Saint-Vincent-sur-Jabron
Localisation
Saint-Vincent-sur-Jabron : descriptif
- Saint-Vincent-sur-Jabron
Saint-Vincent-sur-Jabron (Sant Vincèns en provençal) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Le nom de ses habitants est Saint-Vincentais.
Géographie
La commune est traversée par le Jabron. Le village est situé à une altitude de 630 ,.
Géologie
Relief
Le territoire de la commune est coupé en deux par le Jabron et s’étend au sud jusqu’à la crête de la montagne de Lure. Dans la commune de Saint-Vincent-sur-Jabron, la crête Lure varie entre 1 600 et 1 700 .
Au nord de Lure, un chaînon secondaire de Lure culmine à 1 176 .
Rive gauche du Jabron, commence une zone de collines d’altitude inférieure à 1 000 Baronnies, le col de Verdun à Éourres.
Hydrographie
Outre le Jabron qui fait la limite entre Saint-Vincent-sur-Jabron et Châteauneuf-Miravail, la commune est drainée par de multiples torrents, tous tributaires du Jabron, dont le ravin de Verduigne et le ravin de Vaubelle (rive gauche) et le torrent du Grand Vallat (limitrophe de Noyers-sur-Jabron) en rive droite du Jabron
La source de la Roubiouse a un débit régulier et fort (jusqu’à 1 .
Transports
La commune est desservie par la route départementale RD 946, ancienne route nationale 546.
Risques majeurs
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Noyers-sur-Jabron auquel appartient Saint-Vincent-sur-Jabron est en zone 1a (sismicité très faible mais non négligeable) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques, et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011. La commune de Saint-Vincent-sur-Jabron est également exposée à quatre autres risques naturels :
- avalanche (non recensé par la préfecture dans le Dossier départemental sur les risques majeurs de 2008),
- feu de forêt,
- inondation (dans la vallée du Jabron),
- mouvement de terrain.
La commune de Saint-Vincent-sur-Jabron n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la communeet le Dicrim n’existe pas non plus.
La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle pour des inondations et des coulées de boue, en 1994 et 2003.
Toponymie
Le nom du village apparaît pour la première fois en 1011 (castelli Sancti Vincentii), sous sa forme occitane, qui a été francisée par la suite. Au .
La commune comprend de nombreux toponymes spécifiques à la montagne, dont certains spécifiques à la montagne de Lure. Le Punié est le nom d’un sommet, formé sur podium (hauteur en latin), et plus précisément le « sommet du milieu », ainsi que Pibremond (avec ajout du nom de personne Brémond) et le Pied du Mulet (qui désigne bien le sommet, podium étant devenu pied), et Puyjean, sous une forme plus classique. Piedguichard est probablement formé de la même manière. La Baume (qui désigne un abri sous roche) située en dessous des Hautes-Ribes (un escarpement rocheux) évoquent le relief accidenté, de même que le lieu Sous les Baumes (sud de la commune), ainsi que la Côte Plane. La Clapeyrie est une montagne, dont le nom est issu des bases préceltiques *kl- et -app, signifiant montagne pierreuse.
Le Grand Clot, le Clot d’Angaud désignent des terrains épierrés, et dont les pierres ont servi à construire des murs d’enclosement. L’aménagement agricole est encore évoqué par les toponymes Grand Champ ou le Jas (bergerie). La Condamine est une terre au statut spécial : seigneuriale, indivise et exempte de redevances.
Le Haut Paroir et le Bas Paroir sont les lieux d’implantation d’anciens moulins à foulons, tous les deux installés sur les rives du Jabron.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 .
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 amplitude thermique annuelle de 17,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sisteron », sur la commune de Sisteron à 17 vol d'oiseau, est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 835,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41 ,,.
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
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- Guy Barruol, « L’eau apprivoisée »,in Barruol, Réparaz et Royer 2004, p. 53.
- Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, , p.39.
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- Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 37.
- Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 98.
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- Claude Martel, « L’oronymie d’une montagne provençale », in Barruol, Réparaz et Royer 2004, p. 222.
- Claude Martel, « L’oronymie d’une montagne provençale », in Barruol, Réparaz et Royer 2004, p. 219.
- Guy Barruol, Claude Martel, Jean-Yves Royer, « Glossaire lié à la topographie et à la toponymie de Lure », in Barruol, Réparaz et Royer 2004, p. 229.
- Fénié et Fénié 2002, p. 21.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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- « », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « », sur meteofrance.com, (consulté le ).
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Toponymie
Le nom du village apparaît pour la première fois en 1011 (castelli Sancti Vincentii), sous sa forme occitane, qui a été francisée par la suite. Au .
La commune comprend de nombreux toponymes spécifiques à la montagne, dont certains spécifiques à la montagne de Lure. Le Punié est le nom d’un sommet, formé sur podium (hauteur en latin), et plus précisément le « sommet du milieu », ainsi que Pibremond (avec ajout du nom de personne Brémond) et le Pied du Mulet (qui désigne bien le sommet, podium étant devenu pied), et Puyjean, sous une forme plus classique. Piedguichard est probablement formé de la même manière. La Baume (qui désigne un abri sous roche) située en dessous des Hautes-Ribes (un escarpement rocheux) évoquent le relief accidenté, de même que le lieu Sous les Baumes (sud de la commune), ainsi que la Côte Plane. La Clapeyrie est une montagne, dont le nom est issu des bases préceltiques *kl- et -app, signifiant montagne pierreuse.
Le Grand Clot, le Clot d’Angaud désignent des terrains épierrés, et dont les pierres ont servi à construire des murs d’enclosement. L’aménagement agricole est encore évoqué par les toponymes Grand Champ ou le Jas (bergerie). La Condamine est une terre au statut spécial : seigneuriale, indivise et exempte de redevances.
Le Haut Paroir et le Bas Paroir sont les lieux d’implantation d’anciens moulins à foulons, tous les deux installés sur les rives du Jabron.
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- Claude Martel, « L’oronymie d’une montagne provençale », in Barruol, Réparaz et Royer 2004, p. 222.
- Claude Martel, « L’oronymie d’une montagne provençale », in Barruol, Réparaz et Royer 2004, p. 219.
- Guy Barruol, Claude Martel, Jean-Yves Royer, « Glossaire lié à la topographie et à la toponymie de Lure », in Barruol, Réparaz et Royer 2004, p. 229.
- Fénié et Fénié 2002, p. 21.
Histoire
Antiquité
Dans l’Antiquité, les Sogiontiques (Sogiontii) peuplent la vallée du Jabron, en étant fédérés aux Voconces. Après la Conquête, ils sont rattachés avec eux à la province romaine de Narbonnaise. Au siècle, ce peuple est détaché des Voconces et forme une civitas distincte, avec pour capitale Segustero (Sisteron).
Cette présence gallo-romaine est attestée par plusieurs découvertes. En 1964, des tombes gallo-romaines ont été mises au jour sur le territoire de la commune ; une villa romaine a aussi été découverte au lieu-dit Villelongue. En 2013, des sites funéraires à incinération, datant des premiers siècles de notre ère, ont été mis au jour.
Moyen Âge
Alors que le sud-est de la Gaule était une terre burgonde, le roi des Ostrogoths Théodoric le Grand fait la conquête de la région entre la Durance, le Rhône et l’Isère en 510. La commune dépend donc brièvement à nouveau de l’Italie, jusqu’en 526. En effet, pour se réconcilier avec le roi burgonde Gondemar III, la régente ostrogothe Amalasonte lui rend ce territoire.
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1011, alors qu’elle se situait sur un sommet proche de son site actuel et qu’il appartenait à l’abbaye de Cruis. Le village a changé d’emplacement pendant la guerre de Cent Ans, le nouveau village étant doté d’une enceinte fortifiée. Le fief relève alors des Mévouillon (. À partir du baillie puis viguerie de Sisteron, et comme toutes les communautés de la vallée du Jabron, avait le privilège de ne pas payer la queste aux comtes de Provence (puis à leurs successeurs, les rois de France) jusqu'à la Révolution.
Temps modernes
Le village est occupé par les Huguenots pendant les guerres de religion, puis repris par les catholiques, qui abattent le mur d’enceinte. Celui-ci est rétabli, jusqu’à ce que le Parlement de Provence ordonne sa démolition[réf. nécessaire].
Lors de la peste de 1628-1630, un cordon sanitaire est mis en place le long du Jabron.
Lors de l’épidémie de peste de 1720-1722, la communauté de Saint-Vincent est située au nord de la ligne du Jabron, élément du cordon sanitaire allant de Bollène à Embrun et isolant la Provence du Dauphiné (et dont fait partie le mur de la peste). Dès le , des mesures de fermeture des routes principales et de quarantaine sont prises par la communauté, dont des mesures prophylactiques classiques comme l’éloignement des fumiers des habitations. Une garde de cinq hommes armés est constituée pour empêcher toute entrée dans le village. L’interdiction de franchir le Jabron, sous peine de mort, est décidée par le gouverneur d’Argenson début août, et le cordon est mis en place le pour n’être levé par ordonnance royale que le . À Saint-Vincent, la ligne est d’abord établie sur le Jabron, avant d’être déviée en suivant le grand chemin, qui franchit la rivière au moulin d’Anne (au pied de la colline du vieux Saint-Vincent). Cette déviation permet d’inclure les villages de Châteauneuf-Miravail dans le périmètre protégé (à la demande des habitants) et de mieux surveiller les cols de la montagne de Lure empruntés par les chemins venant du sud, et donc de la région frappée par l’épidémie.
Le gouverneur d’Argenson fait lever une compagnie de milice par viguerie : celle de Sisteron (dont font partie les hommes de Saint-Vincent) surveille les bacs entre Le Poët et Peyruis. Mais la communauté ne trouve que deux volontaires sur les quatre requis, les deux autres étant des habitants de Sisteron payés pour le remplacement. Ensuite, quatre autres compagnies sont levées pour d’autres tâches de surveillance. À Saint-Vincent, la ligne sur le Jabron est surveillée par une compagnie (une cinquantaine d’hommes) du régiment de Poitou revenant d’Espagne à partir de la fin d’. Les soldats sont renforcés par huit hommes levés dans la population de Saint-Vincent (en plus des quatre envoyés à la compagnie de milice placée sur la Durance). La communauté de Saint-Vincent est requise pour construire des corps de garde pour loger les soldats le long de la ligne (quatre sont prévus jusqu’aux foulons) et les approvisionner en bois de chauffe et huile pour l’éclairage. En moyenne, un corps de garde consomme 70 stères par an. Finalement, six corps de garde sont construits, et 16 guérites sont placées dans les intervalles, à une moyenne de 250 . Une autre baraque est construite au village, pour servir de « corps de garde de fatigue » : les soldats punis y étaient emprisonnés et affectés à des travaux de force. La communauté de Saint-Vincent est coupée en deux par la ligne : certains habitants au Sud de la ligne se retrouvent en zone interdite et ne contribuent plus aux charges de la communauté. En outre, la communauté est privée de ses ressources en bois, essentiellement situées dans la montagne de Lure, et certaines terres cultivables sont perdues pendant deux ans. La communauté subit aussi les désagréments de la présence des militaires : les livraisons de bois n’étant pas toujours suffisantes, ceux-ci se servent à proximité en coupant les arbres fruitiers complantés dans les champs proches des corps de garde. Ces désagréments n’empêchent pas le rapprochement entre la population de Saint-Vincent et les soldats : un enfant naît d’une liaison hors mariage, et un autre couple se marie en 1721. Fin , le régiment du Poitou, présent depuis un an, est relevé mais la ligne est maintenue jusqu’en décembre. Les baraques et guérites sont immédiatement démontées, et le bois et les tuiles vendus aux enchères.
Révolution française
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Montrocher ou Vincent-la-Lauze, selon les sources.
Époque contemporaine
L’Acte des Sapins est un privilège laissé aux habitants de Châteauneuf-Miravail et Saint-Vincent de prendre leur bois de construction dans la forêt domaniale du Jabron. En 1884, la commune est touchée par une épidémie de choléra : elle cause 5 morts.
Le bourg a longtemps bénéficié de sa situation dans la vallée du Jabron, et qui lui a entre autres valu l’installation du tribunal de justice de paix en 1852, et d’une brigade de gendarmerie en 1843. De plus, le chemin de viguerie, puis la route départementale (construite en 1822) s’arrêtaient à la cluse de Montfroc : celle-ci n’est aménagée qu’en 1873, et la route départementale reclassée en route nationale 546 (actuelle RD 946), ce qui entraîne le déplacement des commerces et des hôtels, puis des villages dans les fonds de la vallée, le long de la route.
Comme de nombreuses communes du département, Saint-Vincent-sur-Jabron se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle donne déjà une instruction primaire aux garçons, ainsi qu’aux filles, alors qu’elle n’y est pas obligée par la loi Falloux.
L’électrification du village se fait dans les années 1930 en deux étapes : le moulin Durand est transformé pour la production d’électricité par son propriétaire et alimente l’éclairage des rues et quelques particuliers. À la fin de la décennie, le village est relié au réseau national.
Le , la gendarmerie est désarmée par les maquisards.
Quatre foires de la Saint-Vincent avaient lieu, et avaient une certaine importance à la fin XIXe. Il ne reste que celle du , dite la foire aux Agnelles. À Saint-Vincent-sur-Jabron, la vigne avait résisté à la crise phylloxérique et était encore cultivée dans l'entre-deux-guerres mondiales, produisant quelques hectolitres.
Dans les années 1970 à 1990, une petite maison d'édition, Présence, était installée à Saint-Vincent-sur-Jabron.
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- Collier 1986, p. 20.
- Collier 1986, p. 18.
- Maxime Lancestre, « Quatre aires de crémations gallo-romaines mises au jour », La Provence, 30 octobre 2013, p. 10.
- Audrey Becker-Piriou, « De Galla Placidia à Amalasonthe, des femmes dans la diplomatie romano- barbare en Occident ? », Revue historique, lire en ligne).
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- Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 198.
- Daniel Thiery, « », (consulté le ).
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- Jean-Pierre Joly, « La ligne du Jabron pendant la peste de 1720 », Chroniques de Haute-Provence, no 360, , p.14.
- Joly 2008, p. 10.
- Joly 2008, p. 11.
- Joly 2008, p. 26.
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- Joly 2008, p. 37.
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- Joly 2008, p. 15.
- Joly 2008, p. 19.
- Joly 2008, p. 33.
- Joly 2008, p. 23.
- Joly 2008, p. 46.
- Joly 2008, p. 60.
- Joly 2008, p. 63.
- Joly 2008, p. 66.
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires, La Révolution dans les Basses-Alpes », Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, vol. 108, no 307, 1er trimestre 1989, p.296-298
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- Irène Magnaudeix ISBN et ).
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- Magnaudeix 1999, p. 113.
- Magnaudeix 1999, p. 100.
- Jean-Christophe Labadie (ISBN ), p.9.
- Labadie 2013, p. 16.
- Guy Barruol, « L’électrification des communes », inBarruol, Réparaz et Royer 2004, p. 198.
- Raymond Moulin, « La Résistance (1943-1944) », in Barruol, Réparaz et Royer 2004, p. 205.
- Paul Minvielle, « La viticulture dans les Alpes du Sud entre nature et culture », Méditerranée, 107 | 2006, mis en ligne le 1er décembre 2008, consulté le 12 juillet 2013.
- Notice-autorité, Bibliothèque nationale de France
Héraldique
Blason | D'argent à une guivre de sinople, tortillée en pal ; écartelé d'azur à une colombe d'argent becquée et membrée de gueules. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Saint-Vincent-sur-Jabron dans la littérature
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