Capdenac

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Capdenac : descriptif

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Capdenac

Capdenac (nom identique en occitan), parfois appelé de façon non officielle Capdenac-le-Haut, est une commune française située dans l'est du département du Lot, en région Occitanie

Elle est dans l'agglomération de Figeac et fait partie de l'aire d'attraction de Figeac

Ses habitants sont appelés les Capdenacois ou Capdenacoises

En 2010, le village a été admis dans l'association « Les Plus Beaux Villages de France ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Lot, le ruisseau de Donazac et par divers autres petits cours d'eau

La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy. Pour des raisons historiques, la commune est intimement liée à la commune de Capdenac-Gare, qui se trouve en contrebas dans le département de l'Aveyron.

Géographie

Capdenac se situe à 4 Figeac sur le Lot, en rive droite et en face de la commune voisine de Capdenac-Gare, qui est dans le département de l'Aveyron.

Capdenac est aussi appelé Capdenac-le-Haut en raison de sa situation dominant d'une centaine de mètres la rivière qui passe en contrebas.

Communes limitrophes

La commune est limitrophe du département de l'Aveyron.

Communes limitrophes de Capdenac
Figeac Lunan Lentillac-Saint-Blaise
Faycelles Capdenac[1] Cuzac
Causse-et-Diège
(Aveyron, sur 60 m)
Capdenac-Gare
(Aveyron)
Asprières
(Aveyron)

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 amplitude thermique annuelle de 15,9 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Faycelles à 7 vol d'oiseau, est de 13,1 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Milieux naturels et biodiversité

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1 est recensée sur la commune : le « cours moyen du Lot » (1 543 Aveyron et 25 dans le Lot et une ZNIEFF de type 2, : la « Moyenne vallée du Lot » (7 893 Aveyron et 28 dans le Lot.

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. «  », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. a et b «  », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. «  », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).


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Toponymie

Le toponyme Capdenac est basé sur un nom de domaine gallo-romain : Capitonis. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes.

  1. et Jacqueline Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy et des communes du Lot : Toponymie lotoise, Aubenas, Gourdon : Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 133 ISBN , BNF 40220401), p. 108.

Histoire

Au Néolithique

Capdenac est un important site archéologique du Néolithique moyen. Le site de Capdenac, particulièrement propice à un habitat, a été occupé de très longue date. Les fouilles y ont dégagé, sous l'éperon dominant le Lot, plusieurs niveaux d'occupation datant du Chasséen (environ 3 500 av. J.-C) et du Bronze final III (champs d'urnes), niveaux qui ont livré des céramiques et pour lesquels une stratigraphie fine a pu être réalisée.

Le gisement est situé au pied d'une falaise sur une petite terrasse anciennement aménagée pour la culture de la vigne, sous une couche superficielle, de 0,30 argile épaisse de 0,30 datations par la méthode du radiocarbone ont démontré que la couche la plus ancienne pouvait remonter à 3 200 av. J.-C environ, alors que la couche supérieure était datée approximativement de – 3000 ans (3150 BC +- 140 (Gif 2632 ; niveaux IV-V) et 2920 BC +- 110 (Gif. 3713 niveau IX). Les Chasséens auraient ainsi occupé le site durant 200 ans.

Les fouilles de 1973 ont permis de dégager une remarquable statue de divinité féminine attribuée au Chasséen, désormais conservée au musée de Cahors Henri-Martin. C'est une statue remarquable et unique en son genre, le seuls modèles ressemblants ont été retrouvés sur le site de Lepenski Vir au bord du Danube, près des portes de Fer en Yougoslavie. Ce site fut occupé par une population de chasseurs pêcheurs apparemment sédentaires vers 4 680 à 4 610 av. J.-C, soit au moins un millénaire et demi avant Capdenac. Cet écart chronologique et d'autant plus étonnant que la statue de Capdenac comporte plusieurs similitudes avec les statues yougoslaves (matériau, technique, allure générale) mais aussi et surtout deux caractéristiques très originales : des mains ne comportant que trois doigts et une chevelure en forme de crête détachée au sommet du crâne.

La période gauloise

Un important trésor monétaire gaulois a été trouvé à Capdenac à la fin du Adrien Prévost de Longpérier, il est signalé que l'on a trouvé, en 1866, dans la propriété de L.A. Savary, maire de Capdenac et conseiller général du Lot, lors du creusement d'une cave dans son jardin situé en plein bourg, donc sur l'ancien oppidum, une cache où se trouvait un grand pot en terre contenant un trésor monétaire de plus de 3000 pièces. Le total pesait 10 kg. Il s'agissait de monnaies « à la croix » frappées par les peuples du Sud-Ouest de la Gaule (Volques tectosages, Sotiates). Un lot de 535 pièces gauloises, 81 variétés environ, fut distrait de cette masse monétaire pour être envoyée à Paris à un marchand numismate (Hoffman). Celui-ci fit part de son acquisition à un savant numismate de l'époque (de Saulcy). Après étude, ce dernier en rendit compte à un autre numismate Adrien Prévost de Longpérier. Un peu plus tard, de Saulcy paraît en avoir fait l'acquisition. Par la suite, on ne sait ce qu'est devenue cette collection. Par bonheur, il reste de ce trésor une dizaine de pièces au cabinet des Médailles de la Bibliothèque Nationale. Quant au reste du trésor monétaire, il fut dit par de Saulcy, qu'il fut envoyé à la fonte, pour être transformé en orfèvrerie. La provenance du trésor n'a pas été établie immédiatement et il a été confondu avec une trouvaille faite à Vertheuil.

Un oppidum existait à Capdenac des fouilles ayant identifié au . En 1816 Jacques-Antoine Delpon et Jacques-Joseph Champollion avaient fouillé une muraille qu'ils avaient identifié comme gauloise et liaient à la bataille d'Uxellodunum.

La localisation exacte d'Uxellodunum fut longtemps controversée, et récemment Capdenac a perdu le titre officiel de lieu probable du site. Une décision officielle, du 21 avril 2001, a déclaré que le site le plus probable d'Uxellodunum était le Puy d'Issolud près de la ville de Vayrac, à la suite des résultats de fouilles archéologiques entreprises en 1997. Les publications scientifiques ont entériné le résultat de ces fouilles : pour la communauté des historiens et archéologues le débat semble tranché en faveur du Puy d'Issolud. Localement toutefois une association s'est constituée qui continue à revendiquer la localisation de la bataille à Capdenac et demande que soient effectuées des fouilles officielles sur leur site. Elle n'a pas reçu d'autorisation de fouille jusqu'à ce jour.

Capdenac, site longtemps considéré comme Uxellodunum

Capedenac aurait été le dernier lieu de la résistance gauloise face à Jules César, lors de la guerre des Gaules, en 51 .

Au Moyen Âge on a pu considérer que la cité de Capdenac s'était appelée Uxellodunum. Lors de la dernière année de la guerre des Gaules, en -51, deux chefs gaulois, Lucterios et Drappès, se réfugièrent dans l'oppidum cadurque d'Uxellodunum après la terrible défaite d'Alésia, qui avait contraint Vercingétorix et le gros des forces armées gauloises à déposer les armes. Lucterios était un chef issu du peuple des Cadurques dont Uxellodunum faisait partie, il gagna donc facilement les habitants à sa cause. Les premières légions romaines commandées par Caninius arrivèrent rapidement devant la ville, et commencèrent à préparer le siège. Les deux chefs gaulois s'apprêtèrent à subir un long siège ; pour cela, ils décidèrent de faire de grandes provisions de blé avant que la place ne soit entièrement encerclée par l'ennemi. Plusieurs convois de victuailles arrivèrent à bon port, mais lors de l'un de ces convois, les chefs gaulois ainsi que leurs troupes furent surpris par une attaque des Romains ; Luctérios parvint à s'enfuir, alors que Drapès fut fait prisonnier. La cité d'Uxellodunum était à partir de ce moment-là orpheline de ses chefs, et seuls 2 000 combattants assuraient la défense de la ville, mais la résistance opiniâtre de ses habitants continua tout de même. Alerté par Caninius, et ayant peur de la valeur d'exemple que pouvait montrer cette poignée d'irréductibles, César s'empressa de venir sur les lieux, avec sa cavalerie. À partir de ce moment-là, environ 30 000 Romains assiégèrent Uxellodunum.

Sachant que la ville était bien pourvue en vivres, Jules César décida de les priver d'eau. Pour cela il les empêcha de descendre à la rivière, en postant des archers, frondeurs, et des machines de guerre sur la rive opposée. Alors les Gaulois se mirent tous à venir chercher de l'eau en un seul endroit, dans une grande fontaine. César fit alors construire un terrassement, surmonté d'une tour de bois de 10 étages, afin d'empêcher les Gaulois de sortir de leurs murs. Grâce à ce stratagème, les assiégés se voyaient contraint de rester enfermés derrière leurs murs, et César fit creuser des galeries, afin de couper les veines d'eau alimentant la fontaine d'Uxellodunum. Les Gaulois firent de nombreuses sorties et causèrent de gros dégâts à l'armée romaine, jusqu'au jour où les travaux de dérivation de la fontaine atteignirent leur but, et asséchèrent la seule fontaine de la ville. Les Gaulois virent là un signe divin et se rendirent aussitôt. Pour châtier cette résistance, Jules César fit couper les mains à tous les hommes en âge de porter les armes. La chute d'Uxellodunum marqua la fin de la guerre des Gaules. Ce fut donc sur un oppidum dominant la vallée du Lot, baptisé Oltis par les Romains, que des Gaulois offrirent leur dernière résistance face à la puissance de Jules César.

À partir de l'époque moderne la localisation d'Uxellodunum a donné lieu à des débats scientifiques entre plusieurs sites concurrents : Puy d'Issolud, Capdenac et dans une moindre mesure, à Luzech, même si certains jugeaient déjà qu'il est impossible de trancher uniquement à partir du texte d'Hirtius en raison de sa description « trop vague et trop incomplète ». Jacques-Joseph Champollion, frère du célèbre déchiffreur des hiéroglyphes argumenta fortement pour Capdenac. Le baron Charles Athanase Walckenaer passa d'abord pour un partisan du Puy d'Issolud mais considéra dans son ouvrage sur la géographie des Gaules que Capdenac convenait mieux à la description d'Hirtius. Mais les recherches lancées par l'empereur Napoléon III désignèrent, après quelques hésitations, le site du Puy d'Issolud. Après examen par des fouilles archéologiques récentes, c'est aussi le Puy d'Issolud qui a été reconnu comme site officiel de la bataille et qui est retenu dans la littérature scientifique contemporaine. Néanmoins, Capdenac possède des vestiges de travaux romain du .L'association A.P.U.C., (Archéologie-Patrimoine-Uxellodunum-Capdenac), autrefois (Association Pour Uxellodunum à Capdenac) souhaite cependant que des fouilles officielles soient conduites sur ce site.

Capdenac la gallo-romaine

À l'époque romaine, Capdenac aurait été une forteresse. L'étude des remparts (au nord) a montré l'existence de murs en opus caementicium sur la troisième ligne des remparts et sur plusieurs mètres. Deux ouvertures ont été repérées. Il s'agit bien de vestiges gallo-romains réutilisés à une période plus tardive. » Découverts au bourg et dans ses environs, deux fibules en bronze, une lancette de chirurgien en bronze, deux amphorettes, des fragments de tegulae, imbrices et d'ampore vinaire italiques. Un grand fossé est également à signaler. et fontaine fortifiée, à laquelle on accède encore de nos jours par un escalier de 130 marches. La présence romaine fut confirmée par les découvertes de carrières de grès exploitées à cette époque, ainsi que par le passage de la voie romaine reliant Limoges à Narbonne.

Les temps d'insécurité

Puis durant la paix romaine, Capdenac tomba un peu dans l'oubli. Les Wisigoths restèrent maîtres de la ville de 477 à 530, et en furent chassés par Thierry, fils de Clovis. Ensuite, ce sont les Sarrasins, qui pillèrent la cité, avant d'en être chassés par Charles Martel. En 778, c'est Pepin le Bref, qui fit le siège de Capdenac, lors de sa guerre menée contre Waïfre, le dernier roi d'Aquitaine. Puis, Capdenac fut le lieu de résidence de Saint-Géraud, le fondateur de l'abbaye d'Aurillac, qui réalisa un miracle dans le château capdenacois. Une noble famille des chevaliers de Capdenac, animèrent la région du au  siècle. Les Templiers, puis les Hospitaliers, s'installèrent à la pointe sud du bourg, puis, Simon de Montfort lors de sa croisade menée contre les Albigeois, assiégea la cité deux fois.

La croisade albigeoise

Durant la croisade menée contre les Cathares par Simon de Montfort, Capdenac était une place forte redoutable, et il n'est pas étonnant que le chef militaire de cette croisade décida de l'occuper entre autres en 1209 et 1214. Si Capdenac n'a pas officiellement abrité d'hérétiques albigeois, c'est sur ses terres que naquit Bertrand de la Bacalaria, qui fut l'ingénieur en machine de guerre, qui rentra dans le château de Montségur alors assiégé. Il construisit alors des machines types trébuchets et autres, afin de tenter de détruire celles postées par les troupes du roi de France, qui provoquaient beaucoup de dégât chez les défenseurs de Montségur. Le lieu-dit de la Bacalaria existe toujours, il s'appelle aujourd'hui la Vacalerie et se trouve à 3 km de la cité de Capdenac.

Charte et consuls

En 1291, une charte des immunités et des privilèges définit les relations entre les seigneurs de Capdenac et les consuls représentant la population. cette charte est confirmée par les rois de France : Philippe le Long en avril 1320, Jean II en juillet 1361 et Charles VI en octobre 1393.

De la guerre de Cent Ans à nos jours

Durant la guerre de Cent Ans, Capdenac résista farouchement à l'ennemi anglais, au cours de plusieurs sièges. À la fin du  siècle la famille d'Armagnac se rendit propriétaire de la place, avant d'en être chassée par Louis XI, alors dauphin du royaume de France.
Galiot de Genouillac, grand maître d'artillerie du royaume de France, en fut également le seigneur au cours du  siècle.
Les guerres de Religion n'épargnèrent pas la petite cité, qui fut longtemps tenue par les protestants.
Sully vint s'y retirer après la mort d'Henri IV.

  1. Gernignon K., Clottes J., Carrière M., Giraud J.-P, « Capdenac-le-Haut (Lot) : le Néolithique moyen quercinois stratifié », Bulletin de la Société préhistorique française. 2007, 104 – 1 cat.inist.fr
  2. Jean Clottes, Michel Carrière, « La statue féminine de Capdenac-le-Haut (Lot) », Congrès préhistorique de France, XXe session, Provence, 1974, 1976, p. 102-108
  3. société des études du Lot ; 3e fascicule 1976 juillet-septembre ; tome XCVII. Par Jean Clottes et Michel Carrière
  4. « Lettre de Fernand de Saulcy », Revue de Numismatique,‎ , p. 26
  5. Adrien Blanchet, Traité des monnaies gauloises, Paris, 1905, n°141
  6. La trouvaille de ce trésor est officiellement publiée dans le Dictionnaire archéologique de la Gaule, publié sous le second empire, vers 1867, à l'article Capdenac, t. 1, p. 226
  7. Adrien Blanchet, Traité des monnaies gauloises, Paris, 1905, n°96
  8. A. Viré, Bulletin de la Société préhistorique française, 1908, 5-2, p. 72 lire en ligne
  9. J.-P. Girault, « Recherches à la Fontaine de Loulié (Saint-Denis-les-Martel, Lot). Nouveaux éléments sur la bataille d’Uxellodunum », Aquitania, Suppl. 14/1 : Les âges du fer dans le Sud-Ouest de la France (actes du colloque 20-23 mai 2004), 2007
  10. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées APUC
  11. Charte de privilèges de Philippe Le Long de 1320, BN, collection Doat, vol.2, feuillet 117, portant le titre "Inventaire des copies des titres des archives de Capdenac envoyées à Paris le 26 novembre 1667
  12. Livre VIII de la guerre des Gaules traditionnellement attribué Hirtius
  13. Baron Chaudruc de Crazannes, « Coup d'œil sur les monuments historiques du département du Lot », Bulletin monumental, 1835, p. 14 books.google.fr
  14. Nouvelles recherches sur la ville gauloise d'Uxellodunum, 1820
  15. Bulletin monumental, 1834, p. 14
  16. baron de Walckenaer, Géographie ancienne historique et comparée des Gaules cisalpine et transalpine, p 353, Paris, 1862 (1re édition 1839)
  17. a b et c Carte archéologique de la Gaule correspondant au département du Lot, Anne Filippini, Capdenac, p.147 et 148
  18. Association Pour Uxellodunum à Capdenac
  19. Armand Vire, Les oppida du Quercy et le siège d'Usellodunum (Bull. Société des Études du Lot - 1936).
  20. M. Balzan, de la société des lettres, sciences et arts de l’Aveyron.
  21. le Quid 2009 à l'article Capdenac-gare
  22. Traduction française: Odon de Cluny, Vie de saint Géraud d'Aurillac, traduction par M. Compaing, curé de Savènes au diocèse de Toulouse, Aurillac, 1715, in-8°
  23. Chronique de Pierre des Vaux de Cernay, Historia albigensis, éd. par Pascal Guédin et Ernest Lyon, 3 Tomes, Paris Champion 1930
  24. registre des inquisiteurs Ferrer, Durant et Gary, BN
  25. Le dossier Montségur, Jean Duvernoy Le Pérégrinateur 1998
  26. V. Fourastié, Annuaire général du Lot : Historique, administratif, judiciaire, commercial, Cahors,

Héraldique

Blason
De gueules à la forteresse d'argent, donjonnée de trois tours, celles des flancs plus petites et couvertes d'argent, maçonnée, ouverte et ajourée en demi-lune de sable.
Détails

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