Salaberry-de-Valleyfield
Localisation
Salaberry-de-Valleyfield : descriptif
- Salaberry-de-Valleyfield
Salaberry-de-Valleyfield (anciennement Pointe-du-Lac et Sainte-Cécile-de-Valleyfield), communément appelée Valleyfield et surnommée la « capitale du Suroît » ou la « Venise du Québec », est une ville québécoise située dans la municipalité régionale de comté de Beauharnois-Salaberry dans la région de la Montérégie,
En 2020, elle compte plus de 42 964 habitants, ce qui fait d'elle la 29e ville la plus peuplée du Québec ainsi que la 118e ville la plus peuplée du Canada.
Géographie
Situation et territoire
Salaberry-de-Valleyfield est le centre du pays du Suroît. Elle est la ville centrale de la municipalité régionale de comté (MRC) de Beauharnois-Salaberry au sud-ouest de la région administrative de la Montérégie. Elle se trouve à 25 île de Montréal, à 20 frontière avec l'Ontario et à 37 États-Unis. Le centre de Salaberry-de-Valleyfield est à 60 centre-ville de Montréal et à 105 Saint-Jean-sur-Richelieu.
Son territoire s'étend principalement sur l'île de Salaberry et la Grande Île, entourées par le fleuve Saint-Laurent, le canal de Beauharnois et séparées par la rivière Saint-Charles. La ville occupe presque entièrement l'île de Salaberry à l'exception d'une étroite bande au sud, qui fait partie de Saint-Louis-de-Gonzague et le secteur Melocheville, qui fait partie de Beauharnois. Le territoire est riverain des rapides des Cèdres à l'est, dans le secteur de Saint-Timothée jusqu'à Melocheville. Les municipalités limitrophes sont Beauharnois à l'est, Saint-Étienne-de-Beauharnois au sud-est, Saint-Louis-de-Gonzague au sud et Saint-Stanislas-de-Kostka au sud-ouest. Sur la rive opposée du Saint-Laurent se trouvent les municipalités de Coteau-du-Lac, Les Cèdres et Pointe-des-Cascades dans la MRC de Vaudreuil-Soulanges. La superficie totale de la municipalité est de 126,99 .
Salaberry-de-Valleyfield est l'une des villes satellites de Montréal et l'un des anciens centres industriels développés à partir du siècle à une distance de quelque 50 Saint-Jean-sur-Richelieu, Saint-Hyacinthe, Sorel-Tracy, Joliette ou Lachute. Ces villes sont encore des agglomérations de recensement, comme l'est Salaberry-de-Valleyfield. Saint-Jérôme est historiquement une ville satellite de Montréal mais fait maintenant partie de la région métropolitaine de recensement de Montréal, ce qui traduit une plus grande intégration économique. Le territoire de l'agglomération de recensement de Salaberry-de-Valleyfield correspond à celui de la ville de Salaberry-de-Valleyfield depuis la fusion des anciennes municipalités de Saint-Timothée et de Grande-Île.
Municipalités limitrophes
Coteau-du-Lac | Les Cèdres Fleuve Saint-Laurent |
Pointe-des-Cascades Fleuve Saint-Laurent |
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Lac Saint-François | N | Beauharnois | ||
O Salaberry-de-Valleyfield E | ||||
S | ||||
Saint-Stanislas-de-Kostka | Saint-Louis-de-Gonzague | Saint-Étienne-de-Beauharnois |
Relief et hydrographie
Le territoire se trouve dans la plaine du Saint-Laurent et son relief est plat. La rive du fleuve Saint-Laurent en aval se trouve à une altitude de moins de 30 . L'omniprésence des plans d'eau autour de Salaberry-de-Valleyfield, le fleuve Saint-Laurent, le lac Saint-François,la baie Saint-François, la rivière Saint-Charles, l'ancien canal de Beauharnois et le canal de Beauharnois lui valent le surnom de Venise du Québec. Les îles d'Aloigny, aux Chats (Clark), Sérigny, Longueuil et de la Grosse Pointe situées à l'ouest de la Grande Île font partie du territoire municipal. Plusieurs îles parsèment le fleuve Saint-Laurent en face de Saint-Timothée, notamment l'île des Sœurs, l'île des Frères, l'île Racicot, l'île Papineau ainsi que l'île aux Raisins. Dans la rivière Saint-Charles se trouvent les îles Brisebois, Pinsonneault et Beaudry.
Flore et faune
Sur les îles de Saint-Timothée, l'habitat naturel compte plus de 100 espèces d'intérêt dont le grand héron bleu, l'oriole de Baltimore, le geai bleu et 15 espèces de bars.
Sur l'île d'Aloigny, on retrouve la réserve naturelle du micocoulier, une espèce d'arbre indigène rare dans le monde, mais omniprésent dans la municipalité.
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesMAMOT Fiche
- Ville de Salaberry-de-Valleyfield, Portrait socioéconomique et territorial, Salaberry-de-Valleyfield, Affaires Valleyfield, (lire en ligne).
- , Commission de toponymie du Québec, « Salaberry-de-Valleyfield (Ville) », Banque de noms de lieux du Québec, Gouvernement du Québec, lire en ligne, consulté le ).
- , Guide touristique, Montérégie : 2018-2019, Québec, Tourisme Québec, , 156 p., p. 155.
- Ministère des Affaires municipales et de l'Occupation du territoire, 700 - MRC de Beauharnois-Salaberry, Québec, Gouvernement du Québec, (lire en ligne), carte.
- a. , Profil du recensement : Carte : Pointe-Fortune (VL) (Subdivision de recensement), Québec, Ottawa, Gouvernement du Canada, (lire en ligne), carte.
b. Statistique Canada, Subdivision de recensement 2470052 : Salaberry-de-Valleyfield V, Ottawa, Gouvernement du Canada, (lire en ligne), carte. - Statistique Canada. 2017. Hiérarchies géographiques, Salaberry-de-Valleyfield [Agglomération de recensement. Profil du recensement, Recensement de 2016, produit no 98-316-X2016001 au catalogue de Statistique Canada. Ottawa. Diffusé le 3 mai 2017. Consulté le 14 septembre 2018.
- Gouvernement du Canada, « », Ressources Naturelles Canada (consulté le ), carte 1/15 000.
- « », Google Maps, Google (consulté le ).
- Tourisme Montérégie et 2018 25.
Histoire
Chronologie | |
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Concession de la seigneurie de Beauharnois | |
Fondation de Saint-Timothée | |
Fondation de Grande-Île | |
Paroisse de Saint-Timothée | |
Aménagement du canal de Beauharnois | |
Municipalités de paroisse de Saint-Timothée et de Sainte-Cécile (Pointe-du-Lac) | |
Création de l'évêché |
La longue présence autochtone dans la région est étayée par des artefacts retrouvés et datant de 6 000 ans, notamment à Coteau-du-Lac, lieu de portage en raison des rapides qui empêchaient la navigation.
À l'époque de la Nouvelle-France, la Seigneurie de Beauharnois est concédée à Charles de La Boische et à son frère Claude de Beauharnois de Beaumont en . Le site marécageux est cependant peu exploité et la seigneurie change de main plusieurs fois, notamment en 1773 à Michel-Eustache-Gaspard-Alain Chartier de Lotbinière, fils du marquis de Lotbinière, et en 1795 à Alexander Ellice, riche marchand et propriétaire de navires.
Entre-temps, en 1779 et 1789, un canal est aménagé au confluent du fleuve Saint-Laurent et de la rivière Delisle. Le site de Salaberry est d'abord un relais pour les gens voyageant sur le Saint-Laurent vers les Grands Lacs. Un premier colon, originaire de la Côte-de-Beaupré, s'établit en 1780 près des rapides des Cèdres, au site de l'actuel Saint-Timothée. Sous l'impulsion d'Ellice, d'autres colons s'établissent en 1798 sur le site de l'actuel quartier de Grande-Île. Vers 1800, Ellice organise son domaine et lui donne le nom d'Annfeld, le nom de son épouse, et le divise en douze sections. En 1827, 25 familles y vivent. Un des pionniers est Charles Larocque à qui on doit le chemin Larocque.
La population près des rapides des Cèdres est relativement nombreuse et la fabrique de Saint-Timothée-de-Beauharnois y est établie en 1820 et la paroisse est fondée en 1823. En 1829, on procède à son érection canonique et en 1835 à sa reconnaissance civile. Le toponyme de cette paroisse honore Timothée d'Éphèse. La municipalité de la paroisse de Saint-Timothée est établie en 1845 et, à l'instar des premières municipalités au Canada-Est abolie deux ans plus tard. La municipalité du comté de Beauharnois est instituée en 1847.
En 1842, la construction du canal de Beauharnois est entreprise entre les lacs Saint-Louis et Saint-François pour contourner les difficultés de navigation. Inauguré en 1845, le canal amène la désuétude et la fermeture de celui de Salaberry. Le canal favorise cependant le développement rapide du territoire.
Au milieu du siècle, un promoteur hollandais dénommé Knight ouvre un petit chantier Knight's Point aux environs de l'actuel centre de Salaberry-de-Valleyfield. Au cours du paroisse catholique de Sainte-Cécile, honorant Cécile de Rome, est créée par détachement des territoires des paroisses de Saint-Timothée et Saint-Stanislas. La municipalité dans la partie ouest de l'île de Salaberry est incorporée en 1854 sous le nom de Pointe-du-Lac ou en 1855 comme la municipalité de paroisse de Sainte-Cécile. En 1854, la compagnie écossaise The Valleyfield Paper Mills, établit une papeterie à Pointe-du-Lac alors que le bureau de poste de Valleyfield ouvre ses portes. La localité, qui compte alors 200 habitants, est appelée Valleyfield (en anglais : champ de la vallée) dans le langage courant. Plusieurs entreprises d'industrie lourde s'implantent, dont l'homme d'affaires Alexander Buntin. La filature Montreal Cottons Company devient le principal employeur local. À l'est, le bureau de poste de Saint-Timothée commence ses activités en 1851 alors qu'une nouvelle municipalité de paroisse de Saint-Timothée est érigée en 1855. En 1861, Saint-Timothée compte 600 habitants.
En 1871 fut fondée la Coteau and Province Line Railway and Bridge Company (C&PL), qui aura pour mission de construire une voie ferrée entre Coteau et Cantic, à la jonction du Central Vermont, ainsi qu'un imposant pont reliant Valleyfield à Coteau. Le C&PL sera plus tard fusionné avec le Canada Atlantic Railway, qui fait maintenant partie du Canadien National après de multiples fusions.
Le toponyme actuel de la ville, Salaberry-de-Valleyfield, apparaît en 1874. Les francophones veulent alors honorer le lieutenant-colonel Charles-Michel d'Irumberry de Salaberry, un Canadien de lignée patronymique basque, vainqueur des troupes de l'armée américaine lors de la bataille de la Châteauguay, en 1813. Le terme Valleyfield n'a aucun rapport avec ce personnage historique : il est retenu par compromis, pour satisfaire les nombreux anglophones du lieu, lors du choix du toponyme, dont le propriétaire du Moulin à papier, Alexander Buntin, qui veut évoquer de semblables moulins situés en Écosse, les Valleyfield Mills (à Penicuik, Midlothian). Ce terme, Valleyfield, souligne aussi le caractère champêtre du paysage. Le Moulin à papier devient, en 1875, Moulin à coton (Montreal Cotton) et, aujourd'hui, l'Hôtel Plaza Valleyfield. Le premier maire de la ville est Moïse Plante.
En 1885, la voie ferrée reliant Coteau à Cantic est finalement ouverte, mais le pont ferroviaire de Valleyfield n'étant pas encore construit, on instaura un système de traversier ferroviaire temporaire, ainsi qu'une gare sur l'île Clark.
La St. Lawrence and Adirondack Railway Company, devenue plus tard le New York Central, Penn Central, Conrail et maintenant CSX Transportation, commence ses activités en 1888. En 1890, le Canada Atlantic Railway inaugure le pont ferroviaire reliant Coteau à Salaberry-de-Valleyfield.
La ville devient siège épiscopal en 1892.
En novembre 1899, la gare ferroviaire de Salaberry-de-Valleyfield, au quartier Bellerive, du chemin de fer Canada Atlantic est enfin ouverte. En 1902, on y dénombre pas moins de 9 départs quotidiens, à destination de plusieurs villes dont Toronto, Montréal, Ottawa ainsi que la Nouvelle-Angleterre.
En 1909, la centrale hydroélectrique de Saint-Timothée est construite sur un canal originant du lac Saint-François. La municipalité de village de Sainte-Cécile et la municipalité de village de Nouveau-Salaberry sont instituées en 1913, par détachement du territoire de la municipalité de paroisse de Sainte-Cécile et par agrandissement du territoire municipal. Quelques années plus tard, en 1919, la municipalité du village de Saint-Timothée sera détachée de la municipalité de paroisse du même nom. Les deux guerres mondiales et la bonification du canal de Beauharnois stimulent davantage le développement industriel. La municipalité de Grande-Île est érigée en 1932. En 1939, la première édition des régates sont organisées. En 1948, la Montreal Cottons Company devient la Dominion Textile. En 1990, les municipalités de paroisse et de village de Saint-Timothée fusionnent.
En 1963, fut démolie la gare du Canada Atlantique, dans le secteur Bellerive. En 1994, cette municipalité obtient le statut de ville. En 2002, dans le cadre de la réorganisation des municipalités du Québec, les villes de Salaberry-de-Valleyfield, de Grande-Île et de Saint-Timothée fusionnent pour former la ville actuelle de Salaberry-de-Valleyfield.
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesCTQ Salaberry-de-Valleyfield
- Alexander Buntin
- Christopher C. Jacques, « Salaberry-de-Valleyfield : toute une évolution », L'Étoile, lire en ligne, consulté le ).
- Hôtel Plaza Valleyfield
- (en) John Jantak, « Salaberry-de-Valleyfield slated to become major intermodal transportation hub », Your Local Journal, vol. 11, no 49, , p. 3
Culture
La basilique-cathédrale Sainte-Cécile, siège du diocèse catholique romain de Valleyfield, est l'un des nombreux bâtiments patrimoniaux de Salaberry-de-Valleyfield. L'immeuble, construit en 1934–1935 et victime d'un incendie en 2002, fait l'objet de travaux de restauration financés par le gouvernement du Québec et les dons privés, pour assurer sa pérennité pour les générations futures. Le centre-ville vit au rythme des cloches de la basilique-cathédrale qui retentissent chaque heure de 10 . L'église de l'Immaculée-Conception de Bellerive, construite en 1936–1937 est également un bâtiment de grande envergure qui fascine les visiteurs. La ville de Salaberry-de-Valleyfield abrite un cinéma et deux cinés-clubs (au cinéma et à VALSPEC), le musée de société des Deux Rives (MUSO) qui loge dans l'ancienne église presbytérienne construite en 1881–1882, ainsi que la salle Albert-Dumouchel au Cégep de Valleyfield, d'une capacité de 840 places.
La ville a été la seconde au Québec à se doter d'une bibliothèque municipale, après Montréal, en 1947. De nos jours, bibliothèque Armand-Frappier dessert la population à travers ses trois succursales, dont une située à Saint-Stanislas-de-Kostka. Elle est créée en 1997 par la fusion de la bibliothèque municipale de Salaberry-de-Valleyfield et de la bibliothèque du Cégep de Valleyfield, ouverte alors que l'établissement d'enseignement était un collège classique en 1895. La bibliothèque compte près de 200 000 documents.
La Société d'histoire et de généalogie de Salaberry (SHGS) tient ses activités à la salle Paul-Émile-Prégent.
Les deux hebdomadaires gratuits de Salaberry-de-Valleyfield, Le Soleil de Valleyfield et Le Journal Saint-François ont fusionné en un seul journal en 2015, lequel a conservé le nom de Journal Saint-François et est publié en version papier tous les mercredis. Dans le passé, les journaux Le Progrès (1878-1978),, Valleyfield Express et Le Salaberry ont également été publiés.
Plusieurs organismes et artistes se dévouent à la culture; et sont présentement inscrits au bottin culturel mis en place par la MRC de Beauharnois-Salaberry. Annuellement, de nombreux événements mettent en relief l'importance des arts et de la culture, dont le Festival des arts de Salaberry-de-Valleyfield a lieu tous les ans au parc Delpha-Sauvé depuis 2003. Le photographe Élie Gendron (1883-1953) prend de nombreux clichés de Salaberry-de-Valleyfield et de Beauharnois qui sont souvent utilisés pour des cartes postales.
Le Quartier gourmand regroupe une douzaine de restaurants gastronomiques au centre-ville de Salaberry-de-Valleyfield, tous situés dans un rayon de cinq minutes de marche, servant entre autres alligator et sushi-poutine.
- Marie-Maxime Cousineau, « Importante aide gouvernementale pour la cathédrale de Sainte-Cécile », L'Étoile, lire en ligne []).
- « », sur Le Journal Saint-François (consulté le )
- « » (consulté le )
- Ville de Salaberry-de-Valleyfield, « » (consulté le )
- a. Ville de Salaberry-de-Valleyfield, « » (consulté le ).
b. Ville de Salaberry-de-Valleyfield, « » (consulté le ). - « », sur www.ville.valleyfield.qc.ca (consulté le )
- « » (consulté le )
- Centre d'histoire La Presqu'Île, « », 23-62, (consulté le )
- Le est conservé au centre d'archives de Montréal de Bibliothèque et Archives nationales du Québec.
- Myriam Delisle, « Exposition catastrophique », L'Étoile, lire en ligne).
Musées Montérégie, « », (consulté le ).
Normand Morand, « Les photographies de Peter Rozon exposées au Centre Valleyfield », Le Soleil de Valleyfield, (lire en ligne).
Musée virtuel du Canada, Musée des Deux Rives, « » (consulté le ). - Tourisme Montérégie et 2018 69.
- Marcel Labelle, Élie Gendron : Un photographe aux multiples signatures, Éditions GID, (lire en ligne).
- Tourisme Montérégie et 2018 125.
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Salaberry-de-Valleyfield dans la littérature
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