Train

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Train : descriptif

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Train

Le train est un matériel roulant ferroviaire assurant le transport de personnes ou de marchandises sur une ligne de chemin de fer

Par extension, on appelle train le service que constitue chacun de ces transports, réguliers ou non

Le train est un mode de transport, s'effectuant sur voie ferrée. Étymologiquement parlant, le mot train désigne une rame de wagons de marchandises ou de voitures de passagers tractée par au moins une locomotive, par opposition aux rames automotrices (catégorie dont fait partie le TGV) ou autorails qui assurent leur propre traction

Cependant, dans l'usage courant, le mot train désigne n'importe quelle circulation ferroviaire, quelle que soit sa composition, depuis le plus simple autorail local jusqu'aux longs trains de grandes lignes ou de transports industriels. Un train se compose de plusieurs éléments dont au moins un véhicule moteur (locomotive, locotracteur, rame automotrice) assurant la traction de la rame, accompagné de n'importe quelle combinaison, inclusive et exclusive, de voitures pour le transport de personnes, de fourgons assurant différents services comme le transport de colis ou de bagages, et de wagons pour le transport de marchandises

Il peut s'agir également d'engins spécialisés pour l'entretien des voies (trains de travaux). Pour la traction, la locomotive à vapeur, omniprésente au XIXe siècle, laisse place à la locomotive électrique dès le début du XXe siècle, puis à l'autorail à partir des années 1930 pour s'effacer finalement avant la fin du XXe siècle devant la locomotive électrique ou Diesel sur les lignes non encore électrifiées

D'autres modes de traction marginaux ont été employés par le passé et sont parfois encore utilisés : animaux (chevaux, bœufs), câbles, cordes et cabestans, gravité, pneumatique ou turbines à gaz

Aujourd'hui, pour le transport de passagers, les rames remorquées cèdent régulièrement du terrain devant les rames automotrices qui composent désormais aussi bien des trains de banlieue que des trains à grande vitesse.

Histoire

Origine du mot

Le terme « train », écrit traïn ou trahin en ancien français, est le déverbal du verbe « traïner », à l'origine de notre verbe traîner ; ce premier emploi correspond en particulier à toute la gamme des divers systèmes de traînes sur la surface du sol (traîneau), dans l'eau (filet) ou sur l'eau (flottage, halage, touage). Bien avant l'invention de la voie ferrée, on appelait « train » une file de chevaux de bât, une suite ordonnée d'hommes et de bêtes de charge accompagnant une personnalité éminente en déplacement, un convoi de bateaux rendus solidaires, pour mettre en commun les équipages et parfois l'énergie du vent. Dans ce dernier registre, le plus grand bateau, portant la plus haute voile, en tête servait de « locomotive ». Cette pratique fut énormément utilisée sur la Loire, pour la remontée de Nantes à Orléans, voire plus en amont si les conditions le permettaient. On appelait « train » également les longs radeaux formés de planches, de troncs attachés entre eux, dans le but d'en faire une embarcation suffisamment solide pour descendre ainsi les bois des montagnes jusqu'aux grandes villes par flottage, comme cela s'est pratiqué sur l'Yonne et ses affluents (comme la Cure), ou même ses sous-affluents, du .

Premier système ferroviaire en Allemagne.

Pourtant, le mot « train », dans le vocabulaire de la langue française et spécifique du chemin de fer et de la traction à vapeur, provient bien du mot anglais train, à la prononciation différente et concernant l'industrie britannique naissante des transports par rails et locomotive à vapeur, lui-même emprunté au français. Les adaptations-traductions, en particulier celles de l'inspecteur divisionnaire des Ponts et chaussées Joseph Cordier dans ses Considérations sur les chemins de fer parues en 1826 ou du livre Traction on railroads de Nicolas Wood traduit en 1835 par l'ingénieur des Ponts et Chaussées Franquet de Franqueville, ne comportaient pas de détail phonétique.

Lorsque la technique du chemin de fer fut importée, par exemple après 1827 pour les rares trains transportant les produits pondéreux des industries minières ou charbonnières ou après 1836 pour les voyageurs et/ou les marchandises, d'abord sur quelques lignes à Saint-Étienne, au Pecq près de Saint-Germain ou à Mulhouse, le mot français le plus semblable se calqua et se surimposa sur celui-ci, avec un certain nombre d'autres expressions communes du monde du transport terrestre, maritime et fluvial. Par exemple, les premières gares étaient nommées « embarcadères ».

Plus tard, linguistes et érudits, à l'instar de Pierre Larousse, avalisent tacitement ce choix, arguant que le mot ancien français avait bien franchi la Manche avant de s'intégrer au lexique technique anglais. Le train, terminologie des chemins de fer, provient du verbe traîner, comme l'indique le Grand Larousse de 1923. Notons que quelques siècles se sont écoulés avant l'apparition de ce terme technique dans les mines et les ports britanniques au début des Temps modernes : l'ancien français, langue migratrice aux XIe et XIIe siècles, était alors représenté soit par une langue véhiculaire, celle parlée ou écrite par les élites françaises seigneuriales, soit par les multiples dialectes de l'Ouest, en particulier de Normandie, des hommes de métiers ou de services, appelés par les premières mais se mêlant plus facilement aux populations locales. C'est plutôt par ce dernier biais que les Anglais ont emprunté le terme.

Trois arguments simples peuvent justifier l'évolution moderne en France par emprunt et calque-superposition : la prononciation française a posteriori, la préservation intégrale du sens anglais, le mot anglais train lui-même. D'autre part, selon François Crouzet, il n'existe en France avant 1838 que des locomotives importées de Grande-Bretagne. Ce n'est qu'en 1840 que débute une production locale concurrentielle.

Il faut signaler que, avec le temps, certains usages bien antérieurs du terme français, train, ont pâti de l'irruption de ce sens spécifique. Ainsi, le train de charronnage, le train d'animaux de trait, le train d'attelage, le train d'artillerie, le « train des équipages », le train de flottage, le train d'engrenages ne sont bien souvent plus compris ou pire, parfois assimilés fautivement et univoquement au dernier vocable du train sur chemin de fer. Certains érudits nostalgiques de la création du régiment du train à l'époque napoléonienne citent comme origine un spirituel acronyme TRAIN signifiant « Transport et Ravitaillement de l'Armée Impériale de Napoléon ». Cette étymologie est fantaisiste sur le plan historique : aucun service de l'armée impériale n'était nommé ainsi.

Histoire des chemins de fer

Une locomotive à vapeur en Angleterre, aujourd'hui utilisée pour des trains touristiques.
Train de conteneurs anglais.

C'est le qu'a lieu la première circulation sur des rails d'une locomotive à vapeur, construite par Richard Trevithick près de Merthyr Tydfil, au pays de Galles.

Cependant, des convois formant un train ont été signalés bien auparavant. La première utilisation attestée de chariots sur rails (non motorisés) remonte à 1550, sous la forme de gravures montrant des wagonnets sur rail dans les mines de Leberthal en Alsace souhaitée]. On suppose que les Romains ont pu utiliser un système similaire à des voies ferrées, certaines de leurs routes étant dotées de deux ornières à écartement fixe, parfois proche de celui de notre voie actuelle, qui ne fut cependant uniformisé que tardivement en Grande-Bretagne au profit de l'écartement « Stephenson ».

La généralisation du système ferroviaire a été permise par la mise au point de la machine à vapeur, mais de nombreux systèmes alternatifs ont été utilisés au début, pour faire face au manque de puissance de celle-ci, ou pour s'adapter à des situations particulières, notamment la traction par chevaux, ou par câble, ainsi que l'utilisation de la simple gravité quand la pente le permettait. Ces méthodes à la fois lentes et hasardeuses ont rapidement pris fin avec la généralisation de la traction par locomotives à vapeur et les progrès rapides de ces machines.

À partir de 1900 environ, l'apparition de moteurs électriques puissants et suffisamment compacts a permis l'apparition de la traction électrique, toujours utilisée à l'heure actuelle. Ce mode de traction nécessite cependant que la ligne sur laquelle le train circule soit équipée soit d'une caténaire, soit d'un troisième rail, alimenté en électricité.

L'entre-deux-guerres verra l'apparition de locotracteurs diesel puis progressivement de locomotives diesel dans l'après-guerre (puis locomotives diesel-électriques). Les années 1950 sont la charnière entre disparition de la traction à vapeur et développement des moteurs thermiques. C'est également à cette époque que l'on observe l'apparition de locomotives capables de fonctionner sous courant alternatif.

  1. Le Trésor de la Langue française donne une définition touffue de ce substantif. Remarquons que le sens ferroviaire correspond à la seconde partie.
  2. Dupont J., Le flottage du bois, 60e congrès de l'Association bourguignonne des sociétés savantes, Société des sciences de Clamecy, p. 79-104, 1991.
  3. Petite entrée « train » du Grand dictionnaire étymologique du français par Jean Dubois, Henri Mitterand, Albert Dauzat aux éditions Larousse, 2011. Les emprunts sont en effet très communs, tels la mutation railway ou railroad en chemin de fer [1]. Toutefois, la notice du dictionnaire ajoute que le mot anglais est issu du français, sans préciser s'il s'agit de l'ancien, du moyen, du moderne…
  4. Joseph Cordier, Considérations sur les chemins de fer, , 191 lire en ligne), iii.
  5. Vincent Cuny, Abécédaire de la langue cheminote, LR Presse, 1998.
  6. Le Longman dictionnary of English language, édition 1992-2005, accorde cinq acceptions sémantiques au mot train : la signification ferroviaire « a line of connected railway carriages pulled by an engin », les suites ou séries de personnes ou d'animaux de trait ou de bât en mouvement linéaire « a long line of moving people, animals and vehicles », la traîne de robe ou de cérémonie nuptiale, divers successions d'actions ou enchaînements de causes, parfois au sens figuré ou mental, une suite ou entourage de service d'une personnalité de haut rang militaire, diplomatique, administrative ou civile.
  7. François Crouzet, Histoire de la France industrielle, opus cité.
  8. Ce qui désigne, depuis la fin de l'ancien régime, dans le vocabulaire militaire, l'ensemble des moyens destinés à l'acheminement des troupes et du matériel, pour favoriser leur progression ou leur évacuation.
  9. Article sur le Musée du train et des équipages militaires à Tours (Indre-et-Loire), sur cheminsdememoire.gouv.fr. Consulté le 1er mars 2012.

Culture

Le thème du train est fortement présent dans la littérature, les arts plastiques (affiches, dessins, gravures, photographies…), le cinéma, les jeux vidéo, etc. C'est à la fois un monde clos propice aux intrigues (policier, espionnage, rencontres et drame sentimental) et un lieu qui voyage, propice à l'aventure et au suspense (passage de frontière, arrivée qui se rapproche). Un imaginaire fort est notamment lié à certains types de trains (trains de luxe internationaux de style Orient-Express ou Transsibérien, train de nuit, etc.).

Littérature

Le monde ferroviaire est particulièrement présent dans la littérature, et ce quasiment depuis son apparition : Victor Hugo, en 1837, en fait mention alors que les premières lignes ouvrent aux voyageurs. Honoré de Balzac, qui avait, en 1838, au bout de sa propriété des Jardies, l'embarcadère du chemin de fer de Paris à Versailles, cite ce moyen de transport dans La Cousine Bette, Le Cousin Pons, Les Comédiens sans le savoir. L'ambiance du voyage et des gares, l'univers tantôt feutré tantôt sombre en font un cadre de choix pour le roman autour de thématiques particulièrement variées. La technologie et l'imaginaire associé lui ouvrent les portes de la science-fiction, tandis que l'espace clos des voitures donne bien des idées aux auteurs de policiers. La bande dessinée : Des rails sur la prairie, ou la poésie : Crains qu'un jour un train ne t'émeuve plus de Guillaume Apollinaire, ne dérogent pas à la règle et il n'est pas rare d'y trouver un sujet ferroviaire. Aussi, dans Harry Potter, J. K. Rowling introduit le fameux Poudlard Express, un train qui conduit les sorciers jusqu'à l'école de Poudlard. Plusieurs études ont été réalisées sur le train dans la littérature. Pour la francophonie, on trouve notamment Le train dans la littérature française de Marc Baroli. Il existe également de nombreuses études sur des thèmes précis : la métaphore du tunnel, le voyage en train au , est spécialisée dans l'imaginaire ferroviaire et la littérature en particulier.

Quelques exemples d'auteurs, en langue française (ou largement traduits), et d'ouvrages dont le thème principal est ferroviaire :

  • Jacques Aeschlimann : Le Petit train chagrin ; La Fournaise ;
  • Michel Butor : La Modification (1957) ;
  • Pierre Boulle : Le Pont de la rivière Kwaï ;
  • Blaise Cendrars : La Prose du Transsibérien ; de la Petite Jehanne de France ;
  • Agatha Christie : Le Train bleu ; Le Crime de l'Orient-Express ;  ;
  • Maurice Dekobra : La Madone des Sleepings ;
  • Jack Chaboud - Dominique Dupuis : Quai des bulles : le train dans la bande dessinée ;
  • Ian Fleming : Bons Baisers de Russie ;
  • Chris Van Allsburg : Boréal-express ;
  • Henri Vincenot : La Pie Saoule ; Les Chevaliers du Chaudron ; Mémoires d'un enfant du rail ;
  • Émile Zola : La Bête humaine.

Arts plastiques

Le thème du train a largement inspiré les artistes dès son apparition ; leurs œuvres, notamment gravures et photographies utilisées pour l'illustration d'ouvrages, nous permettent de visualiser les machines et chemins de fer disparus.

De grands peintres ont produit des toiles inspirées par ce sujet, entre autres :

  • William Turner, Pluie, Vapeur et Vitesse : la grande voie ferrée de l'Ouest, 1844 ;
  • Édouard Manet, Le chemin de fer, 1873 ;
  • Claude Monet, La Gare Saint-Lazare, 1877 ;
  • Paul Cézanne, La Montagne Sainte-Victoire et le Viaduc de la vallée de l'Arc, 1882-1885 ;
  • Vincent van Gogh, Wagons de chemin de fer, 1888 ;
  • André Derain, Charing Cross Bridge, 1915 ;
  • Fernand Léger, The Railway Crossing, 1919 ;
  • Edward Hopper : The House by the Railroad, 1925 ;
  • Paul Delvaux, Train de nuit, 1947 ; Trains de banlieue, 1958 ; Petite gare de nuit, 1959.

Cinéma et télévision

Buster Keaton, Le Mécano de la « General », 1927.

Depuis que le train existe, il est indissociable des histoires des hommes, qu'ils soient cheminots ou voyageurs. Les cinéastes auteurs, toujours avides d'alimenter leur imaginaire, y trouvent un sujet inépuisable d'inspiration : « Autant de rêves, de luttes, de désirs, d’amour et de haine cristallisés par la machine qui tour à tour prend des allures de vie, de mort et d’espoirs. » Le Western a quant à lui popularisé les attaques à cheval de trains, que ce soit par des bandits ou des indiens. Le cinéma muet a également popularisé le chemin de fer avec le mythe de la femme attachée sur des rails alors qu'un train va lui foncer dessus, sauvée in extremis par le héros du film.

Quelques œuvres mettant en scène le train :

  • L'Arrivée d'un train en gare de La Ciotat (1895) des frères Lumière ;
  • Le Vol du grand rapide (1903) de Edwin Stanton Porter et Wallace McCutcheon ;
  • Le Voyage à travers l'impossible (1904) de Georges Méliès ;
  • Le Mécano de la « General » (1927) de Buster Keaton et Clyde Bruckman ;
  • La Bête humaine (1938) de Jean Renoir ;
  • Brève Rencontre (1945) de David Lean ;
  • La Bataille du rail (1946) de René Clément :
  • L'Inconnu du Nord-Express (1951) de Alfred Hitchcock ;
  • Le train sifflera trois fois (1952) de Fred Zinnemann ;
  • Le Train (1964) de John Frankenheimer et Bernard Farrel ;
  • Le Crime de l'Orient-Express (1974) de Sidney Lumet ;
  • Transamerica Express (1976) d'Arthur Hiller ;
  • Runaway Train (1985) de Andrei Konchalovski ;
  • Des trains pas comme les autres Documentaire télévisé créé le 12 janvier 1987 par François Gall et Bernard d'Abrigeon pour France Télévision
  • Maigret : Un meurtre de première classe (1999) de Christian de Chalonge - TV ;
  • Le Pôle express (2004) de Robert Zemeckis ;
  • Le Dernier Train (2006) de Joseph Vilsmaier et Dana Vávrová ;
  • Les Vacances de Mr. Bean, (2007) de Steve Bendelack ;
  • À bord du Darjeeling Limited (2007) de Wes Anderson ;
  • Unstoppable (film, 2010), film d'action américain co-produit et réalisé par Tony Scott ;
  • Hell on Wheels : L'Enfer de l'Ouest (2011) de Joe Gayton et Tony Gayton ;
  • Snowpiercer, le Transperceneige (2013) de Bong Joon-ho.

Jeux vidéo

  • Transport Ferroviaire Simulator, pour PC, édité par UIG Entainment en 2011 ;
  • Train Simulator, pour PC, édité par Microsoft Games en 2001 ;
  • Open Rails open source Windows compatible MSTS ;
  • La série des jeux Train Sim World développé par Dovetail Games en 2017 pour PC puis pour la PlayStation 4 et Xbox One ainsi que PlayStation 5 et Xbox Series.
  • La série des Railroad Tycoon ;
  • Trainz Railroad Simulator, pour PC, édité par Auran (N3V aujourd'hui) depuis 2001 ;
  • Railworks alias Rail Simulator, pour PC, édité par EA ;
  • A-Train 8, pour PC, édité par Dhm Interactive en 2009 ;
  • Bozo View Express, pour Windows ;
  • OpenBVE, pour Windows, Mac et Linux.
  • Chase the Express, pour PlayStation 1, édité par Sony Computer Entertainment en 2000 pour le Japon et l'Europe, édité par Activision pour l'Amérique du Nord sous le nom Covert Ops: Nuclear Dawn

Musique

  • La chanson Les Voyages en train du slameur français Grand Corps Malade fait un lien entre les histoires d'amour et les voyages en train ;
  • Hedy West, avec Five Hundred Miles, reprend le thème éternel de la séparation par un long voyage en train. La chanson sera interprétée en version française par Richard Anthony Et j'entends siffler le train dans les années 1960 ;
  • Pacific 231 d'Arthur Honegger est un poème symphonique qui retrace en musique le démarrage et le fonctionnement d'un train ;
  • Avant Honneger, Rossini compose Un petit train de plaisir pour piano seul, au titre de ses « Pechés de Vieillesse ».
  1. Lien lettre de Victor Hugo, lors de son voyage en Belgique d'août 1837 (consulté le 10/08/2009).
  2. Balzac, Lettres à Madame Hanska (Lettres à l’étrangère), 4 vol. Calmann-Lévy, Paris, 1899 pour le t.I (1833-1842), p. 483.
  3. Lien Revue Des Rails (consulté le 10/08/2009).
  4. lien diaporama cité-sciences (visité le 10/08/2009).
  5. Lien Festival CinéRail (visité le 10/08/2009).

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Train dans la littérature

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Document créé le 03/01/2018, dernière modification le 30/10/2024
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