Cayenne

Localisation

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Cayenne : descriptif

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Cayenne

Cayenne (/ka.jɛn/) est une commune française, chef-lieu de la collectivité territoriale unique française de Guyane

Il s'agit de la ville francophone la plus peuplée d'Amérique du Sud. La ville de Cayenne est la plus peuplée de la collectivité territoriale, avec une population de 63 956 habitants au 1er janvier 2022

Sa superficie est de 23,60 km2, ce qui fait d'elle la commune la plus petite du département

Ses habitants sont appelés les Cayennais

L'urbanisation s'étend maintenant largement au-delà des limites de la commune proprement dite, et l'aire d'attraction de Cayenne regroupe 152 190 habitants en 2022, soit la moitié de la population de la Guyane

La population de son aire d'attraction dépasse désormais celle d'aires d'attraction de la France hexagonale comme Laval ou Beauvais et avoisine celles de Calais ou Narbonne. La devise de la ville (inscrite sur ses armes) est Fert aurum industria, qui signifie « Le travail procure la richesse » (traduction littérale : « Le labeur produit l'or »).

Géographie

Localisation

Cayenne est une ville du littoral atlantique guyanais. Située aux bords de l'estuaire commun à la rivière de Cayenne et à la rivière Montsinéry, la ville occupe une partie de l'île de Cayenne, espace entouré d'eau, regroupant les communes de Cayenne, Matoury et Remire-Montjoly.

Cayenne est située à 268 Saint-Laurent-du-Maroni, 64 Kourou et 189 Saint-Georges (Guyane) à l'Est.

Distances avec quelques villes :

  • Paris, la capitale nationale, à 7 100 km ;
  • Pointe-à-Pitre, sous-préfecture de la Guadeloupe, à 1 610 km ;
  • Fort-de-France, chef-lieu de la Martinique, à 1 500 km ;
  • Saint-Denis (La Réunion), chef-lieu de La Réunion, à 12 048 km ;
  • Paramaribo, capitale du Suriname, à 342 km au nord-ouest ;
  • Macapá, capitale de l'État fédéral d'Amapá (Brésil), à 777 km au sud-est.

Communes limitrophes Les communes limitrophes sont Macouria, Matoury et Remire-Montjoly.

Rose des vents Océan Atlantique Océan Atlantique Océan Atlantique Rose des vents
Estuaire des rivières de Cayenne et de Montsinéry N Remire-Montjoly
O    Cayenne    E
S
Matoury Matoury Remire-Montjoly

Les îles du Salut (proches de Kourou) et les îlets de Rémire font partie de la commune.

Climat

Le climat de Cayenne est de type équatorial humide d'après la classification de Köppen car tous les mois ont une température moyenne supérieure à 18 équateur, ainsi que sa façade océanique lui confèrent une bonne stabilité climatique. On observe une grande régularité des vents et des températures au cours de l'année. Les seules variations sont celles des précipitations, c'est ce qui rythme les saisons à Cayenne. Le cycle des précipitations est lié aux mouvements saisonniers de la zone de convergence intertropicale.

Les saisons
  • Petite saison des pluies, de la mi-novembre à fin février.
  • Petit été de mars.
  • Grande saison des pluies, de fin mars à fin juin.
  • Saison sèche, de juillet à novembre, le mois d'octobre étant le plus chaud.
Les températures

La température annuelle moyenne est de 26 équateur, et au bord de l'océan, la ville jouit d'une température stable tout au long de l'année. Les températures les plus élevées sont observées durant la saison sèche avec un pic en octobre.

La pluviométrie

La pluviométrie moyenne est de 3 000 mm d'eau. Les plus fortes précipitations sont observées pendant la grande saison des pluies. Les pluies sont en général fortes et de courte durée, elles ont lieu souvent la nuit en saison sèche et à n'importe quel moment durant les saisons des pluies.

L'ensoleillement

Malgré les fortes précipitations, l'ensoleillement est important, il atteint 6,027 heures par jour (soit 2 200 h/an).

Ville Ensoleillement Pluie
Paris 1 797 h/an 642 mm/an
Nice 2 694 h/an 767 mm/an
Cayenne 2 200 h/an 3 674 mm/an
Moyenne nationale 1 973 h/an 770 mm/an
Les vents

La ville est soumise au régime des Alizés, les vents sont faibles à modérés et ne dépassent pas 80 ouragans sur les côtes guyanaises sont impossibles.[source insuffisante]

Statistiques 1981-2010 et records Station CAYENNE−MATOURY (973) Alt: 4m 4° 49′ 18″ N, 52° 21′ 54″ O
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 23,3 23,4 23,5 23,7 23,5 22,9 22,4 22,4 22,2 22,3 22,5 23,1 22,9
Température moyenne (°C) 26,2 26,3 26,6 26,8 26,7 26,6 26,6 27 27,2 27,3 27 26,6 26,7
Température maximale moyenne (°C) 29,1 29,2 29,6 29,9 29,9 30,2 30,8 31,6 32,1 32,2 31,5 30,1 30,5
Record de froid (°C)
date du record
17,4
23.1964
18,9
11.1976
18,5
09.1978
19
11.1965
18,8
30.1968
18,9
26.1954
19
01.1949
19
12.1948
18,7
06.1967
18,6
11.1976
17,2
09.1958
18,8
23.1953
17,2
1958
Record de chaleur (°C)
date du record
32,5
01.2005
32,3
12.1998
32,2
14.2010
33
21.2010
33,2
26.1986
33,9
29.2021
34,5
20.1948
35
19.1948
35,2
11.2017
35,1
21.1999
34,6
01.1951
34,1
03.2004
35,2
2017
Ensoleillement (h) 95,1 92,4 120 123,5 122,4 150,4 200,5 234,4 253,4 256,4 211,5 143,3 2 003
Précipitations (mm) 451,2 309,4 334,3 448,4 579,4 411,4 245,7 143,6 55,7 63,3 133,4 340,5 3 516,3
Record de pluie en 24 h (mm)
date du record
170,6
31.1968
181,8
27.1957
202,8
20.1970
190
14.2000
164,1
08.1955
165,6
30.1975
134,6
09.1960
91,8
02.1988
97
07.2001
58,5
29.2011
109,4
22.1994
138,1
24.2016
202,8
1970
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm 23,6 20 20,7 22,2 26,4 25,2 20,6 14,2 7,1 7,6 11,9 21,6 221,1
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 10 mm 11,7 8,7 8,3 11,6 15,7 13,2 8,3 4,8 1,7 2 4,3 9,9 100,2
Source : Météo-France.
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
29,1
23,3
451,2
 
 
 
29,2
23,4
309,4
 
 
 
29,6
23,5
334,3
 
 
 
29,9
23,7
448,4
 
 
 
29,9
23,5
579,4
 
 
 
30,2
22,9
411,4
 
 
 
30,8
22,4
245,7
 
 
 
31,6
22,4
143,6
 
 
 
32,1
22,2
55,7
 
 
 
32,2
22,3
63,3
 
 
 
31,5
22,5
133,4
 
 
 
30,1
23,1
340,5
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Site

La plage de Montabo.
Vue du centre-ville depuis le Fort Cépérou, avec le Montabo en arrière-plan.
Les plages

Depuis quelques années, les plages de Cayenne connaissaient un phénomène cyclique d'envasement. Ce phénomène était provoqué par le déplacement des bancs de vase dans la direction des courants côtiers (d'est en ouest), caractéristique du littoral guyanais. Une forêt de palétuviers se développait depuis lors, c'est la mangrove. Depuis fin 2013, le phénomène s'inverse, la vase disparaît, laissant apparaître à nouveau le sable sous-jacent.

Les Pointes

On trouve également des pointes le long du rivage, formée par l'érosion, où des roches peuvent affleurer. Elles constituent des sites d'observation remarquables. Les pointes sont les suivantes :

  • la pointe des Amandiers, avec sa place aménagée ;
  • la pointe Buzaré, avec ses cocotiers ;
  • la pointe Saint-Joseph.
Les monts

De nombreux monts dominent la ville. Le fort Cépérou a été construit sur le mont du même nom qui domine le centre-ville. Le mont Bourda se situe sur la côte dans les quartiers est de la ville, il est très urbanisé. Cependant, un massif forestier d'une trentaine d'hectares est préservé.

La colline de Montabo se situe non loin du centre-ville. La zone est occupée en partie par l'Institut de recherche pour le développement, la direction régionale de Office national des forêts et un site de localisation radar du Centre spatial guyanais. Un hôtel fut également construit à son sommet.

Les monts Baduel et Lucas sont situés plus à l'intérieur des terres, dans des zones fortement urbanisées.

Les cours d'eau

Plusieurs cours d'eau entourent Cayenne :

  • la rivière de Cayenne ;
  • le fleuve Mahury ;
  • la rivière de Montsinéry ;
  • la rivière du Tour de l'île.

Quartiers de Cayenne

Place des Palmistes durant le carnaval guyanais.

Les quartiers suivants composent Cayenne :

  • le centre-ville : composé des quartiers De Gaulle, Buzaret, Amandier, Palmistes ;
  • le centre-ville quartier sud : Village chinois, Ronjon, Palétuviers, Malouins, Rénovation Urbaine, Zone d'activité Galmot ;
  • les faubourgs du nord : Mirza (la première cité de Cayenne), Médan, les Floralies, N'Zila, Faubourg l'Abri, Lafaurie, Césaire, Thémire, Anatole, Brutus, Mango, Jacarandas, Eau lisette ;
  • les faubourgs du sud : Bonhomme, Pascaline, Cabassou, Raban, Nova parc, Zone d'activité Calimbé, Uranus ;
  • les quartiers sud-ouest : Ploermel, Mont Baduel, Troubiran, cité Mont Lucas I, II et III, Petit Lucas, Hameau des Encens, Stanislas, Suzini, Saint Martin ;
  • périphériques nord : Cité Pasteur, Cité Chatenay, Cité Horth, Cité Grant, Cité Coulée d’Or, Cité les Pépites, Cité Zéphir, Vallée de Bourda ;
  • périphériques sud : A pou nou, la Roseraie, les Lys, Cité Mortin.
  1. Distances routières et durée des liaisons en pirogue.
  2. Météo France
  3. Vivre en Guyane : Guide du CNES.
  4. D'après «  », sur Météo-France (consulté le ).
  5. La Guyane terre d'espaces de Philippe Cart-Tanneur, édition Trame Way, p. 46.
  6. le littoral de Cayenne sur le site du conservatoire du littoral, la pointe Buzaré.
  7. le littoral de Cayenne sur le site du conservatoire du littoral, le mont Bourda.
  8. Plan d'accès à la direction régionale de l'ONF à Cayenne.
  9. les moyens de localisation et de mesure sur le site Web du CSG
  10. Informations sur le nom des quartiers de la ville sur le site internet officiel http://cayenne.mairies-guyane.org/index.php?sec=14&cayenne-en-quelques-chiffres.

Toponymie

L’origine réelle du nom de la ville doit se chercher dans les termes de marine du . Comme Cayenne, qui porte ce nom, Brest et Rochefort ont eu leurs cayennes.

  1. «  », sur ville-cayenne.fr (consulté le )

Histoire

Période pré-coloniale

Gravure d’un couple kali'na.

Les premières traces connues de présence humaine (poteries et gravures rupestres, ainsi que des polissoirs) remontent au millénaire av. J.‑C.⁣ Elles sont présentes entre l'Oyapock et le Maroni, les frontières actuelles du territoire. Les descendants actuels de ces peuples autochtones seraient les Émerillons et les Wayampis, qui parlent des langues tupi-guarani. Ces peuples auraient commencé le processus de création des terres fertiles de Terra Preta, qui quelques millénaires après permettront l'établissement de populations aux densités plus élevées, que les sols naturels ne permettent pas.

À la fin du  siècle, venus de l’ouest et du sud, les Arawaks et Palikurs, probablement originaires d’Amazonie, arrivent sur le littoral et chassent les premiers habitants. Ils parlent des langues de la famille linguistique arawak. À la fin du  siècle, une population caraïbe, les Kali'na (ou Galibis) et Wayanas occupent à leur tour les littoraux et l'est de l'actuelle Guyane, ils parlent le caribe.

Le 5 août 1498, au cours de son troisième voyage, Christophe Colomb longe pour la première fois les côtes de la Guyane.

Période colonialePériode coloniale

C'est l'une des nombreuses colonies de la Côte Sauvage (Amérique du Sud), entre le delta de l'Orénoque et celui de l'Amazone, occupée aujourd'hui par la Guyane française, le Suriname et la Guyana.

Premières tentatives de colonisation difficiles

Lorsque la colonisation commence, l'actuel site de la ville était habité de longue date par le peuple amérindien des Galibi. La première tentative est française avec le voyage de Nicolas Guimestre en 1539, puis suivent l'Anglais Robert Baker en 1562 et Gaspard de Sotelle de 1568 à 1573. Il installe 120 familles espagnoles dans l'Île de Cayenne. Des reconnaissances géographiques précises des côtes sont effectuées par des Anglais et des Hollandais entre 1596 et 1598.

Vers une implantation définitiveVers une implantation définitive

Une expédition ordonnée par Henri IV et menée par La Ravardière s'installe sur l'île de Cayenne en 1604. Mais elle est détruite quelques années plus tard par les Portugais qui entendent faire respecter le traité de Tordesillas.

L'histoire de la ville de Cayenne commence le 27 novembre 1643, avec la Compagnie de Rouen menée par Charles Poncet de Brétigny (lieutenant-général du roi Louis XIII). Avec 300 hommes, il accoste dans l'anse d'Armire (aujourd'hui Rémire-Montjoly). Après deux jours de marche, il arrive sur une petite butte de la plaine littorale marécageuse, où vit une tribu d'Amérindiens Galibi. Il en fait l'acquisition auprès de leur chef, Cépérou et il y bâtit le fort Cépérou. Mais les rapports humains avec les Amérindiens sont mauvais et une révolte des Amérindiens éclate, qui va provoquer l'extermination de la colonie et la mort de Charles Poncet de Brétigny.

Le 29 septembre 1652, les seigneurs de la Compagnie de France équinoxiale tentent de s'installer, ils débarquent avec 800 hommes à la pointe du Mahury. Ils y trouvent les survivants de la compagnie de Rouen. C'est à cette période que les premiers esclaves noirs sont introduits en Guyane. En octobre 1652, Duplessis, capitaine de navire, surprend un navire ayant à bord « quatorze nègres » enlevés à « Pernambouc ». La fondation de Rémire correspond ainsi au début de la traite des esclaves en Guyane.

En 1654, les Hollandais chassés de Pernambouc occupent la région, ils introduisent la canne à sucre.

En 1664 sous l'impulsion de Jean-Baptiste Colbert, une puissante flotte débarque et tente d'implanter une colonie, mais les Anglais, commandés par le contre-amiral Sir John Harman  attaquent en 1667 et prennent possession de Cayenne sans pour autant s'y installer. En 1674 les Français reprennent Cayenne.

Puis deux ans plus tard, le 5 mai 1676, 11 navires de guerre hollandais sous le commandement de l'amiral Binckes reprennent Cayenne, 400 soldats débarquent et tentent de démanteler les défenses du fort Cépérou.

Mais Louis XIV, dont la souveraineté sur la Guyane est souvent contestée, ne peut tolérer une telle humiliation. Il charge le vice-amiral du Ponant, le comte Jean II d'Estrées de reprendre Cayenne.

Le 21 décembre 1676, lors d'une bataille restée célèbre, Cayenne redevient française.

Stèle de 1901 élevée au Fort Cépérou pour célébrer la reprise de la place par les forces françaises en 1676.

Une période prospère s'installe sur la colonie. Les jésuites s'installent en Guyane en créant des plantations de cacao, de café, de coton et de manioc. Cette mise sous tutelle française sera contestée quelquefois, notamment pendant les Guerres napoléoniennes durant lesquelles l'Île de Cayenne est occupée par les Portugais du Brésil.

L'esclavage

Le monument des Chaines brisées, construit à Cayenne, célèbre l'abolition de l'esclavage en Guyane.
Victor Schœlcher, rédacteur du , sur une statue lui rendant hommage à Cayenne, sculptée par Barrias en 1896.

Le bagne

À la suite du décret d'abolition de l'esclavage du 27 avril 1848, les plantations ferment et l'économie guyanaise s'effondre. Pour y remédier, Napoléon III met en place le bagne en Guyane. Cayenne accueillera l'un de ces établissements pénitentiaires sur l'Anse du Chaton, non loin de la Pointe de Buzaré.

Entre 1777 et 1821, le canal Laussat est construit par la main-d'œuvre pénitentiaire, en vue d'assainir la ville.

En 1821, l'architecte Sirdey dessine le plan actuel de Cayenne, avec ses rues à angle droit orientées nord/sud, est/ouest. Cayenne devient une capitale coloniale moderne.

Une chanson anarchiste du début du  siècle portant le nom du bagne, Cayenne (très probablement né dans ses murs), fut souvent chantée dans les bagnes de Guyane française et perpétua leur réputation dans l'opinion populaire.

Ruée vers l'or

En 1855, un site aurifère est découvert sur l'Approuague, et c'est rapidement la ruée vers l'or qui s'achèvera avec la Seconde Guerre mondiale.

Des milliers d'orpailleurs, pour la plupart clandestins, sont en activité dans la forêt guyanaise. Cette activité illicite est sanctionnée par la législation française, mais les contrôles ne sont pas facilités par la complexité du réseau fluvial de Guyane. Pour un kilogramme d'or, les orpailleurs utilisent deux à trois kilogrammes de mercure qui est rejeté dans l'environnement. Cette pollution constitue un réel problème écologique en Guyane comme dans une large partie de l'Amérique du Sud

Histoire contemporaine

Le 15 octobre 1879, la ville de Cayenne est officiellement créée. Le 11 août 1888, un gigantesque incendie détruit tout le « vieux Cayenne » de l'époque.

Le bagne est définitivement fermé en 1946, sous l'impulsion d'Albert Londres et Gaston Monnerville, la Guyane devient alors un département.

La création du Centre spatial guyanais en 1965 à Kourou change Cayenne, qui acquiert des infrastructures modernes, le port international de Dégrad-Des-Cannes et la modernisation de l'Aéroport international Félix-Éboué.

  1. a et b Article du Conseil Général concernant l'histoire de Guyane.
  2. , n° 19.
  3. «  », sur gepog.org via Wikiwix (consulté le ).
  4. « Lutte contre l'orpaillage illégal en Guyane: 500 uniformes chaque jour dans la jungle », L'Express,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. Propos recueillis par Solene Godin, « Guyane: "L'orpaillage clandestin a un impact écologique majeur" », L'Express,‎ (lire en ligne, consulté le ).

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Cayenne dans la littérature

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21 autres localités pour Guyane

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