Peyremale

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Peyremale : descriptif

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Peyremale

Peyremale (Pèiramala en occitan) est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Cèze, le Luech et par divers autres petits cours d'eau

Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « hautes vallées de la Cèze et du Luech »), un espace protégé (le « géoparc des monts d'Ardèche ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Peyremale est une commune rurale qui compte 275 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 139 habitants en 1841

Ses habitants sont appelés les Peyremalencs ou Peyremalencques. Elle fait partie de l'aire d'adhésion (la zone centrale) du parc national des Cévennes et de la zone de transition de la réserve de biosphère des Cévennes. Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église de la Dormition, inscrite en 1981.

Géographie

Village cévenol étendu aux confins de la Lozère et de l'Ardèche, Peyremale est situé dans le Nord du département du Gard, entre Génolhac et Saint-Ambroix. Il se trouve dans la vallée de la Cèze, qui traverse le village avant de recevoir son affluent le Luech sur la commune également.

Ses habitants sont les Peyremalencs et Peyremalencques.

Lieux et hameaux

La petite commune de Peyremale inclut de nombreux hameaux. Les lieux-dits suivis d'une astérisque sont situés à l'écart de la route indiquée.

C

  • le Chambonnet*, D453
  • Chanet*, chemin de la crête de Pertus (est du Chambonnet)
  • Chatusse, D386
  • Clamoux, D453
  • le Claux, D453
  • Courtes, D386

D

  • les Drouilhèdes, D386

E

  • l'Elzière, D17

F

  • la Fabrègue*, col des Quatre Chemins

M

  • le Mas Arnal, D453
  • le Mas Bladier*, D453
  • le Mas Bordel, vallée du Rieu-Sec
  • le Mas Dardaillon, D386
  • le Mas Herm, D17
  • Mercoire, D453

N

  • les Nogiers, D17

P

  • le Puech*, D453

R

  • le Ranc, D386
  • Rastel, D386

S

  • les Selves*, D17
  • le Serre, D17

T

  • le Tourrel, chemin à partir de l'Elzière
  • les Traverses, D386
  • le Trental*, vallée du Rieu-Sec

Des mas isolés, souvent éloignés les uns des autres, s'élèvent sur tout le Peyremalès, entre Portes, Bordezac et Sénéchas.

Ces lieux et hameaux sont situés entre 160 et 620 m d'altitude et sont disséminés soit en bordure des rivières de la Cèze et du Luech, soit en bordure de la montagne cévenole. Tous les lieux habités sont installés sur les flancs Est des crêtes ou sommets, sauf le Puech qui est sur une crête et les Drouilhèdes et Chambonnet installés sur des replats du fond de vallée de la Cèze. Les maisons cévenoles typiques de Mercoire, avec leurs pierres en schiste et leurs tuiles romaines, remontent au Moyen Âge. Le Puech (selon certains avis, autrefois fortifié ) et surplombant à 443 m d'altitude la route de Portes (D453) au niveau de Clamoux, domine de presque 250 m la vallée du Rieu-Sec sur son côté est et celle du Luech sur son côté nord-ouest ; ses ruelles intérieures voûtées sont du même schiste rouge que les maisons. Le hameau de l'Elzière était déjà mentionné en 1414, où deux familles ou plus travaillaient la terre et élevaient des moutons.

La mairie est située au Claux à 220 m d'altitude.

Communes limitrophes

Entouré par les communes de Bordezac, Bessèges et Chambon, Peyremale est situé à 19 km au Nord-Ouest d'Alès la plus grande ville aux alentours.

Communes limitrophes de Peyremale
Chambon Bordezac Bordezac
Chambon Peyremale Bordezac
La Vernarède Bessèges Bessèges

Relief et géologie

Le village de Peyremale est situé dans les Cévennes, mais la topographie n’est pas homogène dans l'ensemble de cette région naturelle où le relief s’étage entre 200 et 1 700 mètres d’altitude. Les vallées cévenoles des basses Cévennes, où se trouve Peyremale, alternent crêtes étroites et vallées profondes et encaissées. Le territoire de la commune et environnant est surtout montagneux.

Peyremale, c’est surtout un pays de schiste - tantôt de schiste et parfois de granite, que les lauzes recouvrent bien souvent. Les sentiers y glissent à travers les forêts de châtaigniers, plongeant vers les rivières avant de rejoindre les sommets.

Son paysage a été entièrement redessiné par la main de l’homme qui y a créé les faïsses, terrasses aménagées pour la culture de la vigne, des mûriers et des céréales.

Hydrographie

Rivière du Luech, entre les hameaux du Claux et du Mas Herm

Deux rivières traversent le village, où elles confluent : la Cèze et le Luech.

Le ruisseau de Rieu-Sec (2,8 .

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 .

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 amplitude thermique annuelle de 17,3 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Grand-Combe à 10 vol d'oiseau, est de 13,7 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Description générale

La commune dépend du centre météorologique de Nîmes.

Le climat de Peyremale correspond au climat des Cévennes, qui est de type méditerranéen et qui devient montagnard en fonction de l'altitude.

Les contrastes géographiques prononcés (différences d'altitude) jouent sur les tendances climatiques et le climat se caractérise par de fortes précipitations qui peuvent être accompagnées d’orages : on parle alors d'épisodes cévenols (ou effet cévenol)

Le climat est plus clément que celui des districts proches du mont Aigoual. L'influence de la Méditerranée est beaucoup plus sensible : les hivers et les automnes y sont doux et, la sécheresse estivale est parfois importante.

Données
Ville Ensoleillement
 (h/an)
Pluie
 (mm/an)
Neige
 (j/an)
Orage
 (j/an)
Brouillard
 (j/an)
Médiane nationale 1 852 835 16 25 50
Peyremale 2669 762 3 23 11
Paris 1 717 634 13 20 26
Nice 2 760 791 1 28 2
Strasbourg 1 747 636 26 28 69
Brest 1 555 1 230 6 12 78
Bordeaux 2 070 987 3 32 78
Données climatiques à Nîmes
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,4 3,4 5,1 7,8 11,2 14,9 17,7 17,2 14,7 10,8 5,9 3 9,5
Température moyenne (°C) 6,3 7,7 9,9 12,8 16,6 20,5 23,7 23 20 15,4 10 6,9 14,4
Température maximale moyenne (°C) 10,3 11,9 14,7 17,8 21,9 26,2 29,8 28,9 25,3 20 14 10,7 19,3
Ensoleillement (h) 143,5 147,4 203,1 227,6 267,8 310,2 353,8 315,3 236,6 186,8 143,9 133 2 668,9
Précipitations (mm) 67,7 70,7 55,9 59,2 60,9 38,6 25,3 51,6 66,8 131,9 69,2 64,1 761,9
Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Nîmes de 1961 à 1990.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée,. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol. La commune est dans le périmètre du « géoparc des monts d'Ardèche », classé Géoparc en septembre 2014 et appartenant dès lors au réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO,.

La commune fait également partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons,.

Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « hautes vallées de la Cèze et du Luech », d'une superficie de 12 680 Cèze. Elles présentent un patrimoine naturel remarquable, avec quatre espèces piscicoles : l'écrevisse à pattes blanches, le castor, la loutre et le barbeau méridional et cinq habitats d'intérêt communautaire d'origine.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1 sont recensées sur la commune : la « vallée de la Cèze à Peyremale » (18 , et la « vallée de la Luech à Chambon » (884  et quatre ZNIEFF de type 2, :

  • le « bois de Bordezac et de Bessèges » (1 797  ;
  • le « cours moyen de la Cèze » (648  ;
  • les « gorges du Chazesac, de la Borne et de l'Altier » (5 809 Gard et 5 dans la Lozère;
  • les « vallées amont de la Cèze et de la Ganière » (10 752 Gard et 2 dans la Lozère.
  1. Peyremale. Sur habitants.fr.
  2. Peyremale, commune et hameaux
  3. . Pascal Jaussaud, Peyremale, Peyremalencs, Peyremalès, 28 janvier 2015. Sur peyremale.village.free.fr.
  4. Sandre, «  » (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  20. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
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Toponymie

De l'occitan Pèiramala, composé de pèira, « pierre », et mala, "mauvaise, méchante" que l'on peut éventuellement comprendre "néfaste, qui porte malheur". Le nom a été francisé Peyremale.

Peyremale : Petra mala en latin, « mauvais pavé », « mauvais rocher ».

  1. Pascal Jaussaud, Peyremale Peyremalencs Peyremalès, Éditions Petramala, , 600 ISBN ), p. 22
  2. Revue internationale d'onomastique - Volume 21 - Page 11
  3. Pascal Jaussaud, « De quelques fausses (et vraies) histoires de Peyremale », Journées du patrimoine 2018.

Histoire

Héraldique

« D'azur au cor de chasse d'or, lié d'argent, accompagné de trois molettes du même remplies aussi d'or. »

Moyen Âge

Période moderne

La potence à Peyremale, en 1602

Un article datant de 1602, intitulé : « Redressement de potances ou fourches pathibulayres en la vrai juridi(cti)on du S(eigneu)r de Chamborigaud au mand(emen)t de Pieremale, trouvé dans les archives notariales, atteste que vers le milieu du Alès et de Peyremale, aurait fait planter trois fourches au-dessus du roc de François pour y faire exercer la haute justice, c'est-à-dire y faire « punyr & executer les délincquants dud(it) mandement de Pieremale & Chamborigaud ». Ainsi le seigneur local du haute et basse justice, dont la peine de mort - exécutée en principe toujours après confirmation du jugement par des juges royaux.

La peste à Peyremale : 1629, 1720

En 1629, année de la paix d'Alès entre le pouvoir et les protestants, la peste noire sévit dans le Sud de la France. Arrivée par bateau à Marseille, elle a fait 6 000 morts à Lyon (et quantités de morts dans maints autres endroits de la France du Sud) en 1628 avant de s'imposer lourdement l'année suivante dans les Cévennes via Largentière, Joyeuse et Les Vans. Les villes semblent les plus touchées, avec leur plus grande concentration de population ; Peyremale semble avoir été peu atteint cette fois - les records notariaux concernant la commune portent témoignage de grande peur mais de relativement peu ou pas de décès relevant de cette contagion. Il est fort possible que l'éparpillement et l'éloignement des hameaux les uns des autres aient eu un rôle salutaire au milieu de cette hécatombe nationale ; on peut aussi penser à une relative autarcie et, conséquence de celle-ci, peu de mouvements de population nécessaires à l'expansion de la contagion.

La situation est tout autre quand, un siècle plus tard, une autre épidémie de peste noire se répand - venant également de Marseille où le navire Grand-Saint-Antoine l'a amenée de Damas (Syrie) en . Une grande quantité de châtaigniers ont gelé pendant l'hiver particulièrement froid de 1708-1709 ; les mûriers ont commencé à les remplacer. La fabrication de la soie commence juste son extraordinaire développement dans les Cévennes, qui fait passer la région d'une économie de subsistance à une économie de marché - avec son corollaire : plus de déplacements de personnes et de transports de marchandises. Cette fois, Peyremale est si durement touché qu'en 1722, lorsque le diocèse d'Uzès accorde une diminution des impositions de 30 000 livres pour toutes ses paroisses, « Peiremales, Seneschas, le mas Vert et Malenches » se voient ensemble attribuer quelque 1 665 livres - une des plus grosses diminutions du diocèse derrière Génolhac, Malons, Gravières et Les Vans.

L’inondation du 9 septembre 1772

Certains se souviennent des plus fortes inondations du 1958, notamment à Peyremale, lorsque la Cèze monte, le moulin du Grand Tournant peut rapidement disparaître sous les eaux. C’est ce qui survint en 1772. Absent de chez lui au moment du débordement de la Cèze, il est facile d’imaginer la terreur du meunier Paul Chamboredon, revenant quelques heures après la terrible crue du . Dans ce drame, « il eut le malheur de perdre sa femme avec cinq enfants que l’eau entraîna avec le plus haut étage dudit moulin et tous ses effets, au moyen de quoi il se trouve réduit dans le plus triste état & dans une mandicité affreuse ». Paul Chamboredon tenait le moulin en inféodation depuis plusieurs années.

Si son nom a été oublié depuis – à l’instar du moulin du Deneyriel au Mas Herm –, on l’appelait réellement moulin de coste (côté) ou moulin du Malpas, mauvais pas, endroit par où il est dangereux et difficile de passer. Construit au début du XVIIe siècle, il appartenait alors au haut et puissant seigneur messire Anthoine Hercule de Budos, marquis de Portes, qui l’affermait à Yzac Jaussal. En 1630, la marquise de Portes Louise de Crussol, veuve de son mari tué l’année précédente au siège de Privas, promettait « de faire accommoder et rendre le(dit) moullin rouant et battant », prévoyant que si « par inonda(ti)on & ravages d’eaux led(it) moullin viendroit à tomber ou se desmolir en bloct ou en partie, ledict Jaussal ne sera tenu en aulcune faisson du dommage et perte d’icelluy ». Certes, l’on n’ignorait pas les conséquences d’une crue extraordinaire….

Période contemporaine

Création de la mairie de Peyremale en 1830

Au lendemain de la Révolution, Peyremale est amenée à se rattacher à la municipalité de Portes. Une partie de Peyremalencs mécontents se ligue pour exiger la distinction du village de la commune voisine, arguant que : « (…) depuis trop longtemps, la communauté de Peyremale avait le malheur d’être réunie avec celle de Portes pour le fait des impositions, que depuis trop longtemps aussi Portes était habitée par des nobles, des seigneurs et des gens d’affaires qui avaient su créer et se conserver une prépondérance et une domination sur les timides habitants de Peyremale dont ils faisaient le plus abusif et le plus blâmable usage vis-à-vis de ceux-ci. » À cette pétition, rédigée le par le notaire Joseph Jaussaud, les membres du Directoire du département du Gard transigeront âprement, déclarant « nulle et comme non avenue la municipalité formée dans le lieu de Peyremale. »

Résignés, les habitants de Peyremale devront donc ”monter” à Portes pour déclarer les naissances de leurs enfants, les décès de leurs proches, ainsi que pour se marier civilement. Ce n’est effectivement que le que le village sera enfin érigé en commune. Les premiers maires seront François Régis Jaussaud, fils du notaire évoqué plus haut, puis Balthazard Draussin qui, dès le

  1. Banque du Blason.
  2. a b et c Pascal Jaussaud, « Peyremale, Peyremalencs, Peyremalès », Journal de Peyremale n°2 (juillet 2002).
  3. . Pascal Jaussaud, op. cit., Bulletin municipal n° 6, février 2007. Sur peyremale.village.free.fr.
  4. Le Morvand, Jean-François Baudiau, curé de Dun-les-Places. 1867.
  5. . Pascal Jaussaud, op. cit., janvier 2010. Sur peyremale.village.free.fr.
  6. . Pascal Jaussaud, op. cit., Bulletin municipal n° 7, janvier 2008. Sur peyremale.village.free.fr.

Héraldique

« D'azur au cor de chasse d'or, lié d'argent, accompagné de trois molettes du même remplies aussi d'or. »

  1. Banque du Blason.

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Peyremale dans la littérature

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