864, puis Josef Povel et Hermann Kistemaker en 1851 fondèrent d'autres entreprises. La production textile fut un stimulant pour l'économie souffrante. Le progrès fit son entrée avec l'industrialisation croissante. La première pierre était posée pour le développement de l'une des plus grandes villes textiles allemandes.
Le maire de la ville était, de 1843 à 1872, le pharmacien et industriel chimiste Ernst Firnhaber, dont la maison se tenait dans la grand-rue, au cœur de la vie sociale de l'époque. Avec ses proportions classiques, elle est le dernier exemple architectural d'une majestueuse maison bourgeoise du quinine d'Allemagne. En 1843, 32 403 livres d'écorce de quinquina ont été traitées et exportés. Les fabricants Ludwig Povel, Bernhard Rawe, Bernhard Niehues et Friedrich Dütting fondèrent de 1872 à 1897 d'autres entreprises textiles, qui, jusqu'en ce début du XXIe siècle approvisionnent encore en partie le marché intérieur et international.
Dans les années 1890 Nordhorn fut inclus dans un réseau de voies d'eau artificielles. Sur l'Ems, le canal Dortmund-Ems et le canal Vechte-Ems, on transportait le charbon de la Ruhr, vers le centre textile en pleine expansion. Avec le canal Nordhorn-Almelo on s'occupa du raccordement au réseau de voies d'eau néerlandais, et avec la construction du canal nord-sud le commerce de la tourbe fut stimulé. Même si aujourd'hui tous ces canaux n'ont plus d'importance pour la navigation utilitaire, leur valeur pour les loisirs est cependant très appréciable.
La voie ferrée de Bentheim a raccordé en 1895 les chemins de fer au réseau international. Dans les différentes entreprises textiles ces années-là environ mille cinq cents personnes ont trouvé un emploi. Au XXe siècle, la crise économique mondiale des années 1920 a amené de nombreux demandeurs d'emploi de toutes les régions du Reich à s'acheminer vers Nordhorn. Jusqu'en 1939, le nombre d'habitants de Nordhorn a crû jusqu'à 23 457 ; il est d'ailleurs frappant de constater qu'à peine un tiers des habitants est né à Nordhorn. L'essor économique inouï a valu ces années-là à Nordhorn le surnom de « petite Amérique ».
Le Troisième Reich a lui aussi laissé ses traces à Nordhorn. La petite communauté juive a été broyée. La synagogue a été entièrement détruite, une plaque commémorative dans la rue de la Synagogue le rappelle. L'ancienne route commerciale de Flandre été utilisée comme route militaire par les troupes allemandes, qui ont le 10 mai 1940 envahi les Pays-Bas. Une partie de la population a vécu cette époque, avec des sentiments très mitigés - on était malgré tout liés par-delà la frontière avec les voisins hollandais par des liens de parenté et d'amitié. Sur ces liens ont pu s'édifier en particulier l'aide aux persécutés et les mouvements de résistance. Adolf Pazdera et Ferdinand Kobitzki, du KPD de Nordhorn - fonctionnaires et secrétaires syndicaux - ont été poursuivis à plusieurs reprises, puis assassinés dans des camps de concentration respectivement en 1943 et 1944.
Après la fin de la guerre sont arrivées à Nordhorn, venant des ex-territoires allemands de l'Est, près de dix mille personnes, qui ont trouvé là une nouvelle patrie. La ville a bientôt compté plus de 40 000 habitants. Un nouveau quartier d'environ 13 000 habitants, la Blanke, s'est construit.
Des sociétés de construction de logement d'utilité publique et des initiatives privées ont fait de Nordhorn la ville de la maison individuelle. Les énormes prestations de la construction exigeaient aussi une extension et une modernisation de l'administration communale - Nordhorn a construit un nouvel hôtel de ville, les bâtiments de l'administration du Kreis, de l'Agence pour l'emploi et du Tribunal civil sur le périphérique. Le nouveau tribunal se tient à présent dans la Seilerbahn.
La première piscine couverte d'Allemagne du nord-ouest construite après 1 945 a pu être inaugurée, la construction de nouvelles écoles, de gymnases et terrains de sport, de la Salle de concert et de théâtre, et du parc de la Ville ont conduit à la relance de l'aménagement urbain.
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Nordhorn dans la littérature
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