Fos-sur-Mer

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Fos-sur-Mer : descriptif

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Fos-sur-Mer

Fos-sur-Mer (Fòs de Mar en provençal selon la norme classique et la norme mistralienne) est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie

Situation

Vue de la ville de Fos-sur-Mer depuis les remparts de la vieille ville.

Les communes limitrophes sont Arles, Istres, Port-de-Bouc, Port-Saint-Louis-du-Rhône, Saint-Martin-de-Crau et Saint-Mitre-les-Remparts.

La commune de Fos-sur-Mer se situe à 49 Marseille,, sur le littoral méditerranéen, au fond d'un golfe auquel elle a donné son nom et qui s'enfonce entre l'étang de Berre et le delta du Rhône, et à l'extrémité Sud de la plaine de la Crau. La commune possède 6 étang de Lavalduc, l'étang d'Engrenier et l'étang de l'Estomac –, et elle est traversée par le canal d'Arles à Bouc (portion du canal de Marseille au Rhône).

Communes limitrophes

La commune est limitrophe de Istres à 9,3 km.

Communes limitrophes de Fos-sur-Mer
Arles Saint-Martin-de-Crau Istres
Canal de navigation d'Arles à Bouc Fos-sur-Mer Étang de Lavalduc
Mer Méditerranée Mer Méditerranée Mer Méditerranée

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,9 amplitude thermique annuelle de 16,8 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Istres », sur la commune d'Istres à 8 vol d'oiseau, est de 15,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 572,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 44,3 ,,.

Statistiques 1991-2020 et records ISTRES (13) - alt : 23m, lat : 43°31'21"N, lon : 4°55'39"E
Records établis sur la période du 01-09-1920 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 3,4 3,5 6,2 8,8 12,6 16,6 19,2 19 15,4 12,2 7,4 4,2 10,7
Température moyenne (°C) 7,5 8,1 11,3 14 17,9 22,2 24,9 24,7 20,6 16,6 11,4 8,2 15,6
Température maximale moyenne (°C) 11,6 12,7 16,4 19,1 23,2 27,8 30,7 30,4 25,8 21 15,4 12,1 20,5
Record de froid (°C)
date du record
−11,1
07.01.1985
−13,6
10.02.1956
−7,2
07.03.1971
−1,4
01.04.1977
3,1
04.05.1967
6,7
04.06.1984
9
12.07.1936
9,6
30.08.1986
5,1
29.09.1974
−2
31.10.1941
−4,9
23.11.1998
−12,6
27.12.1962
−13,6
1956
Record de chaleur (°C)
date du record
21
19.01.07
23,4
24.02.20
26
23.03.19
29,8
20.04.1949
34,5
24.05.11
44,3
28.06.19
39,5
26.07.1983
40,3
01.08.20
34,9
03.09.16
30,9
02.10.1997
25,2
03.11.1970
20,5
05.12.18
44,3
2019
Précipitations (mm) 55,6 33,6 31,5 59 42,5 28,2 12,5 23,4 80 86,7 76,2 43,7 572,9
Source : «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
11,6
3,4
55,6
 
 
 
12,7
3,5
33,6
 
 
 
16,4
6,2
31,5
 
 
 
19,1
8,8
59
 
 
 
23,2
12,6
42,5
 
 
 
27,8
16,6
28,2
 
 
 
30,7
19,2
12,5
 
 
 
30,4
19
23,4
 
 
 
25,8
15,4
80
 
 
 
21
12,2
86,7
 
 
 
15,4
7,4
76,2
 
 
 
12,1
4,2
43,7
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. «  », sur fr.mappy.com (consulté le ).
  2. dont elle préfigure déjà l'influence de la métropole tout comme l'ensemble des communes qui bordent l'étang de Berre
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. «  », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. «  », sur meteofrance.com, (consulté le ).


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Histoire

Préhistoire

Le site du Mourre-Poussiou atteste de la fréquentation de groupes de chasseurs-cueilleurs de l'Épipaléolithique. Ce petit plateau de forme allongée est situé sur la rive orientale de l'étang de l'Estomac, à environ 1 Max Escalon de Fonton en 1971, 1972, 1973 puis en 1977 et 1979. Celles-ci ont permis de mettre en évidence non seulement une occupation du site pendant l'Épipaléolithique (Valorguien et Montadien pour lequel on dispose d'une date C14 : 8980 +/- 200 B.P.) mais également durant le Mésolithique (Castelnovien).

Le secteur a aussi livré quelques vestiges ténus (tessons de poterie) du Néolithique final et du Chalcolithique.

Antiquité

Durant l'Antiquité gallo-romaine, Fos-sur-Mer était un port de premier ordre, sans doute rattaché à la cité d'Arles. Son nom, Fossae Marianae, est d'ailleurs à l'origine du nom actuel de Fos, il désignait un canal creusé sur l'ordre de Caius Marius. Il est indiqué sur la célèbre Table de Peutinger, sous la forme d'une vignette utilisée seulement sur ce document pour le port d'Ostie, ce qui donne une idée de son importance. À ce jour, la question de la localisation de Fossae Marianae reste posée.

Toutefois, la présence d'un ensemble complexe de constructions actuellement submergées et situées dans l'anse Saint-Gervais, à l'ouest de la pointe du même nom, fournira peut-être un début de réponse. On y a repéré les vestiges d'une importante architecture en blocs taillés de grand appareil, avec assemblage à queue d'aronde, un mur épais en blocage ainsi qu'un dispositif formé de gros pieux. À une vingtaine de mètres de la plage ont été également repérés plus de 300 alignements de blocs de pierre percés en leur centre d'une cavité circulaire (pour des piliers de bois ?) et qui forment deux ensembles rectangulaires de 36 × 110 nécropole gallo-romaine qui a livré une vingtaine de stèles et d'autels funéraires dont cinq portant des inscriptions. Cette nécropole qui peut être datée des premiers siècles après Jésus-Christ est aujourd'hui submergée par 4 à 5 m d'eau à quelque 300 à 400 m du rivage mais se trouvait bien évidemment hors d'eau à l'époque de son utilisation.

Dans la même zone de Saint-Gervais, en bord de mer, des investigations menées en 1984 puis en 2004 ont révélé les vestiges d'un édifice probablement cultuel et funéraire (basilique ?) ainsi qu'une nécropole datant de l'Antiquité tardive. L'édifice n'est illustré que par un fragment de mur de 10 m de longueur. De chaque côté ont été mis au jour des tombes et des sarcophages avec leurs couvercles en bâtière. Cette nécropole chrétienne peut être située entre le Ve et le VIIe siècle. Sous celle-ci subsistent des vestiges de tombes gallo-romaines.

Moyen Âge

Fortification médiévale de Fos-sur-Mer.
Vue de l'Hauture avec le château, au début du XXe siècle/

Au Moyen Âge, Fos-sur-Mer est le fief originel des seigneurs de Fos. Il se présentait sous la forme d'une bande littorale longue d'environ 25 château, l'un des plus anciens et des plus importants de la Provence occidentale, le village et les terres de Fos, des églises rurales comme Saint-Julien et Saint-Pierre près de Martigues et l'abbaye Saint-Gervais de Fos.

Cette dernière était située entre l'étang de l'Estomac et le grand marais de la Basse Crau. La première mention du lieu, en 923, ne fait mention que d'une église déjà dédiée à saint Gervais, citée comme une annexe à l'église Saint-Sauveur de Fos. Concédée un temps à l'évêque de Marseille par l'archevêque d'Arles, Manassès, elle fut ensuite restituée à ce dernier une cinquantaine d'années plus tard. À l'initiative d'un prêtre, Pation, sans doute chargé de l'église, et avec l'accord de l'archevêque d'Arles, une communauté de moines s'y établit en 989 et s'attela, peut-être avec l'aide des seigneurs de Fos, à la construction des bâtiments de l'abbaye. Celle-ci fut consacrée officiellement en mai 992 par l'archevêque d'Arles Anno. En 1081, après avoir gravité dans l'orbite spirituelle de l'abbaye Saint-Victor de Marseille, l'abbaye de Saint-Gervais est cédée à l'abbaye de Cluny. C'est la seule abbaye affiliée à Cluny de toute la Provence maritime. Le privilège du pape Innocent II qui confirme en 1130 les possessions de l'abbaye de Saint-Gervais mentionne 22 églises réparties dans au moins sept diocèses. Cet éloignement de l'abbaye-mère et les circonstances du temps (peut-être les guerres Baussenques, 1145-1162) expliquent que cette tutelle ne dure pas plus de 80 ans. En 1223, l'abbaye est placée, non sans une tenace résistance des abbés de Saint-Gervais pendant plus de 35 ans, sous la juridiction de l'archevêque d'Arles qui en fait bientôt une abbaye de chanoines réguliers à laquelle il unit les églises de Saint-Sauveur et de Sainte-Marie de Fos, de Saint-Pierre de Lavalduc et de Sainte-Marie de Bouc pour l'entretien de la petite communauté.

La famille des seigneurs de Fos, sans doute de souche locale, a tiré son nom de la garde du château de Fos qui lui aurait été confiée au cours du Hugues d'Arles et maître d'une grande partie de la Provence occidentale. À la mort de ce dernier, en 961, les Fos auraient conservé leur fonction mais désormais pour leur propre compte en la transformant en office héréditaire. Ce château occupait une position stratégique remarquable, contrôlant l'accès aux salins et pêcheries de l'étang de Berre et l'une des voies reliant Marseille à Arles.

Armes des seigneurs de Fos.

Le premier seigneur de Fos connu est Pons de Fos, dont le nom apparaît dans une charte de l'abbaye Saint-Victor, le « Bref de la Cadière », probablement de la fin du Pons, vicomte de Marseille, certainement son père, cité en 965 aux côtés du comte d'Arles Boson II. À l'issue de l'expulsion des Sarrasins de la Provence en 972, ce Pons de Fos se vit attribuer par le comte de Provence, () dit le Libérateur, une partie des terres libérées, plus précisément la partie orientale de la zone littorale de l'évêché de Toulon. Désormais, les seigneurs de Fos étaient aussi seigneurs d'Hyères. Ils tiraient surtout leur richesse de la présence de salins sur leurs territoires, notamment ceux des étangs de Lavalduc et de l'Engrenier dans la seigneurie de Fos, et faisaient figure de « seigneurs du sel ».

En 1018, les seigneurs de Fos tentèrent de transformer leurs seigneuries en alleux et refusèrent la suzeraineté du comte de Provence sur Fos et Hyères. S'ensuivit une guerre de trois ans menée par le comte Guillaume II de Provence qui y perdit la vie en 1018 et dont les alliés, les vicomtes de Marseille, occupèrent le château de Fos en 1020. Peine perdue, peu de temps après, dès 1031, une nouvelle campagne fut menée et le territoire de Fos fut ravagé par l'armée comtale. Les seigneurs de Fos manifestèrent encore leur volonté d'indépendance en boudant les assemblées de paix. Vers 1048, la situation n'avait guère changé et Gui, seigneur de Fos, refusait toujours la suzeraineté du comte de Provence pour Fos et Hyères, d'où un nouveau conflit à l'issue duquel, en 1056, il finit par se soumettre. Ce résultat s'obtint plus sans doute par la négociation que par la force car la même année, Rostaing, fils de Gui, obtenait l'évêché d'Aix, ce qui n'aurait pu se faire sans l'accord du comte de Provence. En 1060, les Fos sont à nouveau qualifiés de fidèles du comte.

Raimond Bérenger III plante le pavillon de Barcelone au château de Fos. Tableau de Marià Fortuny (1856-1857), Catalan Académie Royale des Beaux-arts de Sant Jordi, Barcelone.

Vers 1070, les seigneurs de Fos s'emparèrent du pont des Pêcheurs, point de contrôle des pêcheries voisines, de la sortie de l'étang de Berre et de la route de Marseille à Arles. Il fallut l'intervention des vicomtes de Marseille et des seigneurs des Baux pour les obliger à rendre leur prise.

La mort de , en 1093, laisse le comté de Provence sans héritier mâle direct. Il en aboutit une partition de la Provence et la coexistence de trois maisons comtales. Les seigneurs de Fos rendent hommage et reconnaissent comme suzerain le comte de Toulouse Raymond de Saint-Gilles.

Les seigneurs de Fos participèrent à la première croisade (1096-1099) en la personne de Pons IV de Fos, justement dans l'armée du comte de Toulouse.

En 1112, par son mariage avec Douce de Rouergue, fille de la comtesse Gerberge de Provence, le comté de Provence échoit au comte de Barcelone Raimond Bérenger qui s'empresse alors de se manifester en Provence pour faire valoir ses droits. Lors de l'hommage auquel se soumettent de nombreux seigneurs en 1113, les comtes de Fos ne figuraient pas parmi les familles représentées. En 1115/1116, Raimond-Bérenger mène donc une campagne pour soumettre les récalcitrants et, en cette occasion, s'empare du château de Fos où il reçoit l'hommage de Pons V de Fos pour les territoires de Fos et d'Hyères.

Époque contemporaine

La ville avant l'expansion
  • Le territoire de Fos--sur-Mer est réduit en 1866 pour permettre la création de Port-de-Bouc et en 1904 afin de constituer celle de Port-Saint-Louis-du-Rhône.
  • Des cartes postales du début du XXe siècle attestent la présence, à cette époque, de cabanes de pêcheurs, construites en roseau, au bord des étangs et à l'anse Saint-Gervais. D'autres montrent l'ancien hôtel de ville situé dans la « ville basse ».
  • La Seconde Guerre mondiale a laissé quelques traces au château (percement d'une porte dans le donjon, blockhaus, casemate et tunnel souterrain) ainsi que dans les collines (deux blockhaus à proximité des châteaux d'eau). D'autres aménagements, aujourd'hui disparus, étaient disposés sur les plages.
La ville moderne et la zone industrielle et portuaire
  • L'installation de la zone industrielle et portuaire a donné lieu à la création de plusieurs quartiers résidentiels, tous situés au nord de l'Hauture : Amaryllis, Jonquières, Saladelle, les Carabins, le Mazet, nouveau centre-ville avec hôtel de ville, cinéma l'Odyssée, centre nautique sur l'étang de l'Estomac.
  • Les nouvelles arènes, construites en 1984 entre le pont de la plage et les Salins, font suite à celles qui étaient situées près de la Bergerie au nord de la commune.
  • Le petit port de pêche a cédé la place à un port de plaisance construit dans les années 1960-70, modernisé par la construction d'un phare, d'une capitainerie et a été par la suite agrandi.
  • Le phare de Saint-Gervais, construit par l'architecte Émile Pamart à partir de 1978, et mis en service en avril 1980, est le dernier construit en France. Construit en béton armé, il dispose d'un éclairage naturel de son fût assuré par des pavés de verre disposés sur le côté sud. Il est classé à l'inventaire des monuments historiques depuis le 21 juin 2012.
  • Les monuments de l'ère industrielle font l'objet de visites guidées durant la saison estivale.
  1. M. Provansal, P. Leveau, C. Vella, « Le canal de Marius et les dynamiques littorales du golfe de Fos », Gallia, 56, 1999, Lire en ligne
  2. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Cassini
  3. «  », sur Base Mérimée (consulté le ).

Héraldique

Blason
D'or au cochon contourné de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Fos-sur-Mer
Coupé : au .
  1. «  »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur La banque du blason2 (consulté le ).
  2. «  », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

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Fos-sur-Mer dans la littérature

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