Gaillon

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Gaillon : descriptif

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Gaillon

Gaillon est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie. Ses habitants sont les Gaillonnais.

Géographie

La commune de Gaillon est située en vallée de Seine, qui borde ses zones d'activités industrielles vers Aubevoye, puis elle s'étend jusqu'aux coteaux boisés.

Gaillon est à 13 Andelys, à 14 Vernon, à 16 Louviers, à 18 Val-de-Reuil, à 23 Évreux et à 41 Rouen.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Gaillon
Le Val d'Hazey (comm. dél. de Sainte-Barbe-sur-Gaillon) Le Val d'Hazey (comm. dél. d'Aubevoye) Port-Mort
Gaillon[1]
Saint-Julien-de-la-Liègue Saint-Aubin-sur-Gaillon Saint-Pierre-la-Garenne

Hydrographie

La commune est traversée par le « ru du Canal » ou « ravine du Hazey », affluent de la Seine dont elle est riveraine.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale ». Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 amplitude thermique annuelle de 14,7 . Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Muids à 8 vol d'oiseau, est de 12,0 ,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

  1. «  ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. «  », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 lire en ligne), p. 2
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  7. «  », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. «  », sur meteofrance.fr, (consulté le ).

Toponymie

Gaillon

Le nom de la localité est attesté sous les formes Gaillo (Guill. le Breton, Philippidos lib. V), Gallyo, Guaillon, Gaillonium, Gaillum, Gwailium (Deville, Comptes de Gaillon) ; Guaillum ; Fortalitia Gaillonis (Rigord, Rec. des Hist. de France), Castrum Gaallonii (traité entre Philippe Auguste et Richard Cœur de Lion) et Gaallonii en 1195 ; Gaillonem en 1196 ; Guaillum 1198 (Roger de Hoveden) ; S. Antonius de Gallon en 1208 (archives de l’Eure) ; Wallio au .

Albert Dauzat et Charles Rostaing considèrent qu'il s'agit du nom de personne germanique *Wadal. Ernst Förstemann cite l'anthroponyme Wadilus, suivi du suffixe -o /-one de localisation. Ernest Nègre suggère l'emploi d'un autre nom de personne germanique Gailo pris absolument.

Cependant, la forme Wallio pour Gaillon et de Wallonio pour son homonyme Gaillon-sur-Montcient dans les Yvelines, ainsi que l'existence du hameau Gailloncel dérivé de Gaillon, désigné Waillonchel en 1231, implique le rejet de cette explication, en effet, elle ne peut pas rendre compte du W- initial. Le passage de [w] à [g] est un phénomène phonétique régulier en français (voir l'étymologie de gagner, garder, guetter, gué, etc.), elle n'a cependant pas affecté les dialectes d'oïl septentrionaux dans lesquels [w] est resté tel quel, avec cependant une évolution postérieure en [v] en normand septentrional. L'isoglosse [v] / [g(u)] passe légèrement au nord de Gaillon (parallèlement à la ligne Joret), ainsi les communes de l'Eure situées plus au nord ont-elles conservé le W- initial devenu V-, comme dans Verclives (Eure, Warcliva vers 1025) ou Vascœuil (Wascoilus 876, Guascolium XIIe siècle).

François de Beaurepaire indique en outre que le mode de composition avec le suffixe -o / -one de la proposition d'Albert Dauzat est tout à fait inusuel avec un nom de personne germanique.

Il suggère donc un rapprochement avec Wail (Pas-de-Calais, Wadhil 1066), Gaël (Ille-et-Vilaine, Wadel 816) que Maurits Gysseling considère comme issus de wadellu(m) « passage à gué ». Il est lui-même dérivé du vieux bas francique *wad que certains spécialistes considèrent aussi comme probable étymologie du terme gué.

Il serait dans ce cas suivi du suffixe -o / -one et signifierait « lieu du gué ». D'ailleurs, Gaillon est traversé par le ruisseau du Hazey en provenance de Sainte-Barbe-sur-Gaillon.

Toponyme signifiant « endroit guéable » (gué sur le ru du Canal).

Antérieurement à la Révolution française, on rencontre l'appellation de Gaillon-l'Archevêque, ce qui entraîne peu après 1789 le changement (provisoire) de nom en Montagne-sur-Gaillon.

Microtoponymie

  • Hydrographie : ruisseau de Grammont ; fontaine de la Colonie.
  • Bois : bois de Grammont ; bois de Rouen ; bois Saint-Paul.
  • Hameaux et écarts : Angreville (toponyme du type Angerville, mentionné sous la forme Ansgiervilla vers 1145, devenu Angreville par métathèse) ; les Artaignes ; l'Aunaie (ferme) ; le Clos Morice ; les Douaires (ferme) ; Gailloncel (forme normande Waillonchel en 1231) ; la Garenne ; les Granges Dîmes ; Mont Martin ; la Muette (ancienne forme de « meute ») ; Notre-Dame de la Garenne ; les Sables ; le Val d'Any (ferme).
  • Autres toponymes : les Carreaux ; les Crayons ; Croix Gilles Philippe ; les Jardins de Bas (ancien parc du Château) ; le Pot à l'Eau ; ravin des Préaux (vallon) ; les Trente Acres (sablière).


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  1. a b c et d François de Beaurepaire (Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 ISBN , OCLC 9675154), p. 114.
  2. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 94
  3. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse, 1968.
  4. ibidem
  5. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, [1]
  6. a et b
  7. «  », sur eure.gouv.fr, (consulté le ).
  8. Georges Bernage, « La « Côte des Vikings » », Vikland, la revue du Cotentin, ISSN 0224-7992).

Histoire

L'histoire de la commune est fort liée à celle du château.

Une ville gallo-romaine ?

Temple gallo-romain (fanum) d'Oisseau-le-Petit (Sarthe), dont des vestiges semblables ont été mis au jour à Saint-Aubin-sur-Gaillon.
Château de Gaillon - entrée.
La place de l'église Saint-Ouen. En arrière-plan, le château.
La tour-clocher en façade de l'église Saint-Ouen.

La Préhistoire laisse quelques traces dans la contrée. Puis c’est au cours de l’époque romaine que l'on peut apprécier un regroupement de populations dans la vallée et surtout sur les hauteurs : en effet, Saint-Aubin-sur-Gaillon est peut-être la ville gallo-romaine des origines.

Alphonse-Georges Poulain y a exhumé des bains publics et des petits temples gallo-romains,. D'ailleurs, avec l'avènement du christianisme, Saint-Aubin fut longtemps paroisse mère de Gaillon. Par contre, l'archéologie moderne n'a pas révélé de trace d'un oppidum celtique à l'endroit du château local. En outre, on ne trouve aucun vestige archéologique qui ait pu être documenté relatif à la présence d'un castrum du Bas-Empire romain sur les sites de Saint-Aubin ou du château de Gaillon.

Époque médiévale

Un château ducal destiné à défendre la frontière de Normandie contre le roi de France est édifié vers le Epte côté normand (Malassis, Gasny, Baudemont, Écos, Château-sur-Epte, Gamaches, Eure et Seine (rive gauche) parmi lesquelles Gaillon.

En 1192, au terme d'un accord conclu entre Philippe Auguste, le roi de France, et Jean sans Terre, le roi d'Angleterre et duc de Normandie, Gaillon passe sous la domination du roi de France, au même titre que le Vexin normand et quelques autres places fortes, dont Évreux. Jean sans Terre n'est qu'un roi suppléant pendant la captivité de son frère Richard Cœur de Lion mais, dès sa libération et son retour en terre normande en 1194, ce dernier récupère quelques-unes de ses possessions après avoir défait le Capétien à Fréteval, mais pas Gaillon ni Vernon, ni Gisors que Richard perd à la fin de l'année 1195 au terme du traité de Gaillon conclu avec Philippe. C'est pourquoi il consolide ses positions en faisant construire Château-Gaillard aux Andelys sur l'autre rive de la Seine. Ce n'est cependant qu'en 1204, après la chute de la place forte et la conquête de toute la Normandie qui s'ensuit, que Gaillon est définitivement rattachée au domaine royal français.

En 1194, Philippe Auguste confie la défense du château de Gaillon au chef mercenaire Lambert Cadoc et à ses troupes. Il lui en fait don en 1197 pour le remercier de ses faits de guerre. Lambert Cadoc est seigneur de Gaillon de 1197 à 1219. Il est à l'origine des armes de Gaillon.

En 1207 et 1208, Philippe Auguste rend visite à Lambert Cadoc dans la forteresse qui contient à cette époque de nombreuses machines de guerre : trois balistes à tourniquet, treize balistes à deux pieds, et huit balistes à étriers.

En 1219 ou 1220, Philippe Auguste reprend le château par la force et jette Lambert Cadoc en prison.

Un virage patrimonial va engendrer la célébrité de Gaillon avec Louis IX, roi de France, qui recueille l'héritage philippien du manoir féodal. Le roi ne s'intéressant guère à cette propriété, il cède à Eudes Rigaud, archevêque de Rouen, tours et murailles médiévales moyennant finances et en échange de viviers et des moulins de Rouen (1262).

Époque moderne

Les archevêques se succèdent sur le siège épiscopal de Rouen. En 1453, l'un d’eux, Guillaume d'Estouteville entreprend la construction de ce qu'il devient convenable de nommer un château.

En 1494, son successeur, Georges d'Amboise, futur légat du pape et premier ministre de Louis XII, grand mécène des arts, féru d'Italie, est la chance de Gaillon. Charles II d'Amboise de Chaumont, son neveu, accueille souvent le prélat en sa qualité de vice-roi de Lombardie, et notamment à Gaglianico, où une fresque a pour décor le château normand.

Le cardinal d'Amboise entreprend, dès 1500 jusque vers 1509, la réalisation d’un palais qui devient le premier château de la Renaissance en France : vastes bâtiments accompagnés de galeries et de jardins, dont le Lydieu est alors la perle. Il dépense 50 000 livres pour la réalisation du château. Il reçoit en 1508 la visite du roi Louis XII et de son épouse Anne de Bretagne. Gaillon fonctionne comme une cour en miniature.

Les successeurs du cardinal d'Amboise s’efforcent de maintenir le château dans le meilleur état possible, y apportant même des embellissements.

En 1563, le cardinal de Bourbon fonde la chartreuse Notre-Dame-de-Bonne-Espérance dans la plaine d'Aubevoye, en complément logique de son palais.

Pendant ces temps, les visiteurs célèbres se succèdent à Gaillon : Charles IX et sa mère Catherine de Médicis, Henri III, le fils de cette dernière, Margot, prétendante d'Henri IV, Henri IV, plus tard Louis XIV, Pierre Séguier, François de Harlay (1643-1644), mécène des lettres, auteur du Mercure de Gaillon, y sont reçus, accompagnés de la fine fleur des gentilshommes du moment.

Quant à l'archevêque fils du ministre Colbert, Jacques Nicolas, il fait adjoindre aux lieux une orangerie par les soins qualifiés de Jules Hardouin-Mansart et remodeler les jardins par Le Nôtre, tandis que le dernier résidant (contemporain de la Révolution), le cardinal de La Rochefoucauld, y reçoit, le , Benjamin Franklin en chemin vers Le Havre d'où il doit s'embarquer pour définitivement s'en retourner, malade et âgé, vers son pays et, le , le roi Louis XVI, de retour de Cherbourg.

Époque contemporaine

La porte de Gênes.

À la Révolution, le château, bien de l'Église, devient bien national. Il est mis en vente en 1792. Son nouveau propriétaire le dépèce et met en vente les éléments sculptés. À la suite d'une mission ordonnée par le ministre de l'Intérieur Jean-Antoine Chaptal entre les et , Alexandre Lenoir, conservateur du musée des Petits Augustins de Paris, fait remonter les éléments de la Porte de Gênes dans la cour des Beaux-Arts et place le reste à l'abri. Le château vidé devient sous un pénitencier, tandis que le , on rend hommage aux cendres de l’Empereur glissant par la Seine vers Paris.

Le Tournebut, relative à la chouannerie normande (1809), ou le drame du château de Jeufosse (1856-1857) qui a défrayé la presse régionale dans ses chroniques judiciaires.

On accueille Louis-Philippe en voisin de Bizy à partir de 1830 ; bientôt, de décembre 1870 à mars 1871, Gaillon subit la botte prussienne.

Seconde Guerre mondiale

La ville est occupée le à 16 58. Infanterie-Division qui faisait partie de la XXXVIII. Armeekorps, commandé par le Generalfeldmarschall Erich von Manstein. Les Allemands ont traversé la Seine à la nage et en canots pneumatiques en dépit du pétardage du pont de Courcelles-sur-Seine. Gaillon est ainsi la première ville occupée par les Allemands sur la rive gauche de la Seine,,, au même titre qu'Aubevoye ou Villers-sur-le-Roule.

Le château délaissé voit l'installation d'un camp pour les internés politiques et de droit commun, et camp de transit pour les juifs raflés.

Envoyé dans ce camp en , Pierre Villon parvient à s'en évader le .

Au début 1942, Pierre Semard est transféré au camp d'internement de Gaillon puis à Évreux où, comme otage des autorités allemandes, il est fusillé le 7 mars.

Résumé de l’histoire de la ville en quelques dates

  • 892 : Rollon, chef viking, ravage Gaillon et sa région.
  • 1192 : Philippe Auguste, dans sa lutte contre Richard Cœur de Lion pour conquérir la Normandie, s’empare du château fort de Gaillon.
  • 1262 : le château fait l’objet d’un échange entre Louis IX et Eudes Rigaud, archevêque de Rouen.
  • 1419 : la ville est assiégée par le duc de Clarence, reprise par les Français et de nouveau vaincue.
  • 1424 : le duc de Bedford (vainqueur de la bataille de Verneuil) ordonne la démolition de toutes les fortifications, épargnant uniquement l’habitation de l’archevêque.
  • 1497-1509 : Georges d'Amboise, archevêque de Rouen et ministre de Louis XII, construit un château Renaissance qui compte au nombre « des plus excellents bâtiments de France », selon la collection de dessins postérieurs dressés par du Cerceau.
  • 1566 : en septembre, Nicolas Filleul donne en représentation des pièces qui seront plus tard éditées sous le titre Théâtres de Gaillon, en présence, notamment, de Catherine de Médicis.
  • Gravure du château de 1658 par Israel Silvestre.
    1658 : Israel Silvestre a terminé la représentation du château.
  • 1730 : la nouvelle grande route de Paris à Rouen traverse la ville.
  • 1772 : la collégiale Saint-Antoine est abattue. Déjà en 1715, Jean-Aimar Piganiol de La Force écrivait qu'elle est mal construite : l'église Saint-Ouen est bâtie en ses lieu et place.
  • 1792 : un projet de fuite du roi à Gaillon par Adrien Duport et ses amis échoue avec la Journée du 10 août 1792.
  • 1797 : le château est vendu comme bien national.
  • 1812 : le château est transformé en établissement pénitentiaire relevant du régime de la maison centrale. L'établissement compte environ 1 500 détenus et fonctionne jusqu'en 1901.
  • 1843 : mise en service de la gare locale de la ligne de chemin de fer Paris-Rouen.
  • 1846 : travaux autour du pont de Courcelles-sur-Seine, de la ravine du Hazey et du Val d'Any.
  • 1866 : la colonie des Douaires abrite un établissement agricole de redressement des jeunes délinquants mineurs.
  • 1889 : mise en service de l'écluse Notre-Dame-de-la-Garenne.
  • 1895 : le directeur (mars 1894 - mars 1896) de la maison centrale Jean Étienne Beaunier fait publier une notice sur son établissement.
  • 1899 : la première course de côte de Gaillon (pour automobiles et motocycles) a lieu sur la route qui monte à Sainte-Barbe.
  • 1940-1944 : installation d'un camp d'internement français pour les internés politiques et de droit commun, et de transit pour les juifs raflés.
  •  : La Crucifixion, vitrail neuf de François Décorchemont, remplace le vitrail antérieur de la tour de l'église Saint-Ouen, verrière abîmée par le souffle d'une bombe en 1944.
  •  : visite de Pierre Mendès France, président du Conseil.
  •  : visite du général de Gaulle, de retour au pouvoir, mais pas encore élu président de la République. Inauguration de l'exposition « Les Jardins du château ».
  • 1975 : l'État est propriétaire du château.
  • 1976 : mise en service d'un centre d'incendie et de secours
  • 1980 : José Edulio Barrientos (9 juin 1943 - 2012), qui enseigne la sculpture à Vernon, dévoile un buste à la mémoire de Salvador Allende.
  •  : inauguration d'une statue de Pierre Mendès France, œuvre du même sculpteur chilien, par François Mitterrand, président de la République.
  •  : en visite dans l'Eure (Louviers et Val-de-Reuil), François Hollande, président de la République, se recueille devant la statue de Pierre Mendès France.
  •  : La Crucifixion voit sa restauration achevée et retrouve sa place initiale à l'église.
  1. Comme l'ont montré des fouilles réalisées à Saint-Pierre-d'Autils
  2. Alphonse-Georges Poulain - Campagne de fouilles des années 1910-1911 - Revue Persée -
  3. Alphonse-Georges Poulain - Campagne de fouilles des années 1912-1913 - Revue Persée suite-
  4. Bulletin du bibliophile et du bibliothécaire - Société des amis de la Bibliothèque nationale et des grandes bibliothèques de France - 1860.
  5. Comptes de dépenses de la construction du château de Gaillon, Deville, 1850, p. 11.
  6. a et b Comptes de dépenses de la construction du château de Gaillon, Deville, 1850.
  7. En souvenir de laquelle une sente porte le nom de Reine Margot.
  8. «  », sur Dictionnaire des journaux (1600-1789), édition révisée 1991 (consulté le ).
  9. [1].
  10. Hameau de la commune de Saint-Aubin-sur-Gaillon - L'historien Michel de Decker a consacré un ouvrage à cette affaire en 1996 : La Bête Noire du Château de Jeufosse, éditions Bertout, La Mémoire Normande (ISBN ).
  11. «  », sur ville-saintaubinsurgaillon.fr (consulté le ).
  12. Militaria Hors-série [source insuffisante].
  13. Kampf der 6. Inf.-Div. um den Seine-Übergang bei les Andelys, 1940.[source insuffisante].
  14. Hans-Joachim Ludendorff et al., Sturmmarsch zur Loire : Ein Infanteriekorps stürmt, siegt und verfolgt, Berlin, Die Wehrmacht, (présentation en ligne).
  15. notice VILLON Pierre (GINSBURGER Roger, Salomon, dit), Claude Willard, maitron.fr.
  16. Voir en bibliographie l'ouvrage d'Yvette Semard.
  17. [2].
  18. Adolphe Thiers Histoire de la Révolution française, Paris, Lecointre et Durey, 1823-27, volume 2, pages 206-207) [3]
  19. Jean Étienne Beaunier (5 février 1846 à Château-Renault-18 janvier 1933, 88 rue du Bac à Paris), nommé chevalier de la Légion d'honneur à 80 ans passé en 1927 Base Léonore, notice LH/156/72.
  20. Notice sur la maison centrale et l'asile des aliénés de Gaillon, par Étienne Beaunier,… souvenir offert à MM. les membres du Congrès pénitentiaire international, à l'occasion de leur visite à Gaillon, le .
  21. «  », sur discours.vie-publique.fr, (consulté le ).
  22. en ligne sur parisnormandie.fr.

Héraldique

De gueules à la tour d'or ouverte et maçonnée de sable.

  1. Banque du Blason

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Gaillon dans la littérature

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